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Devrait-on imposer l'usage du français par règlement dans les écol


Laurent

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  • Habitués

Et puis, il faut aussi cesser de concevoir l'importance d'une langue qu'en fonction du marché du travail...

Je "réflexionne" à propos de ma propre affirmation... :tongue: et cela m'amène à une petite question aux immigrants, particulièrement aux cousins français et plus largement à ceux dont la culture est de tradition française.

Résultant de votre proche choix d'immigrer, est-ce que cela vous chicote d'une quelconque manière de penser que vos enfants et leur propre progéniture pourraient éventuellement perdre l'usage de leur langue maternelle et conséquemment, la transmission de la culture française sous-jacente?

Sous question: Est-ce qu'on y pense de la même manière ou différemment lorsque l'immigration se fait dans une province anglophone du Canada?

Je ne suis pas immigrant mais je vais répondre quand même...je connais un maudit paquet de Francais

Ils sont (en général) complètement inconscient de tout ca....comme ils le sont et l'étaient en France.

Combien de fois on a vue sur ce forum des Francais qui immigrent dans le Roc et qui te regarde héberlué quand on leur dit que leurs enfants et/ou petits enfants seront des anglos.

Le taux d'assimilation a l'anglais en Acadie est de 9% par génération, 30% dans le reste du Canada...mais pour une curieuse raison les Francais pensent tous que ca ne leur arrivera pas a eux.

jimmy

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  • Habitués

Quand même, j'aimerais bien lire les témoignages des principaux concernés... :smile:

Quant à ma propre famille d'origine franco-ontarienne, il y a eu une scission par le passé. Ceux demeurés en Ontario se sont peu à peu assimilés à la majorité anglophone tandis que ceux revenus au Québec (comme mon père et quelques uns de ses frères et soeurs), ont fondé des familles francophones à Montréal.

J'ai aussi de la famille aux USA et pour ceux là, on ne parle plus et ne consomme plus de culture française depuis belle lurette.

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  • Habitués

Résultant de votre proche choix d'immigrer, est-ce que cela vous chicote d'une quelconque manière de penser que vos enfants et leur propre progéniture pourraient éventuellement perdre l'usage de leur langue maternelle et conséquemment, la transmission de la culture française sous-jacente?

Cela me chicote un peu en effet.

Si je suis "tranquille" pour mes enfants, (ils sont grands et conserveront l'acquis qu'ils ont depuis leur naissance), pour leur descendance,je suis conscient que ce sera à eux de participer à cette conservation de la langue et de la culture française. Et cette défense ou pas sera le résultat de leur vécu sur place...

Mais immigrer, c'est souhaiter s'adapter à la culture du pays d'accueil.

En m'adaptant moi même à la culture québécoise, je suis conscient que je participerai aussi à l'éloignement de nos racines familiales.

Mes enfants et leurs descendants suivront la tendance de la culture québécoise, et si elle vire anglo, ils suivront...

A nous (notre génération) de faire ce qu'il faut pour continuer à préserver les différences et conserver cette culture non-anglo

J'ai aussi de la famille aux USA et pour ceux là, on ne parle plus et ne consomme plus de culture française depuis belle lurette.

Et ... est elle plus malheureuse?

Comment vit elle cette perte de ses racines??

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  • Habitués

Pour ce qui est la primauté du français, le gouvernement doit régler certaines incohérences internes.

Le Gouvernement du Québec dit que le français est la langue officielle du Québec, d'accord.

Mais il offre tous ses services en anglais et en français, même en espagnol sur le site du Ministère de l'Immigration!

Avant la loi 101 les immigrants pouvaient envoyer leurs enfants a l'école anglaise.

Il y avait pleins de campagne d'information, de publicité pour inciter les immigrants a envoyer leurs enfants a l'école francaise.

Rien n'y fit, ils envoyaient leurs enfants a l'école anglaise dans des proportions de 85%.

Les immigrants disaient, comme tu le dis, c'est incohérent vous voulez que l'on envoie nos enfants a l'école francaise alors que vous offrez aussi l'école anglaise.

Petite nuance : les immigrants ayant le statut de travailleur temporaire peuvent envoyer leurs enfants à l'école anglaise. Première faille donc. Un collègue espagnol me parlait de ça il y a quelques jours, me demandant si on allait aussi faire la même chose car on a aussi ce statut. Ce qui le motive evidemment c'est que ces enfants soient bilingues très tôt. Aussi pour lui, la qualité de l'enseignement est supérieure.

S'ils sont travailleurs temporaire on s'en fout que leurs enfants vivent en francais ou pas, ils ne resteront pas ici de toute facon.

