Habitués isseo17 Posté(e) 8 février 2011 Habitués Posté(e) 8 février 2011 Sans aucun doute , entre gens civilisés..... Mais pas sur ce forum dont ce n'est absolument pas le thème. Les règles le spécifient clairement. Tant qu'il s'agit de statistiques et de chiffre..... À bons entendeurs.... La modération
Habitués SIFAXIW Posté(e) 8 février 2011 Habitués Posté(e) 8 février 2011 Combien y-a-t-ils de musulmans au Quebec ?
free travel Posté(e) 8 février 2011 Posté(e) 8 février 2011 Bonjour, C'est toujours la même chose quand sa concerne ce sujet, et c'est toujours les mêmes gens qui répond on dirai qu'ils passent leurs temps sur le forum et ils vient donner des leçons de morale je les déjà dit précédemment vous êtes pas obligé de répondre écartez vous et laisser les gens tranquille. j'ai une question: je me demande si c'est faisable en 2011 d'en discuter sur des sujets qui touchent la politique et la religion sans que ça dégénère ! je vous remercie! (tout à fait d'accord avec toi).
Habitués macipsa13 Posté(e) 8 février 2011 Habitués Posté(e) 8 février 2011 Comme quoi, on en entend beaucoup gueuler contre la religion sur le forum mais ils ne sont pas vraiment représentatif de la vie au Québec... Ils ne sont pas représentatifs, mais font beaucoup plus de bruit (Enfin certains d'entre eux) thiziri15 a réagi à ceci 1
Habitués Splouch Posté(e) 8 février 2011 Habitués Posté(e) 8 février 2011 Hum, pour la fréquentation des lieux de cultes, mettre le Canada dans un bloc alors que l'on parle du Québec, c'est assez biaisé. Le Québec a le taux le plus bas en Amérique du Nord. Personnellement par exemple, je n'ai aucun de mes amis qui aille à l'Église en dehors des mariages et de ce genre de trucs. Disons que si on enlève les immigrants, les plus de 65 ans et les anglophones (en Estrie, y avait que les paroisses protestante qui semblent avoir de l'affluence), y aurait pratiquement pas un lieu de culte encore en activité. Mais j'avoue trouvé ça bizarre que malgré une fréquentation aussi basse, les gens se déclarent encore cathos aux recensement. Personnellement, je trouve ça un peu hypocrite de passer ces journées à parler contre la religion et de se déclarer religieux aux 5 ans. Je serais plus fière de ma province si son taux d'Athéisme correspondrait à son taux de fréquentation des lieux de culte.
Habitués Feribest Posté(e) 8 février 2011 Habitués Posté(e) 8 février 2011 (modifié) Hum, pour la fréquentation des lieux de cultes, mettre le Canada dans un bloc alors que l'on parle du Québec, c'est assez biaisé. Le Québec a le taux le plus bas en Amérique du Nord. Personnellement par exemple, je n'ai aucun de mes amis qui aille à l'Église en dehors des mariages et de ce genre de trucs. Disons que si on enlève les immigrants, les plus de 65 ans et les anglophones (en Estrie, y avait que les paroisses protestante qui semblent avoir de l'affluence), y aurait pratiquement pas un lieu de culte encore en activité. Mais j'avoue trouvé ça bizarre que malgré une fréquentation aussi basse, les gens se déclarent encore cathos aux recensement. Personnellement, je trouve ça un peu hypocrite de passer ces journées à parler contre la religion et de se déclarer religieux aux 5 ans. Je serais plus fière de ma province si son taux d'Athéisme correspondrait à son taux de fréquentation des lieux de culte. En complément, un dossier ici dans La presse de la semaine dernière : Montréal: de 100 clochers à 1000 lieux de culte Ce n'est pas parce que les églises catholiques ferment que la vie religieuse prend moins de place à Montréal. Au contraire, elle s'intensifie! Mais il est fini le temps des cathédrales. Les fidèles se rassemblent un peu partout, dans des sous-sols, des arrière-boutiques et d'anciennes succursales bancaires. Des Québécois de souche se convertissent par milliers. Résultat: selon une compilation inédite, Montréal