Habitués erictribalie Posté(e) 2 octobre 2017 Habitués Posté(e) 2 octobre 2017 Il y a 8 heures, bencoudonc a dit : ...et tous ceux aussi qui passent par la procédure québécoise parce qu'elle est moins chère/moins restrictive et qui vont ensuite s'installer dans une autre province la procédure est moins cher, mais s'avère etre beaucoup plus longue, en moyenne 4 ou 5 ans dans le meilleur des cas. Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 2 octobre 2017 Habitués Posté(e) 2 octobre 2017 il y a 1 minute, erictribalie a dit : la procédure est moins cher, mais s'avère etre beaucoup plus longue, en moyenne 4 ou 5 ans dans le meilleur des cas. Moins chère ET moins restrictive...exigences moins élevées...et ces délais ne sont pas les mêmes pour tous, pour les raisons évoquées plus haut. Citer
Habitués erictribalie Posté(e) 2 octobre 2017 Habitués Posté(e) 2 octobre 2017 il y a 1 minute, bencoudonc a dit : Moins chère ET moins restrictive...exigences moins élevées...et ces délais ne sont pas les mêmes pour tous, pour les raisons évoquées plus haut. Ok, c'est vrai, vous avez raison. à 100%. Citer
Habitués slim73 Posté(e) 3 octobre 2017 Auteur Habitués Posté(e) 3 octobre 2017 (modifié) Il y a 13 heures, resterzen a dit : C'est plutôt ce que tu viens de dire qui est du n'importe quoi. Les prestations d'aide sociale sont tellement misérables que ces gens sur l'aide sociale vont dans les banques alimentaires mendier de la nourriture. Tu vas vouloir éviter ça. Les immigrants sont éligibles au marché du travail québécois et la preuve de ça c'est que la grande majorité des immigrants travaillent au Québec. Pas tous dans leur domaine de formation mais ils travaillent. Dans certaines professions, il y a un ordre professionnel alors dans certains cas, faut aller chercher un diplôme local pour travailler dans cette profession. C'est la même chose dans les provinces anglophones. Tous les emplois ne demandent pas une expérience de travail préalable, c'est pour ça qu'à chaque année, par exemple, de nombreux jeunes sans expérience qui arrivent sur le marché du travail au Québec trouvent un emploi quand même. Et si le système d'immigration au Québec ne te plaît pas, tu as toute la liberté de rester chez toi. Un autre candidat pour l'immigration pour le Québec prendra ta place. Apparemment, avec le nouveau système d'immigration que le gouvernement du Québec est censé implanté bientôt ( déclaration d'intérêt ), seuls ceux qui vont avoir une offre d emploi valide d'un employeur québécois vont être invité à soumettre leur candidature pour immigrer au Québec. ça va diminuer le nombre de demandes donc raccourcir les délais. C'est un excellent système qui existe déjà dans certaines provinces anglophones. Espérons qu'il sera en fonction au Québec bientôt. je suis tout à fait d'accord sur certains points toutefois, je trouve indelicat de demander à quelqu'un de rester chez lui et de laisser sa place à un autre candidat ......après des années d'attente..... personnellement je ne fais que citer les defaillances ou plutot les axes susceptibles d'être revisés par le gouvernement canadien en se basant sur des faits réels. esperons que ce nouveau système apportera ses fruits et permettra aux futurs immigrants de trouver leur équilibre tant espéré. Modifié 3 octobre 2017 par slim73 Citer
Habitués MicheldeMtl Posté(e) 3 octobre 2017 Habitués Posté(e) 3 octobre 2017 Et surtout ne pas oublier que l'immigration vers le Québec n'est pas UN DROIT, mais un privilège. Et que le pays qui reçoit peut a sa convenance modifier les règles, changer les règles et même réduire les quotas d'immigration. Citer
