Habitués apache Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 Le Parisien Benjamin Sultan, 26 ans, a immigré au village manitobain Notre-Dame-de-Lourdes dans le cadre d’un programme de recrutement de main-d’œuvre spécialisée appelé Destination Canada.Crédit photo : ICI Radio-Canada Manitoba : Une immigration francophone difficile à garder en zones rurales Par Maryse Jobin | [email protected]mardi 25 août, 2015 , Aucun commentaire ↓ Succès mitigé pour une campagne de séduction en France et en Belgique qui a pour but de recruter de la main-d’œuvre spécialisée pour les communautés francophones rurales du Manitoba au centre du Canada. L’automne dernier, environ 11 travailleurs franco-européens et leurs familles ont été sélectionnés comme immigrants pour venir s’installer à Notre-Dame-de-Lourdes, un village francophone de 700 personnes situé à 130 kilomètres au sud-ouest de Winnipeg, la plus grande ville de cette province des Prairies canadiennes. Leurs candidatures ont été retenues dans le cadre du programme Destination Canada, un salon de l’emploi annuel organisé par les ambassades du Canada à Paris et à Bruxelles. La cohorte représente des personnes qualifiées qui n’arrivent pas à trouver un emploi dans leur pays et qui souhaitent rester au Canada à long terme. « La situation en France est un peu difficile en ce moment. Et j’avais surtout envie de voyager, de découvrir de nouveaux horizons », explique Benjamin Sultan, immigré et nouveau mécanicien au garage Boisvert à Notre-Dame de Lourdes. La Chambre de commerce de l’endroit espérait que l’initiative ferait d’une pierre deux coups : soit combler une pénurie criante de main-d’œuvre dans les domaines de l’automobile, du transport et de la construction, ainsi que raviver le caractère francophone du village. Cependant une dizaine de Français qui sont arrivés au début de l’été sont repartis quelques semaines plus tard. D’après les résidents du village, les immigrants s’intéressaient peu à la vie rurale des prairies canadiennes et ils se plaignaient des conditions de travail. Selon M. Sultan, l’adaptation peut parfois être problématique pour les Français. « [À Notre-Dame-de-Lourdes], c’est une dynamique assez différente de celle de la France et si on n’est pas prêt à faire de petits sacrifices au début, ça peut être un peu difficile », dit-il. D’autres comme Joël Lemoine, du Conseil de développement économique des municipalités bilingues du Manitoba (CDEM), soulèvent que les immigrants français sont plus exigeants en matière de conditions d’emploi. « [Les Français] cherchent des emplois, mais ils ne sont pas toujours prêts à venir ici et travailler pour un salaire inférieur à ce qu’ils touchaient dans leur pays… »— Joël Lemoine, conseiller du CDEM Dans son rapport annuel 2014-2015 déposé le 7 mai, le commissaire aux langues officielles du Canada, Graham Fraser, a fait de l’immigration francophone à l’extérieur du Québec une de ses priorités. Selon le commissaire, il faudrait augmenter le pourcentage d’immigrants francophones en milieu minoritaire de 2 % à 4 % d’ici dix ans afin de maintenir le poids démographique des francophones à travers le pays. RCI et Radio-Canada À lire aussi : Recrutement de travailleurs : Notre-Dame-de-Lourdes lorgne l’Europe http://www.rcinet.ca/fr/2015/08/25/manitoba-une-immigration-francophone-difficile-a-garder-en-zones-rurales/ LaBlondinette a réagi à ceci 1 Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 Édifiant comme retour : sur 11, 10 sont répartis... C est ça la réalité de l immigration française hors Québec Ils seront sûrement remplacés par d autres francophones. LaBlondinette a réagi à ceci 1 Citer
