Habitués geckooa Posté(e) 27 avril 2014 Habitués Posté(e) 27 avril 2014 C'est sur. Mon accent évolue tout le Temps. Je crois que c'est un gage de la bonne intégration. Envoyé par l'application mobile Forum IC Citer
Habitués SoFarSoGood Posté(e) 27 avril 2014 Habitués Posté(e) 27 avril 2014 (modifié) Quand j'était petit garçon, j'avais l'accent du sud de la France, cela c'est rapidement estompé pour l''accent de la région Lyonnaise. Mais mon identité est Lyonnaise et non sudiste. J'ai pris pas mal d'intonations Quebecoise depuis que je suis ici et pas mal de mots de vocabulaire. Mais parallèlement à ce que dis Sophie sur l'identité, il y a des mots du vocabulaire Quebecois qui ne rentreront jamais dans mon vocabulaire, simplement lié au différences culturelles, je ne critique pas du tout leur usage. Ma job = Je ne me vois pas féminiser ce terme que j'utilise depuis toujours au masculin Ma blonde = Je trouves cela péjoratif Mon cheum = Sonne trop "banlieue/Parisien" pour moi (mon keum) Modifié 27 avril 2014 par SoFarSoGood Pandore et caroline77 ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués sophie.1940 Posté(e) 27 avril 2014 Habitués Posté(e) 27 avril 2014 C'est sur. Mon accent évolue tout le Temps. Je crois que c'est un gage de la bonne intégration. Envoyé par l'application mobile Forum IC Dis donc, ton déveéoppement psychomoteur évolue comme celui d'un enfant de 5 ans,alors??? :Crylol: Citer
Habitués geckooa Posté(e) 27 avril 2014 Habitués Posté(e) 27 avril 2014 (modifié) Explique moi le lien entre le stade du dev psychomoteur d'un enfant de 5 ans et les intonations du langage, je tâcherai alors de répondre. Envoyé par l'application mobile Forum IC Modifié 27 avril 2014 par geckooa Citer
Habitués sophie.1940 Posté(e) 27 avril 2014 Habitués Posté(e) 27 avril 2014 Explique moi le lien entre le stade du dev psychomoteur d'un enfant de 5 ans et les intonations du langage, je tâcherai alors de répondre. C'est sur. Mon accent évolue tout le Temps. Je crois que c'est un gage de la bonne intégration. Envoyé par l'application mobile Forum IC Ben tu dis que tu changes, d'accent je ne sais pas combien de fois par jour???non???c'est à dire, que ton dévéloppement psychomoteur n'est pas encore fini!!c'est un atout!!! Tiens, la plasticité cerebrale!!! Message de la modération On se calme les filles ! Citer
Habitués Automne Posté(e) 27 avril 2014 Habitués Posté(e) 27 avril 2014 C'est sur. Mon accent évolue tout le Temps. Je crois que c'est un gage de la bonne intégration. Envoyé par l'application mobile Forum IC Dis donc, ton déveéoppement psychomoteur évolue comme celui d'un enfant de 5 ans,alors??? :Crylol: et toi tu écris comme une enfant de 5 ans Message de la modération On se calme les filles ! Zazza a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Automne Posté(e) 27 avril 2014 Habitués Posté(e) 27 avril 2014 c'est quand même grave de dire à quelqu'un que son cerveau est pas complètement développé! j'ai répondu de la même façon qu'elle et c'est vraiment tannant toujours ces insultes perpétuels Citer
Habitués trefle Posté(e) 27 avril 2014 Habitués Posté(e) 27 avril 2014 J'ai envie de parler d'une anecdote. J'ai une amie d'origine marocaine qui vit au Qc depuis 15 ans. Pour moi un(e) maghrébin(e) parle français et je ne sais pas pourquoi j'ai en tête que ces personnes viennent ou ont transité par la France. Alors que beaucoup viennent directement de leur pays d'origine. Donc mon amie est venue directement du Maroc. Lorsque je parle avec elle j'utilise les expressions françaises et je me rends compte qu'elle ne saisie pas l'expression ! En revanche elle a pris les expressions québécoise et tout ce qu'elle entend. J'en arrive à l'anecdote. Un jour elle m'envoie un courriel et m'écrit : au bureau en ce moment on est dans le roche" ! Moi : !!! Elle devait écrire rush Et puis j'ai compris. Elle utilise ce mot qu'elle entend souvent mais elle ne pense pas que c'est un mot anglais qu'elle entend. Le seul mot qu'elle a appris à transcrire est : roche. C'est toute une découverte pour moi qui aime la langue française. Entendre cette langue par une personne l'ayant acquise en langue seconde, Là encore même langue mais pas les même expressions ou compréhensions comme quand je découvrais la langue québécoise. Je comprenais mais pas tout à fait. Comme cette 1ère fois où j'entends "sacrer", ne comprenant pas que les québécois utilisaient des mots d'église, je me suis dit : pas mal ! plutôt que de sortir des grossièretés et des gros mots (à la française "B.....de m....", etc.) ils pensent à la religion et disent des mots d'église. Par la suite on a bien rit de moi et on m'a expliquée. Citer
