Choc culturel meme apres 6 ans

[Lisa Mfrenchie]

Bonjour ,

Je travail pour la meme compagnie depuis un peu plus de  5 ans , et je suis arrivee au quebec il y a bientot 6 ans...je me suis beaucoup attache a mon travail , un peu comme a une famille , ma premiere base , tres perfectioniste , je veux toujours etre mieux aller plus loin .

J'ai mis du temps , mais j ai evolue a force d archanement....

Et parce que lors d une rencontre avec mon boss, j ai eu le malheur d essayer d'expliquer mon point de vue , j'ai quasi tout perdu , comme un enfant j'ai ete punit....me reste deux choix aujourd hui soit j y retourne et j assume le fait d avoir voulu m expliquer , soit je demissione ....

Je vous avouerai que je suis un peu perdue , je pensais ( tout comme en france) que d etre un monton n etait pas toujours bon ....

[Invité jo19963]

Pourquoi démissionner immédiatement...?  Cherches-toi un autre travail tout en restant "sous le radar" là où tu es...Tu n'as rien à gagner à démissionner sans avoir un autre emploi ...  Si, d'ici là, une occasion t'es offerte pour rectifier... fais-le, puisque tu veux surement de bonnes références de cet employeur même si a cohabitation ne semble plus une possibilité pour toi... (Mais attend qu'on te l'offre ou que tu sentes que l'occasion s'y prête a 100%.). 

PS: tout le monde fait une gaffe un jour ou l'autre dans son travail... T'es pas la première, ni la dernière.

Modifié 1 mai 2016 par jo19963

[kuroczyd]

Je ne comprends pas pourquoi tu as été punie?

Réflexion perso après plus de 20 ans d expériences professionnelles dans diverses entreprises : est ce que c est la bonne approche que de 's attacher à son boulot comme à une famille' ?

[trefle]

il y a 3 minutes, kuroczyd a dit :

Je ne comprends pas pourquoi tu as été punie?

Réflexion perso après plus de 20 ans d expériences professionnelles dans diverses entreprises : est ce que c est la bonne approche que de 's attacher à son boulot comme à une famille' ?

 

Je pense que c'est le "propre" du travailleur que de s'attacher à son travail comme à une famille. Son emploi : on y passe les 3/4 de notre 24 h et très, très peu de temps avec notre propre famille. 

Durant l'entrevue d'embauche déjà le candidat se décrit comme une personne "indispensable" prête à "tout" pour le poste, etc.

On est presque "obligé" de développer cette appartenance.

[kuroczyd]

 

Je pense que c'est le "propre" du travailleur que de s'attacher à son travail comme à une famille. Son emploi : on y passe les 3/4 de notre 24 h et très, très peu de temps avec notre propre famille. 

Durant l'entrevue d'embauche déjà le candidat se décrit comme une personne "indispensable" prête à "tout" pour le poste, etc.

On est presque "obligé" de développer cette appartenance.

Je ne partage pas du tout cette vue. Perso, je m attache aussi énormément à ce que je fais y y passe une grande partie de ma journée mais je ne considère pas mon boulot comme ma famille. Ni ici, ni en France. En France c est vrai qu il existe encore des notions de paternalisme au travail dans certaines boîtes mais c est vraiment dépassé.

[Kamouraskois]

il y a 52 minutes, Lisa Mfrenchie a dit :

Bonjour ,

Je travail pour la meme compagnie depuis un peu plus de  5 ans , et je suis arrivee au quebec il y a bientot 6 ans...je me suis beaucoup attache a mon travail , un peu comme a une famille , ma premiere base , tres perfectioniste , je veux toujours etre mieux aller plus loin .

J'ai mis du temps , mais j ai evolue a force d archanement....

Et parce que lors d une rencontre avec mon boss, j ai eu le malheur d essayer d'expliquer mon point de vue , j'ai quasi tout perdu , comme un enfant j'ai ete punit....me reste deux choix aujourd hui soit j y retourne et j assume le fait d avoir voulu m expliquer , soit je demissione ....

