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Des tests linguistiques pour les immigrants

Québec veut identifier les nouveaux arrivants à qui il recommanderait de suivre un cours de français pour intégrer le marché du travail

Robert Dutrisac 1 juin 2011 Québec

Le Devoir

Québec La ministre de l'Immigration et des Communautés culturelles, Kathleen Weil, imposera sous peu des tests de français «standardisés» aux immigrants afin d'identifier les nouveaux arrivants qui ne connaissent pas suffisamment le français pour exercer leur métier ou leur profession.

«Ce sera un test pour vraiment établir le niveau de français qu'ils ont pour s'assurer qu'ils puissent intégrer le marché du travail», a indiqué, hier, au Devoir Kathleen Weil avant de participer à la commission parlementaire qui se penche sur la planification de l'immigration au Québec pour la période 2012-2015.

De plus en plus d'immigrants au Québec déclarent connaître le français, soit 65 % des personnes admises en 2010 ou 77 % des travailleurs qualifiés sélectionnés. Or, paradoxalement, de plus en plus de ces nouveaux arrivants qui disent avoir une connaissance de la langue de Molière ne maîtrisent pas suffisamment le français pour exercer leur métier ou leur profession. Selon certaines données du ministère, le quart de ces immigrants prétendument francophones seraient dans cette situation, ce qui les empêcherait d'occuper à leur arrivée un emploi dans leur domaine.

Les tests standardisés, qui seront imposés aux candidats à l'immigration avant leur sélection, permettront «de déterminer objectivement le niveau du candidat» en français pour qu'ensuite, on lui recommande de suivre des cours, si besoin est, a-t-on précisé au cabinet de la ministre.

Selon le Syndicat des professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ), qui représente les 73 conseillers chargés de traiter les quelque 80 000 demandes annuelles d'immigration, la nouvelle grille de sélection, qui est entrée en vigueur en octobre 2009, favorise de façon «disproportionnée» les candidats qui possèdent une formation dans un domaine privilégié. Ainsi, une infirmière, un chimiste ou un statisticien dont la connaissance du français est sommaire ou nulle sera tout de même sélectionné de façon «quasi automatique» même s'il ne peut pas exercer sa profession avant plusieurs années, dénonce le SPGQ.

Son président, Gilles Dussault, a souligné, hier, les lacunes dans la sélection des immigrants, qu'un rapport du Vérificateur général du Québec avaient constatées en 2010. À son avis, le Québec, compte tenu des maigres moyens engagés dans la sélection, ne devait pas accueillir plus de 40 000 immigrants alors que le seuil envisagé par la ministre à l'heure actuelle est de 50 000.

Ce manque de moyens se répercute dans le programme d'immigrants investisseurs. Les candidats subissent un délai de deux ans et demi à trois ans et près de 12 000 dossiers sont en attente, et ce, même si le candidat débourse 4000 $ pour l'analyse, ont signalé, hier, les économistes Pierre Fortin et Pierre Emmanuel Paradis. Selon leurs calculs, le Québec se prive ainsi de retombées économiques substantielles.

source : http://www.ledevoir.com/politique/quebec/324497/des-tests-linguistiques-pour-les-immigrants

  • Habitués
Posté(e)

Je suis pour.

D'ailleurs, pour mon service, nous faisons passer des tests d'anglais après l'entrevue avec l'obligation d'obtenir B en compréhension et en expression. Donc pourquoi ne pas faire passer des tests de français ?

  • Habitués
Posté(e)

Je suis pour.

D'ailleurs, pour mon service, nous faisons passer des tests d'anglais après l'entrevue avec l'obligation d'obtenir B en compréhension et en expression. Donc pourquoi ne pas faire passer des tests de français ?

La Délégation du Québec en Argentine (présentément déménagée à Sao Paulo, Brésil) m'a fait passer (en 2003)

un test de langue française à l'Alliance Française (160 USD).

(Possiblement parce que le français n'est pas une langue courante en Argentine)

  • Habitués
Posté(e)

"De plus en plus d'immigrants au Québec déclarent connaître le français, soit 65 % des personnes admises en 2010 ou 77 % des travailleurs qualifiés sélectionnés. Or, paradoxalement, de plus en plus de ces nouveaux arrivants qui disent avoir une connaissance de la langue de Molière ne maîtrisent pas suffisamment le français pour exercer leur métier ou leur profession. Selon certaines données du ministère, le quart de ces immigrants prétendument francophones seraient dans cette situation, ce qui les empêcherait d'occuper à leur arrivée un emploi dans leur domaine."

