Habitués angel et oliv Posté(e) 5 août 2013 Habitués Posté(e) 5 août 2013 Bonsoir, Nous sommes arrivés le 2 Juin à Montréal moi 29 ans dans la vente et le secrétariat et mon mari 33 ans policier en France. L'objectif était de s'installer à 3 Rivières donc nous avions pris quelques nuits d'hôtel et les adresses pour faire les démarches à Montréal. Nous avons pris nos billets de cars allers simples. Nous avons rencontrés un Québécois de 3 Rivières super sympas qui nous a proposé de nous faire visiter la ville et même un logement donc nous tous contents ça s'annonçais prometteur. Le voyage excitant, il nous fait la visite guidée et la grande déception et sentiment de mal être pour moi genre mini bronx, des gars suspects dans les rues, peu de magasins j'avais presque des nausées pendant la découverte donc on en a débattu et retour sur Montréal. Moi ayant vécue toute ma vie en Ile de France c'était trop brutal de passer de ville à campagne!! On a pris un appartement meublé un mois car l'hôtel devenais cher avec la F1 et tout se passait très bien, on visitais, on prenais nos marques. On a fait un tour dans les Laurentides à 2 reprises chez des amis, séjour très agréable. Vient le mois de Juillet donc on a eu un bon plan pour un appartement en demi sous-sol à Montréal Nord avec jardin très chouette dans nos tarifs. On y vit depuis 1 mois et la c'est le hic, les coups de blues arrivent sans prévenir, je pleure tous les soirs sans savoir pourquoi, je sens que la maison ne m'aime pas, j'ai trop de mal à m'adapter à cet appartement alors que l'autre sans soucis. Je me dis aussi avec mon mari on a quitter notre appartement fin Avril en France et on a passé un mois dans la famille de lit en lit alors ça doit être normal. Mais y a rien à faire j'arrive pas ici, tout va bien, le quartier me plaît, on commence à avoir nos habitudes pour faire les courses mais j'y arrive pas je ne me sens pas chez moi. Mes affaires sont à peu près déballées et je pensais me sentir mieux mais ça marche pas. Sinon le point aussi qui m'inquiètes c'est le boulot, je vois tous mes contacts Français qui sont arrivés en même temps que moi qui trouvent des choses fabuleuses et qui ont des grandes carrières donc réalisent leurs rêves et moi caissière et un peu de bureau ok travail polyvalent dans plusieurs domaines eh ben je me sens pas de taille et je me demande pourquoi on m'a attribuée le CSQ, je vais apportée quoi ici? J'ai un ami neuropsy, une amie infirmière, une dans les ressources humaines. Je fait quoi ici pour le travail? Enfin tout ça pour dire que malgré tout je veux pas rentrer je suis juste en incompréhension de pleins de sentiments et je voulais le partager. Merci de lire et de m'aider à comprendre mon ressenti car la je suis larguée. Canadeos et d.ide ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués Automne Posté(e) 5 août 2013 Habitués Posté(e) 5 août 2013 bonjour, ça fait juste 2 mois. il faut laisser du temps.. ça peut prendre quelques années avant de trouver le travail idéal. il faut pas te comparer avec les autres tu ne vaux pas moins que tes amis parce qu'elles ont un diplôme supérieur au tiens, ou un travail plus payant. laisse toi du temps puis si un jour tout ça ne te plait pas, tu peux toujours essayer de retourner aux études et trouver une voie qui pourrait te plaire? bon courage MathFrmt et cruiser ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués verozen Posté(e) 5 août 2013 Habitués Posté(e) 5 août 2013 Bonsoir, Ton coup de blues est normal. Ce n'est pas facile de tout quitter , de tout laisser derrière soi. Et puis nous sommes tous différents dans nos réactions. Certains vont se prendre vite en main alors que d'autres vont sentir cet abattement sur eux, impossible de rebondir . Si ça peut te rassurer, j'ai ressenti la même chose que toi et pourtant je suis restée 12 ans auparavant au Québec, ce n'était pas un terrain inconnu pour moi. Je ne me sentais pas dans mes affaires dès mon arrivée. Mon conjoint a toujours eu l'énergie, le positivisme que j'avais perdu, je l'enviais et je ne comprenais pas pourquoi j'étais dans cet état!! Et puis je me suis forcée à me dire que ma situation était temporaire, qu'on allait trouver mieux. Nous logeons chez des amis qui ont le cœur sur la main et qui sont très à l'écoute de nos besoins, on n'a vraiment pas à nous plaindre!! mais au début, crois moi, mon univers me manquait terriblement. Je me suis dit que mes 48 ans étaient bien loin de mes 29 ans, âge que j'avais lors de ma première arrivée au Québec. Donne toi du temps, tu subis peut-être la période de