Habitués Happymusher Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 (modifié) Bonjour, Je poste ici car j'ai terriblement besoin de vos conseils. Voici ma situation : j'ai passé la VM, j'espère (croisons les doigts) recevoir mon visa bientôt (d'ici à février ou mars) et je suis dans les préparatifs du départ. Là où je bute sur un point, c'est quelle "stratégie d'approche" adopter vis à vis de mon employeur actuel. Voici le contexte humain : je travaille dans une structure matricielle (comme beaucoup d'entre nous). J'ai un boss en France avec qui je m'entends super bien (mais qui va être dégouté de me voir partir car la structure française est petite et les postes ne sont pas renouvelés - c'est la crise et je pense que mon poste sera transféré ailleurs qu'en France) et un boss à l'étranger qui, même s'il apprécie ce que je fais, est du genre 'jamais content' (Pour ceux qui travaillent dans le marketing, il trouve des emailing BtB avec taux de conversion de 30% "prometteurs". Sans commentaire...) et est au fond un peu "presse-citron". Mon n+2 (le boss des deux, à l'étranger aussi) lui est très très enthousiaste à mon égard... Côté ancienneté : cela fait plus de 5 ans que je travaille dans cette structure. Je n'ai pas pu visibiliser mon projet de départ au Québec jusqu'à présent car on se sait jamais si oui ou non on aura le visa et parce que je pense que sinon je n'aurais pas eu les opportunités que j'ai eues au cours des deux dernières années (la durée de la procédure). Concernant mon départ, je comptais leur annoncer une fois le visa en poche et là où j'ai besoin de conseils, c'est que dans l'idéal je voudrais :soit leur proposer de bosser de Montréal ou de Québec-ville (ils ont un bureau ailleurs dans le ROC mais je pense qu'un détachement en autonome à Montréal ou Québec ville éviterait de faire perdre son poste au bureau français et pourrait les intéresser car ils couvreraient le Québec. Par contre les décisionnaires seront dans le ROC et les structures sont juridiquement indépendantes et je ne suis pas sûr que les gens du ROC accepteront...)soit quitter cette structure mais dans le cadre d'un départ négocié (les fameuses "ruptures à l'amiable" qui existent depuis 2008 je crois) pour pouvoir déclencher mes droits assedics (et les geler aussi tôt) et avoir un peu de temps pour les dernières paperasseries (je précise que je travaille depuis une décade sans jamais avoir sollicité le système donc je ne pense pas abuser)...J'exclus la démission car je suis en solo en France et que je dois vraiment compter sur moi-même. Seulement, j'ai peur qu'ils refusent mes deux propositions et que pire, vu qu'ils seront alors au courant, ils me poussent à démissionner et que plus tard cela nuise à mes demandes de références pour chercher un emploi... Qu'est-ce que vous me conseillez de faire ? Merci de vos avis Modifié 28 décembre 2011 par Happymusher Citer
Habitués guacamaya Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 Vaste question! bon courage pour trouver ta réponse. Pour ma part j'ai déjà posé ma démission. J'ai pensé à la rupture à l'amiable mais ne l'ai finalement pas fait car comme on devient non résidents, je ne sais pas si c'est trop possible. Mais comme on est 1 famille par ex, mon mari n'a pas encore démissionné, lui compte demander 1 congé sabbatique. Sûr que le départ est un investissement et déstabilise, à tous les niveaux. Je suis curieuse de lire les expériences et avis d'autres forumistes. Citer
Habitués crazy_marty Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 (modifié) Ben là...la seule chose qui devrait te préoccuper dans l'histoire, c'est qu'est ce qui toi, te rendra heureuse au final. L'immigration en fait partie. Alors te préoccupe que de ça. Pas de ce qui rendra heureux tes patrons. Ne jamais oublier que si un jour le patron a plus besoin de toi, il se posera moins de questions que toi tu t'en poses T'inquiéter pour la structure française et les postes qui y sont rattachés et/ou non remplacés, c'est pas ton problème. Ca c'est une bataille de chef, c'est tout. Ensuite si comme tu le dis, ils t'aiment bien, alors ils devraient au contraire être contents pour toi et ton nouveau projet de vie. Après tout, nul n'est éternel dans une entreprise, et encore mieux, nul n'est irremplaçable. On a jamais vu une entreprise s'écrouler suite au départ d'un employé. Ils s'en remettront. Je vois pas en quoi ça nuierait à une recommandation éventuelle si tu leur exposes clairement les faits. Si c'est la conclusion qu'ils tirent de tout ça et te menacent de pas te faire de bonnes recommandations, c'est qu'au final ils étaient pas si cools et appréciateurs de tes services que ça. Auquel