Je vous avouerai que je suis un peu perdue , je pensais ( tout comme en france) que d etre un monton n etait pas toujours bon ....

 

Tu es en Amérique et ne cède surtout pas a ce chantage!! (celui de devoir RECONQUÉRIR l'estime, la reconnaissance perdu ou je ne sais pas quelles autres privilèges. C'est le boulevard assuré vers le Burn-out ou la dépression!

 

Si ton entreprise n'avait plus ou n'a pas besoin de toi elle se serait défaite de toi en un quart d'heure. Je vois encore des cas de licenciement spectaculaires ou je travaille. Des employées qui ont 4 a 5 ans d’expérience . d'autres qui ont vécu la traversée du désert avec l'entreprise (avant la croissance flamboyante de ces 2 dernières années) et il arrive un matin on le fait partir avant qu'il ait eu le temps de défaire sa boite a lunch.

 

Si ça se trouve tu es simplement rendu a l'étape de ta vie ou tu n as plus la patience de faire l'âne pour avoir la carotte, tu as perdu la patience et l hypocrisie nécessaire a la survie et la promotion dans une entreprise ou sous l’autorité de tel ou tel autre génie. Simplement tu n arrives plus a rire faux sur des blagues qui ne t'amusent pas.

 

Est ce le moment d envisager une aventure entrepreneuriale (penses s'y! au fond de toi il ya sans doute un truc que tu as toujours voulu faire) ou alors une réorientation professionnelle...va apprendre un truc nouveaux qui te donnera un peu plus d autonomie et une jeunesse professionnelle.

 

Personnellement je suis rendu la...

 

et je connais pas mal de personnes immigrantes qui se sont lancées après avoir atteint cette saturation la (franchise subway ou double - pizza, assurance dommage, vente de produit financiers auprès des compagnies d'assurance, agent hypothécaire après quelques mois de formation sous une bannière etc.......) en claquant la porte a de très bon postes et dans de belle entreprises d'ici. 

 

Dépendamment du stade de maturité de leurs projets je peux te dire que au Quebec/Canada si tu met l'effort et la discipline qu'il faut ..Ça marche!

 

Tant que tu as la sante et la volonté tu auras un millions d'options qui s'offrent a toi.

 

La seule difficulté c'est de commencer

 

Ce genre d'article me fait sacrée chaque fois que je me lève pour aller au boulot depuis kelke temps!!!

http://www.journaldemontreal.com/2016/04/30/dimmigrant-fauche-a-millionnaire

 

 

 

 

 

 

 

Modifié 1 mai 2016 par Kamourask

[Cherrybee]

il y a une heure, Lisa Mfrenchie a dit :

Bonjour ,

Je travail pour la meme compagnie depuis un peu plus de  5 ans , et je suis arrivee au quebec il y a bientot 6 ans...je me suis beaucoup attache a mon travail , un peu comme a une famille , ma premiere base , tres perfectioniste , je veux toujours etre mieux aller plus loin .

J'ai mis du temps , mais j ai evolue a force d archanement....

Et parce que lors d une rencontre avec mon boss, j ai eu le malheur d essayer d'expliquer mon point de vue , j'ai quasi tout perdu , comme un enfant j'ai ete punit....me reste deux choix aujourd hui soit j y retourne et j assume le fait d avoir voulu m expliquer , soit je demissione ....

Je vous avouerai que je suis un peu perdue , je pensais ( tout comme en france) que d etre un monton n etait pas toujours bon ....

 

Je comprends ce que vous voulez dire. J'ai aussi vécu ce choc culturel dans le travail. Comme je suis une personne souple, j'ai commencé par me taire mais j'ai également cherché à comprendre comment ce milieu fonctionnait. Et j'ai la chance d'avoir un directeur avec qui je peux jaser de tout et de rien, ( et très souvent des différences culturelles et problématiques d'immigrants) et oui, c'est vrai. On peut finir par faire valoir son opinion et ne pas être mouton, mais il y a la façon de l'exprimer. Et parfois, ça peut prendre pas mal de temps avant que les idées soit considérées et acceptées. 

