Habitués grizzli Posté(e) 26 décembre 2009 Habitués Posté(e) 26 décembre 2009 Mon lien (Ottawa) Le gouvernement fédéral retarde depuis un an la publication d'un rapport sur la possibilité de permettre à des sociétés d'offrir des prêts conformes à la loi islamique. Le propre de ces prêts est d'éviter de faire payer des intérêts à l'emprunteur puisque la loi islamique (la charia) interdit le prêt usuraire. Par exemple, une banque achète elle-même une maison et la loue au véritable acheteur, qui n'en devient propriétaire que lorsqu'il a fini de payer ce qu'il doit. La Société canadienne d'hypothèque et de logement (SCHL) a commandé ce rapport au bureau d'avocats Gowlings Lafleur Henderson, à Ottawa, par la voie d'un appel d'offres lancé en décembre 2007. À l'époque, la démarche avait attiré l'attention des médias. La société d'État leur répondait qu'il ne s'agissait que d'une démarche d'information de la population, qu'elle n'avait aucune intention d'offrir de tels produits à sa clientèle et que le rapport serait rendu public dès la fin de 2008. Or, le rapport n'a toujours pas été publié, bien que la SCHL l'ait reçu en mars 2009, comme le démontrent des documents que La Presse a obtenus en vertu de la Loi sur l'accès à l'information. Ces documents montrent également que le bureau de la ministre responsable de la SCHL, Diane Finley, a commencé à s'occuper activement de ce dossier au mois d'août 2009, soit quelques semaines avant le possible déclenchement d'élections fédérales qui n'ont finalement pas eu lieu. On ignore toutefois la teneur des discussions qui ont eu lieu et qui y a pris part, car ces informations ont été censurées pour des raisons de confidentialité. Les documents indiquent néanmoins que le président de la SCHL a eu le rapport entre les mains entre le printemps et l'automne 2009 à des fins de «révision». «Tout ce que j'ai comme information, c'est qu'il va être rendu public en 2010», a simplement expliqué le porte-parole de la société, Charles Sauriol. Il n'a pas voulu en dire plus. En ébullition Les services financiers conformes aux principes islamiques sont en véritable ébullition dans le monde, et les sociétés financières multiplient les pressions pour qu'Ottawa leur donne l'autorisation d'entrer dans la danse. Depuis plus de deux ans, plusieurs sociétés privées ont en effet demandé au gouvernement fédéral la permission de fournir de tels services financiers ou d'ouvrir des banques qui offrent ce type de produits. Cet intérêt n'est pas étonnant puisque le secteur est lucratif: selon l'agence Moody's, le secteur de la finance islamique dans le monde vaut actuellement 700 milliards de dollars et pourrait atteindre jusqu'à 4 billions. Or, on évalue à quelque 855 000 le nombre de musulmans au Canada. Selon Statistique Canada, cette communauté connaîtra la plus forte croissance d'ici 2017, pour atteindre jusqu'à 5% de la population totale, ou près de la moitié des groupes religieux non chrétiens. Pourtant, le pays accuse un certain retard par rapport à d'autres, comme le Royaume-Uni et les États-Unis, qui sont déjà bien engagés dans cette voie. Jusqu'ici, le fédéral s'est borné à ne pas empêcher ce qui entre dans le cadre législatif actuel. C'est le cas, notamment, de prêts hypothécaires conformes à la charia, déjà offerts par des compagnies comme UM Financial, de Toronto. Quant aux demandes des institutions financières, on ignore quand et comment Ottawa y répondra. Pour l'heure, le Bureau du surintendant des institutions financières, l'organe chargé de les examiner, s'est contenté de confirmer qu'il en étudiait deux. Sujet délicat Une chose est sûre, cependant: tant pour l'approbation d'institutions financières que pour le rapport de la SCHL, le gouvernement est loin de pécher par excès de vitesse. Un autre document obtenu par La Presse grâce à la Loi sur l'accès à l'information démontre en effet que le Bureau du surintendant a reçu deux demandes en 2007. On ignore si ce sont celles