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Les Québécois ne parleraient pas un "vrai" français....


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L'académicien Maurice Druon ironise sur le "parler pittoresque" des Québécois

PAR MICHEL DOLBEC

PARIS (PC) - Gardien intransigeant d'une langue "pure", le secrétaire perpétuel honoraire de l'Académie française, Maurice Druon, juge que les Québécois s'expriment dans un "parler pittoresque" forgé à une époque ou ni Corneille ni Racine n'avaient fixé les règles du français.

"J'aime beaucoup les amis canadiens. J'apprécie beaucoup leur parler pittoresque, a déclaré l'auteur des 'Rois maudit' sur Radio France Internationale. Mais, tout de même, n'oublions pas que la langue québécoise a été importée dans le Nouveau Monde surtout du parler poitevin, avant Corneille et Racine, avant Boileau, avant Voiture, avant Vaugelas, avant l'Académie, qui a fait de la langue française une langue très sûre, très pure, très exacte."

Maurice Druon prenait part sur RFI à un débat sur la féminisation des mots, à laquelle l'Académie française s'oppose avec la dernière énergie. Fidèle à ses positions, le romancier a repoussé les "féminisations absurdes" comme celles proposées au Québec, où, sous l'influence des "ligues féminines des Etats-Unis", on a revendiqué "d'être féminisé à tout va".

Intervenant dans le débat depuis Québec, Pierrette Vachon-L'Heureux, linguiste de l'Office de la langue française, s'est amusée de l'analyse "très sympathique" de Maurice Druon, mais a souligné qu'elle "correspondait peu" à la réalité.

"La féminisation est un problème sociolinguistique. C'est la société qui la demande", a-t-elle expliqué, avant de rappeler comment le Québec a commencé à répondre à cette attente dès 1979, en encourageant l'utilisation du mot "agente", réservé jusque-là à l'espionne Mata Hari.

Maurice Druon a répondu à sa "charmante interlocutrice canadienne" en imitant l'accent québécois: "Soyons pas niaiseux. Il faut pas m'achaler là-dessus".

"Ce n'est pas au Québec que j'irai prendre des leçons de langue française ", a-t-il dit, après avoir fait remarquer que c'est l'Académie française (et non l'OLF) qui est "chargée de donner des règles à la langue".

"Que les Québécoise fassent ce qu'ils veulent, mais nous sommes chargés de garder la correction de la langue française, a ajouté l'académicien. (à) Nous n'acceptons pas d'atteintes à la grammaire. Nous n'acceptons pas que de mettre un 'e' au bout des mots, comme 'professeure' ou 'recteure', soit du bon français."

Auteur d'une oeuvre importante, bien connu des lecteurs du quotidien conservateur Le Figaro, Maurice Druon siège au Quai Conti depuis 1966. Il a cédé son poste de secrétaire perpétuel à Hélène Carrère d'Encausse il y a quelques années.

Publié le 2006-01-15

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Les Parisiens aussi ont un parler pittoresque!

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Les Parisiens aussi ont un parler pittoresque!

Il n'y a pas que eux, il y a aussi les marseillais, les alpins, les gascons, les toulousains, ...

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Comme dirait Desproges : Maurice Druon est-il un con ?

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Les Parisiens aussi ont un parler pittoresque!

oui mais un parlé qui a évolué,l'etre humain est là pour evoluer........

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Ce Maurice Druon nous hante depuis longtemps. Il a beau se cacher derrière l'argument de la qualité de la langue, son obsession face à la féminisation des mots est telle qu'on est droit de se demander s'il n'est pas plutôt un gros macho paternaliste. Quand on bute sur les mots maireSSE, présidentE, directRICE, en arguant que cela veut dire "la femme de", je me dit qu'il mériterait un bon coup de pied dans les parties. Désolée, mais ce genre de discours rétrograde me fait suer... :biohazar:

En 1998, donc il y a 8 ans, notre ministre de la Culture de l'époque -UNE ministre- lui avait répondu dans une lettre ouverte:

La Presse, 24 janvier 1998

La langue française doit être moderne et innovatrice

La langue française doit permettre d'exprimer l'évolution de la société, donc l'arrivée massive des femmes dans des fonctions autrefois occupées exclusivement par des hommes.