cas tu perdras rien en partant. Maintenant...il est clair que si tu peux partir sans démissionner, alors fais le. C'est toujours mieux. Moi je ferais tes deux idées l'une en complément de l'autre. Le plan A du job du QC, ça leur montre que tu as réfléchi à la situation, que tu es toujours prête à rester impliquée, malgré ton départ. Si ils te disent que c'est pas possible de travailler du QC, ben tu suis le plan B et demande une rupture à l'amiable. On en revient au point d'avant, si ils t'aiment bien, ils devraient au moins être d'accord pour un des deux plans Dans mon cas, à Londres, pendant les deux ans qui ont précédé ma DCSQ et même après, j'ai pas arrêté de répéter à mon boss que si il entendait parler d'un poste libre au bureau montréalais, je voulais y aller Alors c'est sûr que le jour où je me suis pointé dans son bureau pour lui dire que je partais à Montréal avec ou sans eux, ça l'a pas surpris. Comme y'avait pas de poste pour moi, j'ai démissionné. Ceci dit, mon boss londonien est le premier que je contacte si j'ai besoin d'une référence, ça empêche pas Modifié 28 décembre 2011 par crazy_marty Citer
Habitués Vero_31 Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 Pour ma part, je compte: 1- Demander s'ils ont un poste à Montréal. 2- Je sais pertinemment que la réponse à la question précédente est non, donc je vais demander un congé sabbatique. 3- Si le congé sabbatique est refusé, je démissionne. T'inquiète pas pour ce que le service va devenir si tu n'es pas remplacée: c'est pas ça qui va empêcher la boîte de tourner, en clair ils s'en fichent. Tu t'apprêtes à changer radicalement de vie, tes scrupules t'honorent mais sont superflus. Citer
Habitués green20770 Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 Tu n'as rien a perdre avec une demande de rupture conventionnelle, sachant effectivement qu'il y a beaucoup de chances qu'elle te soit refusee, vu que ton employeur te devra, a minima, 1/5 de mois par annee d'anciennete. Par contre, je ne vois pas en quoi une demission te serait defavorable pour tes references futures. Tu n'es pas lie a vie avec ton employeur. Les canadiens le savent d'autant plus. Donc si tu recois des avis defavorables de ton employeur en France, si ton employeur canadien n'est pas trop idiot, il pourra faire la difference. Il me semble qu'en France, en plus, une reference qui "descend" un ancien employe doit etre tres encadree. Bref, l'employeur ne peut pas dire n'importe quoi a ton sujet. Je ne sais pas ce qu'il en est au Canada ... Citer
Habitués Happymusher Posté(e) 28 décembre 2011 Auteur Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 (modifié) Merci pour vos réponses Pour les références, c'est juste que dans deux cas (un collègue qui a démissionné pour un poste plus près de son domicile car il voulait réduire son temps de trajet et passer du temps avec son jeune fils - et un collègue qui a saisi une opportunité mieux payée), à ma grande surprise, dès qu'ils sont partis, j'ai entendu des critiques sur ces deux personnes (alors qu'honnêtement ils faisaient très bien leurs boulots respectifs)... Nos budgets sont décidés aux US et J'ai l'impression que ces réactions étaient motivés par le fait que ces deux collègues étant partis, leurs postes ont été supprimés du coup (ou transférés dans une autre région), et que les chefs en France et Europe avaient du ressentiment vis à vis d'eux et émettaient des avis sans rapport avec leur valeur professionnelle. Donc je ne voudrais pas avoir l'air de les laisser en plan pour pas qu'ils me fassent pas le même coup. Et j'ai peur qu'ils ne soient pas super arrangeant pour une mutation ou un départ négocié. J'ai des doutes sur leur capacité à réagir sainement à des demandes franches et honnêtes...D'où mon hésitation sur la stratégie à adopter... Si vous avez d'autres avis, je prends Modifié 28 décembre 2011 par Happymusher Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 Je ne comprends pas ce que tu veux dire en écrivant : " soit quitter cette structure mais dans le cadre d'un départ négocié (les fameuses "ruptures à l'amiable" qui existent depuis 2008 je crois) pour pouvoir déclencher mes droits assedics (et les geler aussi tôt)" . Quand je suis partie en 2006, j'ai demandé à mon employeur de me licencier pour bénéficier des droits Assédic prévus dans le cadre d'un départ à l'étranger. J'avais un RDV pour mettre le dossier en place. En fait, ce qui était prévu, c'est que tu partes et que, en cas d'échec de l'immigration, tu aies un délain de 2 ans pour revenir et être admissible au allocations chômage. Je ne sais pas si ça a changé depuis Citer
