Habitués resterzen Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 C une blague? Si c'est pas une blague, c'est alarmant de tenir un discours pareil! En tous cas CaptainCanada en prend sûrement, lui ! http://lapravda.ca/lindustrie-pharmaceutique-sinquiete/ En effet, et la Pravda l'indique, ils sont les leaders de la désinformation au Québec. En effet, cet article de lapravda.ca est un article fictif et humoristique...bref ils font des articles loufoques qui se veulent drôles dans le même style que le Gorafi en France ou The onion aux États-Unis... Citer
Habitués resterzen Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 Non seba tout ne vient pas d'un problème de sommeil, d'un environnement malsain ou autres... tout simplement que maintenant un enfant doit rester sans bouger! Il y a déjà eut des cas au Québec d'enfants mis en arrière de cloison pour les isoler durant la période de classe... mais c'est sur qu'en suprimant les orthopedagogues, intervenants sociaux, orthophonistes... la solutions pour les écoles de conseiller très fortement la ''pillule'' est tellement facile... Toi et moi on serait peut être au Québec sous médicament parce que jouait trop avec notre stylo, faisait des bonhommes de gomme, regardait trop dehors C'est pas parce que des élèves jouent avec leur stylo qu'ils peuvent avoir du ritalin... lol ! C'est parce que les élèves hyperactifs dérangent les autres élèves de la classe et nuisent à l'apprentissage de ceux-ci... Les autres élèves de la classe ont aussi des droits. L'hyperactivité est une condition médicale alors elle mérite d'être traitée comme telle... Citer
Habitués trefle Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 C une blague? Si c'est pas une blague, c'est alarmant de tenir un discours pareil! En tous cas CaptainCanada en prend sûrement, lui ! http://lapravda.ca/lindustrie-pharmaceutique-sinquiete/ C'est bien d'en rire ! C't'une blague voyons ! Ou a t-on vu que l'industrie pharmaceutique n'existait que pour s'enrichir ? Sérieux ! Et qui fait fonctionner cette industrie ? Personne ne m'obligera jamais à prendre des médicaments ou à en donner à mes enfants... mais pour certains c'est peut-être plus facile de donner une pilule que d'éduquer ? Totalement faut ! Qui fait fonctionner cette industrie : ben, vous, moi. Rien qu'à voir le prix des médicaments ! Oui je contribue à leur richesse (pas le choix). L'amie dont je parlais n'avait aucun choix !!!!!! Chouttage au Ritalin du gamin sinon pas d'école. Pas dans cette école et bonjour pour en trouver une autre. Citer
Habitués Shore Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 (modifié) Un choix et une bataille contre l'ecole et la commission scolaire... Je connais personnellement quelques parents qui après avoir vu leurs enfants déplacés dans des classes ''poubelles'' après s'être fait menacé d'exclusion par la direction, après s'être battu pour ne pas medicamenter leurs enfants et bien se retrouve à payer l'ecole privée! Des classes poubelles? Il n'y a presque plus de classes spéciales pour les enfants ayant des besoins particuliers. Ils sont intégrés en classe régulière. Pour qu'un enfant soit placé dans une des rares classes spéciales, c'est que l'enfant doit avoir une problématique très importante. J'ai des élèves autistes depuis quelques années dans mes groupes dits réguliers, sans parler des enfants qui ont de la dyslexie, de la dysphasie, de la dysorthographie, de la dyspraxie, le syndrome d'Asperger, etc. Alors un enfant turbulent reste dans ma classe, qu'il soit médicamenté ou non, puisque l'enfant autiste qui parfois se désorganise complètement quand il est en crise doit aussi rester. Ce que dit Juetben est rigoureusement exact et effectivement les enfants un peu turbulent dont celui de mon beau frère finissent au ritalin après avoir été menacés d'éjection car l'école moderne est fait à 80% par des femmes pour des femmes et les besoins des garçons sont négligés et comme on ne veut plus faire de discipline dans les classes et que l'on a enlevé presque toute l'éducation physique, on se retrouve avec ce genre de médication pour compenser le taux d'activité physique plus élevé chez les garçons. D'ailleurs les taux de décrochage des garçons versus les filles est une excellente preuve de cela. Alors l'article de base est peut être un fake mais le problème est bien réel. Une solution qui pourrait aider à mon avis serait de refaire des écoles séparées fille et garçon avec des enseignants masculin pour les garçons. Modifié 12 septembre 2015 par Shore Citer