Le problème c'est les immigrants et leurs enfants qui vivent TOUTE LEUR CRISSE de VIE au Québec et qui ne disent pas un ostie de mot de francais. :angry:

jimmy

Mais bien sûr que non ! en tout cas pas dans tous les cas. Moi-même et mon collègue sommes passés par un visa temporaire pour accélerer la procédure. Je l'ai eu en un mois !! en parallèle j'ai fais la demande de RP et mon collègue aussi car on se voit à long terme ici, mais entre-temps il a inscrit ses enfants à l'école anglo. Donc c'est une ruse connue pour contourner le système et profiter des écoles anglos. Alors ça ne touche probablement pas la majorité des immigrants, certes, mais c'est toujours un coup de plus porté à l'apprentissage du français par les anglos ou allophones.

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  • Habitués

Et puis, il faut aussi cesser de concevoir l'importance d'une langue qu'en fonction du marché du travail...

Je "réflexionne" à propos de ma propre affirmation... :tongue: et cela m'amène à une petite question aux immigrants, particulièrement aux cousins français et plus largement à ceux dont la culture est de tradition française.

Résultant de votre proche choix d'immigrer, est-ce que cela vous chicote d'une quelconque manière de penser que vos enfants et leur propre progéniture pourraient éventuellement perdre l'usage de leur langue maternelle et conséquemment, la transmission de la culture française sous-jacente?

Sous question: Est-ce qu'on y pense de la même manière ou différemment lorsque l'immigration se fait dans une province anglophone du Canada?

Je ne me soucie pas de ma propre progéniture car ils parlent déjà français et il n'y a pas de risques qu'on parle anglais sous notre toit. Par contre pour leurs enfants, si on est toujours ici, les choses pourraient être différentes et ça m'embêrait. Comme dans le cas où mes enfants se mariaient avec un/une anglo ne parlant pas le français par exemple. Si ça arrive je leur dirait d'aller vivre dans le ROC ! non mais... :biggrin2:

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  • Habitués

Mes enfants et leurs descendants suivront la tendance de la culture québécoise, et si elle vire anglo, ils suivront...

A nous (notre génération) de faire ce qu'il faut pour continuer à préserver les différences et conserver cette culture non-anglo.

Ben tu vois, cela j'ai beaucoup de mal à l'affirmer avec autant de détachement et désinvolture.....

Sans doute parce que c'est la seule que j'ai et que cela fait toute la différence...

J'ai aussi de la famille aux USA et pour ceux là, on ne parle plus et ne consomme plus de culture française depuis belle lurette.

Et ... est elle plus malheureuse?

Comment vit elle cette perte de ses racines??

Non, je ne crois pas... :sleep: Je vous dire, cela a été difficile pour la première génération, mes propres cousins et cousines arrivés avec leurs parents mais depuis, le temps a passé et deux nouvelles générations sont nés aux USA et pour ces dernières, elles n'ont jamais connu autre chose que le soleil de la Floride et c'est pas si mal!

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  • Habitués

Il ne s'agit pas de désinvolture, mais de réalisme...

Moi même, j'en serai un peu le responsable puisque j'immigre dans une autre culture (même si un peu française quand même ! )

mes enfants ont reçu des repères de moi, leurs enfants en recevront à leur tour de leurs parents.

Si la culture québécoise les satisfait, les repères transmis y seront fidèles. sinon, ils iront dans le sens d'une autre culture, anglo peut être, hispanique ou autre peut-être, voire même un retour à la case départ (France)... qui sait !

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  • Habitués

Il ne s'agit pas de désinvolture, mais de réalisme...

Désolée, je ne voulais pas te choquer par l'emploi de ce mot. De mon point de vue de Québécoise, je me sentirais désinvolte de penser de cette même manière. Je dirai plutôt que c'est une question de conscience...

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  • Habitués

Je ne me soucie pas de ma propre progéniture car ils parlent déjà français et il n'y a pas de risques qu'on parle anglais sous notre toit.

Tu peux te permettre de dire cela parce que l'environnement au Québec est encore suffisamment francophone sauf que la direction du vent pourrait changer rapidement de côté. Si je prend l'exemple de mes cousins américains, ils sont tous arrivés en Floride entre l'âge de 8 à15 ans, alors qu'ils maitrisaient tous parfaitement le français. Je me souviens que par la suite, lors de visites occasionnelles au Québec, ils "cassaient" de plus en plus leur français, cherchaient leurs mots ou étaient incapables de bien nous comprendre. Cela c'est accentué avec les années et leurs propres enfants ne parlent pas le français.

Ce phénomène pourrait aussi arriver au Québec si l'anglicisation se poursuit. En outre, notre propre français québécois "magané" vient aussi de cette longue cohabitation avec nos compatriotes anglophones.