est la deuxième ville au Canada pour le nombre de lieux de culte. Religion: Montréal plus fervent que Toronto Montréal se classe au deuxième rang des grandes villes les plus ferventes au Canada, selon une compilation inédite réalisée par La Presse grâce aux données de l'Agence du revenu du Canada (ARC). Avec ses 1032 organismes religieux de bienfaisance, la métropole québécoise n'est dépassée que par Winnipeg parmi les grandes villes canadiennes. Comme le montrent nos tableaux, pour chaque tranche de 100 000 habitants, Montréal compte même 37 organismes religieux de plus que le très multiculturel Toronto. Au Québec, on a carrément l'impression que l'île de Montréal se situe sur une autre planète, puisqu'elle compte presque deux fois plus d'organismes religieux par tranche de 100 000 habitants. «Oui, la vie religieuse s'intensifie: il y a de plus en plus de pratiques sur notre territoire», estime Habib El-Hage, président du Conseil interculturel de Montréal, une instance consultative. La «ville aux 100 clochers», est donc devenue la ville aux 1000 lieux de culte: c'est en gros le nombre de lieux de prière sur lesquels s'entendent la plupart des experts. L'ARC dénombre 1032 organismes religieux à Montréal, ce qui concorde avec le rôle d'évaluation 2010 de la Ville de Montréal. Selon nos calculs, la hausse a été constante depuis les années 90. D'un creux de 12 nouveaux organismes de bienfaisance religieux enregistrés en 1995, on est graduellement passé à une quarantaine de nouveaux organismes par an au milieu des années 2000. Le sommet a été atteint à Montréal en 2007 avec 49 nouvelles inscriptions. Pourquoi ce foisonnement? «Je crois que c'est la variété ethnique, religieuse et confessionnelle -différentes Églises et sous-groupes religieux- qui est d'abord en cause», avance le chercheur Frédéric Castel, de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS). Selon une thèse déposée à l'INRS en 2005, les immigrés francophones, notamment d'Afrique et d'Haïti, adhèrent à une plus grande variété de cultes que les Asiatiques. Or, Montréal en compte une très forte proportion (24%, comparativement à 4,6% dans le reste du Canada), alors que les Asiatiques se retrouvent plus nombreux à l'ouest du Québec. Frédéric Castel évoque également la «pulvérisation extrême», cette tendance qu'ont certains secteurs du monde évangélique à Montréal à se diviser sans cesse en nouveaux groupes. «Dans les églises haïtiennes, l'appartenance est très fluide, explique le religiologue. La communauté peut fondre de moitié à la suite d'une dispute. Il suffit de faire passer le mot pour ouvrir une autre église. Et comme les commerces, quand tout est improvisé, elles font parfois faillite. On appelle ça les églises champignons.» Autre explication: quand les immigrés gravissent l'échelle sociale, ils déménagent et ouvrent de nouveaux lieux de culte, sans nécessairement fermer les anciens. Fait important, la hausse n'est pas uniquement due aux immigrés ; elle tient aussi au fait que les Québécois de souche changent leurs manières de croire. «Ironiquement, les Québécois qui se convertissent sont eux-mêmes à l'origine d'un grand nombre de lieux de culte. Ils sont plus instables que bien des immigrés, qui restent plus attachés à leur religion d'origine», précise Frédéric Castel. Les Québécois convertis au bouddhisme, notamment, font face à une «explosion du marché», dit-il. «Il y a plein de missionnaires. Les gens magasinent et passent du courant zen au courant tibétain, etc.» Chose certaine, ceux qui croient que la métropole est peuplée d'athées se trompent: à peine 10% des Montréalais -essentiellement regroupés dans les arrondissements du Plateau-Mont-Royal et de Ville-Marie- se sont déclarés sans religion lors du recensement de 2001, alors que 25% des Canadiens l'ont fait. Les nouvelles églises: sous-sols, garages, entrepôts