vacances, les offres ne sont pas forcement présentes. J'ai un ami qui ne se plaisait pas au Québec à son arrivée. Combien de fois il m'a dit qu'il pensait à son pays??!!! et bien cela fait 16 ans qu'il vit ici et il n'en repartirait pour rien au monde! Bon courage à toi et ne lâche pas....vis tes émotions elles sont légitimes! bonjour, ça fait juste 2 mois. il faut laisser du temps.. ça peut prendre quelques années avant de trouver le travail idéal. il faut pas te comparer avec les autres tu ne vaux pas moins que tes amis parce qu'elles ont un diplôme supérieur au tiens, ou un travail plus payant. laisse toi du temps puis si un jour tout ça ne te plait pas, tu peux toujours essayer de retourner aux études et trouver une voie qui pourrait te plaire? bon courage Exact!! ne pas te comparer aux autres!! Citer
Habitués angel et oliv Posté(e) 5 août 2013 Auteur Habitués Posté(e) 5 août 2013 Merci pour ces premières réponses, le soucis de comparaison vient du fait que je me sous-estime et ça depuis tellement d'années que c'est naturel chez moi, je me trouve toujours en dessous des autres malgré tout ce que je sais faire et tout ce que je peux donner. Je sais que ces sentiments sont normaux et en aucuns cas le pays me manque bien au contraire je m'acclimate bien ici mais y a des choses qui sont plus douloureuses et je pensais en avoir finie et ça me reprends cette semaine sur des points de détails c'est pénible. J'ai hâte que ça s'enclenche dans la vie professionnelles et comme toi mon mari est positif, il a aucuns doutes ça aide pas!!! Mais je suis ici et je vais tout faire pour m'adapter et me trouver mon petit coin de paradis. C'est juste une sale période et je pensais pas qu'elle arriverais si vite. Citer
Habitués soulman Posté(e) 5 août 2013 Habitués Posté(e) 5 août 2013 Oui, comme le disent Automne et Verozene, c'est tout à fait normal, presque tout le monde est passé par là. Je pense que s'installer dans un nouveau pays suit un peu les mêmes étapes qu'un deuil, puisque tu abandonnes ta vie d'avant. La première phase de déni, où on veut tout voir beau, pendant laquelle on ne veut pas voir ce qui ne va pas. La phase d'abattement, les pleurs, le pays et les amis/famille qui te manquent. Plus elle vient vite mieux c'est puisque de toutes facons il faut passer par là. La phase de la colère, où plusieurs choses vont t'énerver de façon injuste (ma femme pendant cette étape supportait à peine d'écouter la télé, elle détestait les pubs, l'accent, tout lui rappelait ce qu'elle n'aimait pas, elle trouvait les maisons moches, la campagne plate, etc.), Et puis comme dans le deuil, tot ou tard arrive l'acceptation, on passe au travers. Certains disent que ca prend en gros un an, mais chaucn est différent. Ouhhhhh ça parait bien serieux tout ce que je viens de dire, c'était pas le but Ce qui compte c'est de parler, un maximum, avec les gens qui sont passés par là et qui sont sur place. Il y a plein de gens sur ce forum qui se feront un plaisir de répondre à tes questions quand tu en as et qui te feront te sentir moins isolée, moins seule. Ahah en me relisant je me suis dit que c'est un peu pareil que d'avoir un premier enfant, un bonheur immense mais le deuil de sa vie d'avant. Après le "tout est beau tout est rose", le blues de la maman, la fatigue, puis la phase de "je supporte plus ses cris, arghhhhhhhhh" puis le bonheur total Maraudeur a réagi à ceci 1 Citer
Invité Posté(e) 5 août 2013 Posté(e) 5 août 2013 Pour le boulot il ne faut pas désespérer, c'est plus que courant de faire des jobines en arrivant et d'avoir du mal à anticiper la suite ! J'ai commencé comme secrétaire, mon chim au Couche-Tard, un tas d'amis ont été dans des cas similaires, ça prend quelques mois, parfois un peu plus dépendemment de son domaine mais il faut persévérer, continuer de chercher, s'inscrire dans des agences de placement, essayer de se créer un réseau même si évidemment quand on ne connaît personne au début c'est pas évident, j'en convient Pour le reste je ne peux que te souhaiter que ça aille mieux ! Une amie à moi était comme toi et finalement elle a fini par se rendre compte que la France lui manquait trop et elle est rentrés, d'autres sont restés après de gros/énormes coups de blues et n'envisagent plus un retour ! C'est très personnel et seule l'avenir te dictera la suite Citer
_Mathilde_ Posté(e) 5 août 2013 Posté(e) 5 août 2013 Salut, C’est normal d’avoir des coups de blues au début et même après, tu quittes tout pour l’inconnu, c’est pas simple. Pour ce qui est du boulot, tu peux aller dans des agences de placement. C’est comme ça que j’ai trouvé mon boulot actuel et qui m’a fait sortir des petits boulots. Il ne faut pas désespérer, courage ! Citer