Samuel Alexis Posté(e) 26 août 2015 Posté(e) 26 août 2015 (modifié) Édifiant comme retour : sur 11, 10 sont répartis... C est ça la réalité de l immigration française hors Québec Ils seront sûrement remplacés par d autres francophones. Je nuancerai car l'article indique bien que la ruralité ou les régions n'attirent pas, il n'est pas du tout indiqué que Winnipeg fait fuir. Je retrouve les mêmes arguments que vis à vis des régions au Québec versus Montréal. Il est aussi probable que les candidats n'étaient pas adaptés (le droit à l'échec cela existe). Certains sont faits pour immigrer d'autres pour voyager. Et plus généralement sur l'immigration française dans le ROC, il y a des évolutions depuis de nombreuses années au point même où les compagnies augmentent soit la capacité de leurs vols ou leurs fréquences de/et vers Toronto et depuis bientôt 6 mois de/et vers Vancouver avec un vol direct qui va passer à un vol quotidien à l'année. L'ouverture à terme de vols directs France vers l'Alberta se profile (rattrapage de British airways, Lufthansa et KLM). Tout cela ne fait que conforter les données économiques Canada/France du gouvernement fédérale et pas seulement Québec/France). Modifié 26 août 2015 par Samuel Alexis Citer
Habitués jimmy Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 (modifié) Oui ils seront remplacés par d'autres francophones...qui vont se faire fourrer a leur tour Cet article m'a fait sourire.... Petite histoire familiale; mon ancêtre est arrivé en Nouvelle-France depuis la Normandie a la fin du 17ième siècle et s"est établi en Acadie, puis au Québec 200 ans plus tard la confédération canadienne est créer (1867) et de nouvelles provinces et de nouveaux territoires sont créer....dont le Manitoba Étant donné qu'il y a avait eu la conquète anglaise en 1759, ces nouveaux territoires et provinces se peuplaient surtout de colons anglophone....donc de religion protestante Cela dérangeait énormément le clergé catholique car cela voulait dire que le reste du Canada, hors Québec se peuplait uniquement de protestant (il faut savoir que les Anglos étaient de religion protestante et les Francos de religion catholique Donc le clergé catholique s'est mis a encourager''l'immigration'' de francophone vers le Manitoba. Ils facilitaient l'installation de francos la bas, dans certains cas ils leur donnaient des terres en concessions (il faut savoir qu'a l'époque ces terres ne valaient rien) enfin ils faisaient tout pour encourager cette immigration francophone dans les provinces de l'ouest canadien C'est ainsi que mes grand parents se sont fait rouler dans la farine et ont quitté le Québec alors qu'ils étaient dans la force de l'âge pour allé ''défricher'' ces terres de désolations infestés de moustiques et ayant des hivers encore plus rigoureux et débile qu'au Québec Cela leur a pris quand même une vingtaine d'années pour se rendre compte qu'ils s'étaient fait fourrer, que c'est un endroit non seulement nul a ch**r, mais déconnecté de tout, n'ayant a peu près aucune vie culturelle...et encore moins en francais Ils ont quand même eu des enfants la bas (mes parents) mais tout ce beau monde est revenu au Québec lorsqu'ils ont compris l'arnaque Évidemment aujourd'hui il n'y a pas un Québécois qui se ferait fourrer avec une immigration au Manitoba...donc ils vont recruter a l'étranger...chez des gens qui ne connaissent pas trop de quoi il s'agit Alors régulièrement je lis sur ce forum des gens, des immigrants francophones tout excités a l'idée d'avoir fait les procédures d'immigration au Manitoba...et cela me fait disons...sourire C'est encore aujourd'hui un endroit nul a ch**r...ayant une vie culturelle, surtout en francais a peu près inexistante, loin de tout sauf des rednecks américain du Dakota....et peuplé par la droite religieuse canadienne anglaise Pauvres vous Modifié 26 août 2015 par jimmy Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 Et plus généralement sur l'immigration française dans le ROC, il y a des évolutions depuis de nombreuses années au point même où les compagnies augmentent soit la capacité de leurs vols ou leurs fréquences de/et vers Toronto et depuis bientôt 6 mois de/et vers Vancouver avec un vol direct qui va passer à un vol quotidien à l'année. L'ouverture à terme de vols directs France vers l'Alberta se profile (rattrapage de British airways, Lufthansa et KLM). Tout cela ne fait que conforter les données économiques Canada/France du gouvernement fédérale et pas seulement Québec/France). Sauf que l augmentation de la capacité des vols ne signifie pas forcement une augmentation de l immigration (il n'y a qu a regarder les chiffres) mais simplement un plus grand nombre de voyageurs ... surtout touristes d'ailleurs... Citer
