Habitués Labrador Posté(e) 22 octobre 2006 Habitués Posté(e) 22 octobre 2006 bonjourEn entendant souvent les façons d'être "remercié" a l'américaine, c'est à dire en 15 minutes chronos , je me pose la question de ce qu'engendre cette sécurité d'emploi sommes toutes précaires.En effet du banquier qui vérifie que vos salaires sont bien réguliers pour pouvoir vous endetter au maximum, du vendeur de voiture neuve et tous les organisme de crédit à la consommation , il doit bien avoir un décalage que j'ai du mal a comprendre.De même dans la façon d'épargner.... sachant que demain nous pouvons être en recherche d'emploi , certains du style "écureuils" doivent mettre en permanence quelques noisettes de coté....Bref toute une vision certainement différente ?alors au pays du CDD permanent vit on sur le dynamisme du marché du travail ?En tous les cas ,cette philosophie de la sécurité demploi doit être bien à lopposé de ce que peux ressentir un fonctionnaire Français par exemple . ? Citer
Invité Posté(e) 23 octobre 2006 Posté(e) 23 octobre 2006 bonjourEn entendant souvent les façons d'être "remercié" a l'américaine, c'est à dire en 15 minutes chronos , je me pose la question de ce qu'engendre cette sécurité d'emploi sommes toutes précaires.En effet du banquier qui vérifie que vos salaires sont bien réguliers pour pouvoir vous endetter au maximum, du vendeur de voiture neuve et tous les organisme de crédit à la consommation , il doit bien avoir un décalage que j'ai du mal a comprendre.De même dans la façon d'épargner.... sachant que demain nous pouvons être en recherche d'emploi , certains du style "écureuils" doivent mettre en permanence quelques noisettes de coté....Bref toute une vision certainement différente ?alors au pays du CDD permanent vit on sur le dynamisme du marché du travail ?En tous les cas ,cette philosophie de la sécurité demploi doit être bien à lopposé de ce que peux ressentir un fonctionnaire Français par exemple . ?Pour résumé, en Europe tu comptes sur l'Etat pour tout.en Amérique du Nord, tu comptes sur toi-même.c'est là qu'il y aura toujours un monde de décalage entre la "vieille Europe" et la "jeune Amérique"A toi de voir ce que tu préfères ! Citer
O'Hana Posté(e) 23 octobre 2006 Posté(e) 23 octobre 2006 Salut,En effet du banquier qui vérifie que vos salaires sont bien réguliers pour pouvoir vous endetter au maximum, du vendeur de voiture neuve et tous les organisme de crédit à la consommation , il doit bien avoir un décalage que j'ai du mal a comprendre.En effet, la stabilité professionnelle est souvent le moyen privilégié pour réaliser certains "projets de vie" (maison, voiture, voyage, etc). Heureusement d'ailleurs que les conditions de location d'un appartement sont moins draconniennes ici car il y en aurait beaucoup qui connaîtrait beaucoup de difficulté vu que leur manque de stabilité leur ferme souvent l'accès à la propriété.Toutefois - et l'exemple des conditions de location des appartements le montre dans un sens - la société s'est adaptée à cette flexibilité du marché du travail (en proposant par exemple un système de crédit très bien développé, trop même ...). Par exemple, même avec un visa de travail à l'époque, j'ai réussi à négocier l'achat de ma voiture en ayant, il est vrai, déposé au préalable une mise de départ significative.Bref, excepté l'achat d'une maison, je considère qu'on peut fort bien avoir une qualité de vie très décente même si la stabilité professionnelle n'est pas au rendez-vous. Toutefois, je reconnais que lorsque vient le désir de fonder une famille, les priorités changent et que la stabilité à l'emploi peut alors devenir plus importante.De même dans la façon d'épargner.... sachant que demain nous pouvons être en recherche d'emploi , certains du style "écureuils" doivent mettre en permanence quelques noisettes de coté....Bref toute une vision