Habitués Mélanie et Fred Posté(e) 5 août 2013 Habitués Posté(e) 5 août 2013 Bonjour, Je tenais à t'apporter un peu de courage j'imagine que ce n'est pas évident ce que tu vis mais tu le dis toi même tu as obtenu le CSQ et ca cela montre bien que tu en vaut la peine car c'est pas donné à tout le monde et puis tu connais aussi ce qu'on dit ici en France "Rien ne sert de courir tout vient à point à qui sait attendre" alors oubli les autres fait ton bout de chemin, reprends confiance en toi et tu y arriveras j'en doute pas. Ce que tu vis est une chance énorme, ca demande beaucoup au debut de tout quitter mais ca vaut la peine. Demande toi aussi ce que tu ferais en France à l'heure actuelle côté boulot ? Allé accroches toi et profites !!! Bonne continuation angel et oliv a réagi à ceci 1 Citer
Habitués angel et oliv Posté(e) 5 août 2013 Auteur Habitués Posté(e) 5 août 2013 Oui, comme le disent Automne et Verozene, c'est tout à fait normal, presque tout le monde est passé par là. Je pense que s'installer dans un nouveau pays suit un peu les mêmes étapes qu'un deuil, puisque tu abandonnes ta vie d'avant. La première phase de déni, où on veut tout voir beau, pendant laquelle on ne veut pas voir ce qui ne va pas. La phase d'abattement, les pleurs, le pays et les amis/famille qui te manquent. Plus elle vient vite mieux c'est puisque de toutes facons il faut passer par là. La phase de la colère, où plusieurs choses vont t'énerver de façon injuste (ma femme pendant cette étape supportait à peine d'écouter la télé, elle détestait les pubs, l'accent, tout lui rappelait ce qu'elle n'aimait pas, elle trouvait les maisons moches, la campagne plate, etc.), Et puis comme dans le deuil, tot ou tard arrive l'acceptation, on passe au travers. Certains disent que ca prend en gros un an, mais chaucn est différent. Ouhhhhh ça parait bien serieux tout ce que je viens de dire, c'était pas le but Ce qui compte c'est de parler, un maximum, avec les gens qui sont passés par là et qui sont sur place. Il y a plein de gens sur ce forum qui se feront un plaisir de répondre à tes questions quand tu en as et qui te feront te sentir moins isolée, moins seule. Ahah en me relisant je me suis dit que c'est un peu pareil que d'avoir un premier enfant, un bonheur immense mais le deuil de sa vie d'avant. Après le "tout est beau tout est rose", le blues de la maman, la fatigue, puis la phase de "je supporte plus ses cris, arghhhhhhhhh" puis le bonheur total Citer
Habitués felipe Posté(e) 5 août 2013 Habitués Posté(e) 5 août 2013 Bonsoir, Nous sommes arrivés le 2 Juin à Montréal moi 29 ans dans la vente et le secrétariat et mon mari 33 ans policier en France. L'objectif était de s'installer à 3 Rivières donc nous avions pris quelques nuits d'hôtel et les adresses pour faire les démarches à Montréal. Nous avons pris nos billets de cars allers simples. Nous avons rencontrés un Québécois de 3 Rivières super sympas qui nous a proposé de nous faire visiter la ville et même un logement donc nous tous contents ça s'annonçais prometteur. Le voyage excitant, il nous fait la visite guidée et la grande déception et sentiment de mal être pour moi genre mini bronx, des gars suspects dans les rues, peu de magasins j'avais presque des nausées pendant la découverte donc on en a débattu et retour sur Montréal. Moi ayant vécue toute ma vie en Ile de France c'était trop brutal de passer de ville à campagne!! On a pris un appartement meublé un mois car l'hôtel devenais cher avec la F1 et tout se passait très bien, on visitais, on prenais nos marques. On a fait un tour dans les Laurentides à 2 reprises chez des amis, séjour très agréable. Vient le mois de Juillet donc on a eu un bon plan pour un appartement en demi sous-sol à Montréal Nord avec jardin très chouette dans nos tarifs. On y vit depuis 1 mois et la c'est le hic, les coups de blues arrivent sans prévenir, je pleure tous les soirs sans savoir pourquoi, je sens que la maison ne m'aime pas, j'ai trop de mal à m'adapter à cet appartement alors que l'autre sans soucis. Je me dis aussi avec mon mari on a quitter notre appartement fin Avril en France et on a passé un mois dans la famille de lit en lit alors ça doit être normal. Mais y a rien à faire j'arrive pas ici, tout va bien, le quartier me plaît, on commence à avoir nos habitudes pour faire les courses mais j'y arrive pas je ne me sens pas chez moi. Mes affaires sont à peu près déballées et je pensais me sentir mieux mais ça marche