Habitués crazy_marty Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 Et plus généralement sur l'immigration française dans le ROC, il y a des évolutions depuis de nombreuses années au point même où les compagnies augmentent soit la capacité de leurs vols ou leurs fréquences de/et vers Toronto et depuis bientôt 6 mois de/et vers Vancouver avec un vol direct qui va passer à un vol quotidien à l'année. L'ouverture à terme de vols directs France vers l'Alberta se profile (rattrapage de British airways, Lufthansa et KLM). Tout cela ne fait que conforter les données économiques Canada/France du gouvernement fédérale et pas seulement Québec/France). Sauf que l augmentation de la capacité des vols ne signifie pas forcement une augmentation de l immigration (il n'y a qu a regarder les chiffres) mais simplement un plus grand nombre de voyageurs ... surtout touristes d'ailleurs... Oui mais ça inclut aussi, et beaucoup je pense, les touristes venant rendre visite à leur famille. Le fait que même Air Canada se mette à faire des vols direct depuis la province (Lyon), à l'année longue, montre aussi la tendance: plus tu as d'immigrants, plus tu as de leur famille qui va venir, etc... Evidemment, c'est Air France qui risque de se faire avoir à force de refuser les liens direct avec l'étranger à partir d'aéroports non parisiens. Citer
Habitués kobico Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 Rappelons que les francophones du Manitoba ont déjà, comme en Alberta et en Saskatchewan, constitué le groupe majoritaire lors de la création de cette province. Ils sont devenus très minoritaires depuis ce temps. Avec 3,5 % de la population de la province, la communauté francophone ne compte que 42 000 personnes, dont la moitié environ parle encore le français à la maison. Selon Statistique Canada (2001), 54,7 % des francophones du Manitoba parlaient l'anglais le plus souvent à la maison, en hausse par rapport à 52,9 % cinq ans plus tôt (1996). Néanmoins, parmi ceux-ci, près des deux cinquièmes (37,4 %) ont déclaré parler le français régulièrement à la maison. En 2011, quelque 84,4 % de la population parlait le plus souvent l'anglais seulement à la maison, 1,5 % parlait le français seulement et 10,5 % parlait une langue non officielle seulement. Au Manitoba, les francophones sont relativement concentrés. En effet, près des deux tiers des francophones vivent à Winnipeg, une ville de plus de 633 000 habitants, ce qui correspond à environ 30 000 individus sur un total de 42 000. Ils forment moins de 4 % des Winnipégois et habitent les quartiers historiquement francophones de Saint-Boniface, de Saint-Vital et de Saint-Norbert. Tous les autres quartiers (Fort Garry, Transcona, River East, Seven Oaks, Downtown, River Heights, etc.) sont anglophones. Trois Franco-Manitobains sur quatre sont nés au Manitoba. Les personnes nées ailleurs au Canada forment 16 % des effectifs. Un peu plus de 6 % des francophones de la province sont nés hors du pays. En 2007, le Manitoba a accueilli 334 immigrants capables de s’exprimer en français, ce qui représente une hausse de 27 % par rapport à 2006. Cette progression découle des initiatives de marketing et de recrutement menées en France, en Belgique et en Afrique. On s’attend à ce que l’immigration de personnes connaissant le français au Manitoba augmente jusqu’à atteindre 7 %. Le français parlé par les Franco-Manitobains ressemble à celui des Québécois, mais il s'en différencie aussi par son caractère encore plus archaïsant (au point de vue phonétique, morphologique et lexical) et ses nombreux emprunts à l'anglais. De plus, les jeunes pratiquent systématiquement l'alternance codique (code-switching) avec des interférences entre les deux langues. Cependant, la situation semble plus complexe dans la mesure où il existe une diversité linguistique entre le français parlé dans la ville de Saint-Boniface (Winnipeg) et celui parlé dans les régions rurales (La Rouge, La Seine et La Montagne). http://www.axl.cefan.ulaval.ca/amnord/manitoba.htm Citer