Habitués guacamaya Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 Pas tant un avis qu'un témoignage. Une collègue est partie en départ négocié. Si tôt partie, pareil, des remarques ont fusé. Tu sais ce qu'on dit: "loin des yeux, loin du coeur". N'empêche quand un employeur a appelé le nôtre pour savoir s'il la recommandait, il n'en a dit que du bien. Alors, vas savoir ce qui va se passer pour toi. C'est toujours dur de partir, respire, ça va aller. Citer
Habitués argentino2003 Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 Vaste question! bon courage pour trouver ta réponse. Pour ma part j'ai déjà posé ma démission. J'ai pensé à la rupture à l'amiable mais ne l'ai finalement pas fait car comme on devient non résidents, je ne sais pas si c'est trop possible. Mais comme on est 1 famille par ex, mon mari n'a pas encore démissionné, lui compte demander 1 congé sabbatique. Sûr que le départ est un investissement et déstabilise, à tous les niveaux. Je suis curieuse de lire les expériences et avis d'autres forumistes. Vous êtes chanceux d'avoir des congés sabbatiques en France. Il n'y a rien de ça en Argentine... Quand j'ai décidé d'immigrer, c'était un peu comme fermer les yeux puis sauter d'un tremplin à une piscine où je ne savais pas s'il y aurait de l'eau, des requins, du plomb bouillant ou quoi. Ç'a été vraiment un «leap of faith». À l'époque je n'avais aucun point de retour à cause du 40% de chômage qu'on avait, puis maintenant à cause de la discrimination par âge. J'ai 42 ans, à cause de mon âge (>35) c'est impossible pour moi de dénicher un poste dans mon pays natal. En bref, si vous avez la chance de pouvoir prendre un congé sabbatique, faites-le. Au moins, vous aurez la possibilité de faire un «rollback» si votre affaires ne marchent pas bien au Canada. Citer
Habitués tohonu Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 ... te poser des questions ou tout simplement ne pas te poser de question et demissionner. Je ne suis pas trop pour le principe de la rupture a l'amiable qui ne devrait concerner que les personnes qui sont en conflits avec l'employeur et non pas utilise pour demissionner en ayant un filet de secours. Personnellement je n'ai pas utilise cette option et j'ai demissionne mais sans surprise pour le patron car il savait 6 mois a l'avance que j'allai partir dans les environs de telle date. J'ai ensuite respecte un preavis de 2 mois. BOn terme ou non, lorsque tu veux partir eh bien tu demissionnes. Comme l'a fait Argentino2003, sans filet pour te recuperer !! A ton message tu sembles vouloir partir sans vouloir partir, tu sembles vouloir immigrer mais en ayant la securite du poste a l'etranger comme un ExPat, tu veux demissionner mais en ayant droit aux allocations chomages.. tu ne peux tout avoir !! addi68 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 Il est quand même rassurant psychologiquement de savoir qu'on peut recevoir, en cas d'échec de l'immigration, des prestations chômage pour lesquelles on a cotisé pendant des années pour pouvoir nous aider à repartir. Citer
Habitués paltrow Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 Merci pour vos réponses Pour les références, c'est juste que dans deux cas (un collègue qui a démissionné pour un poste plus près de son domicile car il voulait réduire son temps de trajet et passer du temps avec son jeune fils - et un collègue qui a saisi une opportunité mieux payée), à ma grande surprise, dès qu'ils sont partis, j'ai entendu des critiques sur ces deux personnes (alors qu'honnêtement ils faisaient très bien leurs boulots respectifs)... Ouep ben je n'ai pas énormément d'expérience du travail, mais je peux te dire que les démissions ne se passent jamais correctement. A chaque fois ça fait ch**r le patron ou ton collègue qui t'aimais bien ou qui lui aussi aimerai bien démissionné mais est trop jaloux que toi tu le fasse. C'est comme ça en france. Sinon tes questions c'est pas a nous de les poser mais a ton boss qui lui seul pourra te répondre, et lui demander ne te coutera rien. Citer