qu'il étudie actuellement. On sait toutefois qu'il avait alors mis sur pied un groupe consultatif avec le ministère des Finances pour décider quoi faire. Ce groupe aurait aujourd'hui terminé ses travaux et formulé ses recommandations. N'empêche, le rythme adopté par Ottawa dans le dossier ne passe pas inaperçu chez les principaux intéressés. «La SCHL et des gens au gouvernement nous ont dit que c'est un sujet un peu délicat et qu'ils veulent gérer la situation avec prudence», a confié Omar Kalair, PDG et fondateur d'UM Financial. Lorsque la SCHL a commandé l'étude, le Congrès musulman du Canada avait publiquement dénoncé les prêts hypothécaires conformes à la charia, qu'il considère comme une manière d'abuser de la foi de certaines personnes pour les amener à payer plus cher. Le fondateur du Congrès, Tarek Fatah, se réjouit aujourd'hui de la prudence du gouvernement fédéral: «Nous voyons cela comme le front financier du mouvement islamiste, a-t-il tranché. Cela cible des musulmans vulnérables et marginalisés, à qui l'on dit que, s'ils font affaire avec des non-musulmans, ils iront en enfer. C'est comme l'église catholique du XIIIe siècle.» «Nous sommes très contents qu'ils n'aient pas permis cela, a indiqué M. Fatah. La finance islamique se base sur des prémisses frauduleuses.» Avec la collaboration de William Leclerc moi ça me fait bien rire, un pret qui est en accord avec la charia car celle-ci interdit le prêt usuraire... mais en contre-parti la banque achete la maison et te la loue jusqu'a ce le proprio a fini de payer ce qu'il doit. genre au bout de 10 ans elle est payée... mais toi tu la rembourse a la banque pendant 15 ou 16.... finalement c'est quoi la différence avec des intérêts ? comme quoi on fait toujours dire ceux qu'on veux a des chiffres... scanlolo, Willie976 et Mourad15 ont réagi à ceci 3
Habitués kiki75 Posté(e) 26 décembre 2009 Habitués Posté(e) 26 décembre 2009 la difference c'est que dansun cas c'est des musulmans qui te les pretent et dans l'autre cas non!
Habitués macipsa13 Posté(e) 26 décembre 2009 Habitués Posté(e) 26 décembre 2009 C'est du marketing sectaire
Habitués Azarielle Posté(e) 26 décembre 2009 Habitués Posté(e) 26 décembre 2009 L'argent reste dans la famille!
Habitués Voyageur76 Posté(e) 26 décembre 2009 Habitués Posté(e) 26 décembre 2009 (modifié) Le gouvernement fédéral retarde depuis un an la publication d'un rapport sur la possibilité de permettre à des sociétés d'offrir des prêts conformes à la loi islamique. Encore une fois du communautarisme... et de l'auto-exclusion. La loi islamique, c'est la charia, les barbus islamistes extrémistes doivent rire dans leurs barbes... Voit-on des hypothèques exclusivement pour les boudistes, des hypothèques exclusivement pour les catholiques, des hypothèques exclusivement pour les protestants ? Bien sûr que non... Modifié 26 décembre 2009 par Voyageur76
Habitués Voyageur76 Posté(e) 26 décembre 2009 Habitués Posté(e) 26 décembre 2009 Lorsque la SCHL a commandé l'étude, le Congrès musulman du Canada avait publiquement dénoncé les prêts hypothécaires conformes à la charia, qu'il considère comme une manière d'abuser de la foi de certaines personnes pour les amener à payer plus cher. Le fondateur du Congrès, Tarek Fatah, se réjouit aujourd'hui de la prudence du gouvernement fédéral: «Nous voyons cela comme le front financier du mouvement islamiste, a-t-il tranché. Cela cible des musulmans vulnérables et marginalisés, à qui l'on dit que, s'ils font affaire avec des non-musulmans, ils iront en enfer. C'est comme l'église catholique du XIIIe siècle.» «Nous sommes très contents qu'ils n'aient pas permis cela, a indiqué M. Fatah. La finance islamique se base sur des prémisses frauduleuses.» Très lucide ce Tarek Fatah du Congrès musulman canadien. Pourquoi payer plus cher une hypothèque islamique seulement pour faire du communautarisme ? C'est abuser de certaines personnes pour faire plus de profit puisque ça revient plus cher...