Laval en décembre. Un sous-sol apparemment semblable aux autres. Des hommes et des femmes vêtus de blanc dansent devant une quarantaine de personnes au rythme des tam-tam enfiévrés. Petit à petit, les esprits s'échauffent. Ici, une femme entre en transe. Plus loin, un homme s'évanouit. Plus la soirée avance, plus les participants semblent possédés. Les chants redoublent d'ardeur. La musique aussi. Certains boivent du rhum. Il est tard. Les voisins dorment. Ils n'ont rien entendu. Impossible de savoir combien de personnes pratiquent ainsi le vaudou à Montréal. Pour les Haïtiens, cette pratique ancestrale reste encore cachée parce qu'elle est mal perçue. Ce qui est certain, c'est que les Québécois se réclament de religions de plus en plus variées. Par un beau dimanche d'octobre, des dizaines de familles en cravate, tulle et voilette de dentelle se pressent devant le centre de pneus Charland, dans la rue du même nom, dans le quartier Saint-Michel. Dans la salle surchauffée, 300 personnes chantent et lancent des «Amen!» tonitruants entre les colonnes de faux marbre, yeux fermés, bras tendus vers les lustres dorés. «Vous devez marcher la tête haute, dit le pasteur invité. S'il devait y avoir des racistes, ce serait les chrétiens parce qu'ils sont supérieurs.» À Verdun, les sikhs célèbrent à leur tour. Une nouvelle gurdawara (temple sikh) vient d'ouvrir dans une ancienne église anglicane. Les bancs ont été retirés. On prie assis par terre sur un épais tapis à longs poils. Un groupe musical interprète des chants sacrés pendant qu'un homme agite un drôle de plumeau. Jadis, l'objet servait à éloigner les mouches. Maintenant, il protège symboliquement les Saintes Écritures. Une odeur de curry flotte dans l'air. Après la cérémonie, tout le monde descendra pour manger et fraterniser. Au milieu de l'après-midi, tout le monde rentrera sagement chez soi. «Toutes les communautés qui arrivent ont besoin d'un lieu de dialogue. C'est garanti par la liberté de religion et ça contribue à faire de Montréal une métropole vivante», affirme le religiologue Louis Rousseau, retraité de l'UQAM. «Certains temples nous transportent au Sri Lanka, dit-il. D'autres lieux de prière sont assez dépouillés pour qu'on y tienne une réunion syndicale.» Du lieu discret au minaret Le nombre de lieux de culte a beau avoir explosé depuis 20 ans, plusieurs Montréalais ne s'en rendent pas compte. «Chaque endroit reste souterrain très longtemps. Il faut connaître son adresse ou savoir déchiffrer les petits caractères sur la porte. Dans les premiers temps, les communautés ne font pas de publicité», constate M. Rousseau. Les premières rencontres ont lieu dans des sous-sols, des arrière-boutiques ou des immeubles désaffectés, perdus dans des zones industrielles. Parfois, plusieurs communautés partagent une ancienne église ou synagogue. «Quand le nombre de fidèles augmente, l'Église désire être plus accessible. Plusieurs succursales bancaires ont ainsi été rachetées par toutes sortes de communautés différentes», expose Annick Germain, chercheuse au Centre urbanisation, culture et société de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS). Exemple typique: celui de l'Église évangélique Restauracion. Après ses débuts dans un garage de Côte-des-Neiges, en 1993, la communauté a tour à tour investi un triplex, l'auditorium de la polyvalente Père-Marquette et une ancienne morgue. L'an dernier, elle a acheté l'ancienne église catholique Saint-Louis-de-France, au coeur du Plateau-Mont-Royal. Depuis, toutes les statues ont disparu de l'imposante église. Les murs sont peints d'un blanc immaculé. À l'avant, les longs bancs de bois ont cédé la place à des chaises de bureau. Le spectacle se déroule m ainten»ant sur scène, où cinq jeunes femmes vêtues de tuniques en lamé dansent sans relâche. Dans la salle, les fidèles se balancent au rythme