Habitués emma1068 Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 De là à remettre en cause le recrutement dans le ROC, il ne faut pas pousser quand même! Le Parisien... qui débarque dans une zone rurale du Manitoba... Mauvaise pioche. Ils devraient justement cibler les chambres de commerce régionales du monde rural... Citer
Habitués kobico Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 De là à remettre en cause le recrutement dans le ROC, il ne faut pas pousser quand même! Et pourquoi pas? les immigrants ont le droit de savoir que hors du Québec et de quelques régions limitrophes en Ontario et au NB, vivre en français au ROC est un parcours du combattant. jimmy a réagi à ceci 1 Citer
Habitués jimmy Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 ...et dont le taux d'assimilation a l'anglais est de 30% par génération Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 ...et dont le taux d'assimilation a l'anglais est de 30% par génération Oui mais peut être que pour ceux la ce n'est pas un problème... leur choix... Citer
Habitués resterzen Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 (modifié) Le Parisien Benjamin Sultan, 26 ans, a immigré au village manitobain Notre-Dame-de-Lourdes dans le cadre d’un programme de recrutement de main-d’œuvre spécialisée appelé Destination Canada.Crédit photo : ICI Radio-Canada Manitoba : Une immigration francophone difficile à garder en zones rurales Par Maryse Jobin | [email protected] mardi 25 août, 2015 , Aucun commentaire ↓ Succès mitigé pour une campagne de séduction en France et en Belgique qui a pour but de recruter de la main-d’œuvre spécialisée pour les communautés francophones rurales du Manitoba au centre du Canada. L’automne dernier, environ 11 travailleurs franco-européens et leurs familles ont été sélectionnés comme immigrants pour venir s’installer à Notre-Dame-de-Lourdes, un village francophone de 700 personnes situé à 130 kilomètres au sud-ouest de Winnipeg, la plus grande ville de cette province des Prairies canadiennes. Leurs candidatures ont été retenues dans le cadre du programme Destination Canada, un salon de l’emploi annuel organisé par les ambassades du Canada à Paris et à Bruxelles. La cohorte représente des personnes qualifiées qui n’arrivent pas à trouver un emploi dans leur pays et qui souhaitent rester au Canada à long terme. La Chambre de commerce de l’endroit espérait que l’initiative ferait d’une pierre deux coups : soit combler une pénurie criante de main-d’œuvre dans les domaines de l’automobile, du transport et de la construction, ainsi que raviver le caractère francophone du village. « La situation en France est un peu difficile en ce moment. Et j’avais surtout envie de voyager, de découvrir de nouveaux horizons », explique Benjamin Sultan, immigré et nouveau mécanicien au garage Boisvert à Notre-Dame de Lourdes. Cependant une dizaine de Français qui sont arrivés au début de l’été sont repartis quelques semaines plus tard. D’après les résidents du village, les immigrants s’intéressaient peu à la vie rurale des prairies canadiennes et ils se plaignaient des conditions de travail. Selon M. Sultan, l’adaptation peut parfois être problématique pour les Français. « [À Notre-Dame-de-Lourdes], c’est une dynamique assez différente de celle de la France et si on n’est pas prêt à faire de petits sacrifices au début, ça peut être un peu difficile », dit-il. D’autres comme Joël Lemoine, du Conseil de développement économique