Habitués Caribou777 Posté(e) 26 décembre 2009 Habitués Posté(e) 26 décembre 2009 (modifié) Bon si on laisse l'islamophobie latente dont vient de faire preuve notre petite brochette de beaufs ci-dessus toujours aussi fidèle à ses habitudes, la "finance islamique" a son intérêt. J'ai des doutes quant à viabilité d'une généralisation d'un tel modèle mais certains aspects de la finance islamique peuvent plaire à une catégorie de citoyens. Premièrement les musulmans qui veulent que l'argent qu'ils injectent dans la finance (dans les banques) soient utilisés à "bon escient" (pas d'investissement dans l'industrie de l'armement, de l'alcool, de l'industrie porno ... etc). Ce point peut aussi intéresser des non musulmans mais qui veulent que leur argent serve des projets "responsables" et non à alimenter la machine spéculative actuelle. Deuxièmement certains aspects techniques peuvent être intéressants par rapport à la finance mondiale actuelle qui a tout de même produit de gros dégâts. Par exemple l'interdiction de l'incertitude (spéculation). En faite quelque part c'est permettre aux banques de revenir à leur métier de départ, à savoir soutenir des projets de l'économie réelle. Modifié 26 décembre 2009 par Caribou777 Bouclette a réagi à ceci 1
Habitués Voyageur76 Posté(e) 26 décembre 2009 Habitués Posté(e) 26 décembre 2009 Bon si on laisse l'islamophobie latente Encore une fois Caribou777, une affirmation mensongère, ridicule et risible... Tarek Fatah, qui s'oppose à la finance islamique est ... musulman !!! ( Congrès musulman canadien ). En suppportant la finance islamique, tu te fais le complice des islamistes extrémistes... Tarek Fatah, un musulman modéré lui s'y oppose... Lorsque la SCHL a commandé l'étude, le Congrès musulman du Canada avait publiquement dénoncé les prêts hypothécaires conformes à la charia, qu'il considère comme une manière d'abuser de la foi de certaines personnes pour les amener à payer plus cher. Le fondateur du Congrès, Tarek Fatah, se réjouit aujourd'hui de la prudence du gouvernement fédéral: «Nous voyons cela comme le front financier du mouvement islamiste, a-t-il tranché. Cela cible des musulmans vulnérables et marginalisés, à qui l'on dit que, s'ils font affaire avec des non-musulmans, ils iront en enfer. C'est comme l'église catholique du XIIIe siècle.» «Nous sommes très contents qu'ils n'aient pas permis cela, a indiqué M. Fatah. La finance islamique se base sur des prémisses frauduleuses.»
Habitués Voyageur76 Posté(e) 26 décembre 2009 Habitués Posté(e) 26 décembre 2009 Ce point peut aussi intéresser des non musulmans mais qui veulent que leur argent serve des projets "responsables" et non à alimenter la machine spéculative actuelle. Deuxièmement certains aspects techniques peuvent être intéressants par rapport à la finance mondiale actuelle qui a tout de même produit de gros dégâts. Par exemple l'interdiction de l'incertitude (spéculation). Une autre affirmation mensongère... Dubai qui pratique la finance islamique est sur le bord de la faillite... à cause de la spéculation immobilière. ( bulle immobilière )!!!