pas. Sinon le point aussi qui m'inquiètes c'est le boulot, je vois tous mes contacts Français qui sont arrivés en même temps que moi qui trouvent des choses fabuleuses et qui ont des grandes carrières donc réalisent leurs rêves et moi caissière et un peu de bureau ok travail polyvalent dans plusieurs domaines eh ben je me sens pas de taille et je me demande pourquoi on m'a attribuée le CSQ, je vais apportée quoi ici? J'ai un ami neuropsy, une amie infirmière, une dans les ressources humaines. Je fait quoi ici pour le travail? Enfin tout ça pour dire que malgré tout je veux pas rentrer je suis juste en incompréhension de pleins de sentiments et je voulais le partager. Merci de lire et de m'aider à comprendre mon ressenti car la je suis larguée. C'est normal les coups de blues, par contre faut pas devenir sadomaso. Écouter ce que tu ressens. Pour trois -Rivière 70% des Montréalais ne savent même pas comment on y va et ne tiendraient pas 1 an là ba. Et les tri fluviens que je connais le savent et en rigolent eux ils ont de la famille là ba. C'est comme des Québécois qui quitteraient tout pour aller dans certaines villes en France... souvent en France on a cette interrogation avec des américains qu'on croise parfois dans des trous perdu... l'histoire du deuil ce sont les traumatisés qui disent ça. En tout cas pour moi. C'est pas une mort c'est plus une mise au point à faire. T'es une caissière, tu peux reprendre des études facilement avec une RP. Pour la carrière des autres français... mouais. Les bons éléments que je connais en France font aussi des belles carrières. Après les années qu'ils passent ça a encore plus de conséquence puisqu'en quelques sortes ils s'enferment professionnellement. De toute façon ils sont dans la même galère que toi, pire s'ils se raccrochent à des pseudos offres fabuleuses leur réveil sera très/trop tardif. Beaucoup de québécois en arrachent aussi, ça c'est la réalité au Québec. Par contre ce qui est étonnant c'est que trouve pas de travail par ce qu'ils cherchent quand même beaucoup de secrétaires. Après de ce que j'entends c'est vraiment parfois pas facile le travail de secrétaire. Ils aiment les secrétaires européennes par ce qu'elle sont docile, la hiérarchie et le sens du service. C'est là que pour moi il y a une différence entre une québécoise et une immigrante. Si le patron parle mal les jeunes Québécoises ne se laissent pas faire. Elle claquent leur démission. Ne se laissent jamais insulter. Elles ont souvent raison même quand elles se trompent ^^. Cette hargne dans laquelle réside la légende sur les hiérarchies inexistante... Je pense qu'ils faut s'en inspirer. Après c'est le même truc qu'en France quand elles ont des enfants, deviennent monoparentales elles acceptent par dépits. mais bon je généralise à outrance comme tout le monde. Citer
Habitués Dredd Posté(e) 5 août 2013 Habitués Posté(e) 5 août 2013 mais bon je généralise à outrance comme tout le monde. C'est déjà bien de vous en rendre compte. Attention, la ligne est mince entre partage d'expérience et désinformation grossière. kobico a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 5 août 2013 Habitués Posté(e) 5 août 2013 (modifié) En fait, le métier de secrétaire a beaucoup évolué. Maintenant, c'est plutôt d'une assistante dont il faudrait parler. Il faut maîtriser parfaitement l'orthographe et le vocabulaire français, les outils informatiques (les agences de placement font passer des tests avant de nous proposer). Il faut savoir faire de la mise en page avec utilisation approfondie de l'outil word, des tableaux compexes avec l'outil excel, il faut avoir des notions de comptabilité, savoir monter une présentation Power Point avec toutes ses animations, savoir se servir de beaucoup d'outils pour le courriel genre Outlook ou LotusNotes. Savoir aller au-devant des demandes du supérieur, sans oublier, bien sûr, l'anglais pour l'Ile de Montréal. Une secrétaire, de nos jours, ce n'est plus la petite employée qui répond aux clients au téléphone, remplit des lettres pré-formatées et sert le café. Enfin, plus seulement ... Et effectivement, oui, vous généralisez car les bons postes ne sont pas faciles à trouver. Et certaines secrétaires qui ne remplissent pas les conditions mentionnées ci-dessus peuvent galérer également. Et une secrétaire québécoise qui a peur de galérer ne flanque plus aussi facilement sa démission qu'avant. Elle y réfléchit à 2 fois. J'en ai l'expérience, je suis au coeur d'un nid de secrétaires québécoises Modifié 5 août 2013 par Cherrybee Citer