endiablé des guitares électriques et de la batterie. Lorsque le pasteur parle, c'est le piano qui joue en sourdine. À l'extérieur, des gaillards munis d'une oreillette accueillent les visiteurs. Ils sourient largement en ouvrant la porte. De la rue, plusieurs passants les trouvent toutefois intimidants. Sont-ils là pour protéger l'argent que donnent les fidèles chaque semaine? Pas du tout, assure le pasteur Byron Quevedo. «On a tellement de portes et d'enfants dans l'église, c'est une grosse responsabilité. Les parents nous les confient pendant l'office.» En plus d'offrir un service de garderie, le pasteur et ses collègues offrent du counseling familial et des «guérisons». «Ici, on est au service des gens, dit-il. Ma mentalité est la même que celle du magasin Sears: tout proposer sous le même toit.» Chicanes de clôture Lorsqu'un lieu de culte devient aussi imposant, souvent les voisins réagissent, constate la sociologue Annick Germain. «C'est quand une communauté commence à s'afficher et à revendiquer sa place qu'elle dérange», dit-elle. Dans Outremont, les disputes entourant le bruit et le stationnement autour des synagogues hassidiques sont célèbres. Au fil des ans, Dollard-des-Ormeaux a accueilli des groupes religieux très variés, mais cela ne s'est pas toujours fait sans heurt. Il y a quelques années, un temple sikh a ainsi abouti sous des fils à haute tension, dans un secteur en décrépitude. Dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, plusieurs projets de mosquée ont carrément été refusés. Sinon, c'est la construction d'un minaret qui a choqué. Dans La Petite-Patrie, une Église pentecôtiste congolaise s'est heurtée à une féroce opposition lorsqu'elle a voulu quitter une salle de restaurant pour acheter un local. Le manque de stationnement n'était qu'un prétexte, croit Annick Germain. L'arrivée d'immigrés visibles, «c'est sûr que ça heurte les valeurs, les sentiments des gens», a par exemple expliqué un conseiller municipal, cité dans un rapport que la chercheuse a remis à Patrimoine Canada. Avec l'étalement urbain, la controverse atteint la banlieue, constate-t-elle. L'automne dernier, la Ville de Saint-Hyacinthe a par exemple décidé d'interdire non seulement les bars de danseuses et les services communautaires dans la zone commerciale du centre-ville, mais aussi les lieux de culte. Trois églises et un centre islamique venaient d'y ouvrir dans les dernières années. «La réaction est plus vive dans les quartiers homogènes, moins exposés à d'autres cultures, analyse Mme Germain. Mais au fil des discussions, les gens concluent souvent qu'il vaut mieux avoir une mosquée qu'un bar à côté de chez soi.» Intolérants, les Québécois? Le pasteur latino-américain Byron Quevedo ne le croit pas. «C'est un des peuples les plus ouverts d'esprit que je connaisse, dit-il. J'ai voyagé beaucoup en Europe et aux États-Unis, et ils sont plus racistes là-bas.» Jocelyn Olivier, de l'Église Nouvelle Vie, ce n'est pas une question de race. «Dès qu'une église n'est pas catholique, les gens pensent qu'il s'agit d'une secte. Il y a des murs à faire tomber.» Il suffit parfois de peu de chose. Quand les sikhs ont ouvert leur nouveau temple à Verdun, les voisins se sont braqués. Puis l'acceptation a fait place à la méfiance. «Au début, on avait peur qu'ils fassent un gros truc comme à LaSalle, confie Madeleine, résidante du quartier. Mais, finalement, ils sont assez discrets. En plus, ils ont repeint ce vieux poteau qui était tout rouillé.» À Longueuil, les premières réticences ont tombé lors de la crise du verglas, quand l'Église Nouvelle Vie a ouvert un centre d'hébergement et distribué des tonnes de victuailles. «Les gens ont vu qu'on n'était pas des Martiens», dit M. Olivier. À Montréal, certaines églises ethniques ouvrent leur garderie ou leur gymnase à tout le voisinage. Les chercheurs estiment que les Églises jouent à tout le moins un rôle vital pour l'intégration des immigrés en leur proposant toutes sortes de services parallèles. «La plupart de mes fidèles arrivent d'autres pays et sont sans le sou, illustre le pasteur Byron Quevedo. Je leur montre comment réussir au Québec. Je les aide à prospérer et, si cela fonctionne, tout le monde en profite: eux, l'Église et toute la société.» Modifié 8 février 2011 par Feribest