Habitués sophie.1940 Posté(e) 28 avril 2014 Habitués Posté(e) 28 avril 2014 (modifié) c'est quand même grave de dire à quelqu'un que son cerveau est pas complètement développé! j'ai répondu de la même façon qu'elle et c'est vraiment tannant toujours ces insultes perpétuels Je pense que tu ne connais pas le concept de la plasticité cérébrale, cherche sur le net et tu verras!!!!rien à voir à dire que qq n'a pas fini sont dévéloppement cerebral: bien le contraire, c'est un processus en évolution.... La plasticité, une propriété complexe Le terme de plasticité est très largement utilisé en neurobiologie dès les années 1970 et reste depuis un terme très en vogue6. Ce concept fait référence à la plasticité d'un matériau qui est sa propriété à modifier sa forme sous l'effet d'une action et à la conserver à l'arrêt de cette action. À l'inverse, l'élasticité désigne la propriété d'un matériau qui se déforme puis reprend sa forme initiale lorsque l'action cesse. En neurobiologie, la plasticité désigne la modification d'une propriété ou d'un état face à une modification de l'environnement (stimulus externe). Le terme a cependant été utilisé de manière abusive sans réellement établir de correspondance avec la propriété de plasticité (telle qu'elle est définie en science de la matière) et son concept n'est pour l'instant pas clairement défini. Le cerveau est constitué de neurones et de cellules gliales étroitement interconnectées. L'apprentissage modifie la force des connexions entre les neurones (voir plasticité synaptique) et modifie les réseaux neuronaux en favorisant l'apparition, la destruction ou la réorganisation non seulement des synapses mais également des neurones eux-mêmes. C'est l'ensemble de ces phénomènes qui peuvent être regroupés sous le terme de plasticité neuronale. La plasticité est une propriété présente à tous les niveaux d'organisation du cerveau : Au niveau des molécules, les récepteurs possèdent plusieurs "états" ou configurations qui permettent de modifier la transmission de l'influx nerveux ; Au niveau de la synapse, l'ensemble des molécules est régi par l'activité, avec notamment le recrutement de nouveaux récepteurs vers la membrane (exocytose, traduction locale, etc.) (voir plasticité synaptique) ; Au niveau du corps cellulaire, l'expression génétique est également modulée par l'activité des différentes synapses ; Au niveau des axones et des dendrites, les prolongements se réorganisent en fonction de l'activité des synapses et des neurones en contact, ainsi que des interactions avec la glie environnante ; Le neurone est susceptible de se développer ou de régresser en fonction de son implication dans un réseau (plasticité neuronale) ; Le réseau lui-même change ses connexions internes et externes constamment au cours du temps (plasticité cérébrale) ; Le cerveau est enfin capable de produire de nouveaux neurones (voir neurogenèse) ; L'individu ne cesse de changer son comportement en fonction des situations rencontrées, par exemple dans l'approche d'un problème. Il est également susceptible de subir des lésions ou de modifier certaines de ses capacités par l'activité, la prise d'aliments, de médicaments, de drogues, etc. L'ensemble de ces échelles interagissent entre elles et doivent être étudiées à la fois séparément et dans leur ensemble pour comprendre la propriété fondamentale qu'est la plasticité en neurosciences. Une décennie de recherche a montré que des changements sont susceptibles de continuer après la période de l’enfance et que ces changements des patrons d'activations neuronaux dépendent de l'expérience. Cette théorie de la neuroplasticité suggère donc que l'expérience peut changer à la fois la structure anatomique du cerveau mais aussi son organisation physiologique. Les chercheurs s'accordent, désormais, sur la présence, tout d'abord, d'une période critique ou d'une fenêtre de plasticité des différents réseaux neuronaux durant l'enfance (par exemple l'aire visuelle) durant laquelle les changements majeurs interviennent en fonction de l'expérience, mais également que cette fenêtre ne se refermerait pas complètement et que certains changements mineurs peuvent encore avoir lieu tout au long de la vie. Dans le cas d’une activité normale, sans lésions, la plasticité neuronale s’exprime surtout par le renforcement ou la dépression de la quantité de connexions entre les neurones ou dans un réseau neuronal. Par exemple, lors de l’apprentissage de la lecture, le début est laborieux et difficile, puis avec de la pratique et de l’expérience cela devient de plus en plus facile et rapide. C’est l’expression de la croissance du nombre de connexions dans l’aire responsable de la lecture. À l’inverse, lorsque l’on utilise moins un réseau de neurones, ses connexions diminuent, cela s’extériorise par la difficulté de refaire l’action en rapport avec ce réseau. Par contre, comme le réseau est déjà en place, si on le réutilise, les connexions seront plus rapides