certainement différente ?Exactement. Depuis que je suis sur le marché du travail d'ici, je n'ai jamais occupé d'emploi à temps plein : contre mon gré au début mais rapidement par désir personnel ensuite. Il s'agit donc d'épargner autant pour les impôts que pour les périodes un peu plus creuses (l'été dans mon cas). Fiscalement d'ailleurs, là aussi il y a eu adaptation de la société car ce n'est pas un casse-tête que d'être travailleur autonome ou partir son entreprise.alors au pays du CDD permanent vit on sur le dynamisme du marché du travail ?Cela dépend. Voici mes observations :1] certains vivent la précarité de manière très difficile. Ils ont été en effet éduqué dans une conception de la carrière où la stabilité en emploi est si importante qu'elle constitue la clé de voûte de leur intégration dans la société. Car en ayant un emploi stable, je réalise mes projets de vie, je justifie ma place dans la société en payant des impôts : bref, je suis "normal". Ils sont donc prêts à sacrifier beaucoup de choses pour obtenir le fameux sésame2] d'autres recherchent cette "précarité" qui ressemblent davantage à de la liberté pour eux. Ainsi, personnellement, je détesterai l'idée de rentrer du lundi au vendredi, à chaque semaine, au même lieu de travail et côtoyer les mêmes personnes. Je n'ai pas de difficulté particulière face à l'autorité (argument qu'on me sort souvent, fatiguant ...). J'haïs la routine, c'est tout. Et je ne me considère pas plus entrepreneur que n'importe qui d'autre3] d'autres visaient la stabilité en début de carrière et, par la force des choses, se retrouvent en précarité. Et s'ils ne tombent pas dans le stress du cas [1], l'impasse professionnelle dans lequel ils se retrouvent les amène à réfléchir et à réaliser qu'ils aiment finalement la précarité. Ce n'est pas le paradis mais cette situation comporte des avantages non négligeables comme, par exemple, de pouvoir se payer le luxe de dire non à un mandat ou de découvrir des avenues professionnelles qu'ils n'auraient jamais exploité dans le cas contraireActuellement, les conditions du marché du travail font en sorte que la précarité a un peu tendance à diminuer : pénurie de travailleurs dû aux départs massifs des baby-boomers, une économie canadienne qui fonctionne à plein régime grâce à une solide demande intérieure et le pétrole albertain. Certains pensent que cela va durer, d'autres comme moi pensent que ce n'est que passager. Mais dans tous les cas, si la précarité et l'atypisme créent beaucoup de stress, ils sont également une opportunité pour beaucoup de se définir autrement que par leur identité de travailleur car leur temps n'est plus pleinement occupé par un emploiO'Hana Citer
Habitués rimouski29 Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 Moi j'ai toujours été une angoissée de la vie. Et même avec un travail stable de type fonctionnaire, j'économiserais comme une malade, au cas ou.Mais je dois avouer qu'ici je suis beaucoup plus vigilente que je ne l'étais en France, tout ca a cause notamment du système de santé. Je suis en gros dans la meme situation (étudiante)En France, je n'avais pas l'habitude de mettre de coté pour la santé, et ici c'est obligatoire, les couts dentaires et ophtalmologique entre autre sont tels qu'il faut avoir de l'argent de coté.Une autre des raisons que j'économise beaucoup est l'accession a la propriété. Avoir sa maison a toujours été très important et continue de l'être, même si je ne me fait plus d'illusion de ce coté la. En plus d'ête une angoissée de la vie, je suis une pessimiste. J'ai l'impression de faire partie d'une génération ou l'accession sera tres difficile alors que mes parents avec des salaires plutot bas y sont parvenus assez facilement. Récemment, un ami québécois me disait la meme chose, faire partie d'une génération qui ne parviendra pas a l'accession.Bref, pour en