Habitués Kweli Posté(e) 8 février 2011 Habitués Posté(e) 8 février 2011 Hum, pour la fréquentation des lieux de cultes, mettre le Canada dans un bloc alors que l'on parle du Québec, c'est assez biaisé. Le Québec a le taux le plus bas en Amérique du Nord. Personnellement par exemple, je n'ai aucun de mes amis qui aille à l'Église en dehors des mariages et de ce genre de trucs. Disons que si on enlève les immigrants, les plus de 65 ans et les anglophones (en Estrie, y avait que les paroisses protestante qui semblent avoir de l'affluence), y aurait pratiquement pas un lieu de culte encore en activité. Les chiffres de la CDPDJQ parlent uniquement du Québec. Mais j'avoue trouvé ça bizarre que malgré une fréquentation aussi basse, les gens se déclarent encore cathos aux recensement. Personnellement, je trouve ça un peu hypocrite de passer ces journées à parler contre la religion et de se déclarer religieux aux 5 ans. Je serais plus fière de ma province si son taux d'Athéisme correspondrait à son taux de fréquentation des lieux de culte. Peut-être que les gens ressentent le besoin de maintenir, non pas un lien religieux, mais un lien identitaire. Pour la même raison, ils tiennent mordicus à la croix à l'assemblée et à celle du Mont Royal. ils fréquentent l'Oratoire, ils vont à Sainte-Anne de Beaupré, etc. Si le Pape visitait le Québec demain, l'affluence serait telle que tu te demanderais où sont passés tous ces prétendus athées. Et la majorité de gens ont conclu un arrangement funéraire incluant un office religieux.
Habitués keysi Posté(e) 8 février 2011 Habitués Posté(e) 8 février 2011 Combien y-a-t-ils de musulmans au Quebec ? Quel est l'interet de cette question????
Habitués Cherrybee Posté(e) 8 février 2011 Habitués Posté(e) 8 février 2011 Comme quoi, on en entend beaucoup gueuler contre la religion sur le forum mais ils ne sont pas vraiment représentatif de la vie au Québec... Ils ne sont pas représentatifs, mais font beaucoup plus de bruit (Enfin certains d'entre eux)
Habitués Feribest Posté(e) 8 février 2011 Habitués Posté(e) 8 février 2011 Combien y-a-t-ils de musulmans au Quebec ? Quel est l'interet de cette question???? Aucun à part "troller" j'imagine
Habitués topdanger2002 Posté(e) 8 février 2011 Habitués Posté(e) 8 février 2011 Salut Ecoute en peu pas dire combien de musilmans au canada parceque il ya des pratiquants et non pratiquants comme des critiens, moi je me sens comme un citoyen du monde et la religion c'est un chois personel et j'ai choisis le quebec parceque c'est laique et nous Avons signer le papier qui dit ca et notre prophet mohamed dit que la religion c'est les relations et le comportement parceque il ya des musulman qui pratique leur l'islam mais coté relation humain c'est 0 alors qu'on vois des non musulman qui pratique les lois de l'islam mais sans entré en islam, alors je pense que les stats ne sert a rien Merci
rosa_13000 Posté(e) 8 février 2011 Posté(e) 8 février 2011 cher (doux-novombre) je voi pas ou est le sarcasme dans ma réponse je raconte pas une blague jessay juste de donner mon poin de vu avec un grand respect a tous mes freres et soeur du forum bien sur ya des statistique de tou .....je croi que tu a mal juge mon poin de vu ...juste jvouler dire quil fau se baser sur la culture et léducation dans nos comportement avec les gens on est tout des frers dans lhumanité et cest ca le plus important et laisser les futiliter acauté.