des municipalités bilingues du Manitoba (CDEM), soulèvent que les immigrants français sont plus exigeants en matière de conditions d’emploi. « [Les Français] cherchent des emplois, mais ils ne sont pas toujours prêts à venir ici et travailler pour un salaire inférieur à ce qu’ils touchaient dans leur pays… »— Joël Lemoine, conseiller du CDEM Dans son rapport annuel 2014-2015 déposé le 7 mai, le commissaire aux langues officielles du Canada, Graham Fraser, a fait de l’immigration francophone à l’extérieur du Québec une de ses priorités. Selon le commissaire, il faudrait augmenter le pourcentage d’immigrants francophones en milieu minoritaire de 2 % à 4 % d’ici dix ans afin de maintenir le poids démographique des francophones à travers le pays. RCI et Radio-Canada À lire aussi : Recrutement de travailleurs : Notre-Dame-de-Lourdes lorgne l’Europe http://www.rcinet.ca/fr/2015/08/25/manitoba-une-immigration-francophone-difficile-a-garder-en-zones-rurales/ Cet article vient valider ce que je dis sur ce forum... Contrairement à ce que certains peuvent prétendre, le Québec c'est pas l'enfer et le Canada anglais n'est aucunement le pays des Bisounours... Il y a plusieurs immigrants qui sont déçus et qui se plantent au Canada anglais aussi...c'est vrai pour le Manitoba, c'est vrai aussi pour les autres provinces anglophones. Bref il y a des immigrants qui échouent et il y a des immigrants qui réussissent et ce dans toutes les provinces canadiennes. ( incluant le Québec ) Merci pour cet article très intéressant. Modifié 26 août 2015 par resterzen LaBlondinette a réagi à ceci 1 Citer
Habitués kobico Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 ...et dont le taux d'assimilation a l'anglais est de 30% par génération Oui mais peut être que pour ceux la ce n'est pas un problème... leur choix... Oui, non... Ont-ils une alternative, de surcroît viable...? Citer
Habitués Jean Dupond Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 Les souverainistes de ce forum vont peut être enfin comprendre que le français n'est pas LA LANGUE DU CANADA, mais UNE langue du Canada et une langue ultra minoritaire dans un environnement anglophone et hispanohone. ( vu que je suis un fucking troll, qu'on me prouve le contraire) http://4.bp.blogspot.com/-bX3rnr_fhXA/UV95iyIdtPI/AAAAAAAAAB4/VGn3jRBV5RQ/s1600/Langues.jpg Bon voici une carte de la francophonie nord américaine. New Orleans ne l'est plus depuis longtemps ni les ancienne collonie du nouveau continent, il ne reste que la Guadeloupe, la martinique, et si je ne me trompe pas, la guyanne française. ou la réunion, mais un truc dans le genre. la suite dans mon deuxième post. Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 Les souverainistes de ce forum vont peut être enfin comprendre que le français n'est pas LA LANGUE DU CANADA, mais UNE langue du Canada et une langue ultra minoritaire dans un environnement anglophone et hispanohone. ( vu que je suis un fucking troll, qu'on me prouve le contraire) http://4.bp.blogspot.com/-bX3rnr_fhXA/UV95iyIdtPI/AAAAAAAAAB4/VGn3jRBV5RQ/s1600/Langues.jpg Bon voici une carte de la francophonie nord américaine. New Orleans ne l'est plus depuis longtemps ni les ancienne collonie du nouveau continent, il ne reste que la Guadeloupe, la martinique, et si je ne me trompe pas, la guyanne française. ou la réunion, mais un truc dans le genre. la suite dans mon deuxième post. En attendant, le français est la langue du Québec et clairement pas celle des autres provinces. Citer
Habitués jimmy Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 ...et dont le taux d'assimilation a l'anglais est de 30% par génération Oui mais peut être que pour ceux la ce n'est pas un problème... leur choix... Effectivement, il y en a que ca dérange pas Pour moi cela est incompréhensible....mais bon ca prend de tout pour faire un monde Cependant je pense qu'il est important quand même d'informer comme Kobico et moi le faisons C'est que oui effectivement il y en a pour qui cela ne cause pas problème, mais il y en a aussi qui croient bêtement la propagande canadienne du bilinguisme de ce pays, qui croient que eux et leurs enfants pourront vivre une vie enrichissante en francais hors Québec...alors que évidemment c'est tout a fait faux. Citer