à se remettre en action, et tout l’apprentissage ne sera pas à refaire. La mémoire fonctionnant sur une base de facilitation est répartie dans tout le cerveau en se servant des différentes aires perceptives pour fixer le souvenir et les représentations qui s’y attachent7. En effet, l’activation d’un réseau neuronal permettrait de retrouver le vécu et les représentations spécifiques à cette expérience lors de la réactivation de ce réseau. On a donc une préservation du réseau suite à son utilisation, mais aussi un renforcement de ce réseau en fonction de sa fréquentation. C’est le phénomène même de la plasticité neuronale qui serait donc à l’origine de ce mécanisme de facilitation de la mémoire, par le développement de réseaux neuronaux, et la mise en lien de ces réseaux8. Dans le cas d’une activité anormale mais non lésée, comme par exemple des personnes aveugles de naissance, ce qui implique que l’aire visuelle de ces personnes n’est pas stimulée, ni développée puisqu’il n’y a pas eu d’apport visuel. Pourtant, des IRM ont permis de constater que l’aire visuelle était sollicitée dans l’apprentissage et l’utilisation du braille (langage écrit pour personnes aveugles). Ici, la plasticité agit en réorientant les neurones inactifs vers une fonction différente de leur fonction première9. Mais, comme automme adore détourner le sujet et surtout les propos, voici la signification!!! ......Cherche le livre de physiologie de Guyton, très utilisé dans les fac de Médecine du Québec et de la France! Dans ce livre, s'explique avec détail, la plasticité cérébrale! Modifié 28 avril 2014 par sophie.1940 Citer
Habitués Automne Posté(e) 28 avril 2014 Habitués Posté(e) 28 avril 2014 c'est quand même grave de dire à quelqu'un que son cerveau est pas complètement développé! j'ai répondu de la même façon qu'elle et c'est vraiment tannant toujours ces insultes perpétuels Je pense que tu ne connais pas le concept de la plasticité cérébrale, cherche sur le net et tu verras!!!!rien à voir à dire que qq n'a pas fini sont dévéloppement cerebral: bien le contraire, c'est un processus en évolution.... La plasticité, une propriété complexe Le terme de plasticité est très largement utilisé en neurobiologie dès les années 1970 et reste depuis un terme très en vogue6. Ce concept fait référence à la plasticité d'un matériau qui est sa propriété à modifier sa forme sous l'effet d'une action et à la conserver à l'arrêt de cette action. À l'inverse, l'élasticité désigne la propriété d'un matériau qui se déforme puis reprend sa forme initiale lorsque l'action cesse. En neurobiologie, la plasticité désigne la modification d'une propriété ou d'un état face à une modification de l'environnement (stimulus externe). Le terme a cependant été utilisé de manière abusive sans réellement établir de correspondance avec la propriété de plasticité (telle qu'elle est définie en science de la matière) et son concept n'est pour l'instant pas clairement défini. Le cerveau est constitué de neurones et de cellules gliales étroitement interconnectées. L'apprentissage modifie la force des connexions entre les neurones (voir plasticité synaptique) et modifie les réseaux neuronaux en favorisant l'apparition, la destruction ou la réorganisation non seulement des synapses mais également des neurones eux-mêmes. C'est l'ensemble de ces phénomènes qui peuvent être regroupés sous le terme de plasticité neuronale. La plasticité est une propriété présente à tous les niveaux d'organisation du cerveau : Au niveau des molécules, les récepteurs possèdent plusieurs "états" ou configurations qui permettent de modifier la transmission de l'influx nerveux ; Au niveau de la synapse, l'ensemble des molécules est régi par l'activité, avec notamment le recrutement de nouveaux récepteurs vers la membrane (exocytose, traduction locale, etc.) (voir plasticité synaptique) ; Au niveau du corps cellulaire, l'expression génétique est également modulée par l'activité des différentes synapses ; Au niveau des axones et des dendrites, les prolongements se réorganisent en fonction de l'activité des synapses et des neurones en contact, ainsi que des interactions avec la glie environnante ; Le neurone est susceptible de se développer ou de régresser en fonction de son implication dans un réseau (plasticité neuronale) ; Le réseau lui-même change ses connexions internes et externes constamment au cours du temps (plasticité cérébrale) ; Le cerveau est enfin capable de produire de nouveaux neurones (voir neurogenèse) ; L'individu ne cesse de changer son comportement en fonction des situations rencontrées, par exemple dans l'approche d'un problème. Il est également susceptible de subir des lésions ou de modifier certaines de ses capacités par l'activité, la prise d'aliments, de médicaments, de drogues, etc. L'ensemble de