Habitués Azarielle Posté(e) 26 décembre 2009 Habitués Posté(e) 26 décembre 2009 notre petite brochette de beaufs ci-dessus Wow nous sommes des beaufs! Enfin je fais partie d'un groupe sélect! scrogn a réagi à ceci 1
Habitués Caribou777 Posté(e) 26 décembre 2009 Habitués Posté(e) 26 décembre 2009 (modifié) Ce point peut aussi intéresser des non musulmans mais qui veulent que leur argent serve des projets "responsables" et non à alimenter la machine spéculative actuelle. Deuxièmement certains aspects techniques peuvent être intéressants par rapport à la finance mondiale actuelle qui a tout de même produit de gros dégâts. Par exemple l'interdiction de l'incertitude (spéculation). Une autre affirmation mensongère... Dubai qui pratique la finance islamique est sur le bord de la faillite... à cause de la spéculation immobilière. ( bulle immobilière )!!! Sauf que Dubaï ne pratique pas la finance islamique, Dubaï est une des plaques tournantes de la finance mondiale où les banques Américaines, Européennes et Asiatiques font leur beur (HSBC, Citibank, ...). Rares sont les banques qui pratiquent la finance islamique. Finance islamique n'est pas l'équivalent de la finance faites par des musulmans ou dans des pays musulmans ! Avant de dire des âneries, vérifie au moins ce que tu dis. Modifié 26 décembre 2009 par Caribou777
Habitués Voyageur76 Posté(e) 26 décembre 2009 Habitués Posté(e) 26 décembre 2009 Sauf que Dubaï ne pratique pas la finance islamique, Dubaï est une des plaques tournantes de la finance mondiale où les banques Américaines, Européennes et Asiatiques font leur beur (HSBC, Citibank, ...). Rares sont les banques qui pratiquent la finance islamique. Finance islamique n'est pas l'équivalent de la finance faites par des musulmans ou dans des pays musulmans ! Avant de dire des âneries, vérifie au moins ce que tu dis. Encore une fois une affirmation mensongère... Dubai pratique bel et bien la finance islamique. Des experts financiers sur TV5 ont confirmé ce fait. C'est toi qui devrait arrêter de dire des âneries et vérifier. Les experts financiers ont beaucoup plus de crédibilité que toi...
Habitués kobico Posté(e) 27 décembre 2009 Habitués Posté(e) 27 décembre 2009 Bon si on laisse l'islamophobie latente dont vient de faire preuve notre petite brochette de beaufs ci-dessus toujours aussi fidèle à ses habitudes Trop facile d'accuser d'islamophobie toute expression critique envers un aspect quelconque de l'islam. En lisant un peu, on apprend que le "islamic banking" est une tradition inventée en 1940.... L'économie islamique prend une ampleur de plus en plus incontournable grâce à une profusion de portefeuilles d'exportateurs de pétrole et une multiplication d'instruments financiers islamiques (tels que des emprunts sans intérêts et des obligations sukuk). Mais à quoi rime tout cela? Les instruments conformes à la charia peuvent-ils concurrencer l'ordre financier international? L'instauration d'un régime économique islamique va-t-elle vraiment de pair, comme l'affirme un enthousiaste, avec la fin de l'injustice grâce à «l'intervention de l'État pour le bien de tous»? Timur Kuran, professeur de sciences économiques et politiques à Duke University. Pour comprendre ce système, le meilleur point de départ est Islam and Mammon, un brillant ouvrage que Timur Kuran a écrit alors qu'il occupait (paradoxalement, vu le soutien saoudien à l'économie islamique) la chaire «King Faisal Professor of Islamic Thought and Culture» (pensée et culture islamiques) de l'université de Californie du Sud. Kuran, qui enseigne actuellement à Duke University, estime que l'économie islamique ne remonte pas à Mahomet, qu'elle est une «tradition inventée» qui a émergé en Inde, dans les années 1940. La notion de discipline des sciences économiques «qui serait clairement et ouvertement islamique est très récente». Il y a encore un siècle, même les plus savants des Musulmans auraient été interloqués par l'«économie islamique». L'idée a été forgée à l'origine par un intellectuel islamiste, Abul Ala Maududi (1903-79), pour qui l'économie islamique servait de moyen vers de nombreuses fins: minimiser les relations avec les non-Musulmans, renforcer le sentiment collectif d'identité musulmane, étendre l'Islam dans un nouveau domaine d'activité humaine et moderniser sans occidentaliser. Les