[PaulSernine]

Il y a 1 heure, Lisa Mfrenchie a dit :

Bonjour ,

Je travail pour la meme compagnie depuis un peu plus de  5 ans , et je suis arrivee au quebec il y a bientot 6 ans...je me suis beaucoup attache a mon travail , un peu comme a une famille , ma premiere base , tres perfectioniste , je veux toujours etre mieux aller plus loin .

J'ai mis du temps , mais j ai evolue a force d archanement....

Et parce que lors d une rencontre avec mon boss, j ai eu le malheur d essayer d'expliquer mon point de vue , j'ai quasi tout perdu , comme un enfant j'ai ete punit....me reste deux choix aujourd hui soit j y retourne et j assume le fait d avoir voulu m expliquer , soit je demissione ....

Je vous avouerai que je suis un peu perdue , je pensais ( tout comme en france) que d etre un monton n etait pas toujours bon ....

Tu sera toujours plus interessante sur le marché de l'emploi si tu as DEJA un travail.

Ca te met en valeurs dans la masse. Ca implique que tu chercher mieux, pas n'importe quoi (et risque de partir vite).

En plus ca ne laisse aucun trou sur ton CV. C'est toujours mieux.

[veniziano]

Ne démissionne pas maintenant et puis il est demandé de maitriser l'art de mettre parfois son orgueil au placard face à certaines situations de la vie comme celle-ci afin de mieux gérer la chose, repartir sur de bonnes rails, gagner à la fin et ne surtout pas tout perdre. Maintenant si vraiment tu sens que la cohabitation n'étant plus possible avec ce boss et ses manières de faire, je te conseille de chercher autre chose et de rester toujours sur le marché de l'emploi car comme ça été dit en haut, ta valeur est mieux cotée lorsque tu recherches un nouveau poste tout en étant toujours en exercice, de plus ne pas laisser un trou dans le CV et ainsi dans ton budget.

 

J'oublierai jamais l'attitude de l'un de mes superviseurs qui se sont succédés dans mon entreprise et comment ils souriait tout en étant au top côté conseils et orientations qui nous donnait et en ayant les yeux plein d’enthousiasme et de volonté, laissant présager qu'il était là pour l'éternité avec la compagnie mais voila que l'on était étonné en rentrant le lendemain qu'il avait déposé sa démission à la fin de cette journée. Bref, il est arrivé propre, a fait un bon travail et parti propre, bref une personne qui a super bien compris le système.

Modifié 1 mai 2016 par veniziano

[Cherrybee]

il y a 25 minutes, veniziano a dit :

et puis il est demandé de maitriser l'art de mettre parfois son orgueil au placard face à certaines situations de la vie

 

Ben en fait, c'est pas une question d'orgueil. L'orgueil est un défaut et même si certains puissants le sont (orgueilleux), ce n'est pas cela qui fait qu'on les aime. Au contraire. Moi je dirais plus fierté ou quant à soi. 

 

Et oui, une des particularités de l'Amérique du nord, c'est qu'on ne mélange pas le travail et la vie privée. On peut aimer son travail, y être attaché, mais il ne faut pas non plus le considérer comme sa famille. Sinon, on se perd. 

[Invité]

Il y a 8 heures, Lisa Mfrenchie a dit :

Bonjour ,

Je travail pour la meme compagnie depuis un peu plus de  5 ans , et je suis arrivee au quebec il y a bientot 6 ans...je me suis beaucoup attache a mon travail , un peu comme a une famille , ma premiere base , tres perfectioniste , je veux toujours etre mieux aller plus loin .

J'ai mis du temps , mais j ai evolue a force d archanement....