Habitués trefle Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 Pour ceux effrayés par ce que les uns racontent que OUI on "choute" les turbulents au Ritalin pour avoir la paix dans la classe. Pas besoin de nous croire. Aujourd'hui on peut s'informer sur absolument TOUT. Citer
Habitués Sarayoo Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 Ah oui ce sujet me dérange au plus haut point. Le garcon de notre amie en prend. Alors qu'il est pas vraiment turbulent. Cet été, on arrêté de lui donner cette drogue, et bien on a vu un autre garcon très intelligent bien vivant. Là on a recommencé à lui donner cette saloperie. On voit déjà le résultat: un enfant triste, désorienté, pas envie de faire grand chose, il s'isole de plus en plus... Et bien quoi! Le Québec a été féminisé et l'école est gérée dans la plupart du temps par des femmes. Elles veulent des enfants CADAVRES dans leurs classes. Pas envie d'approcher les enfants, de les aider etc. Et remarquez bien, ces enfants drogués sont tous issus de l'immigration. Dans l'avenir, on veut des bras et pas des têtes. Réveillez vous, vous êtes drogués tout autant que vos enfants... Citer
Habitués seba666 Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 C une blague? Si c'est pas une blague, c'est alarmant de tenir un discours pareil! En tous cas CaptainCanada en prend sûrement, lui ! http://lapravda.ca/lindustrie-pharmaceutique-sinquiete/ C'est bien d'en rire ! C't'une blague voyons ! Ou a t-on vu que l'industrie pharmaceutique n'existait que pour s'enrichir ? Sérieux ! Et qui fait fonctionner cette industrie ? Personne ne m'obligera jamais à prendre des médicaments ou à en donner à mes enfants... mais pour certains c'est peut-être plus facile de donner une pilule que d'éduquer ? Totalement faut ! Qui fait fonctionner cette industrie : ben, vous, moi. Rien qu'à voir le prix des médicaments ! Oui je contribue à leur richesse (pas le choix). L'amie dont je parlais n'avait aucun choix !!!!!! Chouttage au Ritalin du gamin sinon pas d'école. Pas dans cette école et bonjour pour en trouver une autre. Et que ferais-tu si on obligeait tes enfants à prendre cette saleté si tu les sais en bonne santé? Et il y a turbulent et turbulent, si à partir de la 50ème remarque l'enfant ne veut pas comprendre et que les parents n'agissent pas, faut pas se plaindre après. Les enfants sont-ils chouttés au premier faux pas et sans avoir mis en garde les parents? Cherrybee a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Azarielle Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 Un choix et une bataille contre l'ecole et la commission scolaire... Je connais personnellement quelques parents qui après avoir vu leurs enfants déplacés dans des classes ''poubelles'' après s'être fait menacé d'exclusion par la direction, après s'être battu pour ne pas medicamenter leurs enfants et bien se retrouve à payer l'ecole privée! Des classes poubelles? Il n'y a presque plus de classes spéciales pour les enfants ayant des besoins particuliers. Ils sont intégrés en classe régulière. Pour qu'un enfant soit placé dans une des rares classes spéciales, c'est que l'enfant doit avoir une problématique très importante. J'ai des élèves autistes depuis quelques années dans mes groupes dits réguliers, sans parler des enfants qui ont de la dyslexie, de la dysphasie, de la dysorthographie, de la dyspraxie, le syndrome d'Asperger, etc. Alors un enfant turbulent reste dans ma classe, qu'il soit médicamenté ou non, puisque l'enfant autiste qui parfois se désorganise complètement quand il est en crise doit aussi rester. Ce que dit Juetben est rigoureusement exact et effectivement les enfants un peu turbulent dont celui de mon beau frère finissent au ritalin après avoir été menacés d'éjection car l'école moderne est fait à 80% par des femmes pour des femmes et les besoins des garçons sont négligés