Habitués angel et oliv Posté(e) 5 août 2013 Auteur Habitués Posté(e) 5 août 2013 En fait, le métier de secrétaire a beaucoup évolué. Maintenant, c'est plutôt d'une assistante dont il faudrait parler. Il faut maîtriser parfaitement l'orthographe et le vocabulaire français, les outils informatiques (les agences de placement font passer des tests avant de nous proposer). Il faut savoir faire de la mise en page avec utilisation approfondie de l'outil word, des tableaux compexes avec l'outil excel, il faut avoir des notions de comptabilité, savoir monter une présentation Power Point avec toutes ses animations, savoir se servir de beaucoup d'outils pour le courriel genre Outlook ou LotusNotes. Savoir aller au-devant des demandes du supérieur, sans oublier, bien sûr, l'anglais pour l'Ile de Montréal. Une secrétaire, de nos jours, ce n'est plus la petite employée qui répond aux clients au téléphone, remplit des lettres pré-formatées et sert le café. Enfin, plus seulement ... Et effectivement, oui, vous généralisez car les bons postes ne sont pas faciles à trouver. Et certaines secrétaires qui ne remplissent pas les conditions mentionnées ci-dessus peuvent galérer également. Et une secrétaire québécoise qui a peur de galérer ne flanque plus aussi facilement sa démission qu'avant. Elle y réfléchit à 2 fois. J'en ai l'expérience, je suis au coeur d'un nid de secrétaires québécoises Citer
Invité Posté(e) 5 août 2013 Posté(e) 5 août 2013 Oui moi j'ai connu la jobine de secrétaire pépère qui En fait, le métier de secrétaire a beaucoup évolué. Maintenant, c'est plutôt d'une assistante dont il faudrait parler. Il faut maîtriser parfaitement l'orthographe et le vocabulaire français, les outils informatiques (les agences de placement font passer des tests avant de nous proposer). Il faut savoir faire de la mise en page avec utilisation approfondie de l'outil word, des tableaux compexes avec l'outil excel, il faut avoir des notions de comptabilité, savoir monter une présentation Power Point avec toutes ses animations, savoir se servir de beaucoup d'outils pour le courriel genre Outlook ou LotusNotes. Savoir aller au-devant des demandes du supérieur, sans oublier, bien sûr, l'anglais pour l'Ile de Montréal. Une secrétaire, de nos jours, ce n'est plus la petite employée qui répond aux clients au téléphone, remplit des lettres pré-formatées et sert le café. Enfin, plus seulement ... Et effectivement, oui, vous généralisez car les bons postes ne sont pas faciles à trouver. Et certaines secrétaires qui ne remplissent pas les conditions mentionnées ci-dessus peuvent galérer également. Et une secrétaire québécoise qui a peur de galérer ne flanque plus aussi facilement sa démission qu'avant. Elle y réfléchit à 2 fois. J'en ai l'expérience, je suis au coeur d'un nid de secrétaires québécoises Moi j'ai été secrétaire comme ça, petite employée mais j'ai bossé pour le gouvernement et ensuite une minuscule boîte hihihihi ! C'est clair que par contre l'anglais dans le secrétariat c'est un sacré atout ! Citer
Habitués William777 Posté(e) 5 août 2013 Habitués Posté(e) 5 août 2013 Bonsoir, Nous sommes arrivés le 2 Juin à Montréal moi 29 ans dans la vente et le secrétariat et mon mari 33 ans policier en France. L'objectif était de s'installer à 3 Rivières donc nous avions pris quelques nuits d'hôtel et les adresses pour faire les démarches à Montréal. Nous avons pris nos billets de cars allers simples. Nous avons rencontrés un Québécois de 3 Rivières super sympas qui nous a proposé de nous faire visiter la ville et même un logement donc nous tous contents ça s'annonçais prometteur. Le voyage excitant, il nous fait la visite guidée et la grande déception et sentiment de mal être pour moi genre mini bronx, des gars suspects dans les rues, peu de magasins j'avais presque des nausées pendant la découverte donc on en a débattu et retour sur Montréal. Moi ayant vécue toute ma vie en Ile de France c'était trop brutal de passer de ville à campagne!! On a pris un appartement meublé un mois car l'hôtel devenais cher avec la F1 et tout se passait très bien, on visitais, on prenais nos marques. On a fait un tour dans les Laurentides à 2 reprises chez des amis, séjour très agréable. Vient le mois de Juillet donc on a eu un bon plan pour un appartement en demi sous-sol à Montréal Nord avec jardin très chouette dans nos tarifs. On y vit depuis 1 mois et la c'est le hic, les coups de blues arrivent sans prévenir, je pleure tous les soirs sans savoir pourquoi, je sens que la maison ne m'aime pas, j'ai trop de mal à m'adapter à cet appartement alors que l'autre sans soucis. Je me dis aussi