Et parce que lors d une rencontre avec mon boss, j ai eu le malheur d essayer d'expliquer mon point de vue , j'ai quasi tout perdu , comme un enfant j'ai ete punit....me reste deux choix aujourd hui soit j y retourne et j assume le fait d avoir voulu m expliquer , soit je demissione ....

Je vous avouerai que je suis un peu perdue , je pensais ( tout comme en france) que d etre un monton n etait pas toujours bon ....

Et parce que lors d une rencontre avec mon boss, j ai eu le malheur d essayer d'expliquer mon point de vue , ...

>>> Tout est dans l'art et la manière de donner son point de vue.

[Invité]

Il y a 7 heures, Ivy Bijou a dit :

Et parce que lors d une rencontre avec mon boss, j ai eu le malheur d essayer d'expliquer mon point de vue , ...

>>> Tout est dans l'art et la manière de donner son point de vue.

 

Ou dans l'art et la manière dont l'autre est capable d'entendre ton point de vue. La responsabilité est des deux côtés.

[kuroczyd]

 

Ou dans l'art et la manière dont l'autre est capable d'entendre ton point de vue. La responsabilité est des deux côtés.

Sauf que l un est celui qui donne le boulot à l autre...

[crazy_marty]

Il y a 21 heures, trefle a dit :

 

Je pense que c'est le "propre" du travailleur que de s'attacher à son travail comme à une famille. Son emploi : on y passe les 3/4 de notre 24 h et très, très peu de temps avec notre propre famille. 

Durant l'entrevue d'embauche déjà le candidat se décrit comme une personne "indispensable" prête à "tout" pour le poste, etc.

On est presque "obligé" de développer cette appartenance.

 

Ben dis-donc tu travailles beaucoup toi  loin d'y passer les 3/4 de ma journée, 9 à 5 ça me suffit moi, pas besoin d'y rester plus longtemps  

 

Ceci dit tu as raison, c'est le propre à beaucoup de se sentir attacher à sa job comme à une famille: on s'amuse avec les collègues, on rit avec eux, des fois même on sort avec eux et on essaye de devenir amis avec eux. Le fait que le management est plus flexible et relax aide pas non plus à comprendre qu'il existe pourtant toujours une frontière entre la job et l'extérieur.

 

Après, il faut toujours éviter de démissionner avant d'avoir trouver autre chose. Le jour où tu as autre chose, rien ne te retiendra. 

 

On peut dire ce qu'on pense, mais il y a plusieurs façons de l'approcher. Arrondir les angles, tout en faisant passer son message, c'est pas le plus facile, mais il faut savoir le faire. 

[Azarielle]

il y a 32 minutes, crazy_marty a dit :

 

Ben dis-donc tu travailles beaucoup toi  loin d'y passer les 3/4 de ma journée, 9 à 5 ça me suffit moi, pas besoin d'y rester plus longtemps  

 

 

 

J'ai aussi fait le saut avec le 3/4 du 24 heures, c'est quand même 18 heures.

Ça supposerait qu'il resterait 6 heures pour se laver, dormir, etc. À ce rythme-là, je «pète au frette» dans les semaines qui suivent. 

 

 

[Azarielle]

Il y a 22 heures, Lisa Mfrenchie a dit :

 

Et parce que lors d une rencontre avec mon boss, j ai eu le malheur d essayer d'expliquer mon point de vue , j'ai quasi tout perdu , comme un enfant j'ai ete punit....me reste deux choix aujourd hui soit j y retourne et j assume le fait d avoir voulu m expliquer , soit je demissione ....

 

 

Vous avez été punie, dites-vous. 

 

Comment? On vous ne parle plus? On ne vous confie plus de mandat intéressant? On vous a refusé une augmentation de salaire ou les dates de vacances que vous souhaitiez? Autrement dit, comment se manifeste cette punition? Est-elle si invivable pour vous que vous allez à ce boulot à reculons tous les jours ou est-ce l'orgueil qui en a pris un coup? Les réponses, vous n'avez pas à me les donner, vous devez vous les poser à vous et y répondre franchement.