revenir avec l'accession, tu dis Bref, excepté l'achat d'une maison, je considère qu'on peut fort bien avoir une qualité de vie très décente même si la stabilité professionnelle n'est pas au rendez-vous. En Amérique du Nord, l'accession a la propriété a toujours été un projet de vie. Même si a Montréal a l'inverse des autres grandes métropoles canadiennes ca n'a pas été aussi flagrant, il apparait que l'accession a la propriété commence a devenir assez populaire.Comment tu vois O'Hana justement l'importance que commence a prendre l'accession avec justement la difficulté plus marqué d'accéder a`la propriété quand les revenus sont moins stables, les emplois plus précaires. Comment peut on concilier les 2, car moi pessimistes j'ai du mal a voir comment cela sera possible dans l'avenir notamment avec l'augmentation des couts résidentiels ? Citer
Habitués Petit-Prince Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 Globalement d'accord avec O'Hana, mis à part sur le dynamisme de l'économie canadienne qui, pour moi, comme tu le sais, n'est pas juste "passagère"... mais c'est une autre histoire.La manière de vivre et de travailler est différente ici. Je suis bien conscient que lorsque l'on vient d'un pays où la rigidité du travail permet une meilleure stabilité professionnelle (mais aussi un fort taux de chômage de longue durée), on est un peut effrayé de voir que l'on peut se faire jetter en moins de deux de son emploi. J'ai vécu ça il y a deux ans... Un tiers de mes collègues se sont fait congédier en une journée. Ils passaient les uns après les autres dans les bureaux, et hop ! Bye bye... Ce n'est pas facile à vivre... J'ai revu un certain nombre d'entre-eux, et tous se disent satisfait de leur sort... Certains en ont profité pour prendre des vacances ! D'autres ont pu trouver de meilleurs emplois. Il faut savoir une chose vraiment ESSENTIELLE : ici, la perte d'un emploi n'est pas vu comme une fatalité. Ça fait partie de la vie et cela permet de voir autre chose. D'ailleurs, grâce à cette flexibilité du travail, les entreprises hésitent beaucoup moins à embaucher, donc, il est plus simple de retrouver quelque chose rapidement... Il ne faut pas voir un congédiement comme un échec. À part si l'on a fait des erreurs professionnelles, bien évidemment. Ici, un congédiement ne sera certainement pas vu négativement comme dans un certain pays d'Europe occidentale. Je me souviens d'avoir été frappé par ce que m'avait dit une conseillère dans une agence de placement : à Montréal, si tu es bilingue, tu peux trouver un emploi dans la demie-journée ! Et le pire, c'est que c'est vrai ! ... certes, on ne parle pas de LA grande carrière dont vous réviez depuis votre enfance, mais en cas de besoin vital, un emploi, ça se trouve ! Au Québec, la meilleure protection de l'emploi, c'est la bonne santé de l'entreprise et non pas des lois et des textes de réglementation qui ne tiennent pas compte des réalités économiques. Faque, on fait de notre mieux pour que cela tourne, et si l'entreprise va bien, que tu fais bien ta job, il n'y a aucune raison pour que l'on se sépare de toi... vu que tu es un bon élément. Je trouve ça très motivant ! Il faut aussi voir une chose, nous sommes en 2006, les réalités du monde font que personne ne peut plus prétendre rester dans la même compagnie toute sa vie, comme pouvaient le faire nos parents. Et je dirais que c'est tant mieux ! Cela nous donne des expériences plus riches, la chance de toucher à des domaines que l'on évisageait pas de cotoyer auparavant, peut-être même de se découvrir une meilleure voie professionnelle ! ... Personnellement, si l'on avait dit que je me plairais dans le domaine de la logistique d'entreprise il y a cinq ans, alors que je n'avais aucune formation ni rien, j'aurai pas mal rigolé ! ... puis finalement, je fais mon trou dans ce domaine depuis plus de