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Un témoignage sur l'expérience d'immigration au Québec


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Biensûr que des personnes plus scolarisés peuvent se recycler plus rapidement ... Mais auront-il envi ? Surtout lorsqu'une délégation du Québec leur promette qu'ils auront un emploi au niveau de leur compétences ! En plus sa risque de créer de la racoeur envers le pays d'accueil qu'ils vont nécessairement transmettre à leurs enfants ... Et ça risque de créer de gros conflit ... Mais bon comme toujours notre bon gouvernement fait de la gestion à court terme plutôt qu'à long terme !

Lec propre des gouvernements, c'est de marcher sur la tête non? :lol:

Blague mise à part, le gouvernement ne fait rien parce que son opinion publique est derrière lui.

Pour l'instant, la population en général trouve NORMAL que les immigrants galèrent. D'ailleurs, nombreux sont ceux qui ne voient pas du tout l'apport de l'immigration sur la société québécoise. Il y a plein de gens qui pensent que le Québec peut fermer définitivement ses portes et s'en sortir quand même sur le plan économique.

Les syndicats, les chambres du commerce nous ont habitués à faire du bruit juste pour rien, pour se donner bonne figure. Si le patronat était si convaincu que ça, les employeurs ne garderaient pas les postes non comblés pendant des mois en attendant qu'un CV ayant un patronyme pur souche tombe dans leur pile. Bref, les immigrants potentiels n'ont qu'à attacher leurs tuques, ça ne changera pas de sitôt.

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  • Habitués
Tu peux pas parler de discrimination institutionnalisé si l'immigrant a été négligeant en refusant de faire le nécessaire pour faire parti de l'ordre correspondant à sa profession au Québec ! Par contre la politique d'immigration du Québec qui priviligie les gros diplômes ( universitaires ) au détriment des diplômes plus techniques est un errreur monumentale. Dernièrement aux nouvelles télévisées on apprenait qu'une entreprise québécoise a été cherché des soudeurs au Costa Rica parce qu'elle n'arrivait pas à trouver suffisamment de soudeurs au Québec. La politique d'immigration du Québec devrait correspondre aux besoins du marché du travail québécois, ce qui n'est pas nécessairement le cas aujourd'hui.

En complément d'informations, il s'agit d'un groupe de soudeurs Costa-Ricains et d'ingénieurs Tunisiens. Ils sont installés à Berthierville, une toute petite ville (disons un gros village...) à une heure de Montréal.

Berthierville

position syndicale

à noter que le second article date de 2007...

Modifié par kobico
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  • Habitués

En informatique ils recrutent beaucoup à l'étranger ... Mais c'est vrai que pour les reste les employeurs n'ont pas l'air intéressé plus que ça de combler leur poste avec des étrangers... C'est sûr qu'en partant de là le gouvernement ne fera pas plus d'efforts qui faut pour promouvoir les immigrants ... Mais bon c'est quand même bien dommage de faire venir tous ses gens et de ne pas se servir de leurs connaissances !

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  • Habitués

Sora, tu disais que ton mari est titulaire d'un BTS (en France) et qu'il a réussi à se trouver du travail après 3 semaines ... Je suis curieux de savoir ce qu'il fait comme tâches dans son boulot, ou bien nous donner le titre qu'il a dans sa boite ;)

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Tu vois pareille pour mon mari il est technicien aussi ... Je comprends pas pourquoi ils recrutent des gens bardés de diplômes alors qu'ils ont surtout besoin de techniciens ... Il a vraiment un problème avec Immigration Québec !

Ce qui est encore plus grave, c'est que cette situation anormale a fini par devenir plutôt la norme. Il est entré dans la mentalité que c'est normal, pour les immigrants, de vivre la galère. Ce sont plutôt les immigrants qui réussissent qui sont devenus une exception. C'est incroyable. Ça devient une discrimination institutionnalisée et systémique à mon avis et personne n'y gagne (contrairement à ce que pense thé glacé).

Je rêve peut-être, mais j'imagine mal ce que deviendrait les établissements de santé de Montréal si toutes les immigrantes (surtout PAB) arrêtaient de travailler le même jour. Ou encore les manufactures et les restaurants. Une journée sans immigrants, c'est peut-être cela qu'il faudra un jour pour que le gouvernement se réveille.