Habitués Vero_31 Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 Vous êtes chanceux d'avoir des congés sabbatiques en France. Il n'y a rien de ça en Argentine... Quand j'ai décidé d'immigrer, c'était un peu comme fermer les yeux puis sauter d'un tremplin à une piscine où je ne savais pas s'il y aurait de l'eau, des requins, du plomb bouillant ou quoi. Ç'a été vraiment un «leap of faith». À l'époque je n'avais aucun point de retour à cause du 40% de chômage qu'on avait, puis maintenant à cause de la discrimination par âge. J'ai 42 ans, à cause de mon âge (>35) c'est impossible pour moi de dénicher un poste dans mon pays natal. En bref, si vous avez la chance de pouvoir prendre un congé sabbatique, faites-le. Au moins, vous aurez la possibilité de faire un «rollback» si votre affaires ne marchent pas bien au Canada. Le congé sabbatique est récent en France. Et attention, sa durée varie de 6 à 11 mois, pas plus. Il est clair que si l'entreprise accepte le congé sabbatique, c'est un parachute non négligeable! Je le vois comme ça: je vais avoir 11 mois pour m'en sortir au Canada. ... te poser des questions ou tout simplement ne pas te poser de question et demissionner. Je ne suis pas trop pour le principe de la rupture a l'amiable qui ne devrait concerner que les personnes qui sont en conflits avec l'employeur et non pas utilise pour demissionner en ayant un filet de secours. Personnellement je n'ai pas utilise cette option et j'ai demissionne mais sans surprise pour le patron car il savait 6 mois a l'avance que j'allai partir dans les environs de telle date. J'ai ensuite respecte un preavis de 2 mois. BOn terme ou non, lorsque tu veux partir eh bien tu demissionnes. Comme l'a fait Argentino2003, sans filet pour te recuperer !! A ton message tu sembles vouloir partir sans vouloir partir, tu sembles vouloir immigrer mais en ayant la securite du poste a l'etranger comme un ExPat, tu veux demissionner mais en ayant droit aux allocations chomages.. tu ne peux tout avoir !! Mmmhhh... je suis d'accord avec toi sur le fait qu'on ne peut avoir le beurre, l'argent du beurre et le sourire de la crémière. Par contre, je suis convaincue qu'on a tout à gagner à rester dans les meilleurs termes possibles avec son employeur. Le monde professionnel peut s'avérer petit, très petit. Parfois, un océan n'arrête pas les réputations, bonnes ou mauvaises. Deux employeurs québécois ont contacté mes deux anciens managers français pour en savoir plus sur moi, incroyable hein mais c'est la vérité. Le "sans filet" c'est bien, mais le "avec filet" n'est pas moins méritant: l'aventure reste belle et courageuse, dans les deux cas. Citer
Habitués tohonu Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 Par contre, je suis convaincue qu'on a tout à gagner à rester dans les meilleurs termes possibles avec son employeur. Le monde professionnel peut s'avérer petit, très petit. Parfois, un océan n'arrête pas les réputations, bonnes ou mauvaises. Deux employeurs québécois ont contacté mes deux anciens managers français pour en savoir plus sur moi, incroyable hein mais c'est la vérité. De ce cote la je n'ai rien a craindre, je suis toujours reste en de bons termes avec employeurs et clients, d'ailleurs un d'eux m'a dit que si j'avais besoin de references, il suffisait de demander. Citer
Habitués crazy_marty Posté(e) 28 décembre 2011 Habitués Posté(e) 28 décembre 2011 Pis bon y'a aussi démission en demandant à casser son préavis, ou démission en s'engageant à effectuer le préavis en entier. Dans le premier cas clairement ça va pas faire plaisir parce que peu de temps de se retourner, dans le 2è cas, c'est pas comme si l'employeur a pas le temps de trouver une solution de remplacement. Et si l'employeur refuse de raccourcir le préavis, il sait très bien que tu en foutras pas une... Quant au congé sabbatique, dans la mesure où on le demande, le patron en déduira qu'on veut revenir. Le lâcher après 11 mois alors qu'il a gracieusement accordé le congé sabbatique sans en être obligé, ma foi, je trouve ça pire que de lui planter sa dém et de faire tranquile son préavis. Mais ce n'est que mon avis. Citer
Habitués Happymusher Posté(e) 29 décembre 2011 Auteur Habitués Posté(e) 29 décembre 2011 (modifié) De mon côté, je trouve qu'un congés sabbatique c'est intéressant quand on est fonctionnaire (mise à disponibilité) ou salarié d'une grande entreprise (où l'on peut espérer avoir un vivier de postes si retour il y a). Dans mon cas, je pars pour m'installer au Québec et mon objectif est vraiment que mon immigration et mon installation se passe du mieux que je peux. Je n'ai aucune intention de revenir en France ou de garder un lien psychologique donc le congés sabbatique est exclu. Je me rends compte en lisant vos avis que le mieux est effectivement de : 1/ demander le transfert de mon poste 2/ si pas accepté, demander une rupture conventionnelle J'exclus totalement de démissionner car je considère que j'ai beaucoup donné à cette structure et que pour une fois que je leur demande quelque chose, il pourrait faire un effort... Aussi la rupture conventionnelle offre un caractère plus sécurisant en matière de prestations si jamais je dois retarder mon départ d'un mois ou deux...Comme je suis en solo, c'est important et pragmatique. Modifié 29 décembre 2011 par Happymusher Citer
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