Le problème, n'est pas seulement la langue, si les diplômes étaient reconnus dès l'arrivée des immigrants, ils seront plus motivés de perfectionner le français ou l'anglais afin de travailler dans le domaine de formation, mais bon la réalité des choses est autrement!!!!!!!!!!!!!!!

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

"De plus en plus d'immigrants au Québec déclarent connaître le français, soit 65 % des personnes admises en 2010 ou 77 % des travailleurs qualifiés sélectionnés. Or, paradoxalement, de plus en plus de ces nouveaux arrivants qui disent avoir une connaissance de la langue de Molière ne maîtrisent pas suffisamment le français pour exercer leur métier ou leur profession. Selon certaines données du ministère, le quart de ces immigrants prétendument francophones seraient dans cette situation, ce qui les empêcherait d'occuper à leur arrivée un emploi dans leur domaine."

Le problème, n'est pas seulement la langue, si les diplômes étaient reconnus dès l'arrivée des immigrants, ils seront plus motivés de perfectionner le français ou l'anglais afin de travailler dans le domaine de formation, mais bon la réalité des choses est autrement!!!!!!!!!!!!!!!

Le taux de chômage chez les immigrants est trop élevé, et c'esten partie à cause de la grille de sélection», soutient la présidente du CRI,Patricia Rimok.

Le CRI s'inquiète aussi des délais.Selon leur pays d'origine, les immigrants doivent attendre de 18 mois à 5 ans (pauvres maghrébins) entre leur demande et leur arrivée. ….. Mais selon Mme Rimok,le gouvernement devrait aussi s'inspirer de la FTQ, dont le programme de francisation est adapté au métier du nouvel arrivant. Il apprend donc le lexique lié à son travail pourmieux pouvoir s'y intégrer.

«Il faudrait aussi ajouter un nouvel élément à la grille, les compétences pour letravail», ajoute-t-elle.

Selon un rapport du vérificateur généralpublié l'année dernière, seulement 9% des travailleurs qualifiés répondent auxbesoins dans les domaines de formation privilégiés par le Québec.

Elle voudrait aussi que l'évaluation del'expérience soit mieux arrimée aux besoins du marché du travail. Le ministère de l'Emploi devrait s'en assurer ……et il faudrait ajouter plus de points à cette expérience de travail……

Source : http://www.cyberpres...-immigrants.php

Modifié par acineray
  • Habitués
Posté(e)

"De plus en plus d'immigrants au Québec déclarent connaître le français, soit 65 % des personnes admises en 2010 ou 77 % des travailleurs qualifiés sélectionnés. Or, paradoxalement, de plus en plus de ces nouveaux arrivants qui disent avoir une connaissance de la langue de Molière ne maîtrisent pas suffisamment le français pour exercer leur métier ou leur profession. Selon certaines données du ministère, le quart de ces immigrants prétendument francophones seraient dans cette situation, ce qui les empêcherait d'occuper à leur arrivée un emploi dans leur domaine."

Le problème, n'est pas seulement la langue, si les diplômes étaient reconnus dès l'arrivée des immigrants, ils seront plus motivés de perfectionner le français ou l'anglais afin de travailler dans le domaine de formation, mais bon la réalité des choses est autrement!!!!!!!!!!!!!!!

Et certains infirmiers peu francophones qui arrivent avec un boulot dejà sur place parviennent-ils quand-même à perfectionner leur niveau de français? :spiteful:

  • Habitués
Posté(e)
La Délégation du Québec en Argentine (présentément déménagée à Sao Paulo, Brésil) m'a fait passer (en 2003)

un test de langue française à l'Alliance Française (160 USD).

(Possiblement parce que le français n'est pas une langue courante en Argentine)

C'est con, il suffisait qu'ils viennent lire tes interventions sur le forum pour te faire économiser 160$ ...:)

  • Habitués
Posté(e)

Merci...

En fait, je trouve raisonnable que le Québec fasse passer un examen de français à tous ceux qui venons

d'un pays non-francophone.

  • Habitués
Posté(e)

Ils devraient aussi en faire passer à certains profs de Français.