quatre ans maintenant... ... Puis d'ailleurs, vous voyez, ça fait plus de quatre ans que je travaille dans la même compagnie, c'était mon premier emploi en plus ici, puis vous voyez, j'y suis toujours ! Comme quoi, on se fait pas flusher de son emploi tous les 15 jours ! En Amérique du Nord, l'accession a la propriété a toujours été un projet de vie. Même si a Montréal a l'inverse des autres grandes métropoles canadiennes ca n'a pas été aussi flagrant, il apparait que l'accession a la propriété commence a devenir assez populaire.Comment tu vois O'Hana justement l'importance que commence a prendre l'accession avec justement la difficulté plus marqué d'accéder a`la propriété quand les revenus sont moins stables, les emplois plus précaires. Comment peut on concilier les 2, car moi pessimistes j'ai du mal a voir comment cela sera possible dans l'avenir notamment avec l'augmentation des couts résidentiels ?C'est très relatif... car je connais plusieurs exemple de personnes qui ont pu acheter une maison sans avoir une job stable, parfois même sans avoir de job du tout ! ... On a aussi des employés, temps partiels, sans horaires garantis, qui achétent des propriétés sans grands problèmes. D,où l'intérêt aussi d'avoir un BON dossier de crédit. Cela facilite les choses... Je trouve tellement simple l'accès à la propriété ici. Il existe tellement de solutions, même pour les travailleurs autonomes. Citer
Habitués geez Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 (modifié) Ben ça alors, je suis d'accord avec toi, PP Je crois que le Québec et le Canada, valorisent mieux l'emploi et l'employé, non pas par philanthropie, mais plutôt par pragmatisme : tu fais bien ton boulot, c'est payant, même si parfois certains aléas obligent à se séparer. Mais si tu sais te mettre un coup de pied au cul, tu peux toujours rebondir, même s'il faut parfois savoir être patient ! Le tout est de rester curieux et ouvert...C'est en tout cas, l'impression que j'en ai, vu d'ici et une des raisons qui me donnent envie de venir voir par moi-même... Modifié 23 octobre 2006 par geez Citer
Habitués peanut Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 C'est très relatif... car je connais plusieurs exemple de personnes qui ont pu acheter une maison sans avoir une job stable, parfois même sans avoir de job du tout ! ... On a aussi des employés, temps partiels, sans horaires garantis, qui achétent des propriétés sans grands problèmes. D,où l'intérêt aussi d'avoir un BON dossier de crédit. Cela facilite les choses... Je trouve tellement simple l'accès à la propriété ici. Il existe tellement de solutions, même pour les travailleurs autonomes. Je suis travailleuse autonome et j'ai acheté 3 maisons(pas en même temps quand même! ).J'ai acheté ma première maison à l'âge de 28 ans avec un statut de travailleuse autonome...et ça faisait seulement 2 ans que je travaillais! Il faut dire aussi que je ne suis pas la fille surconsommatrice et j'ai toujours eu tendance à épargner(vu mon statut où je n'ai pas droit à l'assurance-chômage...) J'ai changé quelques fois d'emploi(et même déménagé pour celà) et à chaque fois je m'achetais une maison(Gaspésie, Beauce et maintenant Québec). Il faut dire que je n'ai pas une famille à charge...et peut-être que j'aurais agi autrement dans ce cas de figure... Il faut que j'avoue aussi que même si j'ai un statut de travailleuse autonome, ma profession a toujours été en demande et c'est toujours les employeurs qui me contactaient pour un emploi et non l'inverse...(ce qui donne évidemment un sentiment de sécurité!)peanut Citer