Invité Posté(e) 8 février 2011 Posté(e) 8 février 2011 Selon Statistique Canada en 2007, vivaient plus de 108 600 musulmans au Québec Ouf !! Nous sommes encore loin du Califat !! tu es plus proche de l'enfer :lol:
Habitués assialand Posté(e) 9 février 2011 Habitués Posté(e) 9 février 2011 d'abord si quelqu'un pose une question, prima si on a quoi répondre on réponds si on a pas la réponse on passe notre chemin...je crois que c'est ce qui fait fermer bien des fils intéressants à cause de gens mal intentionnés qui viennent déranger ceux qui cherchent vraiment des réponses...ceci est mon avis! après, poser une question de genre statististique, combien de musulmans, d'inuits, de français ..etc je crois que c'est pas vraiment le bon forum, on peut juste faire une petire recherche sur google et avoir des sites spécialisés pour cela.... maintenant le plus choquant, c'est que dès qu'il y'a le mot islam et dérivés hop, la modération, le politiquement correct, religieusement correct, ça commence à nous peser...la vraie question, y'a t'il un problème avec le mot islam, musulmans et autres??? définition du musulman: être humain de confession musulmane, personne qui croît en l'unité de dieu, qui prie 5fois chez lui, qui mange pas durant le journée le mois de ramadhan, mais heureusement pour lui mange après, qui va en voyage à la maque une fois dans sa vie, qui fait l'homône à ceux qui sont plus pauvres, et qui plus est ne doit jamais se mêler de ce et ceux qui ne le regarde((ent) pas après y'a des cons partout et de toutes confessions, y'a t'il d'autres questions??? en réponse à l'intouchable: qu'il y'ai 1, 100, 1000 ou des millions de musulmans au québec, ça ne devrait ni te réjouir ni t'inquiéter, au québec comme ailleurs c'est chacun pour soi, et selon ta croyance Dieu, krishna ou Allah pour tous starrr et amin1601 ont réagi à ceci 2
Habitués blackiss ton nez Posté(e) 9 février 2011 Habitués Posté(e) 9 février 2011 la vraie question, y'a t'il un problème avec le mot islam, musulmans et autres??? à mon avis oui...ya une peur bleu qui envahit la culture occidentale avec ce mot ....car malheureusement il ya certains individus au sein de cette culture qui ne sont pas du tout tolérants...c-à-d qu'ils veulent imposer aux autres ce qu'ils n'accepteraient jamais des autres chez eux....that is the problem Cherrybee a réagi à ceci 1
starrr Posté(e) 9 février 2011 Posté(e) 9 février 2011 d'abord si quelqu'un pose une question, prima si on a quoi répondre on réponds si on a pas la réponse on passe notre chemin...je crois que c'est ce qui fait fermer bien des fils intéressants à cause de gens mal intentionnés qui viennent déranger ceux qui cherchent vraiment des réponses...ceci est mon avis! après, poser une question de genre statististique, combien de musulmans, d'inuits, de français ..etc je crois que c'est pas vraiment le bon forum, on peut juste faire une petire recherche sur google et avoir des sites spécialisés pour cela.... maintenant le plus choquant, c'est que dès qu'il y'a le mot islam et dérivés hop, la modération, le politiquement correct, religieusement correct, ça commence à nous peser...la vraie question, y'a t'il un problème avec le mot islam, musulmans et autres??? définition du musulman: être humain de confession musulmane, personne qui croît en l'unité de dieu, qui prie 5fois chez lui, qui mange pas durant le journée le mois de ramadhan, mais heureusement pour lui mange après, qui va en voyage à la maque une fois dans sa vie, qui fait l'homône à ceux qui sont plus pauvres, et qui plus est ne doit jamais se mêler de ce et ceux qui ne le regarde((ent) pas après y'a des cons partout et de toutes confessions, y'a t'il d'autres questions??? en réponse à l'intouchable: qu'il y'ai 1, 100, 1000 ou des millions de musulmans au québec, ça ne devrait ni te réjouir ni t'inquiéter, au québec comme ailleurs c'est chacun pour soi, et selon ta croyance Dieu, krishna ou Allah pour tous trés bien dit !! et pour répondre à blackiss ton nez, musulman ou autres, y'a du bon et mauvais partout donc il serait plus intéligent de ne pas généraliser