Habitués jimmy Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 Les souverainistes de ce forum vont peut être enfin comprendre que le français n'est pas LA LANGUE DU CANADA, mais UNE langue du Canada et une langue ultra minoritaire dans un environnement anglophone et hispanohone. ( vu que je suis un fucking troll, qu'on me prouve le contraire) http://4.bp.blogspot.com/-bX3rnr_fhXA/UV95iyIdtPI/AAAAAAAAAB4/VGn3jRBV5RQ/s1600/Langues.jpg Bon voici une carte de la francophonie nord américaine. New Orleans ne l'est plus depuis longtemps ni les ancienne collonie du nouveau continent, il ne reste que la Guadeloupe, la martinique, et si je ne me trompe pas, la guyanne française. ou la réunion, mais un truc dans le genre. la suite dans mon deuxième post. T'es bien ''fucking'' bizarre toi C'est ce que l'on dit aussi Hors Québec , la francophonie ca n'existe pas C'est justement pour ca qu'on lutte nous les souverainistes, pour pas que au Québec aussi la francophonie disparaisse Éric70 et kobico ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 ...et dont le taux d'assimilation a l'anglais est de 30% par génération Oui mais peut être que pour ceux la ce n'est pas un problème... leur choix... Oui, non... Ont-ils une alternative, de surcroît viable...? Ça dépend justement de leur choix : s ils vivre en français et conserver leur langue d origine, leur alternative est d aller dans un endroit qui fait vivre leur langue. S ils s en fichent, ils seront noyés dans la culture et langue d accueil . Citer
Habitués Jean Dupond Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 (modifié) Bon alors repronons depuis le début. Un vlllage de 700 habitants. Un recrutement en Europe et plus particulièrement dans sa partie francophone, CAD en France. Et on a 11 immigrants ( pas loin de 14%, faites vos calculs et vous comprendrez pourquoi je dis 14% pour 700 habitants c'est assez facile pour un gars qui sait calculer) Donc pas moins de 2 % de la population locale. entre 10 à 20 % on parle d'asssimilation en dessous de 10% on parle d'intégration Pour lesincultes de ce forum lire aimée césaire, et senghor ... Donc ! On se retrouve avec 10 franchoullairds qui arrivent dans la campagne où ya rien et qui "comme lesphoque font tourner les ballons sur leur nez" s'ennuient totalement. Bon alors les défenseurs de la culture du GRAND QUEBEC TABERNACLE,, je le répète et je le redis et le le redis encore et encore et encore. On ne quitte pas son pays pour RIEN. Un village de 700 haibitants, CE n'est RIEN, RIEn, RIEN pour un gars qui vit en Europe. Ce n'est pas qu'il ne respecte pas ta régio, ni ta culture, ni Céline Dion, ni rien de tout ça. C'est juste que TON gouvenrment ment aux immigrés en disant, tu vas trouvé ceci, tu vas trouver celà et quand il arrive dans TA région pleine d'histoire de de ceci ou celà, ben il n'y trouve rien. Modifié 26 août 2015 par Jean Dupond Citer
Habitués Jean Dupond Posté(e) 26 août 2015 Habitués Posté(e) 26 août 2015 (modifié) Édifiant comme retour : sur 11, 10 sont répartis... C est ça la réalité de l immigration française hors Québec Ils seront sûrement remplacés par d autres francophones. Il y a une différence entre assimilation et intégration. Ni les français, ni les chinois, ni lesindiens, ni n'importe qui, n'aurait pu s'intégrer dans un fuµµing patelin où il n'y a rien . Mairdes les souverrainistes ouvrez les yeux quoi !!! Message de la modération Premier et dernier avertissement: si chacune de vos interventions est accompagnée d'insultes en tous genre, votre compte va être mis sous modération.Merci de relire les règles du forum. . Modifié 26 août 2015 par Louis-Cyr Citer
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