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  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Posté il y a 18 minutes par marauder

Il n'y a pas qu'elle qui soit perdante dans l'affaire, le Québec aussi.

http://notrerevequebecois.over-blog.com/

! :sleeping:

>>>>

Posté il y a 18 minutes par marauder

Il n'y a pas qu'elle qui soit perdante dans l'affaire, le Québec aussi.

, le québec est perdant aussi selon vous, My God !

Des histoires comme ci haut, j'en lis à la tonne, l'immigration est la source du renouvel des habitats du pays!

Et je n'ai rien contre l'immigration, je veux vous encourager à le faire, mais d,en bien faire, car je vois avec le stress de tout recommencer à un certain âge, c'est déjà un exploit en soi, et une fois sur place vous avez des dispositifs a`refaire une nouvelle vie selon les normes du pays.

Donc chacun, chacune est libre de choisir hein, et le malheur ne vient pas des autres dont!

Je ne sais comment vous investir dans le processus d'immigration ( argent + énergie pour une nouvelle vie) et une fois arrivé au pays vous vous arrêter de se battre pour avoir une place au soleil. Dommage !

Voici une site d'une infirmie`re francaise qui a bien intégré dans le syste`me professionnel de santé québécois.

http://notrerevequebecois.over-blog.com/

OUI le Québec est perdant!!! Cela nous éviterait de passer 15 heures aux urgences avant de passer!!! Et aussi cela nous permettrait d'avoir un médecin de famille comme les autres pays civilisés....!!!!

Bon sang, qu'est-ce que ça coute de créer des programmes de mise a niveau pour les médecins étrangers? Si les candidats payent l'argent qu'il faut, je crois que cela rentabiliserait. Et entre nous je ne crois pas que les médecins québécois se retrouveraient au chômage s'il y a quelques médecins étrangers en plus aux urgences par exemple!

Mais bon, cessons de nous plaindre et adaptons-nous a la suprématie des ordres professionnels!!! Dans toute chose il y a de bons et de mauvais côtés! Amen! :sleeping:

Je fais confiance au gouvernement donc je préfe`re d'attendre 15 heures( exagéré quand même!) à l'urgence que d'avoir un prescription chinoiserie des médecins étrangers qui n'ont pas d' expériences québecoises!!!!!!!!!!

D' apres votre argument je trouve que vous faites passer vos intérêts avant la vie des patiences, j' explique: les médecins étrangers, sito^t arrivé au sol québecois, ils doivent affronter divers problemes dans la vie à cause de la différence des cultures donc de là à embarquer en tant que médecins pour soigner quelqu'un! My god tout est à apprendre.... vous comprenez un québecois n'est pas un algérien, les maux du nord n'ont pas de me^me que du Sud.

Je suis contente que il y a de l'ordre des professionnels avec ses restrictions pour protéger la population.

Et je répète que le Québec recrute de la main d'oeuvre d'année en d'année, si vous adaptez pas c'est votre proble`me parcequ' il y a d'autre qui s'y adapte.

J'adore ce passage ! :laugh::laugh::laugh:

Ce qu'il ne faut pas entendre...

Pour ceux qui ont l'esprit ouvert, tandis que ceux qui interpretent mot à mot au 1er degré n'ont qu'à s'abstenir.

vas dont lire un commentaire aà la page facebook,

Modifié par Wait See
  • Habitués
Posté(e)

Tiens lire le:

Isabelle Desaulniers Je
trouve ça terrible. Bien sûr, il faut être certains que les médecins
sont qualifiés. En Équateur, où j'ai vécu, une gynécologue m'avait dit
que les femmes ne devaient pas se laver du tout la vulve !!!! Mais des
examens, des stages, seraient sans doute suffisant.
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

@ Wait see

Mais oui, bien sûr... :sleep:

L'ouverture d'esprit des gens du nord est probablement différente de celle des gens du sud, je te le concède.

Il y a peut-être des inégalités Nord - Sud face au traitement de certaines maladies,

Mais pour parler de physiopathologie différente entre le nord et le sud ( ... ), tu pourras repasser... ton histoire mériterait bien de

figurer au bétisier du forum ! :laugh:

Modifié par futurquébecois
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

@ Wait see

Mais oui, bien sûr... :sleep:

L'ouverture d'esprit des gens du nord est probablement différente de celle des gens du sud, je te le concède.