ces échelles interagissent entre elles et doivent être étudiées à la fois séparément et dans leur ensemble pour comprendre la propriété fondamentale qu'est la plasticité en neurosciences. Une décennie de recherche a montré que des changements sont susceptibles de continuer après la période de l’enfance et que ces changements des patrons d'activations neuronaux dépendent de l'expérience. Cette théorie de la neuroplasticité suggère donc que l'expérience peut changer à la fois la structure anatomique du cerveau mais aussi son organisation physiologique. Les chercheurs s'accordent, désormais, sur la présence, tout d'abord, d'une période critique ou d'une fenêtre de plasticité des différents réseaux neuronaux durant l'enfance (par exemple l'aire visuelle) durant laquelle les changements majeurs interviennent en fonction de l'expérience, mais également que cette fenêtre ne se refermerait pas complètement et que certains changements mineurs peuvent encore avoir lieu tout au long de la vie. Dans le cas d’une activité normale, sans lésions, la plasticité neuronale s’exprime surtout par le renforcement ou la dépression de la quantité de connexions entre les neurones ou dans un réseau neuronal. Par exemple, lors de l’apprentissage de la lecture, le début est laborieux et difficile, puis avec de la pratique et de l’expérience cela devient de plus en plus facile et rapide. C’est l’expression de la croissance du nombre de connexions dans l’aire responsable de la lecture. À l’inverse, lorsque l’on utilise moins un réseau de neurones, ses connexions diminuent, cela s’extériorise par la difficulté de refaire l’action en rapport avec ce réseau. Par contre, comme le réseau est déjà en place, si on le réutilise, les connexions seront plus rapides à se remettre en action, et tout l’apprentissage ne sera pas à refaire. La mémoire fonctionnant sur une base de facilitation est répartie dans tout le cerveau en se servant des différentes aires perceptives pour fixer le souvenir et les représentations qui s’y attachent7. En effet, l’activation d’un réseau neuronal permettrait de retrouver le vécu et les représentations spécifiques à cette expérience lors de la réactivation de ce réseau. On a donc une préservation du réseau suite à son utilisation, mais aussi un renforcement de ce réseau en fonction de sa fréquentation. C’est le phénomène même de la plasticité neuronale qui serait donc à l’origine de ce mécanisme de facilitation de la mémoire, par le développement de réseaux neuronaux, et la mise en lien de ces réseaux8. Dans le cas d’une activité anormale mais non lésée, comme par exemple des personnes aveugles de naissance, ce qui implique que l’aire visuelle de ces personnes n’est pas stimulée, ni développée puisqu’il n’y a pas eu d’apport visuel. Pourtant, des IRM ont permis de constater que l’aire visuelle était sollicitée dans l’apprentissage et l’utilisation du braille (langage écrit pour personnes aveugles). Ici, la plasticité agit en réorientant les neurones inactifs vers une fonction différente de leur fonction première9. Mais, comme automme adore détourner le sujet et surtout les propos, voici la signification!!! ......Cherche le livre de physiologie de Guyton, très utilisé dans les fac de Médecine du Québec et de la France! Dans ce livre, s'explique avec détail, la plasticité cérébrale! ben si ça prend 3 de tes messages pour comprendre ce que tu veux dire, c'est pas évidant de te suivre. puis à la fin, c'est même pas toi qui explique mais un wikipédia ( d'ailleurs tu devrais mettre le lien de l'article) exprime toi clairement. genre tu mets ça : Et vous, vous changez d'accent comme les enfants de 4 ans? pas moi....un accent c'est l'identité culturelle!!! puis : Dis donc, ton déveéoppement psychomoteur évolue comme celui d'un enfant de 5 ans,alors??? :Crylol: genre, c'est tellement drôle puis c'est juste à la fin que tu expliques vraiment ce que tu voulais dire Citer
Habitués sophie.1940 Posté(e) 28 avril 2014 Habitués Posté(e) 28 avril 2014 c'est quand même grave de dire à quelqu'un que son cerveau est pas complètement développé! j'ai répondu de la même façon qu'elle et c'est vraiment tannant toujours ces insultes perpétuels Je pense que tu ne connais pas le concept de la plasticité cérébrale, cherche sur le net et tu verras!!!!rien à voir à dire que qq n'a pas fini sont dévéloppement cerebral: bien le contraire, c'est un processus en évolution.... La plasticité, une propriété complexe Le terme de plasticité est très largement utilisé en neurobiologie dès les années 1970 et reste depuis un terme très en vogue6. Ce concept fait référence à la plasticité d'un matériau qui est sa propriété à modifier sa forme sous l'effet d'une action et à la conserver à l'arrêt de cette action. À l'inverse, l'élasticité désigne la propriété d'un matériau