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Je ne me soucie pas de ma propre progéniture car ils parlent déjà français et il n'y a pas de risques qu'on parle anglais sous notre toit.

Tu peux te permettre de dire cela parce que l'environnement au Québec est encore suffisamment francophone sauf que la direction du vent pourrait changer rapidement de côté. Si je prend l'exemple de mes cousins américains, ils sont tous arrivés en Floride entre l'âge de 8 à15 ans, alors qu'ils maitrisaient tous parfaitement le français. Je me souviens que par la suite, lors de visites occasionnelles au Québec, ils "cassaient" de plus en plus leur français, cherchaient leurs mots ou étaient incapables de bien nous comprendre. Cela c'est accentué avec les années et leurs propres enfants ne parlent pas le français.

Ce phénomène pourrait aussi arriver au Québec si l'anglicisation se poursuit. En outre, notre propre français québécois "magané" vient aussi de cette longue cohabitation avec nos compatriotes anglophones.

Tu as raison, on ne sait pas encore comment les choses vont évoluer. Mais tu admettras qu'entre ma famille, française de souche et parlant français au quotidien, et d'autres familles où l'anglais à sa place à la maison notamment, ce n'est pas tout à fait les mêmes risques. Pour revenir à mon collègue espagnol : lui parle très bien français, mes ses enfants ne parlent qu'espagnol et commencent l'anglais. Donc le français pour eux : nada ! même si leur père essaiera un peu de les initier, les gamins vont fréquenter des copains anglos/allophones à l'école, donc les dés sont déjà jetés en ce qui les concerne.

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  • Habitués

Je ne me soucie pas de ma propre progéniture car ils parlent déjà français et il n'y a pas de risques qu'on parle anglais sous notre toit.

Tu peux te permettre de dire cela parce que l'environnement au Québec est encore suffisamment francophone sauf que la direction du vent pourrait changer rapidement de côté. Si je prend l'exemple de mes cousins américains, ils sont tous arrivés en Floride entre l'âge de 8 à15 ans, alors qu'ils maitrisaient tous parfaitement le français. Je me souviens que par la suite, lors de visites occasionnelles au Québec, ils "cassaient" de plus en plus leur français, cherchaient leurs mots ou étaient incapables de bien nous comprendre. Cela c'est accentué avec les années et leurs propres enfants ne parlent pas le français.

Ce phénomène pourrait aussi arriver au Québec si l'anglicisation se poursuit. En outre, notre propre français québécois "magané" vient aussi de cette longue cohabitation avec nos compatriotes anglophones.

Tu as raison, on ne sait pas encore comment les choses vont évoluer. Mais tu admettras qu'entre ma famille, française de souche et parlant français au quotidien, et d'autres familles où l'anglais à sa place à la maison notamment, ce n'est pas tout à fait les mêmes risques. Pour revenir à mon collègue espagnol : lui parle très bien français, mes ses enfants ne parlent qu'espagnol et commencent l'anglais. Donc le français pour eux : nada ! même si leur père essaiera un peu de les initier, les gamins vont fréquenter des copains anglos/allophones à l'école, donc les dés sont déjà jetés en ce qui les concerne.

En fait, ce n'est pas cela que j'essaie de mettre en lumière. Je dis que même si la famille est parfaitement française de souche, si l'environnement est exclusivement (ou même à forte prédominance anglaise), tôt ou tard, il y une assimilation complète. C'est notamment le cas de l'Ouest canadien. Peu de gens savent qu'auparavant, il y avait plus de francophones que l'inverse. Cette majorité s'est estompée au fil du temps sous le coup de l'immigration anglophone et des politiques linguistiques favorisant la langue anglaise.

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  • Habitués

Je ne me soucie pas de ma propre progéniture car ils parlent déjà français et il n'y a pas de risques qu'on parle anglais sous notre toit.

Tu peux te permettre de dire cela parce que l'environnement au Québec est encore suffisamment francophone sauf que la direction du vent pourrait changer rapidement de côté. Si je prend l'exemple de mes cousins américains, ils sont tous arrivés en Floride entre l'âge de 8 à15 ans, alors qu'ils maitrisaient tous parfaitement le français. Je me souviens que par la suite, lors de visites occasionnelles au Québec, ils "cassaient" de plus en plus leur français, cherchaient leurs mots ou étaient incapables de bien nous comprendre. Cela c'est accentué avec les années et leurs propres enfants ne parlent pas le français.

Ce phénomène pourrait aussi arriver au Québec si l'anglicisation se poursuit. En outre, notre propre français québécois "magané" vient aussi de cette longue cohabitation avec nos compatriotes anglophones.