avec mon mari on a quitter notre appartement fin Avril en France et on a passé un mois dans la famille de lit en lit alors ça doit être normal. Mais y a rien à faire j'arrive pas ici, tout va bien, le quartier me plaît, on commence à avoir nos habitudes pour faire les courses mais j'y arrive pas je ne me sens pas chez moi. Mes affaires sont à peu près déballées et je pensais me sentir mieux mais ça marche pas. Sinon le point aussi qui m'inquiètes c'est le boulot, je vois tous mes contacts Français qui sont arrivés en même temps que moi qui trouvent des choses fabuleuses et qui ont des grandes carrières donc réalisent leurs rêves et moi caissière et un peu de bureau ok travail polyvalent dans plusieurs domaines eh ben je me sens pas de taille et je me demande pourquoi on m'a attribuée le CSQ, je vais apportée quoi ici? J'ai un ami neuropsy, une amie infirmière, une dans les ressources humaines. Je fait quoi ici pour le travail? Enfin tout ça pour dire que malgré tout je veux pas rentrer je suis juste en incompréhension de pleins de sentiments et je voulais le partager. Merci de lire et de m'aider à comprendre mon ressenti car la je suis larguée. C'est normal les coups de blues, par contre faut pas devenir sadomaso. Écouter ce que tu ressens. Pour trois -Rivière 70% des Montréalais ne savent même pas comment on y va et ne tiendraient pas 1 an là ba. Et les tri fluviens que je connais le savent et en rigolent eux ils ont de la famille là ba. C'est comme des Québécois qui quitteraient tout pour aller dans certaines villes en France... souvent en France on a cette interrogation avec des américains qu'on croise parfois dans des trous perdu... l'histoire du deuil ce sont les traumatisés qui disent ça. En tout cas pour moi. C'est pas une mort c'est plus une mise au point à faire. T'es une caissière, tu peux reprendre des études facilement avec une RP. Pour la carrière des autres français... mouais. Les bons éléments que je connais en France font aussi des belles carrières. Après les années qu'ils passent ça a encore plus de conséquence puisqu'en quelques sortes ils s'enferment professionnellement. De toute façon ils sont dans la même galère que toi, pire s'ils se raccrochent à des pseudos offres fabuleuses leur réveil sera très/trop tardif. Beaucoup de québécois en arrachent aussi, ça c'est la réalité au Québec. Par contre ce qui est étonnant c'est que trouve pas de travail par ce qu'ils cherchent quand même beaucoup de secrétaires. Après de ce que j'entends c'est vraiment parfois pas facile le travail de secrétaire. Ils aiment les secrétaires européennes par ce qu'elle sont docile, la hiérarchie et le sens du service. C'est là que pour moi il y a une différence entre une québécoise et une immigrante. Si le patron parle mal les jeunes Québécoises ne se laissent pas faire. Elle claquent leur démission. Ne se laissent jamais insulter. Elles ont souvent raison même quand elles se trompent ^^. Cette hargne dans laquelle réside la légende sur les hiérarchies inexistante... Je pense qu'ils faut s'en inspirer. Après c'est le même truc qu'en France quand elles ont des enfants, deviennent monoparentales elles acceptent par dépits. mais bon je généralise à outrance comme tout le monde. et comme d'hab on comprend rien de ce que tu essayes de dire Citer
Habitués William777 Posté(e) 5 août 2013 Habitués Posté(e) 5 août 2013 En fait, le métier de secrétaire a beaucoup évolué. Maintenant, c'est plutôt d'une assistante dont il faudrait parler. Il faut maîtriser parfaitement l'orthographe et le vocabulaire français, les outils informatiques (les agences de placement font passer des tests avant de nous proposer). Il faut savoir faire de la mise en page avec utilisation approfondie de l'outil word, des tableaux compexes avec l'outil excel, il faut avoir des notions de comptabilité, savoir monter une présentation Power Point avec toutes ses animations, savoir se servir de beaucoup d'outils pour le courriel genre Outlook ou LotusNotes. Savoir aller au-devant des demandes du supérieur, sans oublier, bien sûr, l'anglais pour l'Ile de Montréal. Une secrétaire, de nos jours, ce n'est plus la petite employée qui répond aux clients au téléphone, remplit des lettres pré-formatées et sert le café. Enfin, plus seulement ... Et effectivement, oui, vous généralisez car les bons postes ne sont pas faciles à trouver. Et certaines secrétaires qui ne remplissent pas les conditions mentionnées ci-dessus peuvent galérer également. Et une secrétaire québécoise qui a peur de galérer ne flanque plus aussi facilement sa démission qu'avant. Elle y