qui se déforme puis reprend sa forme initiale lorsque l'action cesse. En neurobiologie, la plasticité désigne la modification d'une propriété ou d'un état face à une modification de l'environnement (stimulus externe). Le terme a cependant été utilisé de manière abusive sans réellement établir de correspondance avec la propriété de plasticité (telle qu'elle est définie en science de la matière) et son concept n'est pour l'instant pas clairement défini. Le cerveau est constitué de neurones et de cellules gliales étroitement interconnectées. L'apprentissage modifie la force des connexions entre les neurones (voir plasticité synaptique) et modifie les réseaux neuronaux en favorisant l'apparition, la destruction ou la réorganisation non seulement des synapses mais également des neurones eux-mêmes. C'est l'ensemble de ces phénomènes qui peuvent être regroupés sous le terme de plasticité neuronale. La plasticité est une propriété présente à tous les niveaux d'organisation du cerveau : Au niveau des molécules, les récepteurs possèdent plusieurs "états" ou configurations qui permettent de modifier la transmission de l'influx nerveux ; Au niveau de la synapse, l'ensemble des molécules est régi par l'activité, avec notamment le recrutement de nouveaux récepteurs vers la membrane (exocytose, traduction locale, etc.) (voir plasticité synaptique) ; Au niveau du corps cellulaire, l'expression génétique est également modulée par l'activité des différentes synapses ; Au niveau des axones et des dendrites, les prolongements se réorganisent en fonction de l'activité des synapses et des neurones en contact, ainsi que des interactions avec la glie environnante ; Le neurone est susceptible de se développer ou de régresser en fonction de son implication dans un réseau (plasticité neuronale) ; Le réseau lui-même change ses connexions internes et externes constamment au cours du temps (plasticité cérébrale) ; Le cerveau est enfin capable de produire de nouveaux neurones (voir neurogenèse) ; L'individu ne cesse de changer son comportement en fonction des situations rencontrées, par exemple dans l'approche d'un problème. Il est également susceptible de subir des lésions ou de modifier certaines de ses capacités par l'activité, la prise d'aliments, de médicaments, de drogues, etc. L'ensemble de ces échelles interagissent entre elles et doivent être étudiées à la fois séparément et dans leur ensemble pour comprendre la propriété fondamentale qu'est la plasticité en neurosciences. Une décennie de recherche a montré que des changements sont susceptibles de continuer après la période de l’enfance et que ces changements des patrons d'activations neuronaux dépendent de l'expérience. Cette théorie de la neuroplasticité suggère donc que l'expérience peut changer à la fois la structure anatomique du cerveau mais aussi son organisation physiologique. Les chercheurs s'accordent, désormais, sur la présence, tout d'abord, d'une période critique ou d'une fenêtre de plasticité des différents réseaux neuronaux durant l'enfance (par exemple l'aire visuelle) durant laquelle les changements majeurs interviennent en fonction de l'expérience, mais également que cette fenêtre ne se refermerait pas complètement et que certains changements mineurs peuvent encore avoir lieu tout au long de la vie. Dans le cas d’une activité normale, sans lésions, la plasticité neuronale s’exprime surtout par le renforcement ou la dépression de la quantité de connexions entre les neurones ou dans un réseau neuronal. Par exemple, lors de l’apprentissage de la lecture, le début est laborieux et difficile, puis avec de la pratique et de l’expérience cela devient de plus en plus facile et rapide. C’est l’expression de la croissance du nombre de connexions dans l’aire responsable de la lecture. À l’inverse, lorsque l’on utilise moins un réseau de neurones, ses connexions diminuent, cela s’extériorise par la difficulté de refaire l’action en rapport avec ce réseau. Par contre, comme le réseau est déjà en place, si on le réutilise, les connexions seront plus rapides à se remettre en action, et tout l’apprentissage ne sera pas à refaire. La mémoire fonctionnant sur une base de facilitation est répartie dans tout le cerveau en se servant des différentes aires perceptives pour fixer le souvenir et les représentations qui s’y attachent7. En effet, l’activation d’un réseau neuronal permettrait de retrouver le vécu et les représentations spécifiques à cette expérience lors de la réactivation de ce réseau. On a donc une préservation du réseau suite à son utilisation, mais aussi un renforcement de ce réseau en fonction de sa fréquentation. C’est le phénomène même de la plasticité neuronale qui serait donc à l’origine de ce mécanisme de facilitation de la mémoire, par le développement de réseaux neuronaux, et