Il y a peut-être des inégalités Nord - Sud face au traitement de certaines maladies,

Mais pour parler de physiopathologie différente entre le nord et le sud ( ... ), tu pourras repasser... ton histoire mériterait bien de

figurer au bétisier du forum ! :laugh:

Si tu me dis que mes dires sont des betises du forum, hi hi hi je vais me regarder dans le mirror pour trouver et j'en corrige mais je pense que je ne trouve pas. ( le comment facebook ne vient pas de moi, hi hi hi)

Je te sugerre de faire une petite recherche sur la vie des gens plus au Nord du québec et tu trouveras la réponse pas besoin d'aller si loin comme le canada via algérie ou d'autre coin du monde ( une mode de vie différente ....)

Je suis sympathie avec ta situation!

, alors je vous dis ciao ciao tlm

Modifié par Wait See
  • Habitués
Posté(e)

...

:bye::sleeping:

  • Habitués
Posté(e)
:innocent: Oui mais cette gynécologue algérienne savait ( ou aurait dû savoir ) que son diplôme algérien était non-reconnu au Canada... alors soit elle obtient un diplôme canadien qui lui sera reconnu, soit elle continue d'être mère au foyer, soit elle retourne chez elle en Algérie...
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Force est de constater qu'il y a, au Québec, des personnes qui se complaisent de ne pas avoir de médecin de famille, de devoir attendre de six mois à deux ans avant de pouvoir subir une chirurgie, ou encore de devoir faire le piquet durant un temps moyen de 22 heures aux urgences... :innocent:

Tu ne veux vraiment rien y changer ?

Modifié par futurquébecois
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Force est de constater qu'il y a, au Québec, des personnes qui se complaisent de ne pas avoir de médecin de famille, de devoir attendre de six mois à deux ans avant de pouvoir subir une chirurgie, ou encore de devoir faire le piquet durant un temps moyen de 22 heures aux urgences... :innocent:

Tu ne veux vraiment rien y changer ?

Tu me fais rire futurquébécois, j'adore ta façon subtile de remettre les gens a leur place!

J'aillais répondre avec d'autres arguments, mais cela est peine perdue devant des gens comme Wait See (qui devrait réviser son français en passant, car on est au Québec, et apparemment des algériens comme nous maîtrisent mieux cette langue! Ah mais j'ai oublié que le français du Nord est quelque peu différent de celui du Sud! :Crylol: ). Ce genre de personne se complaît devant la pénurie de médecins, on dirait même qu'elle en est tellement fière qu'elle pond avec plaisir des sommes faramineuses au gouvernement, taxes par-ci, impôts par la, sans rien exiger en retour en qualité de soins! Ou peut-être que les gens s'en foutent de leur santé? :blink2:

NB: je vais quand-même répondre a Wait See (hé oui c'est plus fort que moi): tu dis que nous avons tout a apprendre, cela est vrai, d’où l'idée de proposer des stages de mise a niveau sous la supervision de seniors, et si le candidat PAYE sa formation (puisque c'est cela qui est important, le porte-monnaie), en plus des sommes faramineuses que l'ordre reçoit, je crois que cela serait équitable...

Mais le problème c'est qu'il n'y a surement pas assez de médecins québécois disponibles pour le faire, y'en n'a même pas aux urgences alors...!!

Modifié par bogossa
  • Habitués
Posté(e)

L'article au complet :

"

Alors que le Québec est aux prises avec une importante
pénurie de gynécologues depuis quelques années, Amal Hadj-Kaddour a été
tour à tour aide-éducatrice en garderie et mère au foyer depuis son
arrivée au pays, faute de pouvoir pratiquer son métier.


Comme cette femme originaire d’Algérie, plusieurs immigrants installés au Québec et hautement qualifiés rencontrés par le Journal doivent se tourner vers des petits boulots ou encore conduire des taxis


«Comme immigrante, je souhaite contribuer à la société québécoise.
C’est dommage que je me heurte à tant d’obstacles», déplore la
gynécologue diplômée de la faculté de médecine de l’Université d'Alger.
«Je suis venue au Québec avec ma famille pour avancer et améliorer ma
condition de vie. Là, je reste à la maison sans rien faire et je
recule.»


Bien que l’Association des obstétriciens gynécologues du Québec
estime qu’il manque environ 50 gynécologues pour répondre aux besoins de
la population, Amal Hadj-Kaddour n’a jamais réussi à exercer cette
profession depuis son arrivée au Québec, malgré qu’elle l’ait pratiquée
en Algérie.