Quand on en lit certains , on dirait que le diplôme a été trouvé dans une pochette surprise.

  • Habitués
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Là, t'as pas tort Silicon ...

Pis ne pas hésiter à demander la même chose pour ceux qui enseignent l'anglais dans les écoles publiques québécoises ...

Tiens, puisqu'on parle de ça (le français).

J'ai une question pour les québécois(e)s et les autres aussi mais bon, l'avis des pures-laine est plus pertinent.

Dit-on "J'ai hâte à noël" ou bien "j'ai hâte d'être à noël" ?

J'ai lu ça dans un manuel de mon fils de première année et ça m'a paru bizarre. Sa prof m'a dit que c'est "j'ai hâte à ..." qui est la bonne version en français.

Si c'est hors sujet, je m'auto-modèrerai ...

  • Habitués
Posté(e)

Dit-on "J'ai hâte à noël" ou bien "j'ai hâte d'être à noël" ?

J'ai lu ça dans un manuel de mon fils de première année et ça m'a paru bizarre. Sa prof m'a dit que c'est "j'ai hâte à ..." qui est la bonne version en français.

Si c'est hors sujet, je m'auto-modèrerai ...

C'est un québécisme...

http://www.radio-canada.ca/radio/francaismicro/description.asp?ID=1689&CAT=H&leid=553&lacat=z

  • Habitués
Posté(e)

Je suis pour.

D'ailleurs, pour mon service, nous faisons passer des tests d'anglais après l'entrevue avec l'obligation d'obtenir B en compréhension et en expression. Donc pourquoi ne pas faire passer des tests de français ?

Il ya en a qui auront un C1 en compréhension et fleurer un B1 soit proche dun A à lexpression orale lenvironnement une fois au Québec laidera beaucoup à lheure de peaufiner son expression orale surtout quand on vient dun pays non francophone, donc trop visser à ce niveau peut justement bloquer de nombreux travailleurs qualifiés

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Dit-on "J'ai hâte à noël" ou bien "j'ai hâte d'être à noël" ?

J'ai lu ça dans un manuel de mon fils de première année et ça m'a paru bizarre. Sa prof m'a dit que c'est "j'ai hâte à ..." qui est la bonne version en français.

Si c'est hors sujet, je m'auto-modèrerai ...

C'est un québécisme...

http://www.radio-can...eid=553&lacat=z

Ici, il s'agit de la francisation et des tests linguistiques pour les nouveaux arrivants pas pour les québécois .

Le français ne va pas vous manquez n'ayez -pas peur ! il vous protégera jusqu'à la fin de ses jours et après l'anglais ne vous fera aucun mal - donc pourquoi détourner ou s'emparer du sujet à chaque fois ?.

-Laisser votre français appartenir à tout le monde et c la meilleure façon de le protéger !.

Modifié par acineray
  • Habitués
Posté(e)

Des tests linguistiques pour les immigrants

Québec veut identifier les nouveaux arrivants à qui il recommanderait de suivre un cours de français pour intégrer le marché du travail

Robert Dutrisac 1 juin 2011 Québec

Le Devoir

Québec La ministre de l'Immigration et des Communautés culturelles, Kathleen Weil, imposera sous peu des tests de français «standardisés» aux immigrants afin d'identifier les nouveaux arrivants qui ne connaissent pas suffisamment le français pour exercer leur métier ou leur profession.

«Ce sera un test pour vraiment établir le niveau de français qu'ils ont pour s'assurer qu'ils puissent intégrer le marché du travail», a indiqué, hier, au Devoir Kathleen Weil avant de participer à la commission parlementaire qui se penche sur la planification de l'immigration au Québec pour la période 2012-2015.

De plus en plus d'immigrants au Québec déclarent connaître le français, soit 65 % des personnes admises en 2010 ou 77 % des travailleurs qualifiés sélectionnés. Or, paradoxalement, de plus en plus de ces nouveaux arrivants qui disent avoir une connaissance de la langue de Molière ne maîtrisent pas suffisamment le français pour exercer leur métier ou leur profession. Selon certaines données du ministère, le quart de ces immigrants prétendument francophones seraient dans cette situation, ce qui les empêcherait d'occuper à leur arrivée un emploi dans leur domaine.