la mise en lien de ces réseaux8. Dans le cas d’une activité anormale mais non lésée, comme par exemple des personnes aveugles de naissance, ce qui implique que l’aire visuelle de ces personnes n’est pas stimulée, ni développée puisqu’il n’y a pas eu d’apport visuel. Pourtant, des IRM ont permis de constater que l’aire visuelle était sollicitée dans l’apprentissage et l’utilisation du braille (langage écrit pour personnes aveugles). Ici, la plasticité agit en réorientant les neurones inactifs vers une fonction différente de leur fonction première9. Mais, comme automme adore détourner le sujet et surtout les propos, voici la signification!!! ......Cherche le livre de physiologie de Guyton, très utilisé dans les fac de Médecine du Québec et de la France! Dans ce livre, s'explique avec détail, la plasticité cérébrale! ben si ça prend 3 de tes messages pour comprendre ce que tu veux dire, c'est pas évidant de te suivre. puis à la fin, c'est même pas toi qui explique mais un wikipédia ( d'ailleurs tu devrais mettre le lien de l'article) exprime toi clairement. genre tu mets ça : Et vous, vous changez d'accent comme les enfants de 4 ans? pas moi....un accent c'est l'identité culturelle!!! puis : Dis donc, ton déveéoppement psychomoteur évolue comme celui d'un enfant de 5 ans,alors??? :Crylol: genre, c'est tellement drôle puis c'est juste à la fin que tu expliques vraiment ce que tu voulais dire C'est tout à ton honneur!! Citer
Habitués sophie.1940 Posté(e) 28 avril 2014 Habitués Posté(e) 28 avril 2014 Quand j'était petit garçon, j'avais l'accent du sud de la France, cela c'est rapidement estompé pour l''accent de la région Lyonnaise. Mais mon identité est Lyonnaise et non sudiste. J'ai pris pas mal d'intonations Quebecoise depuis que je suis ici et pas mal de mots de vocabulaire. Mais parallèlement à ce que dis Sophie sur l'identité, il y a des mots du vocabulaire Quebecois qui ne rentreront jamais dans mon vocabulaire, simplement lié au différences culturelles, je ne critique pas du tout leur usage. Ma job = Je ne me vois pas féminiser ce terme que j'utilise depuis toujours au masculin Ma blonde = Je trouves cela péjoratif Mon cheum = Sonne trop "banlieue/Parisien" pour moi (mon keum) Mais, non je sais bien que toi, tu ne critiques pas..seulement c'est ton avis....Mais tu sais? tu ne vas pas changer les québécois.... Citer
Habitués geckooa Posté(e) 28 avril 2014 Habitués Posté(e) 28 avril 2014 (modifié) Ben qui sait mon cerveau évolue encore vers le haut à mon âge. C'est un plus pour ma rentrée universitaire prochaine alors ! J'ai une amie diplôme en sciences du langage. Je devrais l interroger sur les évolutions linguistiques et leurs significations. Je ne trouve pas primaire le fait de s'intégrer même par le langage sans sur jouer et paraître dans l excès et la caricature ! Envoyé par l'application mobile Forum IC Ben qui sait mon cerveau évolue encore vers le haut à mon âge. C'est un plus pour ma rentrée universitaire prochaine alors ! J'ai une amie diplômée en sciences du langage. Je devrais l interroger sur les évolutions linguistiques et leurs significations. Je ne trouve pas primaire le fait de s'intégrer même par le langage sans sur jouer et paraître dans l excès et la caricature ! Envoyé par l'application mobile Forum IC Modifié 28 avril 2014 par geckooa Citer
Habitués SoFarSoGood Posté(e) 28 avril 2014 Habitués Posté(e) 28 avril 2014 Quand j'était petit garçon, j'avais l'accent du sud de la France, cela c'est rapidement estompé pour l''accent de la région Lyonnaise. Mais mon identité est Lyonnaise et non sudiste. J'ai pris pas mal d'intonations Quebecoise depuis que je suis ici et pas mal de mots de vocabulaire. Mais parallèlement à ce que dis Sophie sur l'identité, il y a des mots du vocabulaire Quebecois qui ne rentreront jamais dans mon vocabulaire, simplement lié au différences culturelles, je ne critique pas du tout leur usage. Ma job = Je ne me vois pas féminiser ce terme que j'utilise depuis toujours au masculin Ma blonde = Je trouves cela péjoratif Mon cheum = Sonne trop "banlieue/Parisien" pour moi (mon keum) Mais, non je sais bien que toi, tu ne critiques pas..seulement c'est ton avis....Mais tu sais? tu ne vas pas changer les québécois.... Changer les Québécois ? Citer
Habitués sophie.1940 Posté(e) 28 avril 2014 Habitués Posté(e) 28 avril 2014 Quand j'était petit garçon, j'avais l'accent du sud de la France, cela c'est rapidement estompé pour l''accent de la région Lyonnaise. Mais mon identité est Lyonnaise et non sudiste. J'ai pris pas mal d'intonations Quebecoise depuis que je suis ici et pas mal de mots de vocabulaire. Mais parallèlement à ce que dis Sophie sur l'identité, il y a des mots du vocabulaire Quebecois qui ne rentreront jamais dans mon vocabulaire, simplement lié au différences culturelles, je ne critique pas du tout leur usage. Ma job = Je ne me vois pas féminiser ce terme que j'utilise depuis toujours au masculin Ma blonde = Je trouves cela péjoratif Mon cheum = Sonne trop "banlieue/Parisien" pour moi (mon keum) Mais, non je sais bien que toi, tu ne critiques pas..seulement c'est ton avis....Mais tu sais? tu ne vas pas changer les québécois.... Changer les Québécois ? Oui, changer------> ses habitudes, par exemple!!!! Citer