sciences économiques islamiques ont pris leur essor en tant que discipline universitaire vers la moitié des années 1960. Elles ont bénéficié d'un élan institutionnel pendant le boom pétrolier des années 1970, lorsque les Saoudiens et d'autres Musulmans exportateurs de pétrole, qui entraient alors pour la première fois en possession de fortes sommes d'argent, ont apporté un «vaste soutien» au projet. Les partisans de l'économie islamique avancent deux propositions fondamentales: que le système capitaliste a échoué et que l'Islam fournit la solution. Pour évaluer cette dernière assertion, Kuran se penche avec beaucoup d'attention sur le fonctionnement concret de l'économie islamique et sur ses trois principales affirmations, à savoir qu'elle abolit l'intérêt sur l'argent, qu'elle engendre l'égalité économique et qu'elle établit une éthique commerciale supérieure. Sa conclusion est qu'elle échoue totalement à ces trois niveaux. 1) «Nulle part l'intérêt n'a disparu des transactions économiques et l'islamisation économique ne bénéficie nulle part d'un soutien massif.» Les opérations exotiques et complexes de participation aux pertes et profits comme ijara, mudaraba, murabaha et musharaka font toutes intervenir des paiements d'intérêts déguisés. En fait, les banques qui se prétendent islamiques «ressemblent davantage aux autres instituts financiers modernes qu'à un quelconque héritage de l'Islam». Bref, il n'y a pratiquement rien d'islamique dans les pratiques bancaires islamiques ce qui explique en grande partie pourquoi Citibank et d'autres grandes banques occidentales détiennent des dépôts conformes à l'Islam beaucoup plus considérables que les banques spécifiquement islamiques. 2) L'ambition de réduire les inégalités en imposant la zakat n'a réussi «nulle part». Kuran estime que cet impôt «ne génère pas nécessairement un transfert de ressources vers les pauvres et peut même en fait conduire à un transfert de ressources négatif pour eux». Pire encore, en Malaisie, l'imposition de la zakat, supposée aider les pauvres, semble plutôt servir de «prétexte fort commode pour promouvoir des objectifs islamiques et pour enrichir les responsables religieux». 3) «Le nouvel accent porté sur la morale économique n'a eu aucun impact sensible sur les comportements économiques.» Ceci en raison du fait que, comme dans le socialisme, «certains éléments du programme économique islamique sont contraires à la nature humaine». Kuran rejette la notion même de sciences économiques islamiques. «Il n'existe pas de manière spécifiquement islamique de construire un bateau, de défendre un territoire, de guérir une épidémie ou de faire des prévisions météorologiques», alors pourquoi l'argent? Il conclut que l'importance de l'économie islamique réside non pas dans l'économie, mais dans l'identité et la religion. Ce projet «a promu la propagation de courants de pensées antimodernes () dans l'ensemble du monde islamique. Il a aussi favorisé la formation d'un milieu encourageant le militantisme islamiste.» En fait, l'économie islamique contribue à l'instabilité économique mondiale en «empêchant les réformes sociales et institutionnelles nécessaires à un développement économique sain». Ainsi, si les Musulmans avaient bel et bien l'interdiction de verser et de facturer des intérêts, ils seraient relégués «dans la marge de l'économie internationale». Bref, l'économie islamique ne fournit qu'une contribution insignifiante aux sciences économiques, mais elle constitue un important et pernicieux danger politique. le lien scrogn et Azarielle ont réagi à ceci 2
Habitués Caribou777 Posté(e) 27 décembre 2009 Habitués Posté(e) 27 décembre 2009 (modifié) Sauf que Dubaï ne pratique pas la finance islamique, Dubaï est une des plaques tournantes de la finance mondiale où les banques Américaines, Européennes et Asiatiques font leur beur (HSBC, Citibank, ...). Rares sont les banques qui pratiquent la finance islamique. Finance islamique n'est pas l'équivalent de la finance faites par des musulmans ou dans des pays musulmans ! Avant de dire des âneries, vérifie au moins ce que tu dis. Encore une fois une affirmation mensongère... Dubai pratique bel et bien la finance islamique. Des experts financiers sur TV5 ont confirmé ce fait. C'est toi qui devrait arrêter de dire des âneries et vérifier. Les experts