+1

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  • Habitués

Il est technicien en informatique ( son vrai titre c'est long comme pas possible). De ce que je comprends qu'il fait c'est du déploiement de serveurs et autres trucs reliés logiciel et progiciels ... Faut pas trop me demande je comprends pas le 3/4 de ce qu'il fait XD

Il est pas mal plus heureux que son poste en France XD Il était technicien pour FT donc il faisait du câble, du câble et encore du câble ... Ah et il dépannait des livebox passionnant non ? XD En France il arrivait pas se trouve autre chose que hotliner ... Le meilleur poste qu'on lui aie donné c'était chez FT en technicien ... Pourquoi voullais-tu savoir ceci ?

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Tu peux pas parler de discrimination institutionnalisé si l'immigrant a été négligeant en refusant de faire le nécessaire pour faire parti de l'ordre correspondant à sa profession au Québec ! Par contre la politique d'immigration du Québec qui priviligie les gros diplômes ( universitaires ) au détriment des diplômes plus techniques est un errreur monumentale. Dernièrement aux nouvelles télévisées on apprenait qu'une entreprise québécoise a été cherché des soudeurs au Costa Rica parce qu'elle n'arrivait pas à trouver suffisamment de soudeurs au Québec. La politique d'immigration du Québec devrait correspondre aux besoins du marché du travail québécois, ce qui n'est pas nécessairement le cas aujourd'hui.

j'ai fait toutes les démarches depuis la France et ce depuis 2006 pour être sûre....... pas de reconnaissance formation égale, équivalence reconnue par le ministère de l'immigration comme bachelière pas par l'ordre.....

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  • Habitués

Bah disons que je connais plein de monde en France avec des BTS en Info ... Donc j'ai une connaissance de ce qu'ils ont comme bagages informatiques (Réseaux, Câbles, maintenance des serveurs ...), puis en parlant avec une personne de la famille ici au Québec, qui m'a expliqué en détails, alors qu'on parlait du monde du travail au Québec, ce qu'elle fait comme travail (Avec une simple formation de 6-9 mois au CEGEP) j'ai vu la différence entre les 2 formations ...

Donc je me demandais ce que ton mari avait comme connaissances pour travailler là dedans, parce qu'à mon avis, on apprend pas beaucoup de choses lors de la formation "BTS en Info" ... Alors j'imagine que ton mari a appris tout ce qu'il connait aujourd'hui à travers son travail et son milieu ...

Il est pas mal plus heureux que son poste en France XD Il était technicien pour FT donc il faisait du câble, du câble et encore du câble ... Ah et il dépannait des livebox passionnant non ? XD En France il arrivait pas se trouve autre chose que hotliner ... Le meilleur poste qu'on lui aie donné c'était chez FT en technicien

Chez FT ils prennent minimum les titulaires de DUT ... Avec un BTS on peut pas faire grandes choses en France, souvent les titulaires de BTS font une année appelée "année spéciale" l'équivalent d'une licence professionnelle pour apprendre plus et pouvoir se trouver travail !!

Modifié par lilinemo
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  • Habitués

Je te remercie pour ce temoignage et je te salu pour ton courage je te souhaite bonne chance pour le reste.

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  • Habitués

Le technicien pour les particuliers et les petites entreprises ont souvent pas de formation bien particulière pour être chez FT ... Ils ont tous un certains âge et il a très peu de jeunes qui sont pris ... Il était en alternance lorsqu'il faisait son BTS ( pas chez FT). J'ai pas vu grosse différence dans ses connaisances comparé à moi qui est fait un DEC de 3 ans en informatique ...(Bon je suis pas référence je hais l'informatique et j'appreennais tout parcoeur XD)

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  • Habitués

Bonjour

Le temoignage de Elmondo est vrai et authentique, certains immigrés fraichement debarqués au Quebec ont beaucoup de mal à trouver même les jobines, tout depend du facteur chance, du domaine de formation et de tes experiences.

Il faut avoir confiance en soi et la perseverance

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  • Habitués
Il n'y a pas de fumée sans feu!

La pénurie d'infirmières ne datent pas d'hier. Au début des années 2000, certains hôpitaux disposaient encore d'une enveloppe discrétionnaire qui a bel et bien servi, parmi d'autres, à cette usage. Certaines infirmières étaient contractuelles et le billet d'avion, aller-retour, était une clause du contrat, tout comme le paiement des frais de déménagement ou l'aide au loyer. cela est demeuré une pratique marginale qui a cessé depuis que les administrations raclent les fonds de tiroirs....

La rumeur a fait le reste.

Et alors, pourquoi les gens croient que c'est pareil pour tous les immigrants? Entendu ou lu ici et là: le gouvernement paye 50% de notre salaire, paye nos logements, meubles inclus, nous donne plus d'allocations familiales que d'autres, nous avons une assurance-santé en béton, qui couvre tout tout tout à 100% ...