Habitués Automne Posté(e) 28 avril 2014 Habitués Posté(e) 28 avril 2014 c'est quand même grave de dire à quelqu'un que son cerveau est pas complètement développé! j'ai répondu de la même façon qu'elle et c'est vraiment tannant toujours ces insultes perpétuels Je pense que tu ne connais pas le concept de la plasticité cérébrale, cherche sur le net et tu verras!!!!rien à voir à dire que qq n'a pas fini sont dévéloppement cerebral: bien le contraire, c'est un processus en évolution.... La plasticité, une propriété complexe Le terme de plasticité est très largement utilisé en neurobiologie dès les années 1970 et reste depuis un terme très en vogue6. Ce concept fait référence à la plasticité d'un matériau qui est sa propriété à modifier sa forme sous l'effet d'une action et à la conserver à l'arrêt de cette action. À l'inverse, l'élasticité désigne la propriété d'un matériau qui se déforme puis reprend sa forme initiale lorsque l'action cesse. En neurobiologie, la plasticité désigne la modification d'une propriété ou d'un état face à une modification de l'environnement (stimulus externe). Le terme a cependant été utilisé de manière abusive sans réellement établir de correspondance avec la propriété de plasticité (telle qu'elle est définie en science de la matière) et son concept n'est pour l'instant pas clairement défini. Le cerveau est constitué de neurones et de cellules gliales étroitement interconnectées. L'apprentissage modifie la force des connexions entre les neurones (voir plasticité synaptique) et modifie les réseaux neuronaux en favorisant l'apparition, la destruction ou la réorganisation non seulement des synapses mais également des neurones eux-mêmes. C'est l'ensemble de ces phénomènes qui peuvent être regroupés sous le terme de plasticité neuronale. La plasticité est une propriété présente à tous les niveaux d'organisation du cerveau : Au niveau des molécules, les récepteurs possèdent plusieurs "états" ou configurations qui permettent de modifier la transmission de l'influx nerveux ; Au niveau de la synapse, l'ensemble des molécules est régi par l'activité, avec notamment le recrutement de nouveaux récepteurs vers la membrane (exocytose, traduction locale, etc.) (voir plasticité synaptique) ; Au niveau du corps cellulaire, l'expression génétique est également modulée par l'activité des différentes synapses ; Au niveau des axones et des dendrites, les prolongements se réorganisent en fonction de l'activité des synapses et des neurones en contact, ainsi que des interactions avec la glie environnante ; Le neurone est susceptible de se développer ou de régresser en fonction de son implication dans un réseau (plasticité neuronale) ; Le réseau lui-même change ses connexions internes et externes constamment au cours du temps (plasticité cérébrale) ; Le cerveau est enfin capable de produire de nouveaux neurones (voir neurogenèse) ; L'individu ne cesse de changer son comportement en fonction des situations rencontrées, par exemple dans l'approche d'un problème. Il est également susceptible de subir des lésions ou de modifier certaines de ses capacités par l'activité, la prise d'aliments, de médicaments, de drogues, etc. L'ensemble de ces échelles interagissent entre elles et doivent être étudiées à la fois séparément et dans leur ensemble pour comprendre la propriété fondamentale qu'est la plasticité en neurosciences. Une décennie de recherche a montré que des changements sont susceptibles de continuer après la période de l’enfance et que ces changements des patrons d'activations neuronaux dépendent de l'expérience. Cette théorie de la neuroplasticité suggère donc que l'expérience peut changer à la fois la structure anatomique du cerveau mais aussi son organisation physiologique. Les chercheurs s'accordent, désormais, sur la présence, tout d'abord, d'une période critique ou d'une fenêtre de plasticité des différents réseaux neuronaux durant l'enfance (par exemple l'aire visuelle) durant laquelle les changements majeurs interviennent en fonction de l'expérience, mais également que cette fenêtre ne se refermerait pas complètement et que certains changements mineurs peuvent encore avoir lieu tout au long de la vie. Dans le cas d’une activité normale, sans lésions, la plasticité neuronale s’exprime surtout par le renforcement ou la dépression de la quantité de connexions entre les neurones ou dans