Louise Beaudoin

La ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Charte de la langue française, Louise Beaudoin, réagit ici à la lettre qu'a envoyée le secrétaire perpétuel de l'Académie française au président de la République française.

Lorsqu'à la fin de 1983, René Lévesque m'a confié la direction de la délégation générale du Québec à Paris, j'ai voulu, très naturellement, que mon titre reflète à la fois ma fonction et le fait que cette fonction était assumée par une femme. Je suis donc devenue la déléguée générale du Québec à Paris.

Au Québec, ce choix a été jugé normal et comme allant de soi ; en France, il a provoqué une minirévolution diplomatique au point que, des années plus tard, au moment de me décerner la Légion d'honneur, Laurent Fabius, alors premier ministre, a préféré utiliser la désignation masculine de ma fonction tout en s'excusant de son conservatisme vieille garde.

Il semble bien que la vieille garde jouisse toujours d'une certaine audience en France si j'en juge par la tempête médiatique qu'a provoquée la dernière sortie de l'Académie française, du moins de son secrétaire perpétuel, monsieur Maurice Druon, contre quatre audacieux ministres (au masculin, tel que voudraient l'imposer les immortels) qui osent afficher le fait qu'elles sont des femmes et qui voudraient bien être quatre malheureuses ministres, en dépit de l'Académie.

Au passage, monsieur Druon écorche les Québécoises qui s'affublent (!) de titres au féminin. Elles seraient, d'après lui, au mieux des naïves (première diatribe de juillet 1997), au pire les victimes d'influences démagogiques (texte actuel), dont monsieur Druon ne précise pas l'origine, sans doute de fallacieux discours féministes venus d'ailleurs et dangereux pour la culture française telle que monsieur Druon la conçoit.

J'assume aujourd'hui la responsabilité de la politique linguistique québécoise en qualité de ministre responsable de la Charte de la langue française. Les allusions paternalistes de monsieur Druon aux femmes québécoises sont l'occasion pour moi, ministre (au féminin) directement visée, d'expliquer pourquoi les Québécoises et les Québécois sont, en très grande majorité, favorables à la féminisation des titres de fonction. Il ne faut tout de même pas penser ou laisser croire qu'il s'agit là d'un caprice, d'une fantaisie.

Au Québec, on estime qu'il est légitime qu'une femme qui occupe une fonction veuille porter un titre au féminin. Pour au moins deux raisons. La participation des femmes à l'activité sociale, dans tous les domaines et dans toutes les fonctions, devient ainsi visible et ne disparaît pas derrière un lexique le plus souvent au masculin, surtout lorsqu'il s'agit de postes prestigieux (monsieur Druon accepte pres- que à regret qu'il y ait des épicières et des boulangères, mais n'accepte pas qu'il y ait des ambassadrices ou des ministres au féminin). D'autre part, du point de vue de la langue, qu'une femme porte un titre au féminin permet d'assurer la cohérence du discours lorsqu'elle parle d'elle-même et de sa fonction. Au sujet d'une femme ministre, faudrait-il écrire : "Le ministre s'est déclaré heureux de la rencontre", accord grammatical correct, mais incongruité par rapport au réel. Puis, qu'en sera-t-il lorsque "le" ministre accouchera?

La féminisation des titres de fonction est un phénomène social avant d'être un phénomène linguistique. L'intégration des femmes dans l'activité sociale provoque une évolution lexicale et grammaticale de la langue française au Québec. De toute évidence, il en sera de même en France lorsque plus de femmes françaises choisiront de passer outre au conservatisme linguistique actuel.