et comme on ne veut plus faire de discipline dans les classes et que l'on a enlevé presque toute l'éducation physique, on se retrouve avec ce genre de médication pour compenser le taux d'activité physique plus élevé chez les garçons. D'ailleurs les taux de décrochage des garçons versus les filles est une excellente preuve de cela. Alors l'article de base est peut être un fake mais le problème est bien réel. Une solution qui pourrait aider à mon avis serait de refaire des écoles séparées fille et garçon avec des enseignants masculin pour les garçons. À moins qu'il ne fréquente l'école privée, l'école publique ne peut pas mettre à la porte un enfant sous prétexte qu'il n'est pas médicamenté. Il y a des lois qui régissent l'école publique du Québec et la fréquentation scolaire est obligatoire jusqu'à 16 ans. Donc avant cet âge, l'école publique doit offrir le service. resterzen a réagi à ceci 1 Citer
Habitués resterzen Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 C une blague? Si c'est pas une blague, c'est alarmant de tenir un discours pareil! En tous cas CaptainCanada en prend sûrement, lui ! http://lapravda.ca/lindustrie-pharmaceutique-sinquiete/ C'est bien d'en rire ! C't'une blague voyons ! Ou a t-on vu que l'industrie pharmaceutique n'existait que pour s'enrichir ? Sérieux ! Et qui fait fonctionner cette industrie ? Personne ne m'obligera jamais à prendre des médicaments ou à en donner à mes enfants... mais pour certains c'est peut-être plus facile de donner une pilule que d'éduquer ? L'amie dont je parlais n'avait aucun choix !!!!!! Chouttage au Ritalin du gamin sinon pas d'école. Chouttage ? lol ! C'est quoi ça ? Tu veux probablement dire " shoot " ( anglicisme ). Et ça ne peut pas être du " chouttage " puisque que le ritalin donné aux enfants n'est pas injecté mais est donné en comprimés de 10 ou 20 mg... Et on ne peut pas privé un enfant d'école au Québec. La direction d'une école peut faire des pressions pour qu'un enfant hyperactif perturbateur soit médicamenté parce qu'il dérange l'apprentissage des autres élèves mais celle-ci ne peut aucunement priver l'enfant d'aller à l'école puisque que l'école est un droit et obligatoire pour tous les enfants au Québec ( ritalin ou pas ritalin ). Citer
Habitués resterzen Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 Et bien quoi! Le Québec a été féminisé et l'école est gérée dans la plupart du temps par des femmes. Elles veulent des enfants CADAVRES dans leurs classes. Pas envie d'approcher les enfants, de les aider etc. Et remarquez bien, ces enfants drogués sont tous issus de l'immigration. Selon toi, les enfants médicamentés parce qu' hyperactifs et perturbateurs dans la classe sont tous issus de l'immigration ? C'est faux. Ça n'a rien à voir. Il y a des enfants de natifs québécois qui le sont aussi. Lorsqu'un enfant est tellement agité qu'il est une nuisance pour l'apprentissage des autres élèves, quelque chose se doit d'être fait.... Citer
Habitués Shore Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 (modifié) Un choix et une bataille contre l'ecole et la commission scolaire... Je connais personnellement quelques parents qui après avoir vu leurs enfants déplacés dans des classes ''poubelles'' après s'être fait menacé d'exclusion par la direction, après s'être battu pour ne pas medicamenter leurs enfants et bien se retrouve à payer l'ecole privée! Des classes poubelles? Il n'y a presque plus de classes spéciales pour les enfants ayant des besoins particuliers. Ils sont intégrés en classe régulière. Pour qu'un enfant soit placé dans une des rares classes spéciales, c'est que l'enfant doit avoir une problématique très importante. J'ai des élèves autistes depuis quelques années dans mes groupes dits réguliers, sans parler des enfants qui ont de la dyslexie, de la dysphasie, de la dysorthographie, de la dyspraxie, le syndrome d'Asperger, etc. Alors un enfant turbulent reste dans ma classe, qu'il soit médicamenté ou non, puisque l'enfant autiste qui parfois se désorganise complètement quand il est en crise doit aussi rester. Ce que dit Juetben est rigoureusement exact et effectivement les enfants un peu turbulent dont celui de mon beau frère finissent au