Habitués slim73 Posté(e) 3 octobre 2017 Auteur Habitués Posté(e) 3 octobre 2017 tout à fait d"accord il peut même arreter l'immigration mais tant que cette dernière demeure encore, les critiques rationnels sont toujours les bienvenus pour pouvoir remedier aux lacunes que ce soit à l'étape pré immigration ou à l'étape post immigration pour assurer une bonne optimisation des ressources provenant de l'immigration. voila Citer
hatem.tn Posté(e) 3 octobre 2017 Posté(e) 3 octobre 2017 Ok on peut comprendre qu'a travers les liens historiques et conventions entre la France et le Quebec, les délais sont moins long et les avantages sont nombreux : Exoneration de frais de scolarité (Avantage conséquent), Reconnaissance des diplomes etc.... Ma question est tres simple : Pourquoi ne pas faciliter l'integration des immigrants francophones avec un genre de pvt qui leur est dédié Ca peut etre une bonne alternative pour se lancer sur le marché du travail et découvrir le pays en meme temps slim73 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 3 octobre 2017 Habitués Posté(e) 3 octobre 2017 il y a 17 minutes, hatem.tn a dit : Ok on peut comprendre qu'a travers les liens historiques et conventions entre la France et le Quebec, les délais sont moins long et les avantages sont nombreux : Exoneration de frais de scolarité (Avantage conséquent), Reconnaissance des diplomes etc.... Ma question est tres simple : Pourquoi ne pas faciliter l'integration des immigrants francophones avec un genre de pvt qui leur est dédié Ca peut etre une bonne alternative pour se lancer sur le marché du travail et découvrir le pays en meme temps À ma connaissance, le PVT est un entente de réciprocité, hatem.tn. Autant de jeunes français peuvent venir séjourner et travailler ici, autant des jeunes québécois peuvent séjourner en France et y travailler. Je vois mal comment ce genre d'entente de réciprocité pourrait se matérialiser entre le Québec et la Tunisie, par exemple... kuroczyd a réagi à ceci 1 Citer
hatem.tn Posté(e) 4 octobre 2017 Posté(e) 4 octobre 2017 Il y a 23 heures, bencoudonc a dit : À ma connaissance, le PVT est un entente de réciprocité, hatem.tn. Autant de jeunes français peuvent venir séjourner et travailler ici, autant des jeunes québécois peuvent séjourner en France et y travailler. Je vois mal comment ce genre d'entente de réciprocité pourrait se matérialiser entre le Québec et la Tunisie, par exemple... Merci pour l'info j'étais pas au courant Citer
Habitués slim73 Posté(e) 6 octobre 2017 Auteur Habitués Posté(e) 6 octobre 2017 (modifié) Le 04/10/2017 à 18:06, hatem.tn a dit : Merci pour l'info j'étais pas au courant pourquoi ne pas créer une plate forme qui offre des cours de perfectionnement à distance (dans quelques domaines qui présentent des difficultés d'accès au marché de travail autre que la maitrise de la langue française ) et ce dès l'obtention de la CSQ et qui peuvent être payants afin de faciliter la reconnaissance des compétences acquises hors du quebec. (une sorte d'initiation à la vie proferssionnelle avant l'arrivée sur sol canadien) qu'en dites vous Modifié 6 octobre 2017 par slim73 Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 6 octobre 2017 Habitués Posté(e) 6 octobre 2017 pourquoi ne pas créer une plate forme qui offre des cours de perfectionnement à distance (dans quelques domaines qui présentent des difficultés d'accès au marché de travail autre que la maitrise de la langue française ) et ce dès l'obtention de la CSQ et qui peuvent être payants afin de faciliter la reconnaissance des compétences acquises hors du quebec. (une sorte d'initiation à la vie proferssionnelle avant l'arrivée sur sol canadien) qu'en dites vous Le pb c est que cela a un coût. Qui paye? Citer