De la gynécologie à la garderie


Amal Hadj-Kaddour, 35 ans, a quitté Alger en 2011 pour immigrer au Québec avec son mari et ses deux enfants.


«Je voulais offrir un milieu de vie plus sécuritaire et harmonieux à mes enfants», explique-t-elle.


À son arrivée, Amal dégote un emploi d’aide-éducatrice. La famille
doit d’abord penser à sa «survie financière». Bien que déçue, la jeune
mère de famille ne peut pas consacrer de longs mois aux procédures
nécessaires pour faire reconnaître ses diplômes de médecine. Après avoir
accouché de son troisième enfant, Amal décide d’entrer «enfin» sur le
marché du travail. «Je croyais que mes 12 ans d’études en Algérie ainsi
que mes diplômes en médecine gynécologique seraient reconnus. Je pensais
qu’on me demanderait de suivre des formations et de passer ensuite un
examen d’équivalence. Je ne m’attendais surtout pas à devoir recommencer
mes études.»


Sept ans avant de pouvoir pratiquer


Selon les informations que Amal Hadj-Kaddour dit avoir obtenues du
Collège des médecins, il lui faudra étudier pendant sept ans avant de
pouvoir exercer comme gynécologue.


«Je devrai passer un premier examen d’évaluation en novembre. Puis,
je devrai postuler auprès des universités afin d’obtenir un poste
d’étudiante étrangère en médecine. Je devrai ensuite faire deux ans de
médecine avant de commencer ma spécialité, qui est d’une durée de cinq
ans», explique-t-elle.


La mère de famille affirme «ne pas avoir le choix» de recommencer en partie ses études.


«L’autre option est d’aller chercher un permis restrictif pour une
période de cinq ans. Mais on ne peut exercer qu’à un seul endroit et on
doit s’inscrire sur une liste pour être repêché par un hôpital du
Québec. Je ne peux pas déménager en région. De toute façon, dans un cas
comme dans l’autre, je n’aurai pas de véritable permis avant plusieurs
années.»


« C’est tellement dommage »


Espérant pouvoir exercer à nouveau son métier, Amal occupera pendant
les prochaines années ceux de mère à la maison et d’étudiante à temps
plein. «Je suis et je veux rester gynécologue. J’aime mon métier. Mais
cela demande un grand sacrifice, lance-t-elle.


«Ça va, je suis jeune encore. Ça ne me dérange pas de recommencer.
Mais je pense à tous ces médecins étrangers qui arrivent ici avec 20 ans
d’expérience et qui se retrouvent au même point que moi. Plusieurs de
mes connaissances ont changé de métier ou sont retournées dans leur pays
natal. C’est tellement dommage!»"

Et le lien sur le journal de Montréal.

Posté(e)

une gynécologue qui a laisser 7 ou 6 millions par moispeut étre plus avec les new augmentation pour réster a la maison ????? se plaint ????? pk laisser son poste et aller dans un pays ou ( ELLE C D'AVANCE QU'ELLE VAS PAS étre UNE gynécologue) bizar ca

Posté(e)

et qu'elle entre dans un un bloc opératoire gynécologie ou elle qu'elle voie seque c une véritable échographie ou on te donne la face de ton enfant sur photo a l'intérieur de ca maman et on voit méme son estomac et son .......ect hein parceque c pas la méme chose

  • Habitués
Posté(e)

L'article au complet :

"

Alors que le Québec est aux prises avec une importante

pénurie de gynécologues depuis quelques années, Amal Hadj-Kaddour a été

tour à tour aide-éducatrice en garderie et mère au foyer depuis son

arrivée au pays, faute de pouvoir pratiquer son métier.

Comme cette femme originaire d’Algérie, plusieurs immigrants installés au Québec et hautement qualifiés rencontrés par le Journal doivent se tourner vers des petits boulots ou encore conduire des taxis

«Comme immigrante, je souhaite contribuer à la société québécoise.

C’est dommage que je me heurte à tant d’obstacles», déplore la

gynécologue diplômée de la faculté de médecine de l’Université d'Alger.

«Je suis venue au Québec avec ma famille pour avancer et améliorer ma

condition de vie. Là, je reste à la maison sans rien faire et je

recule.»