Si, traditionnellement, le titre de fonction n'existe qu'au masculin, pour trouver la forme féminine correspondante, il y a nécessairement innovation lexicale (le fameux auteure) ou grammaticale (mettre ministre au féminin). L'innovation est d'abord le fait d'une ou de plusieurs personnes qui en prennent l'initiative et le risque. Par exemple, Lise Payette qui, la première, en 1976, choisit d'être "la" ministre, puis, aujourd'hui en France quatre ministres qui prennent la même décision.

Les spécialistes de la langue, et c'est la position de l'Office de la langue française au Québec, ont pour fonction de décrire et de faire connaître les mécanismes dont dispose la langue pour trouver l'équivalent féminin d'un substantif masculin. De toute manière, si le mouvement social est profond, l'innovation lexicale aura lieu. Il vaut donc mieux la guider que la contrecarrer. L'innovation se produit quand elle est nécessaire : les exemples du type estafette ou vigie, s'ils semblent évidents et drôles, sont cependant complètement en porte-à-faux : personne ne réclame, en principe et d'une manière globale, la féminisation systématique des substantifs désignant des fonctions.

Enfin, toute langue comporte ses propres mécanismes de sélection. Au fil du temps et des emplois, la langue intègre les innovations qui ont eu du succès et laisse dans l'oubli les autres. Il faut donc laisser au temps le temps d'agir et faire confiance au jugement des usagers de la langue.

La langue française doit être vivante. Elle doit permettre d'exprimer l'évolution de la société, donc l'arrivée massive des femmes dans des fonctions autrefois occupées exclusivement par des hommes. Elle doit aussi accompagner l'explosion des connaissances et la prolifération des nouveautés technologiques par une pratique audacieuse de la néologie plutôt que par le recours paresseux et démissionnaire à l'emprunt au lexique de l'anglo-américain. Il y a là des tâches où l'autorité morale de l'Académie serait mieux utilisée que de la mettre au service d'un combat d'arrière-garde pour sauvegarder des usages d'une époque révolue.

Voilà la grande idée qui anime la politique linguistique du Québec : la langue française doit être moderne et innovatrice. Face au travail colossal de maintenir à flot la langue française en regard de la langue anglaise omniprésente, les Québécoises et les Québécois voudraient que les Françaises et les Français adhérent au même objectif et soient un soutien puissant à notre propre action.

Source: http://www.afscv.org/misc/moderne.htm

Tiens toé! :niark3: :P

Posté(e)

Ce Maurice Druon nous hante depuis longtemps. Il a beau se cacher derrière l'argument de la qualité de la langue, son obsession face à la féminisation des mots est telle qu'on est droit de se demander s'il n'est pas plutôt un gros macho paternaliste. Quand on bute sur les mots maireSSE, présidentE, directRICE, en arguant que cela veut dire "la femme de", je me dit qu'il mériterait un bon coup de pied dans les parties. Désolée, mais ce genre de discours rétrograde me fait suer... :biohazar:

+1, ça ne me gêne absolument pas que certains mots soient féminisés, au contraire cela peut aider à une meilleure compréhension.

  • Habitués
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Perso j'ai été d'abord surprise de certaines féminisations puis séduite. Reste que certaines choquent encore mon oreille, mais dans l'ensemble (professeurE, auteurE) elles sont parfaitement compréhensibles et légitimes...

De toute façon ce Druon est bien à l'image de l'Académie: galvaudé!

  • Habitués
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Moi ce qui me choque, c'est lorsqu'il parle de la langue française comme "pure"; "sûre" et "exacte" (sic)

Non mais quel ramassis de conneries, de présomptions et surtout de préjugés !!!!

C'est vraiment du n'importe quoi!

Aucun linguiste et sociolinguiste ne peut accepter cette définition complètement naïve et utopique d'une langue!