Ce qui est évident, c'est que la population québécoise en général n'a aucune idée de ce que vivent les immigrants et on ne peut pas savoir si ça les intéresse d'ailleurs vraiment.

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  • Habitués
Je confirme, moi je n'ai pas galéré puisque j'avais l'emploi supposé depuis la France, en tout cas des contacts.

Mais combien de fois je l'entends ça que je prends la place d'une québécoise......... au moins 3 fois par semaine !!!!

Je pense malheureusement que cet état d'esprit est quand même assez répandu au Québec : je l'ai moins aussi bien souvent entendu, mon mari également, et d'ailleurs mes trois plus grands n'ont jamais pu décrocher autre chose que livreur de journaux comme petit job !

Jamais je n'ai entendu ce genre de réflexion au Yukon ou au Nouveau-Brunswick ! :innocent:

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  • Habitués
Il n'y a pas de fumée sans feu!

La pénurie d'infirmières ne datent pas d'hier. Au début des années 2000, certains hôpitaux disposaient encore d'une enveloppe discrétionnaire qui a bel et bien servi, parmi d'autres, à cette usage. Certaines infirmières étaient contractuelles et le billet d'avion, aller-retour, était une clause du contrat, tout comme le paiement des frais de déménagement ou l'aide au loyer. cela est demeuré une pratique marginale qui a cessé depuis que les administrations raclent les fonds de tiroirs....

La rumeur a fait le reste.

Et alors, pourquoi les gens croient que c'est pareil pour tous les immigrants? Entendu ou lu ici et là: le gouvernement paye 50% de notre salaire, paye nos logements, meubles inclus, nous donne plus d'allocations familiales que d'autres, nous avons une assurance-santé en béton, qui couvre tout tout tout à 100% ...

Ce qui est évident, c'est que la population québécoise en général n'a aucune idée de ce que vivent les immigrants et on ne peut pas savoir si ça les intéresse d'ailleurs vraiment.

Kweli, je déplore le manque de connaissances de la réalité des uns et des autres. Je ne sais pas qui sont ces "gens" ni leur nombre, je ne sais pas s'ils sont vraiment représentatifs...

Au sein la population québécoise, il y a des générations d'immigrants établies depuis quelques décennies. Je pense aux Italiens, aux Portugais, aux Grecs, aux Sud-Américains, aux Haïtiens, aux Asiatiques, notamment les Vietnamiens qui sont très nombreux, aux Français aussi, ceux établis depuis longtemps. Le parcours du combattant, tous l'ont vécu, certains sont repartis et d'autres se sont intégrés à la société québécoise. Je me demande si ces gens, à l'instar des québécois d'origine, se préoccupent vraiment de votre sort? Pourtant, ils font partie de la "population québécoise en général". Je pense bien qu'il y a au fond de nous tous une part de chacun pour soi, une part de solidarité également. À mon avis, cela n'a rien à voir avec l'origine ethnique. Un Québécois d'origine portugaise peut autant avoir peur de perdre sa job et être aussi raciste envers un Maghrébin qu'un Québécois de souche.

Nous avons tous du chemin à faire...

Modifié par kobico
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  • Habitués

mais ce que je n`arrive pas a comprendre c que malgre toutes les difficultes que rencontrent les immigrants a leur arrive , mais le debarquement en masse n`a jamais diminue rien a comprendre.

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Je suis daccord avec la majorité les commentaires selon lesquels il faut mettre la pédale douce sur limmigration pour linstant. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que la politique actuelle nest pas efficace et je suis bien placée pour le savoir !.

Je suis arrivée au Québec en 2002. Après une avoir mûri ma décision pendant 6 ans, jai décidé de de tout quitter. Javais une vie plutôt confortable : je me suis acheté ma maison à lâge de 30 ans, javais toutes les commodités, je voyagais 3 fois par an, javais de bons avantages sociaux. Jai néanmoins accepté ce défi : le Québec, parait-il, avait besoin de « travailleurs qualifiés » (cétait le nom de la rubrique à lépoque) ; moi aussi, javais envie de changement, et je voyais là de belles opportunités de contribuer au développement du pays tout en poursuivant une belle carrière professionnelle. Jai démissionné une fois ma demande acceptée (jétais directrice de division dans une banque ; jy avais été embauchée après lobtention de mon baccalauréat 12 ans plus tôt, suivi dun deuxième diplôme universitaire obtenu en France).