Bien que l’Association des obstétriciens gynécologues du Québec

estime qu’il manque environ 50 gynécologues pour répondre aux besoins de

la population, Amal Hadj-Kaddour n’a jamais réussi à exercer cette

profession depuis son arrivée au Québec, malgré qu’elle l’ait pratiquée

en Algérie.

De la gynécologie à la garderie

Amal Hadj-Kaddour, 35 ans, a quitté Alger en 2011 pour immigrer au Québec avec son mari et ses deux enfants.

«Je voulais offrir un milieu de vie plus sécuritaire et harmonieux à mes enfants», explique-t-elle.

À son arrivée, Amal dégote un emploi d’aide-éducatrice. La famille

doit d’abord penser à sa «survie financière». Bien que déçue, la jeune

mère de famille ne peut pas consacrer de longs mois aux procédures

nécessaires pour faire reconnaître ses diplômes de médecine. Après avoir

accouché de son troisième enfant, Amal décide d’entrer «enfin» sur le

marché du travail. «Je croyais que mes 12 ans d’études en Algérie ainsi

que mes diplômes en médecine gynécologique seraient reconnus. Je pensais

qu’on me demanderait de suivre des formations et de passer ensuite un

examen d’équivalence. Je ne m’attendais surtout pas à devoir recommencer

mes études.»

Sept ans avant de pouvoir pratiquer

Selon les informations que Amal Hadj-Kaddour dit avoir obtenues du

Collège des médecins, il lui faudra étudier pendant sept ans avant de

pouvoir exercer comme gynécologue.

«Je devrai passer un premier examen d’évaluation en novembre. Puis,

je devrai postuler auprès des universités afin d’obtenir un poste

d’étudiante étrangère en médecine. Je devrai ensuite faire deux ans de

médecine avant de commencer ma spécialité, qui est d’une durée de cinq

ans», explique-t-elle.

La mère de famille affirme «ne pas avoir le choix» de recommencer en partie ses études.

«L’autre option est d’aller chercher un permis restrictif pour une

période de cinq ans. Mais on ne peut exercer qu’à un seul endroit et on

doit s’inscrire sur une liste pour être repêché par un hôpital du

Québec. Je ne peux pas déménager en région. De toute façon, dans un cas

comme dans l’autre, je n’aurai pas de véritable permis avant plusieurs

années.»

« C’est tellement dommage »

Espérant pouvoir exercer à nouveau son métier, Amal occupera pendant

les prochaines années ceux de mère à la maison et d’étudiante à temps

plein. «Je suis et je veux rester gynécologue. J’aime mon métier. Mais

cela demande un grand sacrifice, lance-t-elle.

«Ça va, je suis jeune encore. Ça ne me dérange pas de recommencer.

Mais je pense à tous ces médecins étrangers qui arrivent ici avec 20 ans

d’expérience et qui se retrouvent au même point que moi. Plusieurs de

mes connaissances ont changé de métier ou sont retournées dans leur pays

natal. C’est tellement dommage!»"

Et le lien sur le journal de Montréal.

merci beaucoup!

oui, c'est dommage.. ils pourraient juste passer des tests d'évaluations et voir s'ils manquent quelque chose et rectifier le tout avec quelques cours.

  • Habitués
Posté(e)

et qu'elle entre dans un un bloc opératoire gynécologie ou elle qu'elle voie seque c une véritable échographie ou on te donne la face de ton enfant sur photo a l'intérieur de ca maman et on voit méme son estomac et son .......ect hein parceque c pas la méme chose

je comprend pas ce que tu veux dire? les gynécologues en Algérie ne font pas d'échographies?

mais je pense que c'est normal que les médecins étrangers fassent quelques cours pour qu'ils apprennent les lois ici etc... mais de là à refaire 7 ans d'études..

il y a aussi des médecins étrangers, dans leur pays, l'avortement est interdit. donc, s'ils viennent ici et que sa patiente désire un avortement, il va réagir comment? au lieu de l'aider dans sa démarche, il va l'envoyer balader?

Posté(e)

si automnne ils font pas d'échographies mai faut voir c quoi omme échographie!!!! moi jai 2 une du quebec et une autre d'algérie vous voyez surment la différence ( défaut de matériel ) ( ils n'ont pas beaucoup d'argent) ?????? je pense pas . seque je suis sur c qu'il veulent méme pas évoluer et le gouvernement du quebec c tout ca alors. ils le fon retourner a 0 .pour leur montrer c koi un medecin par example un vrais la .