En gros le monsieur il veut que la langue française ne bouge pas, reste figée, que dis-je! Engluée dans son histoire jusqu'à ce qu'elle ne réflète plus les gens la parlant (d'ici quelques générations sans doute) !

Lorsqu'on voit qu'au niveau mondial le français a un net recul sur l'anglais, c'est ainsi, avec de tels arguments que l'on espère attirer les gens à apprendre le français partout à travers le monde? Ben le recul qu'on ne vienne pas se demander d'où il vient lorsqu'on nous sort de vieilles ratouilles dans ce genre-là! Grrrrr!

Bordel mais quand est-ce que les français vont cesser de regarder, d'admirer et d'en revenir toujours à leur histoire et décider d'être un peu plus dans le présent et regarder vers le futur?

  • Habitués
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Moi ce qui me choque, c'est lorsqu'il parle de la langue française comme "pure"; "sûre" et "exacte" (sic)

Non mais quel ramassis de conneries, de présomptions et surtout de préjugés !!!!

C'est vraiment du n'importe quoi!

Aucun linguiste et sociolinguiste ne peut accepter cette définition complètement naïve et utopique d'une langue!

En gros le monsieur il veut que la langue française ne bouge pas, reste figée, que dis-je! Engluée dans son histoire jusqu'à ce qu'elle ne réflète plus les gens la parlant (d'ici quelques générations sans doute) !

Lorsqu'on voit qu'au niveau mondial le français a un net recul sur l'anglais, c'est ainsi, avec de tels arguments que l'on espère attirer les gens à apprendre le français partout à travers le monde? Ben le recul qu'on ne vienne pas se demander d'où il vient lorsqu'on nous sort de vieilles ratouilles dans ce genre-là! Grrrrr!

Bordel mais quand est-ce que les français vont cesser de regarder, d'admirer et d'en revenir toujours à leur histoire et décider d'être un peu plus dans le présent et regarder vers le futur?

calmos ,druon ne représente pas la france il ne représente que lui même et une frange de viellards débiles et séniles de l'accadémie française.

  • Habitués
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Ce vieux monsieur défend peut etre sa seule "raison de vivre"... Sa manière de la défendre est d'ailleurs assez comique, avec des "non" catégorique sans concession on n'a jamais optenu l'adhésiion de qui que ce soit...

Bon en orthographe peut etre, mais nul en diplomatie :closedeyes:

  • Habitués
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calmos ,druon ne représente pas la france il ne représente que lui même et une frange de viellards débiles et séniles de l'accadémie française.

Oui ça c'est sûr!

Sauf que combien de fois m'ai-je fait répéter ce genre de conneries pendant 6 ans (pas par un académicien rétrograde mais par M. et Mme Tout-le-monde au travail; dans la rue; à l'université; les amis; les connaissances...) ????

Trop souvent à mon goût (et à ceux de plusieurs québécois croisés dans l'Hexagone) pour que cela ne soit pas une certaine "culture" du français de la France qui parle BIEN et BON et du Québécois qui parle "pittoresque" et j'en passe des vertes et des pas mûres! :glare: Si y'en a qui se souviennent ici d'un certain "comte" et de son blog - qui fort heureusement n'existe plus maintenant-, ils sauront de quoi je parle!

Et si la France voulait bien ne pas s'élever en UNIQUE gardienne farouche et rétrograde de la langue française, ben s'cusez-moi pardon mais les postes de de renom comme Misnistre seraient féminisés depuis belle lurette ! :closedeyes: Et j'imagine que ces gens-là se félicitent d'avoir un jour accepté de féminiser bouchère ou caissière et que nous devriions nous en contenter! :glare:

Sur ce...

  • Habitués
Posté(e)

Le Français aux francophones!!! Aux armes, locuteurs!!!!!

  • Habitués
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Salut,

Qu'on laisse " ce gardien intransigeant d'une langue "pure" seul avec lui même, il sera tellement sûr de lui qu'il finira seul avec une langue morte...