Habitués rimouski29 Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 C'est très relatif... car je connais plusieurs exemple de personnes qui ont pu acheter une maison sans avoir une job stable, parfois même sans avoir de job du tout ! ... On a aussi des employés, temps partiels, sans horaires garantis, qui achétent des propriétés sans grands problèmes. D,où l'intérêt aussi d'avoir un BON dossier de crédit. Cela facilite les choses... Je trouve tellement simple l'accès à la propriété ici. Il existe tellement de solutions, même pour les travailleurs autonomes.Bon j'ai peut etre mal posé le probleme. L'acces n'est peut etre pas le problème, mais conserver l'accession en serait-il un ? Quand on pert son boulot, on s'entend que faut repartir bosser, plutot que de rester trainer, quitte a avoir un salaire plus bas. Je vous dis je suis une angoissée, je crois que je pourrais acheter que cash tellement je stresserais aussi non.Moi j'ai fait plusieurs essais sur les sites immobiliers. En prenant un salaire moyen a Montréal, et un logement qui me plait a Motnréal toujours (sachant que les couts sont relativement élevé) et dans mes essais ca ne passe pas. Les mensualités sont beaucoup trop élevés. Citer
Habitués Petit-Prince Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 Bon j'ai peut etre mal posé le probleme. L'acces n'est peut etre pas le problème, mais conserver l'accession en serait-il un ? Quand on pert son boulot, on s'entend que faut repartir bosser, plutot que de rester trainer, quitte a avoir un salaire plus bas. Je vous dis je suis une angoissée, je crois que je pourrais acheter que cash tellement je stresserais aussi non.Moi j'ai fait plusieurs essais sur les sites immobiliers. En prenant un salaire moyen a Montréal, et un logement qui me plait a Motnréal toujours (sachant que les couts sont relativement élevé) et dans mes essais ca ne passe pas. Les mensualités sont beaucoup trop élevés.Maison ou pas, je pense que lorsqu'on perd son travail on s'attend à en retrouver un ! Après, c'est juste une question de durée sans emploi. Ici, il y a quand même les assurances chômage, puis il existe aussi des assurances perte d'emploi pour payer les prêts. Il y a toujours des solutions !Ensuite, faut se dire que si tu paies 700/800$ par mois un loyer, t'as plus intérêt à acheter, car tu pourras payer ce genre de mensualité. C'est d'ailleurs ce que je compte faire prochainement... Citer
Habitués peanut Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 Moi j'ai fait plusieurs essais sur les sites immobiliers. En prenant un salaire moyen a Montréal, et un logement qui me plait a Motnréal toujours (sachant que les couts sont relativement élevé) et dans mes essais ca ne passe pas. Les mensualités sont beaucoup trop élevés.J'avoue qu'à Montréal, c'est un peu plus compliqué car les prix des maisons sont beaucoup plus élevés...les maisons que j'ai achetées en Gaspésie et en Beauce étaient toutes les deux en bas de 100,000$! Par contre, à Québec, j'ai déboursé beaucoup plus...mais ce n'est rien de comparable à Montréal(pour la même qualité)Conclusion: faut partir de Montréal! peanut Citer
Habitués rimouski29 Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 J'avoue qu'à Montréal, c'est un peu plus compliqué car les prix des maisons sont beaucoup plus élevés...les maisons que j'ai achetées en Gaspésie et en Beauce étaient toutes les deux en bas de 100,000$! Par contre, à Québec, j'ai déboursé beaucoup plus...mais ce n'est rien de comparable à Montréal(pour la même qualité)Conclusion: faut partir de Montréal! peanutOuais moi ca montait a 350 000$ minimum pour quelque chose de correct.Je crois que ton conseil est le meilleur. J'adore Montréal, mais parfois je suis tenté d'en partir, pas pour laval ni Longueuil mais bien plus loin. Car quand on voit certaines maisons plus en région, certaines donnent vraiment envie (belles et pas cher), même si on sait qu'elles serviraient pas en vivant à Montréal. Citer