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Posté il y a 18 minutes par marauder

Il n'y a pas qu'elle qui soit perdante dans l'affaire, le Québec aussi.

, le québec est perdant aussi selon vous, My God !

Des histoires comme ci haut, j'en lis à la tonne, l'immigration est la source du renouvel des habitats du pays!

Et je n'ai rien contre l'immigration, je veux vous encourager à le faire, mais d,en bien faire, car je vois avec le stress de tout recommencer à un certain âge, c'est déjà un exploit en soi, et une fois sur place vous avez des dispositifs a`refaire une nouvelle vie selon les normes du pays.

Donc chacun, chacune est libre de choisir hein, et le malheur ne vient pas des autres dont!

Je ne sais comment vous investir dans le processus d'immigration ( argent + énergie pour une nouvelle vie) et une fois arrivé au pays vous vous arrêter de se battre pour avoir une place au soleil. Dommage !

Voici une site d'une infirmie`re francaise qui a bien intégré dans le syste`me professionnel de santé québécois.

http://notrerevequebecois.over-blog.com/

OUI le Québec est perdant!!! Cela nous éviterait de passer 15 heures aux urgences avant de passer!!! Et aussi cela nous permettrait d'avoir un médecin de famille comme les autres pays civilisés....!!!!

Bon sang, qu'est-ce que ça coute de créer des programmes de mise a niveau pour les médecins étrangers? Si les candidats payent l'argent qu'il faut, je crois que cela rentabiliserait. Et entre nous je ne crois pas que les médecins québécois se retrouveraient au chômage s'il y a quelques médecins étrangers en plus aux urgences par exemple!

Mais bon, cessons de nous plaindre et adaptons-nous a la suprématie des ordres professionnels!!! Dans toute chose il y a de bons et de mauvais côtés! Amen! :sleeping:

>>>>

Posté il y a 18 minutes par marauder

Il n'y a pas qu'elle qui soit perdante dans l'affaire, le Québec aussi.

, le québec est perdant aussi selon vous, My God !

Des histoires comme ci haut, j'en lis à la tonne, l'immigration est la source du renouvel des habitats du pays!

Et je n'ai rien contre l'immigration, je veux vous encourager à le faire, mais d,en bien faire, car je vois avec le stress de tout recommencer à un certain âge, c'est déjà un exploit en soi, et une fois sur place vous avez des dispositifs a`refaire une nouvelle vie selon les normes du pays.

Donc chacun, chacune est libre de choisir hein, et le malheur ne vient pas des autres dont!

Je ne sais comment vous investir dans le processus d'immigration ( argent + énergie pour une nouvelle vie) et une fois arrivé au pays vous vous arrêter de se battre pour avoir une place au soleil. Dommage !

Voici une site d'une infirmie`re francaise qui a bien intégré dans le syste`me professionnel de santé québécois.

http://notrerevequebecois.over-blog.com/

OUI le Québec est perdant!!! Cela nous éviterait de passer 15 heures aux urgences avant de passer!!! Et aussi cela nous permettrait d'avoir un médecin de famille comme les autres pays civilisés....!!!!

Bon sang, qu'est-ce que ça coute de créer des programmes de mise a niveau pour les médecins étrangers? Si les candidats payent l'argent qu'il faut, je crois que cela rentabiliserait. Et entre nous je ne crois pas que les médecins québécois se retrouveraient au chômage s'il y a quelques médecins étrangers en plus aux urgences par exemple!

Mais bon, cessons de nous plaindre et adaptons-nous a la suprématie des ordres professionnels!!! Dans toute chose il y a de bons et de mauvais côtés! Amen! :sleeping:

Je fais confiance au gouvernement donc je préfe`re d'attendre 15 heures( exagéré quand même!) à l'urgence que d'avoir un prescription chinoiserie des médecins étrangers qui n'ont pas d' expériences québecoises!!!!!!!!!!

D' apres votre argument je trouve que vous faites passer vos intérêts avant la vie des patiences, j' explique: les médecins étrangers, sito^t arrivé au sol québecois, ils doivent affronter divers problemes dans la vie à cause de la différence des cultures donc de là à embarquer en tant que médecins pour soigner quelqu'un! My god tout est à apprendre.... vous comprenez un québecois n'est pas un algérien, les maux du nord n'ont pas de me^me que du Sud.