financiers ont beaucoup plus de crédibilité que toi... lol tu sais dire autre chose que "Encore une fois une affirmation mensongère" ? Bon c'est vrai t'es un peu dur de la tête, t'as du mal à assimiler j'avais eu l'occasion de le remarquer. La finance islamique existe dans les pays muslmans (jusque là t'es pas perdu ?) mais ce n'est pas du tout la finance islamique qui est responsable des faillites de type "spéculatives" puisque ce type de finances ne représente qu'un très faible pourcentage des transactions passées chaque jour. C'est pas très difficile à comprendre, quand on base une finance sur le refus de la spéculation et de l'incertitude, il est difficile de créer des bulles et de les faire éclater. Malheureusement pour l'instant c'est la dérégulation lancée par les USA à la fin des années 80 qui a permis l'émergence d'une nouvelle finance totalement déconnectée de la réalité et qui nous fabrique tous les jours des produits financiés aussi sophistiqués que dangereux. La preuve ce que nous sommes en train de traverser (car ce n'est que le début) Quant à tes experts TV5, ils ont certainement raison mais c'est surement toi qui as compris tout de travers. Modifié 27 décembre 2009 par Caribou777 Bouclette a réagi à ceci 1
Habitués Azarielle Posté(e) 27 décembre 2009 Habitués Posté(e) 27 décembre 2009 Kobico, avoue donc que tu veux aussi faire partie du club sélect! kobico, scanlolo et scrogn ont réagi à ceci 3
Habitués Voyageur76 Posté(e) 27 décembre 2009 Habitués Posté(e) 27 décembre 2009 La finance islamique existe dans les pays muslmans (jusque là t'es pas perdu ?) mais ce n'est pas du tout la finance islamique qui est responsable des faillites de type "spéculatives" puisque ce type de finances ne représente qu'un très faible pourcentage des transactions passées chaque jour. C'est pas très difficile à comprendre, quand on base une finance sur le refus de la spéculation et de l'incertitude, il est difficile de créer des bulles et de les faire éclater. Malheureusement pour l'instant c'est la dérégulation lancée par les USA à la fin des années 80 qui a permis l'émergence d'une nouvelle finance totalement déconnectée de la réalité et qui nous fabrique tous les jours des produits financés aussi sophistiqués que dangereux. La preuve ce que nous sommes en train de traverser (car ce n'est que le début) Quant à tes experts TV5, ils ont certainement raison mais c'est surement toi qui as compris tout de travers Encore des fausseté de ta part... A Dubai, haut lieu de la finance islamique, il y a eu une spéculation immobilière massive et l'éclatement de la bulle spéculative a causé la quasi-faillite de Dubai, c'est un fait, que tu veuilles l'admettre ou non... Donc j'ai très bien compris les experts financiers de TV5. Pour ce qui est du reste, je te réfère à l'excellent article de Timur Kuran, expert et professeur de sciences économiques, posté par Kobico. Encore une fois, cet expert financier, Timur Kuran a beaucoup plus de crédibilité que toi... Il n'y a pas de pire aveugle que celui qui refuse de voir... Timur Kuran, professeur de sciences économiques et politiques L'idée a été forgée à l'origine par un intellectuel islamiste, Abul Ala Maududi (1903-79), pour qui l'économie islamique servait de moyen vers de nombreuses fins: minimiser les relations avec les non-Musulmans, renforcer le sentiment collectif d'identité musulmane, étendre l'Islam dans un nouveau domaine d'activité humaine et moderniser sans occidentaliser. L'ambition de réduire les inégalités en imposant la zakat n'a réussi «nulle part». Kuran estime que cet impôt «ne génère pas nécessairement un transfert de ressources vers les pauvres et peut même en fait conduire à un transfert de ressources négatif pour eux». Pire encore, en Malaisie, l'imposition de la zakat, supposée aider les pauvres, semble plutôt servir de «prétexte fort commode pour promouvoir des objectifs islamiques et pour enrichir les responsables religieux». Ce projet «a promu la propagation de courants de pensées antimodernes () dans l'ensemble du monde islamique. Il a aussi favorisé la formation d'un milieu encourageant le militantisme islamiste.» En fait, l'économie islamique contribue à l'instabilité économique mondiale en «empêchant les réformes sociales et institutionnelles nécessaires à un développement économique sain».