Habitués Petit-Prince Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 Moi j'ai fait plusieurs essais sur les sites immobiliers. En prenant un salaire moyen a Montréal, et un logement qui me plait a Motnréal toujours (sachant que les couts sont relativement élevé) et dans mes essais ca ne passe pas. Les mensualités sont beaucoup trop élevés.J'avoue qu'à Montréal, c'est un peu plus compliqué car les prix des maisons sont beaucoup plus élevés...les maisons que j'ai achetées en Gaspésie et en Beauce étaient toutes les deux en bas de 100,000$! Par contre, à Québec, j'ai déboursé beaucoup plus...mais ce n'est rien de comparable à Montréal(pour la même qualité)Conclusion: faut partir de Montréal! peanutÇa dépend vraiment des quartiers ! ... Sans avoir un salaire mirobolant, et payant seul, je sais que je pourrais m'acheter quelque chose de très correct à Montréal. Oui, c'est vrai que c'est plus cher... mais la qualité de vie de Montréal se paie aussi ! Évidemment, lorsque l'on entend les gens du forum, les prix de Montréal = les prix du Plateau. Ça ne représente pas vraiment la réalité de l'ensemble de la ville. Il y a de très bonnes affaires à Montréal... après, c'est une question de quartier... Personnellement, je vais passer mon tour pour la vie à la campagne. J'avoue qu'à Montréal, c'est un peu plus compliqué car les prix des maisons sont beaucoup plus élevés...les maisons que j'ai achetées en Gaspésie et en Beauce étaient toutes les deux en bas de 100,000$! Par contre, à Québec, j'ai déboursé beaucoup plus...mais ce n'est rien de comparable à Montréal(pour la même qualité)Conclusion: faut partir de Montréal! peanutOuais moi ca montait a 350 000$ minimum pour quelque chose de correct.Je crois que ton conseil est le meilleur. J'adore Montréal, mais parfois je suis tenté d'en partir, pas pour laval ni Longueuil mais bien plus loin. Car quand on voit certaines maisons plus en région, certaines donnent vraiment envie (belles et pas cher), même si on sait qu'elles serviraient pas en vivant à Montréal.Tu devrais chercher encore... à moins que tu soies vraiment TRÈS exigeante ! Mais il y a des logements très bien et intéressants pour bien moins cher que ça !!! 350,000 ! C'est le haut de gamme là ! Citer
Habitués rimouski29 Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 (modifié) Ça dépend vraiment des quartiers ! ... Sans avoir un salaire mirobolant, et payant seul, je sais que je pourrais m'acheter quelque chose de très correct à Montréal. Oui, c'est vrai que c'est plus cher... mais la qualité de vie de Montréal se paie aussi ! Évidemment, lorsque l'on entend les gens du forum, les prix de Montréal = les prix du Plateau. Ça ne représente pas vraiment la réalité de l'ensemble de la ville. Il y a de très bonnes affaires à Montréal... après, c'est une question de quartier... Personnellement, je vais passer mon tour pour la vie à la campagne. Je te rassure, je ne cherche meme pas dans le plateau. C'est vraiment un quartier ou je ne voudrais pas vivre.Je passe mes week-end a chercher, meme si j'ai pas l'apport, ni meme d'emploi + ou - stable pour espérer me qualifier pour un crédit. En fait je reve, car certains logements sont magnigiques.Moi ce serait plutot les quartiers : st-henri, verdun, pointe st-charles et hochelaga. Mais il est clair que je suis assez exigente sur le produit d'ou les prix très élevés. Si c'est pour un condo 4,5. Bof c'est pas intéressant a mon gout. Faut que ce soit grand, et beau en plus. Et ca ou que ce soit dans la ville, ca se paie cher (je parle pas des extrémités est et ouest qui ne me plait pas). Reste que la campagne et moi aussi j'aimerais passer mon tour. Mais l'autre lui ca lui plairait. Modifié 23 octobre 2006 par rimouski29 Citer
scrogn Posté(e) 23 octobre 2006 Posté(e) 23 octobre 2006 Évidemment, lorsque l'on entend les gens du forum, les prix de Montréal = les prix du Plateau. Ça ne représente pas vraiment la réalité de l'ensemble de la ville. Il y a de très bonnes affaires à Montréal... après, c'est une question de quartier... Tu penses à d'heureux propriétaires en particulier ? Citer