Jétais très confiante: dans mon scénario le plus pessimiste, je mimaginais trouver un emploi dans les 3 premiers mois. Javais été sélectionnée, après tout! Je ne suis quand même pas arrivée dépourvue, ayant tout vendu (maison, voiture, meubles, etc..) et ayant reçu de bonnes prestations de mon ancien employeur. Une fois sur place, je me suis tout naturellement mise à la recherche dun emploi dans le secteur bancaire. Pendant 1 mois, 3 mois, 6 mois, 8 mois, jai écrit, appelé, réécrit, refait mon CV sans réussir à décrocher une seule entrevue. Entretemps, jai eu linformation selon laquelle les banques exigeaient de leurs cadres quils réussissent le cours sur les valeurs mobilières : quà cela ne tienne, je my suis inscrite. Jai su que langlais était obligatoire dans le milieu des affaires: bien quayant un très bon niveau danglais, je me suis inscrite à luniversité Concordia. Sil avait fallu que japprenne lallemand, le chinois, ou le russe, croyez moi, je laurais fait !

Au bout de 6 mois, le moral a commencé sérieusement à baisser et le compte en banque aussi (gros facteur de stress), puisqu il fallait séquiper pour lhiver de A à Z, payer tous les frais, loyers, cours, etc tout cela sans aucune rentrée de fonds! Je me rappelerai toujours cet hiver 2002 passé au Québec: seule, sans amis, sans famille, ce premier Noël, je lai passé à pleurer toutes les larmes de mon corps. Une réalité que je me suis efforcée de cacher à ma mère vieillissante restée là-bas, pour ne pas lui infliger de peine. Oui, au fond de moi, je portais les germes dun sentiment de défaite, mais je ne mavouais pas encore vaincue.

Jai finalement trouvé un petit emploi lannée suivante: je suis tombée sur une charmante québécoise (dont je me souviendrai toujours), qui a bien voulu écouter mon histoire et me donner une chance. Elle était persuadée que je ne ferais pas long feu dans ce bureau, le travail étant bien en dessous de mes compétences. Je lai persuadée quau point où jen étais, sil fallait que je fasse des photocopies et classer des documents toute la journée, travailler le soir, les samedis, dimanches, jours fériés, travailler au salaire minimum, ou même commencer bénévolement, je le ferais. Car il fallait bien commencer quelque part et sortir du cercle vicieux (pas dexpérience canadienne sans emploi ; pas demploi sans expérience canadienne).

Finalement, ce qui ne devait être quun emploi temporaire, est devenu définitif. Dans ce bureau, on a vite fait de demander à « lemployée qui écrit bien le français » de rédiger certains modèles de lettres à envoyer aux clients, ou même corriger les fautes du boss (eh oui, nétait-ce pas là lun des critères de sélection du ministère de limmigration?). Cet emploi ma permis de me payer un petit appartement (après 8 mois de recherche intense, mais ça cest une autre histoire! Comme par hasard, tous les appartements sont déjà loués lorsquon a un accent étranger. Jai su bien plus tard que je payais trop cher et que les exigences quon mavait faites étaient illégales, mais passons.).

Je savais bien que je resterais limitée au point de vue professionnel tant que je naurais pas un diplôme du pays daccueil. Au bout de 4 ans, jai commencé à sentir un grand vide intellectuel (moi qui aime tellement faire fonctionner mes neurones jétais hélas très loin du sentiment daccomplissement personnel de la pyramide de Maslow!). Jai donc décidé de tout remettre sur la table et jouer ma dernière carte: faisant fi de cette stabilité nouvellement acquise, jai démissionné à laube de mes 40 ans afin de minscrire à un programme de baccalauréat à temps plein, dans un tout autre domaine. Aujourdhui je termine la dernière session, je rêve déjà à ce diplôme que jobtiendrai bientôt - possiblement avec mention, cest bien parti et je croise les doigts ! -, et je passerai cette année les examens de mon ordre professionnel. Je nai plus de crainte pour lavenir, du moins en ce qui a trait à lemploi. Mais je me demanderai toujours pourquoi il a fallu ce parcours de combattant, pourquoi il a fallu tout recommencer, alors que certaines banques offraient des programmes de formation pour les jeunes diplômés que jaurais pu intégrer rapidement (dautant plus que javais à la fois la formation et lexpérience).