C'est ce genre de personnage qui autrefois bannissait le rire...

  • Habitués
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J'ai beaucoup de respect pour ce génial auteur... Druon a une culture incroyable et je serai tellement heureux de n'avoir, ne serait-ce qu'un dixième de ses connaissances...

... mais...

Les génies ont parfois leurs moments de folies... et pour ce qui est de la défense de la langue, il débloque totalement !!!

Comme si la langue appartenait aux Français ! Voyons donc ! ...

  • Habitués
Posté(e)

Ce Maurice Druon nous hante depuis longtemps. Il a beau se cacher derrière l'argument de la qualité de la langue, son obsession face à la féminisation des mots est telle qu'on est droit de se demander s'il n'est pas plutôt un gros macho paternaliste. Quand on bute sur les mots maireSSE, présidentE, directRICE, en arguant que cela veut dire "la femme de", je me dit qu'il mériterait un bon coup de pied dans les parties. Désolée, mais ce genre de discours rétrograde me fait suer... :biohazar:

+1, ça ne me gêne absolument pas que certains mots soient féminisés, au contraire cela peut aider à une meilleure compréhension.

Bonsoir,

Personnellement, ce qui me gène c'est le débat en lui-même.

Les feministes y voient une victoire, je pense que c'est juste un os a ronger (désolé pour le terme)

Je m'explique, la féminisation des mots est présentée comme une avancée mais c'est surtout - si j'ai bonne mémoire - le seul pas vers l'égalité des sexes qu'a opéré le gouvernement qui en est à l'initiative (1997 je crois).

Une mesure qui ne coûte pas cher et qui ne sert pas a grand-chose, je le crains, sinon a en contenter quelques un(e)s et a en ridiculiser beaucoup : Ce n'est pas parce qu'on peut dire "mairesse" (désolé je continue a trouver ça très laid !) qu'il y en a une plus grande proportion.

J'estime que le jour ou une vraie égalité de salaire et de traitement existera indépendamment du sexe, on pourra après chicaner sur les E en fins de mots.

D'ici là, y a peut-être plus important a revendiquer !

Mais bon, pour ce que j'en dit ... :glare:

Christophe

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Ici la féminisation des noms de professions est tellement normale que ce n'est plus un débat. On dit "madame la juge", "la policière", "la professeure", "la directrice générale", etc., sans même y réfléchir.

Donc taxer cela de "féministe" est en quelque sorte archaïque.

Bref, la langue a changé et tout cela est passé à l'usage; ces mots ne transportent plus de sens militant.

Modifié par Zogu
  • Habitués
Posté(e)

Ici la féminisation des noms de professions est tellement normale que ce n'est plus un débat. On dit "madame la juge", "la policière", "la professeure", "la directrice générale", etc., sans même y réfléchir.

Donc taxer cela de "féministe" est en quelque sorte archaïque.

Bref, la langue a changé et tout cela est passé à l'usage; ces mots ne transportent plus de sens militant.

Tout à fait !

Par contre, il y a des choses qui me dérangent parfois... exemple : j'ai lu quelque part qu'on parlait d'auditeure... Auditeure alors qu'il existe auditrice ? Bizarre ! ... Dire docteure, alors qu'il y a doctoresse. Mais bon, je ne suis pas pour l'orthodoxie du langage... alors je trouve juste cela bizarre... mais pas choquant par exemple ! ;)

  • Habitués
Posté(e)

Pour certains mots, il peut exister deux manières correctes de féminiser. Parfois, les deux formes ne se sont pas encore fixées et sont utilisées en concurrence; l'OLF va observer l'usage et trancher... éventuellement.

  • Habitués
Posté(e)

Druon...Druon... c'était aussi le grand admirateur de Hassan II du Maroc, non ? Bref plus réactionnaire que ça tu meurs...pourquoi s'énerver le poil de jambes pour une momie ?

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