Les tests standardisés, qui seront imposés aux candidats à l'immigration avant leur sélection, permettront «de déterminer objectivement le niveau du candidat» en français pour qu'ensuite, on lui recommande de suivre des cours, si besoin est, a-t-on précisé au cabinet de la ministre.

Selon le Syndicat des professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ), qui représente les 73 conseillers chargés de traiter les quelque 80 000 demandes annuelles d'immigration, la nouvelle grille de sélection, qui est entrée en vigueur en octobre 2009, favorise de façon «disproportionnée» les candidats qui possèdent une formation dans un domaine privilégié. Ainsi, une infirmière, un chimiste ou un statisticien dont la connaissance du français est sommaire ou nulle sera tout de même sélectionné de façon «quasi automatique» même s'il ne peut pas exercer sa profession avant plusieurs années, dénonce le SPGQ.

Son président, Gilles Dussault, a souligné, hier, les lacunes dans la sélection des immigrants, qu'un rapport du Vérificateur général du Québec avaient constatées en 2010. À son avis, le Québec, compte tenu des maigres moyens engagés dans la sélection, ne devait pas accueillir plus de 40 000 immigrants alors que le seuil envisagé par la ministre à l'heure actuelle est de 50 000.

Ce manque de moyens se répercute dans le programme d'immigrants investisseurs. Les candidats subissent un délai de deux ans et demi à trois ans et près de 12 000 dossiers sont en attente, et ce, même si le candidat débourse 4000 $ pour l'analyse, ont signalé, hier, les économistes Pierre Fortin et Pierre Emmanuel Paradis. Selon leurs calculs, le Québec se prive ainsi de retombées économiques substantielles.

source : http://www.ledevoir....-les-immigrants

C'est exactement ce qui est ressorti des stats des DSI (Directrices des soins infirmiers) d'hôpitaux après les premiers stages des infirmières non francophones. Un problème pour elles, elles ne savent pas quoi en faire. Elles ont proposé de leur offrir une formation de préposée aux bénéficiaires. C'est en discussion au Ministère.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

je proposerai qu'on fasse ce genre de tests aux futurs immigrants avant le l'obtention du CSQ pas après être arrivés ça leur fera des économies!!!!aux immigrants bien sûr....

Modifié par assialand
  • 3 weeks later...
Posté(e) (modifié)

Les tests standardisés devront selon les indications être effectués avant que le candidat dépose sa demande. Ainsi le requérant l'acheminerait avec la DCS., probablement fin automne 2011 ou hiver 2012

En effet, MICC serait en train de préparer une nouvelle grille de pointage, un nouveau système de validation documentaire

( tests linguistiques avant dépôt pour tous les territoires y compris francophones, authentification préalable des diplômes, et relevés de notes ainsi que de la légalité de l'expérience professionnelle dès le dépôt)

Cela aurait pour objectif d'éliminer le plus d'entrevues, ( les entrevues nécessaires seront plus ciblées) , de traiter les dossiers plus rapidement, tout en diminuant les délais d'attente et répérer la fraude en amont.

La question est de savoir si ces procédures seront rétroactivement appliquées aux dossiers déjà déposées et en attente ou non. Bien d'autres questions se posent avec ce nouveau processus qui ressemblerait plus à celui de l'Australie

.

À suivre

Modifié par MAIARA
Posté(e)

Les tests standardisés devront selon les indications être effectués avant que le candidat dépose sa demande. Ainsi le requérant l'acheminerait avec la DCS., probablement fin automne 2011 ou hiver 2012

En effet, MICC serait en train de préparer une nouvelle grille de pointage, un nouveau système de validation documentaire

( tests linguistiques avant dépôt pour tous les territoires y compris francophones, authentification préalable des diplômes, et relevés de notes ainsi que de la légalité de l'expérience professionnelle dès le dépôt)

Cela aurait pour objectif d'éliminer le plus d'entrevues, ( les entrevues nécessaires seront plus ciblées) , de traiter les dossiers plus rapidement, tout en diminuant les délais d'attente et répérer la fraude en amont.

La question est de savoir si ces procédures seront rétroactivement appliquées aux dossiers déjà déposées et en attente ou non. Bien d'autres questions se posent avec ce nouveau processus qui ressemblerait plus à celui de l'Australie

.