ritalin après avoir été menacés d'éjection car l'école moderne est fait à 80% par des femmes pour des femmes et les besoins des garçons sont négligés et comme on ne veut plus faire de discipline dans les classes et que l'on a enlevé presque toute l'éducation physique, on se retrouve avec ce genre de médication pour compenser le taux d'activité physique plus élevé chez les garçons. D'ailleurs les taux de décrochage des garçons versus les filles est une excellente preuve de cela. Alors l'article de base est peut être un fake mais le problème est bien réel. Une solution qui pourrait aider à mon avis serait de refaire des écoles séparées fille et garçon avec des enseignants masculin pour les garçons. À moins qu'il ne fréquente l'école privée, l'école publique ne peut pas mettre à la porte un enfant sous prétexte qu'il n'est pas médicamenté. Il y a des lois qui régissent l'école publique du Québec et la fréquentation scolaire est obligatoire jusqu'à 16 ans. Donc avant cet âge, l'école publique doit offrir le service. Certes elle doit offrir le service mais on ne parle pas des conditions dans lesquelles sont offert ce service après que les parents aient refus la médication de leur enfant, des brimades et de la pression sur leur enfant ou même du changement de classe ou d'école. Alors oui , on a pas le droit d’empêcher le jeune d'être scolarisé mais il y a bien des moyens qui sont trouvés pour poser des difficultés aux parents et aux jeunes qui ne veulent pas se conformer. Donc souvent les parents finissent par plier plutôt que d'affronter cette grosse machine bureaucratique et souvent sans cœur. D'ailleurs comme enseignante, vous devez vous sentir concernée quand vous lisez les statistiques de prise de ritalin dans nos écoles et quand vous regardez le taux de décrochage des garçon versus les filles? Que proposez vous pour que cela change? Modifié 12 septembre 2015 par Shore Citer
Habitués Sarayoo Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 Et bien quoi! Le Québec a été féminisé et l'école est gérée dans la plupart du temps par des femmes. Elles veulent des enfants CADAVRES dans leurs classes. Pas envie d'approcher les enfants, de les aider etc. Et remarquez bien, ces enfants drogués sont tous issus de l'immigration. Selon toi, les enfants médicamentés parce qu' hyperactifs et perturbateurs dans la classe sont tous issus de l'immigration ? C'est faux. Ça n'a rien à voir. Il y a des enfants de natifs québécois qui le sont aussi. Lorsqu'un enfant est tellement agité qu'il est une nuisance pour l'apprentissage des autres élèves, quelque chose se doit d'être fait.... Je te lis depuis un moment. Tu arrêtes pas d'écrire mais en fin de compte tu ne dis rien. Tu répètes les mêmes phrases tout au long de ton texte. Des remarques constructives, si ca peut t'aider... trefle a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 (modifié) Et bien quoi! Le Québec a été féminisé et l'école est gérée dans la plupart du temps par des femmes. Elles veulent des enfants CADAVRES dans leurs classes. Pas envie d'approcher les enfants, de les aider etc. Et remarquez bien, ces enfants drogués sont tous issus de l'immigration. Selon toi, les enfants médicamentés parce qu' hyperactifs et perturbateurs dans la classe sont tous issus de l'immigration ? C'est faux. Ça n'a rien à voir. Il y a des enfants de natifs québécois qui le sont aussi. Lorsqu'un enfant est tellement agité qu'il est une nuisance pour l'apprentissage des autres élèves, quelque chose se doit d'être fait.... Il est vrai qu'ici la concentration d'enfants hyperactifs est élevée. Et comme par hasard, la concentration de parents laxistes l'est presque dans les mêmes proportions. Je peux en parler facilement car j'ai dans mon entourage immédiat des enfants évalués "hyperactifs" qui ont seulement manqué d'un bon c... de p... au c.. pour lesquels j'aurais eu envie de prendre les parents par les épaules et de les secouer en leur disant "bon sang, réveillez-vous et éduquez correctement votre enfant au lieu de lui laisser passer tous ses caprices et de négocier avec lui pendant des heures au lieu de lui montrer les limites à ne pas dépasser!" Ce ne sont pas les enfants qui devraient être mis sous