réfléchit à 2 fois. J'en ai l'expérience, je suis au coeur d'un nid de secrétaires québécoises entièrement d'accord ! Par exemple moi je n'ai plus de secrétaire .. mais j'ai une adjointe administrative ! c'est le terme qu'on emploie dans ma boite ... et croyez moi elle fait bien plus que rédiger des courriels on ne ferait pas grand chose sans ces adjointes ! Cherrybee a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 5 août 2013 Habitués Posté(e) 5 août 2013 En fait, le métier de secrétaire a beaucoup évolué. Maintenant, c'est plutôt d'une assistante dont il faudrait parler. Il faut maîtriser parfaitement l'orthographe et le vocabulaire français, les outils informatiques (les agences de placement font passer des tests avant de nous proposer). Il faut savoir faire de la mise en page avec utilisation approfondie de l'outil word, des tableaux compexes avec l'outil excel, il faut avoir des notions de comptabilité, savoir monter une présentation Power Point avec toutes ses animations, savoir se servir de beaucoup d'outils pour le courriel genre Outlook ou LotusNotes. Savoir aller au-devant des demandes du supérieur, sans oublier, bien sûr, l'anglais pour l'Ile de Montréal. Une secrétaire, de nos jours, ce n'est plus la petite employée qui répond aux clients au téléphone, remplit des lettres pré-formatées et sert le café. Enfin, plus seulement ... Et effectivement, oui, vous généralisez car les bons postes ne sont pas faciles à trouver. Et certaines secrétaires qui ne remplissent pas les conditions mentionnées ci-dessus peuvent galérer également. Et une secrétaire québécoise qui a peur de galérer ne flanque plus aussi facilement sa démission qu'avant. Elle y réfléchit à 2 fois. J'en ai l'expérience, je suis au coeur d'un nid de secrétaires québécoises entièrement d'accord ! Par exemple moi je n'ai plus de secrétaire .. mais j'ai une adjointe administrative ! c'est le terme qu'on emploie dans ma boite ... et croyez moi elle fait bien plus que rédiger des courriels on ne ferait pas grand chose sans ces adjointes ! C'est un amour, ce William Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 5 août 2013 Habitués Posté(e) 5 août 2013 En fait, le métier de secrétaire a beaucoup évolué. Maintenant, c'est plutôt d'une assistante dont il faudrait parler. Il faut maîtriser parfaitement l'orthographe et le vocabulaire français, les outils informatiques (les agences de placement font passer des tests avant de nous proposer). Il faut savoir faire de la mise en page avec utilisation approfondie de l'outil word, des tableaux compexes avec l'outil excel, il faut avoir des notions de comptabilité, savoir monter une présentation Power Point avec toutes ses animations, savoir se servir de beaucoup d'outils pour le courriel genre Outlook ou LotusNotes. Savoir aller au-devant des demandes du supérieur, sans oublier, bien sûr, l'anglais pour l'Ile de Montréal. Une secrétaire, de nos jours, ce n'est plus la petite employée qui répond aux clients au téléphone, remplit des lettres pré-formatées et sert le café. Enfin, plus seulement ... Et effectivement, oui, vous généralisez car les bons postes ne sont pas faciles à trouver. Et certaines secrétaires qui ne remplissent pas les conditions mentionnées ci-dessus peuvent galérer également. Et une secrétaire québécoise qui a peur de galérer ne flanque plus aussi facilement sa démission qu'avant. Elle y réfléchit à 2 fois. J'en ai l'expérience, je suis au coeur d'un nid de secrétaires québécoises Oui je sais bien, pour le moment je demande que des postes d'agent de bureau ou commis de bureau car en France j'ai fait mon expérience de secrétariat dans un Monoprix donc taches variées, compta, comptage des tiroirs-caisses, bordereaux de livraisons etc... mais j'ai appris sur le terrain je n'ai pas encore de diplôme et je le ferai sûrement plus tard car à l'heure actuelle je peux pas reprendre des études et pour l'anglais ça va être difficile aussi ici d'ou mon envie de partir ailleurs au Québec!! Je te rassure, certains postes comme dans mon organisation ne requièrent pas l'anglais. Il nous est même interdit de communiquer par courriel en anglais entre nous et avec l'extérieur. Aberrant! Si tu t'éloignes de Montréal, tu trouveras effectivement beaucoup plus de francophonie et ce sera certainement plus facile. Mais il n'en est pas moins réel qu'un diplôme en bureautique, au moins DEP est le bienvenu. Tu pourras très facilement suivre un programme et ce ne sera pas très long. Après, faut voir aussi ce que ton chum veut faire et si son métier est exploitable en région. Citer