Si jai pu entreprendre tout cela, cest parce que jai accepté davoir un niveau de vie inférieur à celui que javais connu dans « ma vie davant » (bien que ce fut plus long que ce que janticipais; et jen suis encore loin, mais on na rien sans sacrifices). Jai également persévéré. Mais cela dit, mon statut de célibataire sans enfant ma bien desservie et ma permis certaines folies (que nauraient peut être pu faire la majorité des immigrants qui arrivent ici). Jajouterai quafin ne pas vivre aux crochets du gouvernement, javais pris soin de mettre de côté ce quil fallait pour me payer un billet de retour dans mon pays dorigine, si jamais jen étais arrivée à mon dernier retranchement. Cet étape fatidique, fort heureusement, je ne lai pas atteinte.

En conclusion, je voudrais dire que tous les immigrants ne sont pas des fainéants, des voleurs de jobs, des gens qui ne viennent ici que pour causer des problèmes. Ceux qui ont été sélectionnés sur la base de leurs compétences quils soient blancs, noirs, asiatiques, hispanophones et jen passe aspirent tous à travailler, faire rouler léconomie, payer leurs impôts, en un mot, vivre comme tout le monde Le Québec franchira un pas de géant quand il aura compris quil a ici un bassin de main duvre qualifiée et malheureusement très peu exploitée Il reste seulement à se demander pourquoi

En ce qui me concerne, si lexpérience était à refaire, je la referais. Jaurais toutefois aimée être mieux informée et mieux armée cette fois là

http://blogues.cyberpresse.ca/edito/?p=1106

Bonjour à tous

Je tiens a préciser que ce témoignages n'est pas le mien mais ce parcours ressemble à celui de ma femme. Ce parcours est véridique et est celui d'une française qui a immigré au Québec.

Depuis le temps que je participe à ce forum et que je répète AD NAUSEAM que le succès de l'immigration pour un immigrant passe par le travail. Cela est VITAL, malheureusement je trouve que la société québécoise n'est pas prête a recevoir autant d'immigrants et de les intégrer facilement dans le monde du travail.

Saviez-vous que le Québec reçoit plus d'immigrants que l'Australie je parle ici du quota par rapport à sa population. Eh oui et pour cette raison que nous allons tout droit dans le mur si le gouvernement ne fait pas un effort pour :

1- Que ceux qui arrivent leurs diplômes soient reconnus

2- Que le marché du travail québécois soit plus ouvert

3- Que le critère de la langue soit revu

4- Un moratoire sur le % d'immigrants que nous pouvons recevoir

Évitons de faire des victimes (les immigrants déçus) car ils sont nombreux

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  • 3 years later...

Bravo pour ta tenacité ! Magnifique exemple !

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  • 4 months later...

Bonjour,

Il est vrai que l'immigration est une dure épreuve, aussi bien sur le plan humain que sur le plan financier.

Il faut des nerfs et un moral d'acier et s'armer d'une patience à toute épreuve.

Il faut se donner les moyens de ses rêves.

Pour ma part, si c'était à refaire je le referais sans aucune hésitation,malgré toutes les difficultés.

XXXXX

Message de la modération

Pas de publicité merci !

La modération

Pour ce qui est de tous les renseignements techniques de l'immigration, il y a le livre version papier "immigrer vivre et étudier au Québec" de Nadeau que j'ai également acheté.

J'espère avoir contribuer à l'aide des aspirants immigrants.

Bienvenue (comme on dit icit)

Modifié par Armorik
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Bonjour à tous du Québec (Estrie),

Pour immigrer au Québec, la route est longue et pénible

Il faut une sacrée motivation et aussi une patience à toute épreuve.(pour ma part ça en vaut la peine)

Il est plus que nécessaire d'être bien documenté au niveau administratif mais aussi savoir qu'elle vie vous allez avoir avant votre départ, lors votre départ et à votre arrivée ( je parle au niveau émotionnel et pratique).

Pour ce faire, je peux vous conseiller le livre de Nadeau( pour le côté administratif,technique) je dirais la bible de l'immigration, visible sur ce site .

XXXXX

Message de la modération

Pas de publicité merci !

La modération

Je dirais que ces 2 livres donnent un ensemble d'informations indispensables pour les futurs immigrants.

La technique et la vie , vous verrez ainsi si vous êtes assez motivé pour affronter cette grosse épreuve.

Il ne suffit pas de savoir comment aller au Québec, mais aussi si vous vous plairez.et si vous aurez la patience nécessaire,d'accepter une situation dont vous n'aurez pas le contrôle (le temps), sans vous détruire.

Ici au Québec comme ailleurs, on a rien sans rien.

Je souhaite une bonne dose de courage et bonne chance si vous êtes déjà en procédure d'immigration.

Moi, je recommencerais s'il le fallait,

:bye:

.

Modifié par Armorik
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