Habitués blackiss ton nez Posté(e) 9 février 2011 Habitués Posté(e) 9 février 2011 trés bien dit !! et pour répondre à blackiss ton nez, musulman ou autres, y'a du bon et mauvais partout donc il serait plus intéligent de ne pas généraliser il serait également plus intelligible de bien lire les écrits des forumistes avant d'utiliser abusivement le mot généraliser en guise de réponse
Invité Posté(e) 10 février 2011 Posté(e) 10 février 2011 Les critères de choix du pays dimmigration Question : Quels sont les conditions quun pays doit réunir pour ne plus être considéré comme un territoire de guerre ou de mécréance pour les musulmans? Réponse: Louange à Allah Tout pays ou territoire dont les autorités appliquent les lois dAllah et gouvernent les habitants selon les dispositions de la Charia et où les justiciables ont la possibilité de remplir les obligations que la Charia leur a prescrites, constituent un territoire de lIslam.Les habitants musulmans doivent alors loyauté à leurs gouvernants dans la mesure où leur action est conforme aux normes islamiques. En plus, ils doivent prodiguer de bons conseils à leurs chefs et les aider à bien gérer les affaires de lÉtat et à mettre à leur disposition leur énergie physique et intellectuelle et à y vivre et à ne pas le quitter pour sinstaller dans une autre contrée musulmane, dans lespoir dy trouver de meilleures conditions de vie. La ville de Médine, par exemple, est devenue un territoire islamique après limmigration du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) vers elle et linstallation en son sein du siège de lÉtat islamique. Cest également le cas de La Mecque dont la conquête permit de lintégrer dans le territoire de lIslam, alors quauparavant elle était un territoire de guerre que les musulmans capables avaient lobligation de quitter. De même est considéré comme un territoire de guerre tout pays ou contrée dont les gouvernants nappliquent pas les lois et ne gèrent pas les affaires des justiciables selon les dispositions de lIslam et où le musulman na pas la possibilité de sacquitter des obligations cultuelles de sa religion. Cétait, par exemple, le cas de La Mecque avant la conquête. Cest également le cas des pays dont les habitants se réclament de lIslam, mais dont les gouvernants appliquent des lois autres que celles révélées par Allah et où les musulmans ne peuvent pas célébrer les rites de leur religion. Pour sauver leur foi, les musulmans doivent dans ce cas quitter ce territoire pour aller sinstaller ailleurs où lon gouverne selon lIslam et où ils peuvent acquitter leurs obligations religieuses.Ceux parmi les hommes, les femmes et les enfants qui ne peuvent pas se déplacer sont excusables. Les musulmans des autres territoires doivent uvrer pour faciliter lévacuation de ces empêchés vers le territoire de lIslam.Allah le Très Haut a dit: « Ceux qui ont fait du tort à eux-mêmes, les Anges enlèveront leurs âmes en disant: "Où en étiez- vous?" (à propos de votre religion) - "Nous étions impuissants sur terre", dirent- ils. Alors les Anges diront: "La terre d'Allah n'était- elle pas assez vaste pour vous permettre d'émigrer?" Voilà bien ceux dont le refuge est l' Enfer. Et quelle mauvaise destination! à l' exception