 

Comme d'autres, je vous dirais de ne pas démissionner sur un coup de tête. Si l'employeur vous en voulait beaucoup, vous seriez déjà au chômage. Si vous êtes malheureuse au boulot, rien ne vous empêche de regarder les offres d'emploi qui sont sur le marché. Et si vous trouvez quelques chose, vous pourrez démissionner. Mais gardez en tête que l'herbe n'est pas toujours plus verte ailleurs. C'est pour ça que vous devez vous poser les vraies questions sur cette punition que vous dites avoir. 

 

Et peut-être avez-vous besoin d'une petite pause, de vacances, pour prendre du recul et ne pas prendre une décision que vous pourriez regretter par la suite. Si votre employeur a mal encaissé ce que vous avez dit, mais que c'était vrai et qu'il est conscient que vous faites du bon travail. La poussière finira par retomber. Bonne réflexion!

[Kamouraskois]

Il est certes bien de trouver un autre emploi avant de démissionner mais si tu as de l'expérience (4 a 5 ans me semblent respectables), des réalisations a vendre et un background académique adéquat tu peux toujours prendre du temps pour te chercher un autre emplois.

 

La recherche d'un autre emploi suppose de trouver du temps pour prendre part aux entrevues et autres test de recrutement. Etant en emploi tu seras obligé de t'absenter assez souvent pour prendre part a tout ça avec le risque de ternir ta sortie et éventuellement les références dont tu auras besoin pour le prochain emplois et la suite de ta carrière. 

 

Donc démissionner et faire un break avant de chercher un autre emploi n'est absolument pas une mauvaise idée en fonction de ton domaine et des qualifications que tu as a vendre.

 

Plus important si ta situation financière te le permet.

 

Je sais que pour beaucoup de travailleurs les virements automatiques pour effectuer divers paiements avalent souvent une très grosse portion du salaire ... faut qu'il y ai toujours quelques choses pour approvisionner le compte.

 

Ta décision dépendra donc de ta situation. 

 

 

 

Modifié 2 mai 2016 par Kamourask

[Invité]

Il y a 7 heures, kuroczyd a dit :

Sauf que l un est celui qui donne le boulot à l autre...

Rien est donné, c'est un marché offre et demande. 

[Mark-Beaubien]

Le 1/5/2016 at 10:30, Lisa Mfrenchie a dit :

Bonjour ,

Je travail pour la meme compagnie depuis un peu plus de  5 ans , et je suis arrivee au quebec il y a bientot 6 ans...je me suis beaucoup attache a mon travail , un peu comme a une famille , ma premiere base , tres perfectioniste , je veux toujours etre mieux aller plus loin .

J'ai mis du temps , mais j ai evolue a force d archanement....

Et parce que lors d une rencontre avec mon boss, j ai eu le malheur d essayer d'expliquer mon point de vue , j'ai quasi tout perdu , comme un enfant j'ai ete punit....me reste deux choix aujourd hui soit j y retourne et j assume le fait d avoir voulu m expliquer , soit je demissione ....

Je vous avouerai que je suis un peu perdue , je pensais ( tout comme en france) que d etre un monton n etait pas toujours bon ....

 

Et ?

 

Impossible de prendre position avec si peu d'éléments.

[Lefrancais]

Le 1/5/2016 at 17:15, Cherrybee a dit :

 

Ben en fait, c'est pas une question d'orgueil. L'orgueil est un défaut et même si certains puissants le sont (orgueilleux), ce n'est pas cela qui fait qu'on les aime. Au contraire. Moi je dirais plus fierté ou quant à soi. 

 

Et oui, une des particularités de l'Amérique du nord, c'est qu'on ne mélange pas le travail et la vie privée. On peut aimer son travail, y être attaché, mais il ne faut pas non plus le considérer comme sa famille. Sinon, on se perd. 

 

Oui on est en Amérique du nord et pour comprendre une des particularités cognitives de la région donnez moi les traductions anglaise de orgueil et fierté ...