Habitués clapero Posté(e) 6 août 2013 Habitués Posté(e) 6 août 2013 En fait, le métier de secrétaire a beaucoup évolué. Maintenant, c'est plutôt d'une assistante dont il faudrait parler. Il faut maîtriser parfaitement l'orthographe et le vocabulaire français, les outils informatiques (les agences de placement font passer des tests avant de nous proposer). Il faut savoir faire de la mise en page avec utilisation approfondie de l'outil word, des tableaux compexes avec l'outil excel, il faut avoir des notions de comptabilité, savoir monter une présentation Power Point avec toutes ses animations, savoir se servir de beaucoup d'outils pour le courriel genre Outlook ou LotusNotes. Savoir aller au-devant des demandes du supérieur, sans oublier, bien sûr, l'anglais pour l'Ile de Montréal. Une secrétaire, de nos jours, ce n'est plus la petite employée qui répond aux clients au téléphone, remplit des lettres pré-formatées et sert le café. Enfin, plus seulement ... Et effectivement, oui, vous généralisez car les bons postes ne sont pas faciles à trouver. Et certaines secrétaires qui ne remplissent pas les conditions mentionnées ci-dessus peuvent galérer également. Et une secrétaire québécoise qui a peur de galérer ne flanque plus aussi facilement sa démission qu'avant. Elle y réfléchit à 2 fois. J'en ai l'expérience, je suis au coeur d'un nid de secrétaires québécoises Oui je sais bien, pour le moment je demande que des postes d'agent de bureau ou commis de bureau car en France j'ai fait mon expérience de secrétariat dans un Monoprix donc taches variées, compta, comptage des tiroirs-caisses, bordereaux de livraisons etc... mais j'ai appris sur le terrain je n'ai pas encore de diplôme et je le ferai sûrement plus tard car à l'heure actuelle je peux pas reprendre des études et pour l'anglais ça va être difficile aussi ici d'ou mon envie de partir ailleurs au Québec!! Je te rassure, certains postes comme dans mon organisation ne requièrent pas l'anglais. Il nous est même interdit de communiquer par courriel en anglais entre nous et avec l'extérieur. Aberrant! Si tu t'éloignes de Montréal, tu trouveras effectivement beaucoup plus de francophonie et ce sera certainement plus facile. Mais il n'en est pas moins réel qu'un diplôme en bureautique, au moins DEP est le bienvenu. Tu pourras très facilement suivre un programme et ce ne sera pas très long. Après, faut voir aussi ce que ton chum veut faire et si son métier est exploitable en région. Citer
Habitués sasa11 Posté(e) 6 août 2013 Habitués Posté(e) 6 août 2013 En fait, le métier de secrétaire a beaucoup évolué. Maintenant, c'est plutôt d'une assistante dont il faudrait parler. Il faut maîtriser parfaitement l'orthographe et le vocabulaire français, les outils informatiques (les agences de placement font passer des tests avant de nous proposer). Il faut savoir faire de la mise en page avec utilisation approfondie de l'outil word, des tableaux compexes avec l'outil excel, il faut avoir des notions de comptabilité, savoir monter une présentation Power Point avec toutes ses animations, savoir se servir de beaucoup d'outils pour le courriel genre Outlook ou LotusNotes. Savoir aller au-devant des demandes du supérieur, sans oublier, bien sûr, l'anglais pour l'Ile de Montréal. Une secrétaire, de nos jours, ce n'est plus la petite employée qui répond aux clients au téléphone, remplit des lettres pré-formatées et sert le café. Enfin, plus seulement ... Et effectivement, oui, vous généralisez car les bons postes ne sont pas faciles à trouver. Et certaines secrétaires qui ne remplissent pas les conditions mentionnées ci-dessus peuvent galérer également. Et une secrétaire québécoise qui a peur de galérer ne flanque plus aussi facilement sa démission qu'avant. Elle y réfléchit à 2 fois. J'en ai l'expérience, je suis au coeur d'un nid de secrétaires québécoises Bonjour, je suis à la recherche de conseils, je suis actuellement à Paris je pars pour Montréal fin septembre. Je suis assistante de direction à Paris j'ai 7 ans d'expérience, j'ai travaillé dans des grands groupes. J'ai un bon niveau d'anglais. Trouve-t-on facilement du travail en tant qu'adjointe de direction ou administrative car j'ai envoyé quelques CV mais aucun retour malheureusement je suis preneuse de conseils. J'angoisse un peu car je lis beaucoup de commentaires disant que sans expérience canadienne c'est pas facile. Vous parlez du formulaire à récupérer à la CPAM ? quel est ce formulaire ??? je pars avec un PVT dois-je en faire la demande ??? Merci d'avance!!!! Citer
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