un réseau neuronal. Par exemple, lors de l’apprentissage de la lecture, le début est laborieux et difficile, puis avec de la pratique et de l’expérience cela devient de plus en plus facile et rapide. C’est l’expression de la croissance du nombre de connexions dans l’aire responsable de la lecture. À l’inverse, lorsque l’on utilise moins un réseau de neurones, ses connexions diminuent, cela s’extériorise par la difficulté de refaire l’action en rapport avec ce réseau. Par contre, comme le réseau est déjà en place, si on le réutilise, les connexions seront plus rapides à se remettre en action, et tout l’apprentissage ne sera pas à refaire. La mémoire fonctionnant sur une base de facilitation est répartie dans tout le cerveau en se servant des différentes aires perceptives pour fixer le souvenir et les représentations qui s’y attachent7. En effet, l’activation d’un réseau neuronal permettrait de retrouver le vécu et les représentations spécifiques à cette expérience lors de la réactivation de ce réseau. On a donc une préservation du réseau suite à son utilisation, mais aussi un renforcement de ce réseau en fonction de sa fréquentation. C’est le phénomène même de la plasticité neuronale qui serait donc à l’origine de ce mécanisme de facilitation de la mémoire, par le développement de réseaux neuronaux, et la mise en lien de ces réseaux8. Dans le cas d’une activité anormale mais non lésée, comme par exemple des personnes aveugles de naissance, ce qui implique que l’aire visuelle de ces personnes n’est pas stimulée, ni développée puisqu’il n’y a pas eu d’apport visuel. Pourtant, des IRM ont permis de constater que l’aire visuelle était sollicitée dans l’apprentissage et l’utilisation du braille (langage écrit pour personnes aveugles). Ici, la plasticité agit en réorientant les neurones inactifs vers une fonction différente de leur fonction première9. Mais, comme automme adore détourner le sujet et surtout les propos, voici la signification!!! ......Cherche le livre de physiologie de Guyton, très utilisé dans les fac de Médecine du Québec et de la France! Dans ce livre, s'explique avec détail, la plasticité cérébrale! ben si ça prend 3 de tes messages pour comprendre ce que tu veux dire, c'est pas évidant de te suivre. puis à la fin, c'est même pas toi qui explique mais un wikipédia ( d'ailleurs tu devrais mettre le lien de l'article) exprime toi clairement. genre tu mets ça : Et vous, vous changez d'accent comme les enfants de 4 ans? pas moi....un accent c'est l'identité culturelle!!! puis : Dis donc, ton déveéoppement psychomoteur évolue comme celui d'un enfant de 5 ans,alors??? :Crylol: genre, c'est tellement drôle puis c'est juste à la fin que tu expliques vraiment ce que tu voulais dire C'est tout à ton honneur!! de quoi? Citer
Habitués kobico Posté(e) 28 avril 2014 Habitués Posté(e) 28 avril 2014 ben si ça prend 3 de tes messages pour comprendre ce que tu veux dire, c'est pas évidant de te suivre. puis à la fin, c'est même pas toi qui explique mais un wikipédia ( d'ailleurs tu devrais mettre le lien de l'article) exprime toi clairement. genre tu mets ça : Et vous, vous changez d'accent comme les enfants de 4 ans? pas moi....un accent c'est l'identité culturelle!!! puis : Dis donc, ton déveéoppement psychomoteur évolue comme celui d'un enfant de 5 ans,alors??? :Crylol: genre, c'est tellement drôle puis c'est juste à la fin que tu expliques vraiment ce que tu voulais dire C'est tout à ton honneur!! de quoi? Sois patiente, tu vas avoir un autre extrait wiki pour t'expliquer le sens de l'expression "c'est tout à ton honneur" Citer
Habitués Automne Posté(e) 28 avril 2014 Habitués Posté(e) 28 avril 2014 ben si ça prend 3 de tes messages pour comprendre ce que tu veux dire, c'est pas évidant de te suivre. puis à la fin, c'est même pas toi qui explique mais un wikipédia ( d'ailleurs tu devrais mettre le lien de l'article) exprime toi clairement. genre tu mets ça : Et vous, vous changez d'accent comme les enfants de 4 ans? pas moi....un accent c'est l'identité culturelle!!! puis : Dis donc, ton déveéoppement psychomoteur évolue comme celui d'un enfant de 5 ans,alors??? :Crylol: genre, c'est tellement drôle puis c'est juste à la fin que tu expliques vraiment ce que tu voulais dire C'est tout à ton honneur!! de quoi? Sois patiente, tu vas avoir un autre extrait wiki pour t'expliquer le sens de l'expression "c'est tout à ton honneur" oui sauf que c'est pas ça que je comprend pas, c'est le rapport avec ce que j'ai dit.. Citer
Habitués kobico Posté(e) 28 avril 2014 Habitués Posté(e) 28 avril 2014 Je ne peux pas t'aider, moi non plus je n'ai pas compris... Citer
Habitués geckooa Posté(e) 28 avril 2014 Habitués Posté(e) 28 avril 2014 LOOL Envoyé par l'application mobile Forum IC Citer
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