Ritalin, ce sont les parents qui devraient suivre une psychothérapie .... Et être un peu moins hyperactifs eux-mêmes! Modifié 12 septembre 2015 par Cherrybee gazowski a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Azarielle Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 Un choix et une bataille contre l'ecole et la commission scolaire... Je connais personnellement quelques parents qui après avoir vu leurs enfants déplacés dans des classes ''poubelles'' après s'être fait menacé d'exclusion par la direction, après s'être battu pour ne pas medicamenter leurs enfants et bien se retrouve à payer l'ecole privée! Des classes poubelles? Il n'y a presque plus de classes spéciales pour les enfants ayant des besoins particuliers. Ils sont intégrés en classe régulière. Pour qu'un enfant soit placé dans une des rares classes spéciales, c'est que l'enfant doit avoir une problématique très importante. J'ai des élèves autistes depuis quelques années dans mes groupes dits réguliers, sans parler des enfants qui ont de la dyslexie, de la dysphasie, de la dysorthographie, de la dyspraxie, le syndrome d'Asperger, etc. Alors un enfant turbulent reste dans ma classe, qu'il soit médicamenté ou non, puisque l'enfant autiste qui parfois se désorganise complètement quand il est en crise doit aussi rester. Ce que dit Juetben est rigoureusement exact et effectivement les enfants un peu turbulent dont celui de mon beau frère finissent au ritalin après avoir été menacés d'éjection car l'école moderne est fait à 80% par des femmes pour des femmes et les besoins des garçons sont négligés et comme on ne veut plus faire de discipline dans les classes et que l'on a enlevé presque toute l'éducation physique, on se retrouve avec ce genre de médication pour compenser le taux d'activité physique plus élevé chez les garçons. D'ailleurs les taux de décrochage des garçons versus les filles est une excellente preuve de cela. Alors l'article de base est peut être un fake mais le problème est bien réel. Une solution qui pourrait aider à mon avis serait de refaire des écoles séparées fille et garçon avec des enseignants masculin pour les garçons. À moins qu'il ne fréquente l'école privée, l'école publique ne peut pas mettre à la porte un enfant sous prétexte qu'il n'est pas médicamenté. Il y a des lois qui régissent l'école publique du Québec et la fréquentation scolaire est obligatoire jusqu'à 16 ans. Donc avant cet âge, l'école publique doit offrir le service. D'ailleurs comme enseignante, vous devez vous sentir concernée quand vous lisez les statistiques de prise de ritalin dans nos écoles et quand vous regardez le taux de décrochage des garçon versus les filles? Que proposez vous pour que cela change? Comme enseignante, je dois surtout être coupable de tous les travers de la société. Après tout, il faut relire les messages avant pour voir à quel point j'ai des torts, toi, comme les autres faites mon procès. Les méchantes enseignants qui moumounisent et droguent la société... n'est-ce pas? Ce que je propose rien, puisque contrairement à vous, je ne possède pas la vérité. Je suis au secondaire, qui prend de la médication, je n'en ai pas idée. Sauf si l'élève me le dit lui-même. Je n'ai pas accès à ces informations autrement. Sur ce, je vous laisse raconter tout ce que vous voulez puisque après tout, vous êtes des spécialistes de l'éducation, de neurologie et de pharmacologie. Je voulais rétablir qu'une école ne pouvait pas mettre à la porte un enfant parce que les parents refusent de le médicamenter. Ce que j'ai tenté de faire, c'est de mettre les pendules à l'heure sur une fausse information que vous véhiculez comme vraie. Citer