Habitués kobico Posté(e) 27 décembre 2009 Habitués Posté(e) 27 décembre 2009 Kobico, avoue donc que tu veux aussi faire partie du club sélect! Je t'ai donné 1 point pour la pertinence de ce commentaire! scanlolo et Azarielle ont réagi à ceci 2
Habitués Voyageur76 Posté(e) 27 décembre 2009 Habitués Posté(e) 27 décembre 2009 La finance islamique ( Source Wikipédia ) : Selon une étude[2] récente publiée par l'université de Princeton (États-Unis), l'économiste Timur Kuran a établi que les principes théoriques de la finance islamique ont une histoire relativement courte, ayant été formulés en grande partie par le théologien pakistanais Sayyid Abul Ala Maududi à partir des années 1940. Il semblerait que la première banque islamique moderne fût créée en Égypte, à Mit Ghamr aux alentours de 1963[3]. ... La finance islamique dans le monde L'encours de la finance islamique dans le monde est estimé entre 600 et 800 milliards de dollars en 2006 ou 2007 et pourrait atteindre 1000 milliards en 2010, selon des prévisions publiées en 2008[5]. Il a progressé rapidement de 2003 à 2007 (+15% par an), soutenu par les revenus des pays du golfe Persique et d'Asie du Sud-Est, en fort développement économique sur la période, les rapatriements de fonds moyen-orientaux après les attentats du 11 septembre 2001 et la montée de la conscience religieuse islamique[6]. Alors que 25% de la population mondiale est de confession musulmane, certains estiment que 40 % à 50% de leur épargne sera gérée par la finance islamique d'ici 8 à 10 ans, contre 10 % vers 2007[6]. Les principales banques islamiques dans le monde sont, par ordre de taille décroissante d'encours en 2006[6] : Al Rajhi Bank (Arabie saoudite), la Kuwait Finance House (Koweït), la Dubai Islamic Bank (Dubaï), l'Abu Dhabi Islamic Bank (Émirats Arabes Unis), et la Bank Al Jazira (Arabie saoudite). En Algérie, Al Baraka Bank est une banque islamique. Meezan Bank est une des banques islamiques du Pakistan. En Tunisie, Banque Zitouna est la seule banque islamique. La Dubai Islamic Bank, une des plus grosse banque islamiques du monde... donc j'avais raison. Caribou777, faut vérifier plûtot que de dire des faussetés et des âneries...
Habitués Guinness Posté(e) 27 décembre 2009 Habitués Posté(e) 27 décembre 2009 notre petite brochette de beaufs ci-dessus Wow nous sommes des beaufs! Enfin je fais partie d'un groupe sélect! Je peux en faire partie aussi ? Franchement, se faire insulter par parano777, quel plaisir ! Bande de chanceux. kiki75, scrogn et Azarielle ont réagi à ceci 3
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