Je suis contente que il y a de l'ordre des professionnels avec ses restrictions pour protéger la population.

Et je répète que le Québec recrute de la main d'oeuvre d'année en d'année, si vous adaptez pas c'est votre proble`me parcequ' il y a d'autre qui s'y adapte.

Les ordres professionnels ne sont pas là pour "protéger la population" mais simplement pour organiser, veiller au respect de la déontologie et des conditions à l'accès de la profession qu'ils régissent. Ca c'est la théorie.

Concernant l'ordre des médecins, celui que je connais le mieux, il en va ici comme ailleurs : Il se préoccupe avant tout du bien être de ses membres, bien avant celui de la population. Car à y bien réfléchir, cette pénurie de médecins, spécialistes et généralistes confondus, profite avant tout à ceux qui sont installés.

Alors oui, il y a des protectionismes ici qui ne sont pas tous justifiés, mais c'est aux gouvernements des pays qui ont des relations diplomatiques avec le canada de mettre en place les conditions nécéssaires à la reconnaissance des diplomes. Cela a été fait avec la France pour la médecine et le droit par le moyen d'accords bi-latéraux. Les règles sont posées, elles sont claires et les médecins Français qui veulent venir ici savent à quoi ils devront se conformer s'ils veulent exercer.

La situation des médecins étrangers dont les diplômes et pratiques professionnelles ne sont pas reconnus ici est profondément regrettable. Néanmoins les règles sont là aussi posées. J'ai du mal à comprendre que les connaissant, certains fassent tout de même le choix de l'immigration et déplorent une fois arrivés de ne pouvoir exercer leur profession.

Modifié par J-MI
  • Habitués
Posté(e)

J'ai accouche en France par césarienne, le médecin gynécologue qui a effectué l'opération était originaire d'Afrique noir ainsi que le stagiaire qui lui faisait face qui s'exprimait difficilement en français, 2 des 3 infirmières étaient espagnoles et l'anesthésiste qui est resté à côté de moi pr le dosage de la rachianesthésie était, arabe mais je ne saurai pas dire plus, ne parlait pas un mot de français si ce n'est "bouge pas!!" Un beau métissage déroutant au premier abord mais a aucun moment je me suis dit qu'ils étaient sous qualifiés ou autre, si ils exercent c'est qu'ils ont les diplômes et donc les qualifications pour, peu importe le pays dans lequel ils l'ont obtenu... Envoyé par l'application mobile Forum IC

  • Habitués
Posté(e)

J'ai accouche en France par césarienne, le médecin gynécologue qui a effectué l'opération était originaire d'Afrique noir ainsi que le stagiaire qui lui faisait face qui s'exprimait difficilement en français, 2 des 3 infirmières étaient espagnoles et l'anesthésiste qui est resté à côté de moi pr le dosage de la rachianesthésie était, arabe mais je ne saurai pas dire plus, ne parlait pas un mot de français si ce n'est "bouge pas!!" Un beau métissage déroutant au premier abord mais a aucun moment je me suis dit qu'ils étaient sous qualifiés ou autre, si ils exercent c'est qu'ils ont les diplômes et donc les qualifications pour, peu importe le pays dans lequel ils l'ont obtenu... Envoyé par l'application mobile Forum IC

C'est uniquement une question de reconnaissance de la formation médicale par la valorisation des diplômes des personnes qui se sont occupées de toi. Quand on prend en compte véritablement l'intéret général de la population, dans des situations de pénuries comme nous en avons connu en France, c'est la solution la plus logique et la plus appropriée.

  • Habitués
Posté(e)

Le Québec devrait donc en faire autant vu la réputation de leur système de santé ( je dis bien réputation car je n'y vis pas et n'en perçois son fonctionnement qu'à travers les divers témoignages et études présentés dans ce forum, n'y voyez pas de provocation quelconque!) Envoyé par l'application mobile Forum IC

  • Habitués
Posté(e)

Le Québec devrait donc en faire autant vu la réputation de leur système de santé ( je dis bien réputation car je n'y vis pas et n'en perçois son fonctionnement qu'à travers les divers témoignages et études présentés dans ce forum, n'y voyez pas de provocation quelconque!) Envoyé par l'application mobile Forum IC

Malheureusement cette réputation est loin d'être usurpée....

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