Habitués Shore Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 Un choix et une bataille contre l'ecole et la commission scolaire... Je connais personnellement quelques parents qui après avoir vu leurs enfants déplacés dans des classes ''poubelles'' après s'être fait menacé d'exclusion par la direction, après s'être battu pour ne pas medicamenter leurs enfants et bien se retrouve à payer l'ecole privée! Des classes poubelles? Il n'y a presque plus de classes spéciales pour les enfants ayant des besoins particuliers. Ils sont intégrés en classe régulière. Pour qu'un enfant soit placé dans une des rares classes spéciales, c'est que l'enfant doit avoir une problématique très importante. J'ai des élèves autistes depuis quelques années dans mes groupes dits réguliers, sans parler des enfants qui ont de la dyslexie, de la dysphasie, de la dysorthographie, de la dyspraxie, le syndrome d'Asperger, etc. Alors un enfant turbulent reste dans ma classe, qu'il soit médicamenté ou non, puisque l'enfant autiste qui parfois se désorganise complètement quand il est en crise doit aussi rester. Ce que dit Juetben est rigoureusement exact et effectivement les enfants un peu turbulent dont celui de mon beau frère finissent au ritalin après avoir été menacés d'éjection car l'école moderne est fait à 80% par des femmes pour des femmes et les besoins des garçons sont négligés et comme on ne veut plus faire de discipline dans les classes et que l'on a enlevé presque toute l'éducation physique, on se retrouve avec ce genre de médication pour compenser le taux d'activité physique plus élevé chez les garçons. D'ailleurs les taux de décrochage des garçons versus les filles est une excellente preuve de cela. Alors l'article de base est peut être un fake mais le problème est bien réel. Une solution qui pourrait aider à mon avis serait de refaire des écoles séparées fille et garçon avec des enseignants masculin pour les garçons. À moins qu'il ne fréquente l'école privée, l'école publique ne peut pas mettre à la porte un enfant sous prétexte qu'il n'est pas médicamenté. Il y a des lois qui régissent l'école publique du Québec et la fréquentation scolaire est obligatoire jusqu'à 16 ans. Donc avant cet âge, l'école publique doit offrir le service. D'ailleurs comme enseignante, vous devez vous sentir concernée quand vous lisez les statistiques de prise de ritalin dans nos écoles et quand vous regardez le taux de décrochage des garçon versus les filles? Que proposez vous pour que cela change? Comme enseignante, je dois surtout être coupable de tous les travers de la société. Après tout, il faut relire les messages avant pour voir à quel point j'ai des torts, toi, comme les autres faites mon procès. Les méchantes enseignants qui moumounisent et droguent la société... n'est-ce pas? Ce que je propose rien, puisque contrairement à vous, je ne possède pas la vérité. Je suis au secondaire, qui prend de la médication, je n'en ai pas idée. Sauf si l'élève me le dit lui-même. Je n'ai pas accès à ces informations autrement. Sur ce, je vous laisse raconter tout ce que vous voulez puisque après tout, vous êtes des spécialistes de l'éducation, de neurologie et de pharmacologie. Je voulais rétablir qu'une école ne pouvait pas mettre à la porte un enfant parce que les parents refusent de le médicamenter. Ce que j'ai tenté de faire, c'est de mettre les pendules à l'heure sur une fausse information que vous véhiculez comme vraie. C'est marrant cette façon de nier le problème cité et d'attaquer les messagers, je ne suis absolument pas en accord avec tous ce qui a été écrit par les autres mais mon fils et mes neveux sont ou seront bientôt à l'école et on y rencontre certaines problématiques et je vous ais posé ces quelques questions de façon fort civile et le ton de votre réponse me donne à penser que ce type de problématiques est pour vous négligeable et que vous niez les faits sur la médication ainsi que l'inadaptation de l'école pour les petits gars. Pour moi, pour comprendre un problème, il faut pouvoir le nommer et en trouver les causes. Citer
Invité Posté(e) 12 septembre 2015 Posté(e) 12 septembre 2015 Sans compter que le Québec doit être champion dans la concentration des enfants en "déficit d'attention". Et si les parents essayaient tout simplement de les éduquer pour de bon ??? Et surtout de leur donner à bouffer comme du monde civilisé. Mais bon des parents drogués ne peuvent que faire des petits anormaux. Citer
Habitués juetben Posté(e) 12 septembre 2015 Habitués Posté(e) 12 septembre 2015 Une école ne peut mettre à la porte mais des commissions scolaires demande une évaluation obligatoire pour certains élèves et si cette évaluation n'est pas faite on ne réintègre pas l'école! Alors oui on ne met pas dehors on fait juste ne plus accepter l'enfant quand une évaluation non obligatoire devient obligatoire selon la commission scolaire... Citer
