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Bon an mal an, ACCEO Solutions, spécialisée en technologies de l’information, embauche 275 personnes. Malgré toutes ses
démarches, une trentaine de postes demeurent ouverts, faute de trouver des travailleurs qui répondent à ses besoins.
« Nous cherchons à la fois des personnes formées dans des domaines très pointus et ayant de l’expérience. C’est un mix
difficile, d’autant plus que nous sommes dans un marché favorable aux travailleurs », explique Marie Carmen Velasco, vice‐
présidente exécutive et chef du capital humain.
Le cas vécu par ACCEO Solutions n’est pas unique. Une étude pan‐canadienne réalisée par Randstad Canada, confirme que les
plus grands défis avec lesquels les organisations doivent composer sont le manque de travailleurs dans les métiers spécialisés,
la sous‐traitance des emplois et le nombre grandissant des travailleurs internationaux.
Ce sont les secteurs de la santé, pétrolier et gazier, des technologies, ainsi que de l'ingénierie et de la construction qui
présentent le plus grand potentiel d’offres d’emploi spécialisés.
Plus de formation
Qu'ils soient gestionnaires ou employés, résidants de la Colombie‐Britannique ou du Québec, les répondants à l’étude
canadienne croient que la responsabilité d'aborder le problème de la pénurie et des écarts de compétences incombe aux
entreprises, aux gouvernements ainsi qu'au système d'éducation.
Quatre personnes sur dix croient que les entreprises doivent investir davantage dans la formation basée sur les compétences
pour leurs employés. Par ailleurs, plus de trois personnes sur dix croit que les institutions académiques ont l’obligation de
promouvoir les industries et les emplois qui ont le plus de potentiel de mener à une carrière.
« C’est aussi aux employeurs d’être prévenant et de développer une stratégie d’embauche. Par exemple, en génie logiciel,
nos 150 finissants ont le choix entre 500 postes à combler. Si les employeurs prennent des stagiaires, ils ont alors accès à un
bassin de finissants qu’ils connaissent », répond Pierre Rivet, directeur de l’enseignement coopératif à l’École de technologie
supérieure (ÉTS).
Dans les métiers de la construction, la formation est contingentée et fortement réglementée à la demande des employeurs et
des travailleurs. En conséquence, les places de formation en diplôme d’études professionnelles, offertes par le Ministère de
l’Éducation et des Loisirs (MELS), correspondent à une estimation des besoins exprimés par le milieu.
« En construction, le Québec est mieux structuré qu’ailleurs. Mais, je dirais que nous avons davantage besoin de travailleurs
de qualité et polyvalent qu’en quantité », analyse pour sa part André Bergeron, directeur général des maîtres mécaniciens en
tuyauterie du Québec (CMMTQ)
Des actions concertées
Enfin, une personne sur quatre pense que les gouvernements doivent rehausser les mesures incitatives pour encourager les
travailleurs à se diriger vers des postes où il existe une pénurie.
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Vont ils mettrent les offres d'emploi de chauffeur poids lourd en avant vu qu'il va y avoir beaucoup de pénurie ? même si on sait qu il n y a pas d equivalence mais l experience pourrait compter , non ?

Modifié par aurelie47300
Posté(e)

Bonjour

Merci de partager toutes ces informations.

Je suis adjoint administratif ( forte de 24 ans de métier) j'essaye de rejoindre votre pays pour y offrir mes compétences, mon savoir et y vivre.

Je n'arrive pas à trouver la bonne méthode pour suivre le cheminement, compliqué, il est vrai, d'inscription, d'information entre la carte de résident permanent; de travailleur....

Je ne sais si j'obtiendrai une réponse, ou des réponses mais, sachez que, malgré tous ces échecs je continuerai à m'informer et, surtout, à retourner à Québec deux fois l'an. Mon chum est québécois......

Bon courage à toutes et tous pour vos démarches, vos avancées.

Ne baissez pas les bras !

  • Habitués
Posté(e)

Bonjour

Merci de partager toutes ces informations.

Je suis adjoint administratif ( forte de 24 ans de métier) j'essaye de rejoindre votre pays pour y offrir mes compétences, mon savoir et y vivre.

Je n'arrive pas à trouver la bonne méthode pour suivre le cheminement, compliqué, il est vrai, d'inscription, d'information entre la carte de résident permanent; de travailleur....

Je ne sais si j'obtiendrai une réponse, ou des réponses mais, sachez que, malgré tous ces échecs je continuerai à m'informer et, surtout, à retourner à Québec deux fois l'an. Mon chum est québécois......

Bon courage à toutes et tous pour vos démarches, vos avancées.

Ne baissez pas les bras !

Recherche un post de Leilou -> elle joins un document à ses posts qui récapitule les différentes procédures pour travailler ou immigrer...

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