À suivre

  • Habitués
Posté(e)

"De plus en plus d'immigrants au Québec déclarent connaître le français, soit 65 % des personnes admises en 2010 ou 77 % des travailleurs qualifiés sélectionnés. Or, paradoxalement, de plus en plus de ces nouveaux arrivants qui disent avoir une connaissance de la langue de Molière ne maîtrisent pas suffisamment le français pour exercer leur métier ou leur profession. Selon certaines données du ministère, le quart de ces immigrants prétendument francophones seraient dans cette situation, ce qui les empêcherait d'occuper à leur arrivée un emploi dans leur domaine."

Le problème, n'est pas seulement la langue, si les diplômes étaient reconnus dès l'arrivée des immigrants, ils seront plus motivés de perfectionner le français ou l'anglais afin de travailler dans le domaine de formation, mais bon la réalité des choses est autrement!!!!!!!!!!!!!!!

Et certains infirmiers peu francophones qui arrivent avec un boulot dejà sur place parviennent-ils quand-même à perfectionner leur niveau de français? :spiteful:

Il est évident que "un boulot sur place" n'est pas garanti au sens où on pourrait l'entendre. En fait, ils ont signé un contrat, mais, une fois arrivés ici, sont évalués en fonction de leurs connaissances aussi bien que leurs compétences linguistiques. Et c'est vrai que l'on rencontre un réel problème pour certains immigrés qui ont le "bon diplôme", l'expérience dans leur pays, mais des difficultés de compréhension et d'expression du fait que ce n'est pas leur langue maternelle. On en est à évaluer s'il est jouable de leur donner des cours de francisation (ça a déjà été fait, mais ils abandonnent au bout de quelques semaines de cours du soir, parce que cela en plus du travail du jour est insurmontable pour eux) ou bien de leur offrir un poste de préposé aux bénéficiaires.

  • Habitués
Posté(e)

Les tests standardisés devront selon les indications être effectués avant que le candidat dépose sa demande. Ainsi le requérant l'acheminerait avec la DCS., probablement fin automne 2011 ou hiver 2012

En effet, MICC serait en train de préparer une nouvelle grille de pointage, un nouveau système de validation documentaire

( tests linguistiques avant dépôt pour tous les territoires y compris francophones, authentification préalable des diplômes, et relevés de notes ainsi que de la légalité de l'expérience professionnelle dès le dépôt)

Cela aurait pour objectif d'éliminer le plus d'entrevues, ( les entrevues nécessaires seront plus ciblées) , de traiter les dossiers plus rapidement, tout en diminuant les délais d'attente et répérer la fraude en amont.

La question est de savoir si ces procédures seront rétroactivement appliquées aux dossiers déjà déposées et en attente ou non. Bien d'autres questions se posent avec ce nouveau processus qui ressemblerait plus à celui de l'Australie

.

À suivre

La loi nest pas rétroactive. Et pourquoi pas aussi un solide test danglais:spiteful: ça peut toujours aider pour ceux qui narrivent pas à trouver une job au Québec ...

  • 1 month later...
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Les tests standardisés devront selon les indications être effectués avant que le candidat dépose sa demande. Ainsi le requérant l'acheminerait avec la DCS., probablement fin automne 2011 ou hiver 2012

En effet, MICC serait en train de préparer une nouvelle grille de pointage, un nouveau système de validation documentaire

( tests linguistiques avant dépôt pour tous les territoires y compris francophones, authentification préalable des diplômes, et relevés de notes ainsi que de la légalité de l'expérience professionnelle dès le dépôt)

Cela aurait pour objectif d'éliminer le plus d'entrevues, ( les entrevues nécessaires seront plus ciblées) , de traiter les dossiers plus rapidement, tout en diminuant les délais d'attente et répérer la fraude en amont.

La question est de savoir si ces procédures seront rétroactivement appliquées aux dossiers déjà déposées et en attente ou non. Bien d'autres questions se posent avec ce nouveau processus qui ressemblerait plus à celui de l'Australie

.

À suivre

Admettons qu'un candidats après avoir passer ce fameux test standardisé, aura un pointage qui le définisse comme étant un "non francophone". d'après vous , c'est un facteur éliminant ou bien quoi alors ?

Si non , l'idée d'éliminer le plus d'entrevues afin de traiter les dossiers plus rapidement (avec effet rétroactif), je la trouve vachement bonne.

Modifié par tolabitation

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