Habitués gazowski Posté(e) 13 septembre 2015 Habitués Posté(e) 13 septembre 2015 Quand j'entends parler d'hyperactivité j'ai toujours l'impression que c'est une fatalité. - votre enfant est trop agité - ben non , on n'a pas de bol , il est hyperactif... la bonne maladie (inventée ?) qui déculpabilise les parents. kuroczyd et Cherrybee ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués trefle Posté(e) 13 septembre 2015 Habitués Posté(e) 13 septembre 2015 C une blague? Si c'est pas une blague, c'est alarmant de tenir un discours pareil! En tous cas CaptainCanada en prend sûrement, lui ! http://lapravda.ca/lindustrie-pharmaceutique-sinquiete/ C'est bien d'en rire ! C't'une blague voyons ! Ou a t-on vu que l'industrie pharmaceutique n'existait que pour s'enrichir ? Sérieux ! Et qui fait fonctionner cette industrie ? Personne ne m'obligera jamais à prendre des médicaments ou à en donner à mes enfants... mais pour certains c'est peut-être plus facile de donner une pilule que d'éduquer ? L'amie dont je parlais n'avait aucun choix !!!!!! Chouttage au Ritalin du gamin sinon pas d'école. Chouttage ? lol ! C'est quoi ça ? Tu veux probablement dire " shoot " ( anglicisme ). Et ça ne peut pas être du " chouttage " puisque que le ritalin donné aux enfants n'est pas injecté mais est donné en comprimés de 10 ou 20 mg... Et on ne peut pas privé un enfant d'école au Québec, donc ce que tu dis est faux. La direction d'une école peut faire des pressions pour qu'un enfant hyperactif perturbateur soit médicamenté parce qu'il dérange l'apprentissage des autres élèves mais celle-ci ne peut aucunement priver l'enfant d'aller à l'école puisque que l'école est un droit et obligatoire pour tous les enfants au Québec ( ritalin ou pas ritalin ). Une langue est vivante et s'enrichie ! Et comme d'habitude et comme toujours ce que tu dis est totalement faux ! Puisque tu ne donnes aucun lien, aucun hyperlien ou perlimpinpin ! On ne met pas l'enfant hors de l'école mais on le fait patienter chez lui. C'est kif kif. Citer
Habitués resterzen Posté(e) 13 septembre 2015 Habitués Posté(e) 13 septembre 2015 C une blague? Si c'est pas une blague, c'est alarmant de tenir un discours pareil! En tous cas CaptainCanada en prend sûrement, lui ! http://lapravda.ca/lindustrie-pharmaceutique-sinquiete/ C'est bien d'en rire ! C't'une blague voyons ! Ou a t-on vu que l'industrie pharmaceutique n'existait que pour s'enrichir ? Sérieux ! Et qui fait fonctionner cette industrie ? Personne ne m'obligera jamais à prendre des médicaments ou à en donner à mes enfants... mais pour certains c'est peut-être plus facile de donner une pilule que d'éduquer ? L'amie dont je parlais n'avait aucun choix !!!!!! Chouttage au Ritalin du gamin sinon pas d'école. Chouttage ? lol ! C'est quoi ça ? Tu veux probablement dire " shoot " ( anglicisme ). Et ça ne peut pas être du " chouttage " puisque que le ritalin donné aux enfants n'est pas injecté mais est donné en comprimés de 10 ou 20 mg... Et on ne peut pas privé un enfant d'école au Québec, donc ce que tu dis est faux. La direction d'une école peut faire des pressions pour qu'un enfant hyperactif perturbateur soit médicamenté parce qu'il dérange l'apprentissage des autres élèves mais celle-ci ne peut aucunement priver l'enfant d'aller à l'école puisque que l'école est un droit et obligatoire pour tous les enfants au Québec ( ritalin ou pas ritalin ). Et comme d'habitude et comme toujours ce que tu dis est totalement faux ! On ne met pas l'enfant hors de l'école mais on le fait patienter chez lui. C'est kif kif. XXXXXXX Comme Azarielle l'a dit, ( elle est enseignante au Québec) XXXXXXXXXXX, la scolarisation des enfants de moins de 16 ans est obligatoire au Québec donc tous les enfants sont scolarisés, qu'ils soit hyperactifs ou non, ritalin ou non ritalin donc si un enfant hyperactif qui refuse le ritalin, patiente chez lui, ce n'est que de façon temporaire...il aura sa scolarisation de toute façon puisque c'est obligatoire. Blabla inutile Citer
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