des impuissants: hommes, femmes et enfants, incapables de se débrouiller, et qui ne trouvent aucune voie: à ceux-là, il se peut qu' Allah donne le pardon. Allah est Clément et Pardonneur.. » (Coran,4: 97-99) et a dit: « Et qu' avez- vous à ne pas combattre dans le sentier d'Allah, et pour la cause des faibles: hommes, femmes et enfants qui disent: "Seigneur! Fais- nous sortir de cette cité dont les gens sont injustes, et assigne-nous de Ta part un allié, et assigne- nous de Ta part un secoureur". » (Coran,4:75). Quant aux habitants musulmans capables dobserver les rites de leur religion ,de convaincre leur gouvernants, de contribuer à lamélioration de leur conduite, ils ont lobligation de rester sur place, dans lespoir que leur présence favorise la diffusion de la religion et la réforme dans une atmosphère de paix. Islam Q&A Sheikh Muhammed Salih Al-Munajjid http://www.islam-qa.com/fr/search Le Québec une territoire de guerre
Habitués kobico Posté(e) 10 février 2011 Habitués Posté(e) 10 février 2011 Les critères de choix du pays d'immigration Question : Quels sont les conditions qu'un pays doit réunir pour ne plus être considéré comme un territoire de guerre ou de mécréance pour les musulmans? Réponse: Trouver des textes avec des interprétations extrémistes, c'est facile. On en trouve chez les musulmans, les catholiques, ou les athées. Mais ces textes sont à des années lumières de ce que pensent les immigrants. Ça n'a aucune réalité, en particulier au Québec. En somme, ton point de vu anti-religieux est aussi extrêmiste et haineux que celui de ceux que tu dénonces. Les statistiques sur la religion au Québec améne à une conclusion : tu dois être bien malheureux au Québec d'être dans un pays aux valeurs aussi éloignées des tiennes T'es quand même drôle... Lorsque c'est moi qui donne des statistiques, tu lèves le nez en prétendant que ce n'est pas la réalité... Je veux bien admettre que les textes présentés pas hdelmondo ne sont pas un juste reflet de ce que pensent la majorité des immigrants. Pourtant, il y en a malheureusement qui y adhèrent... y'a qu'à voir le contenu de certains sites québécois. Nier en bloc n'est pas mieux que de dénoncer en bloc. jimmy a réagi à ceci 1
Habitués Kweli Posté(e) 10 février 2011 Habitués Posté(e) 10 février 2011 T'es quand même drôle... Lorsque c'est moi qui donne des statistiques, tu lèves le nez en prétendant que ce n'est pas la réalité... Je veux bien admettre que les textes présentés pas hdelmondo ne sont pas un juste reflet de ce que pensent la majorité des immigrants. Pourtant, il y en a malheureusement qui y adhèrent... y'a qu'à voir le contenu de certains sites québécois. Nier en bloc n'est pas mieux que de dénoncer en bloc. Tu m'étonnes donc toi! Tous ceux qui connaissent le moindrement la rhétorique de hdelmondo savent qu'il s'en prend à tous les musulmans sans distinction. Comment peux-tu le soutenir, franchement? Oui, il y a des intégristes islamistes ici. Et alors? Il ne faut pas accepter les absurdités des haineux. ce serait comme dire que Moïse Thériault est représentatif des Québécois ou Raël, représentatif des Français. Le Québec athée mur à mur n'existe que dans les rêves de certains. Les croyants catholiques Québécois méritent autant de respect que les croyants musulmans, tout aussi Québécois que les premiers. Et ce ne sont pas les invectives envers les bons musulmans qui vont améliorer ces pourritures d'intégristes. Ils sont pourris et le resteront, inutile de contribuer à leur jeu en victimisant leurs coreligionnaires qui n'aspirent qu'à vivre en paix. isseo17 et djidou ont réagi à ceci 2
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