Habitués Petit-Prince Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 Évidemment, lorsque l'on entend les gens du forum, les prix de Montréal = les prix du Plateau. Ça ne représente pas vraiment la réalité de l'ensemble de la ville. Il y a de très bonnes affaires à Montréal... après, c'est une question de quartier... Tu penses à d'heureux propriétaires en particulier ? À plusieurs en fait, mais vous êtes dans le lot mes petits tanants ! Citer
Habitués peanut Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 A 350,000$, tu as une maison de rêve à Québec...mais vraiment, une maison de luxe, alors qu'à Montréal, tu as un condo! A Québec, tu peux avoir facilement une maison en bas de 200,000$ avec terrain et tout à proximité(ce n'est pas la campagne quand même! ) Et en prime, pas autant de traffic qu'à Montréal. Que demander de plus? peanut en direct du Gros Village!(pour faire plaisir à Petit-Prince!) Citer
Habitués petiboudange Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 Ah ah, moi j'ai déja le terrain pour 0$, c'est la dot de Ti'Namour Faut bien choisir ses relations, c'est tout Citer
Habitués Tartine Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 Mais il est clair que je suis assez exigente sur le produit d'ou les prix très élevés. Si c'est pour un condo 4,5. Bof c'est pas intéressant a mon gout. Faut que ce soit grand, et beau en plus. Et ca ou que ce soit dans la ville, ca se paie cher (je parle pas des extrémités est et ouest qui ne me plait pas). C'est un choix... personnellement j'ai acheté récemment un condo pas trop grand et dans mes prix (165 000$). Je ne compte pas forcément y passer le reste de mes jours (ni même les 10 prochaines années), mais je peux le payer sans que l'hypothèque m'empêche de dormir. Et pendant ce temps, j'ai une première expérience de la propriété, ça me permet de savoir ce que je veux absolument avoir (ou non) dans l'avenir... tout en accumulant une mise de fond pour un autre achat dans quelques années au lieu de gaspiller mon argent en loyer. Parce que franchement, même avec un bon salaire et un emploi fixe, acheter quelque chose à 350 000 sans une mise de fond sérieuse (qui me prendrait 10 ans au moins à économiser si je continue en location), ça me semble de la folie! Rien qu'avec les taxes municipales et autres frais annexes, il y a de quoi être étranglé financièrement... Il ne faut pas oublier que quand on est propriétaire d'une belle grosse maison, il faut l'assurer, la chauffer, l'entretenir, payer les taxes... et la meubler aussi! Citer
Habitués rimouski29 Posté(e) 23 octobre 2006 Habitués Posté(e) 23 octobre 2006 C'est un choix... personnellement j'ai acheté récemment un condo pas trop grand et dans mes prix (165 000$). Je ne compte pas forcément y passer le reste de mes jours (ni même les 10 prochaines années), mais je peux le payer sans que l'hypothèque m'empêche de dormir. Et pendant ce temps, j'ai une première expérience de la propriété, ça me permet de savoir ce que je veux absolument avoir (ou non) dans l'avenir... tout en accumulant une mise de fond pour un autre achat dans quelques années au lieu de gaspiller mon argent en loyer. Moi a 350000 j'achete pas c'est trop, mais je constate que les gens achetent. Quand j'entends des amis dire qu'ils ont acheté pour 400 000$ ben moi ca m'effraie car meme si ils ont un emploi avec salaire ben c'est pas définitif. Et moi j'aurais jamais fait ce choix.C'est un choix mais il faut aussi être logique.Si j'achete c'est pas pour me retrouver dans une situation pire que dans celle que je suis en étant locataireJ'ai un super appart, pas cher du tout, ridicule meme tellement il est bas. Faudrait que je sois bien stupide pour acheter un petit condo de 4,5.1 - c'est beaucoup trop petit, on sera bientot 3. Deja 2 dans un 4,5 