Tu as raison, on ne sait pas encore comment les choses vont évoluer. Mais tu admettras qu'entre ma famille, française de souche et parlant français au quotidien, et d'autres familles où l'anglais à sa place à la maison notamment, ce n'est pas tout à fait les mêmes risques. Pour revenir à mon collègue espagnol : lui parle très bien français, mes ses enfants ne parlent qu'espagnol et commencent l'anglais. Donc le français pour eux : nada ! même si leur père essaiera un peu de les initier, les gamins vont fréquenter des copains anglos/allophones à l'école, donc les dés sont déjà jetés en ce qui les concerne.

En fait, ce n'est pas cela que j'essaie de mettre en lumière. Je dis que même si la famille est parfaitement française de souche, si l'environnement est exclusivement (ou même à forte prédominance anglaise), tôt ou tard, il y une assimilation complète. C'est notamment le cas de l'Ouest canadien. Peu de gens savent qu'auparavant, il y avait plus de francophones que l'inverse. Cette majorité s'est estompée au fil du temps sous le coup de l'immigration anglophone et des politiques linguistiques favorisant la langue anglaise.

Oui l'environnement mais le choix aussi, comme ça été dit un peu plus haut. Sincèrement, rien n'empêche aujourd'hui une famille anglo de vivre exclusivement en langue anglaise. Et comme on ne peut pas compter sur leur bonne volonté pour apprendre le français, il est extrêmement ardu pour ces personnes là de "basculer" dans la francophonie. Par exemple ils vont naturellement s'installer dans un quartier anglo. Mettre leurs enfants à l'école anglaise. Fréquenter des amis anglais. Regarder les chaînes anglaises. C'est naturel, on se rapproche de nos semblables alors que ça demande un réel effort pour eux de changer de culture.

Donc pour moi le levier il est à activer à la source, avant l'entrée de ces immigrants anglos/allos car après le changement est impossible : exiger de leur part un niveau en français, au moins pour les parents et rendre obligatoire des cours en français une fois sur place.

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  • Habitués

Petite note pour Franckgb.

Une des raisons pour laquelle même le PQ (ainsi bien sur les autres partis) veut que les anglos du Québec continue a se faire servir en anglais , c'est pour protéger le droit aux Franco-Ontarien, Franco-Manitobain, Acadiens de se faire servir en francais.

René Lévesque a toujours dit au Canada anglais, nous allons nous occupé de notre minorité, mais vous au Canada anglais, occupez vous de la votre.

Le ''fair play'' tout britanique a fait que des services en francais sont apparues dans le Roc.

jimmy

Ben là.... faut ptet pas pousser mémère...."vouloir" que les anglos soient servis en anglais, c'est pas franchement un choix. Et pour cotoyer un peu les franco-ontariens, j'ai l'impression que si desormais il y a tant de services francophones dans leur province c'est pas franchement grâce aux québécois mais surtout grâce à leur combats.

Je ne sais pas pour les fransaskois ou manitobains, mais clairement les franco-ontariens si il y a une raison pourquoi ils sont là encore c'est grâce à eux et uniquement grâce à eux. On peut par exemple parler du combat de Montfort qui est un bon exemple. mais bon c'est un autre débat :)

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Et puis, il faut aussi cesser de concevoir l'importance d'une langue qu'en fonction du marché du travail...

Je "réflexionne" à propos de ma propre affirmation... :tongue: et cela m'amène à une petite question aux immigrants, particulièrement aux cousins français et plus largement à ceux dont la culture est de tradition française.

Résultant de votre proche choix d'immigrer, est-ce que cela vous chicote d'une quelconque manière de penser que vos enfants et leur propre progéniture pourraient éventuellement perdre l'usage de leur langue maternelle et conséquemment, la transmission de la culture française sous-jacente?

Sous question: Est-ce qu'on y pense de la même manière ou différemment lorsque l'immigration se fait dans une province anglophone du Canada?

Je pense qu'en immigrant on connait ou on réalise très rapidement cette réalité. Quand j'aurais des enfants je tâcherais de leur transmettre mon identité française, mais eux seront immergé dans le québécois... et donc ils seront un québécois et français. Tu parle de la perte de l'usage du français, si tu vis au Québec c'est quand même une fatalité pas mal évitable. Mais celle de l'identité française, je vois pas comment mes petits enfants feront pour être des petits français. Je passerai pour le vieux con de service certainement.

Mais bref rien de facile.... mais cela fait parti des choses auxquelles tu renonces en immigrant plus ou moins

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  • Habitués

Un des «effets sécondaires» de l'immigration est justement la perte de contact avec nos traditions, la langue, la réalité quotidienne du pays natal, etc.

Si les traditions, la langue, le milieu local, etc. son tellement importants pour un, la meilleure chose à faire est de rentrer chez soi.

Sinon, vous allez souffrir et faire souffrir pour rien.

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