Laurent Posté(e) 14 novembre 2017 Posté(e) 14 novembre 2017 Le caractère francophone de Québec est un attrait pour la capitale, mais aussi un frein à la venue de touristes, particulièrement en provenance des États-Unis. «Il y a une forme de contradiction à gérer dans le fait de vouloir mettre de l’avant l’atout distinctif que constitue la francophonie qui porte aussi en lui une faiblesse [la langue française].» C’est le constat qui ressort d’une série de consultations faites cette année dans le cadre d’une étude de la firme Zins Beauchesne que «Le Journal de Québec» a obtenue par l’accès à l’information. Intitulée Analyser la composante francophone de l’expérience touristique de Québec, l’étude a été commandée par l’Office du tourisme de Québec (OTQ). L’Office veut miser sur le français pour vendre Québec aux visiteurs étrangers. Les auteurs de l’étude ont donc consulté plusieurs acteurs du milieu touristique à Québec pour savoir si cette stratégie leur semble pertinente. Contrainte de la langue La réponse est positive, mais les intervenants notent un obstacle de taille: «Une des principales contraintes perçues est paradoxalement la barrière de la langue», lit-on dans le rapport. «Pour les clientèles américaines, c’est la langue française elle-même, et son usage, qui fait barrière, notamment pour ce qui est des lieux de diffusion et de production relevant des arts de la scène, où la compréhension de la langue est essentielle. Cela est également vrai dans certains lieux d’interprétation.» Ainsi, les touristes anglophones, particulièrement les Américains, craignent d’avoir de la difficulté à se faire comprendre dans leur langue. Cette crainte est aussi soulevée par les restaurateurs et les gens de l’hôtellerie. «Il faut gérer, notamment pour le tourisme d’affaires, la crainte de ne pas pouvoir se faire servir en anglais, particulièrement sur le marché US.» Suite et source : TVA Citer
Habitués Mark-Beaubien Posté(e) 14 novembre 2017 Habitués Posté(e) 14 novembre 2017 Ils n'ont pas peur d'aller à Paris pourtant... Ce ne sont que des conneries ça. Une peur injustifiée. Enfin, ce sont sûrement des touristes du dimanche, qui ne traverseront jamais un océan de peur de l'inconnu, s'ils ont déjà peur de Québec... Des imbéciles et des couards, on ne peut rien y faire. jimmy, ahshae et Kweli ont réagi à ceci 3 Citer
Habitués Kweli Posté(e) 14 novembre 2017 Habitués Posté(e) 14 novembre 2017 Il y a 1 heure, Mark-Beaubien a dit : Ils n'ont pas peur d'aller à Paris pourtant... Ce ne sont que des conneries ça. Une peur injustifiée. Enfin, ce sont sûrement des touristes du dimanche, qui ne traverseront jamais un océan de peur de l'inconnu, s'ils ont déjà peur de Québec... Des imbéciles et des couards, on ne peut rien y faire. Des Coréens viennent à Québec, des Chinois, des Japonais, des Nigérians et des Brésiliens. Aucun de ces peuples n'est incommodé par notre langue. Le Vieux Québec a l'air des Nations-Unies le 15 juillet. Mais les Américains sont incommodés ... Est-ce que les $$$ des touristes américains valent la peine qu'on anglicise notre ville? jimmy a réagi à ceci 1 Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 14 novembre 2017 Habitués Posté(e) 14 novembre 2017 Qu'ils se contentent donc de Disney World s'ils sont trop "colons" pour voyager... jimmy et Lilideslacs ont réagi à ceci 1 1 Citer
Habitués crazy_marty Posté(e) 14 novembre 2017 Habitués Posté(e) 14 novembre 2017 C'est pas angliciser la ville qui est demandée. En tout cas c'est pas comme ça que je le comprends. Justement, le fait français est un attrait. Le problème c'est aller contre la croyance populaire qui veut que les gens pensent qu'ils seront incapables d'être servis dans un hôtel si ils sont pas francophones, par exemple. Dans le fond, c'est juste du marketing. Des affaires de perception, rien de plus. Faut pas voir le diable de partout non plus. qwintine a réagi à ceci 1 Citer
Habitués jimmy Posté(e) 14 novembre 2017 Habitués Posté(e) 14 novembre 2017 Il y a 2 heures, crazy_marty a dit : Faut pas voir le diable de partout non plus. Euh oui, tout ce qui est anglos, particulièrement si c'est anglo-américain, ben c'est le diable choupitte a réagi à ceci 1 Citer
Habitués jimmy Posté(e) 14 novembre 2017 Habitués Posté(e) 14 novembre 2017 Il y a 9 heures, Laurent a dit : «Pour les clientèles américaines, c’est la langue française elle-même, et son usage, qui fait barrière, Ciboire que c'est choquant de lire ca Comme le disait Mathieu Bock Côté, ''désolé, on s'excuse d'exister'' Citer
Habitués kjaerlighet Posté(e) 14 novembre 2017 Habitués Posté(e) 14 novembre 2017 C’est vrai que à l’inverse on est pas du tout incommodé au moment de passer la frontière quand on tombe sur un trou duc qui comprend pas le moindre mot de français et qui perd patience parce qu’on lui demande de parler moins vite. Kweli et jimmy ont réagi à ceci 1 1 Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 14 novembre 2017 Habitués Posté(e) 14 novembre 2017 C’est vrai que à l’inverse on est pas du tout incommodé au moment de passer la frontière quand on tombe sur un trou duc qui comprend pas le moindre mot de français et qui perd patience parce qu’on lui demande de parler moins vite. Et en plus quand son nom de famille c est Laferrière ou Lavigne... (véridique, marqué sur son badge) jimmy a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Mark-Beaubien Posté(e) 15 novembre 2017 Habitués Posté(e) 15 novembre 2017 De toute façon, si ces Amerloques sont dérangés par notre langue, qu'ils aillent plutôt visiter Paris ou Bruxelles ! Citer
Habitués Kweli Posté(e) 15 novembre 2017 Habitués Posté(e) 15 novembre 2017 il y a 41 minutes, Mark-Beaubien a dit : De toute façon, si ces Amerloques sont dérangés par notre langue, qu'ils aillent plutôt visiter Paris ou Bruxelles ! Ils peuvent aussi aller à Kaboul ou à Bagdad. Après tout, ça fait plus de 10 ans qu'ils investissent pas mal de $$$ là-bas, autant en profiter. Lyvia07 et bencoudonc ont réagi à ceci 1 1 Citer
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