c'est plus que limite. Je suis prete a faire des concessions en étant locataire, mais en faire quand on achete la c'est pas la peine. Accéder a la propriété ca a quand même un objectif, certes différent d'un individu a l'autre. Mais pour moi c'est quand meme y trouver une certaine satisfaction, qu'il soit fonctionnel.2 - trop cher pour ce que c'est.Je vois pas l'intérêt.De plus acheter, vendre, racheter ca a un cout.Je fais que parler, je travaille pas, j'ai pas d'argent, enfin pas assez pour y accéder. Je ne fais que rever. Mais quand meme je me pose des questions. Moi je suis une stressé et faut que j'ai d'assez grande économies pour etre rassuré, mais certains n'ont pas besoin de ce coussin de sécurité pour être à l'aise et c'est tant mieux pour eux. Citer
Habitués Petit-Prince Posté(e) 24 octobre 2006 Habitués Posté(e) 24 octobre 2006 C'est un choix... personnellement j'ai acheté récemment un condo pas trop grand et dans mes prix (165 000$). Je ne compte pas forcément y passer le reste de mes jours (ni même les 10 prochaines années), mais je peux le payer sans que l'hypothèque m'empêche de dormir. Et pendant ce temps, j'ai une première expérience de la propriété, ça me permet de savoir ce que je veux absolument avoir (ou non) dans l'avenir... tout en accumulant une mise de fond pour un autre achat dans quelques années au lieu de gaspiller mon argent en loyer. Moi a 350000 j'achete pas c'est trop, mais je constate que les gens achetent. Quand j'entends des amis dire qu'ils ont acheté pour 400 000$ ben moi ca m'effraie car meme si ils ont un emploi avec salaire ben c'est pas définitif. Et moi j'aurais jamais fait ce choix.C'est un choix mais il faut aussi être logique.Si j'achete c'est pas pour me retrouver dans une situation pire que dans celle que je suis en étant locataireJ'ai un super appart, pas cher du tout, ridicule meme tellement il est bas. Faudrait que je sois bien stupide pour acheter un petit condo de 4,5.1 - c'est beaucoup trop petit, on sera bientot 3. Deja 2 dans un 4,5 c'est plus que limite. Je suis prete a faire des concessions en étant locataire, mais en faire quand on achete la c'est pas la peine. Accéder a la propriété ca a quand même un objectif, certes différent d'un individu a l'autre. Mais pour moi c'est quand meme y trouver une certaine satisfaction, qu'il soit fonctionnel.2 - trop cher pour ce que c'est.Je vois pas l'intérêt.De plus acheter, vendre, racheter ca a un cout.Je fais que parler, je travaille pas, j'ai pas d'argent, enfin pas assez pour y accéder. Je ne fais que rever. Mais quand meme je me pose des questions. Moi je suis une stressé et faut que j'ai d'assez grande économies pour etre rassuré, mais certains n'ont pas besoin de ce coussin de sécurité pour être à l'aise et c'est tant mieux pour eux.Non, tu ne serais pas stupide d'acheter, et pour une raison essentielle... Là, le loyer que tu paies, c'est de l'argent qui sort de tes poches pour être balancé par les fenêtres. C'est clair, tu ne reverras jamais la couleur de cet argent.Par contre, lorsque tu paies une hypothèque, cet argent (en grande partie), n'est pas perdu est tu pourras le revoir, même en cas de coup dur.Un de mes collègues, après une séparation, se retrouvait à payer tout seul son hypothèque. Coup dur ! Il arrivait toujours cassé en fin de mois... pas facile. Ben, il a vendu sa maison et il a pu récupérer son investissement en faisant même un bénéfice ! Le temps de se refaire, il est en location, avec un beau pactole de côté qui servira d'apport la prochaine fois. C'est d'ailleurs surtout le fait de voir disparaître mon argent qui me fait réaliser qu'il FAUT acheter ! Calcule un peu ce que ça te coûte par année, multiplié par le nombre d'années que tu passes en location... moi ça me fait capoter de visualiser le total ! Pas toi ? Citer
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