Habitués erictribalie Posté(e) 6 octobre 2017 Habitués Posté(e) 6 octobre 2017 il y a 16 minutes, kuroczyd a dit : Le pb c est que cela a un coût. Qui paye? les futurs immigrants. Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 6 octobre 2017 Habitués Posté(e) 6 octobre 2017 Il y a 1 heure, slim73 a dit : pourquoi ne pas créer une plate forme qui offre des cours de perfectionnement à distance (dans quelques domaines qui présentent des difficultés d'accès au marché de travail autre que la maitrise de la langue française ) et ce dès l'obtention de la CSQ et qui peuvent être payants afin de faciliter la reconnaissance des compétences acquises hors du quebec. (une sorte d'initiation à la vie proferssionnelle avant l'arrivée sur sol canadien) Ce n'est pas une mauvaise idée en soi. Un genre de plateforme qui permettrait d'évaluer les acquis et de "prendre de l'avance" lorsque des perfectionnements sont nécessaires. Par contre la mise en place de ce genre de structure demanderait un travail colossal (et probablement des investissements encore plus colossaux). PS - la maîtrise de la langue française est une difficulté pour certains mais il y a aussi, dans plusieurs domaines, la maîtrise de la langue anglaise dont il faut tenir compte. slim73 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués slim73 Posté(e) 6 octobre 2017 Auteur Habitués Posté(e) 6 octobre 2017 Il y a 1 heure, kuroczyd a dit : Le pb c est que cela a un coût. Qui paye? pour l'investissement initial c'est le quebec qui s'en charge et il y aura certainement un retour sur investissement à long terme ( accès facile à l'embauche donc moins de chomage et donc une réduction des charges d'aides sociales). et l'inscription au cours de perfectionnement sera payant pour les futurs arrivants. voila Citer
Habitués MicheldeMtl Posté(e) 6 octobre 2017 Habitués Posté(e) 6 octobre 2017 Il y a 6 heures, slim73 a dit : pour l'investissement initial c'est le quebec qui s'en charge et il y aura certainement un retour sur investissement à long terme ( accès facile à l'embauche donc moins de chomage et donc une réduction des charges d'aides sociales). et l'inscription au cours de perfectionnement sera payant pour les futurs arrivants. voila Hummmm très septique, quand cela est trop beau, ce n'est pas le réel. Et en plus si les citoyens québécois doivent encore payer!!!! Ils en ont plus que marre de payer des taxes, impôts. Donc tu peux oublier cela, ça ne passera pas dans l'opinion publique. kuroczyd a réagi à ceci 1 Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 6 octobre 2017 Habitués Posté(e) 6 octobre 2017 (modifié) Il y a 8 heures, erictribalie a dit : les futurs immigrants. Compte tenu des coûts que cela supposerait (mettre la structure en place, monter le système d'évaluation et de reconnaissance des acquis, monter les cours, embaucher des profs pour la correction des travaux et le suivi des étudiants, établir un système pour la supervision des examens dans les différents pays d'origine, etc etc), il faudrait demander des sommes absolument prohibitives aux futurs immigrants... je vois mal comment ça pourrait se faire ! Modifié 6 octobre 2017 par bencoudonc kuroczyd et trefle ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués slim73 Posté(e) 9 octobre 2017 Auteur Habitués Posté(e) 9 octobre 2017 Le 06/10/2017 à 21:38, bencoudonc a dit : Compte tenu des coûts que cela supposerait (mettre la structure en place, monter le système d'évaluation et de reconnaissance des acquis, monter les cours, embaucher des profs pour la correction des travaux et le suivi des étudiants, établir un système pour la supervision des examens dans les différents pays d'origine, etc etc), il faudrait demander des sommes absolument prohibitives aux futurs immigrants... je vois mal comment ça pourrait se faire ! cela peut se faire en collaboration avec les CEGEP et les universités ils possèdent déjà des plateformes d'enseignement à distance non? Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 9 octobre 2017 Habitués Posté(e) 9 octobre 2017 Il y a 4 heures, slim73 a dit : cela peut se faire en collaboration avec les CEGEP et les universités ils possèdent déjà des plateformes d'enseignement à distance non? Je ne suis vraiment pas spécialiste, mais je ne crois pas que le problème se situe au niveau de la technologie en tant que telle, slim73. Les plateformes de formation à distance des CEGEPs et universités s'adressent à priori à un bassin d'étudiants dont les acquis sont connus et n'ont pas besoin d'être réévalués (par ex. pour avoir accès à tel cours ou telle formation, tu dois avoir passé tel cours dispensé dans le programme d'ici, disons "maths 402" ou "FIN 301" en pré-requis) ; dans le cadre de leurs cours, ces étudiants doivent pouvoir acheter des manuels voire de l'équipement, interagir avec leurs pairs et leurs profs (séminaires virtuels, travaux d'équipe, discussions téléphoniques, etc) ; ils doivent se rendre à tel endroit pour passer des examens supervisés ; etc. Il faut probablement des investissements énormes pour adapter ce genre de plateforme à des clientèles qui vivent à l'autre bout du monde, qui possèdent des acquis scolaires différents parce qu'elles ont étudié dans des systèmes différents, pour faire ensuite le suivi et l'évaluation de ces clientèles ; même le volet administratif (identification et numéro permanent d'étudiant-e, gestion des dossiers, perception des frais de scolarité, recouvrement...) est probablement hyper compliqué. Et souvent on parle de clientèles qui ont des moyens financiers très limités par rapport à ici, dont les pays d'origine imposent des restrictions sur l'achat de devises et sur les transferts de fonds à l'étranger, etc. Je me trompe peut-être, mais je ne crois pas qu'il soit si simple d'investir dans la création d'une telle "machine" puis de la faire fonctionner ensuite sur une base de recouvrement des coûts... slim73 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués kuroczyd Posté(e) 9 octobre 2017 Habitués Posté(e) 9 octobre 2017 Je ne suis vraiment pas spécialiste, mais je ne crois pas que le problème se situe au niveau de la technologie en tant que telle, slim73. Les plateformes de formation à distance des CEGEPs et universités s'adressent à priori à un bassin d'étudiants dont les acquis sont connus et n'ont pas besoin d'être réévalués (par ex. pour avoir accès à tel cours ou telle formation, tu dois avoir passé tel cours dispensé dans le programme d'ici, disons "maths 402" ou "FIN 301" en pré-requis) ; dans le cadre de leurs cours, ces étudiants doivent pouvoir acheter des manuels voire de l'équipement, interagir avec leurs pairs et leurs profs (séminaires virtuels, travaux d'équipe, discussions téléphoniques, etc) ; ils doivent se rendre à tel endroit pour passer des examens supervisés ; etc. Il faut probablement des investissements énormes pour adapter ce genre de plateforme à des clientèles qui vivent à l'autre bout du monde, qui possèdent des acquis scolaires différents parce qu'elles ont étudié dans des systèmes différents, pour faire ensuite le suivi et l'évaluation de ces clientèles ; même le volet administratif (identification et numéro permanent d'étudiant-e, gestion des dossiers, perception des frais de scolarité, recouvrement...) est probablement hyper compliqué. Et souvent on parle de clientèles qui ont des moyens financiers très limités par rapport à ici, dont les pays d'origine imposent des restrictions sur l'achat de devises et sur les transferts de fonds à l'étranger, etc. Je me trompe peut-être, mais je ne crois pas qu'il soit si simple d'investir dans la création d'une telle "machine" puis de la faire fonctionner ensuite sur une base de recouvrement des coûts... Une telle machine coûterait des millions/milliards pour le contribuable... pour peut être former des gens qui ne finiront même pas ici. Qu' on arrive deja a former les gens ici et bien sélectionner les immigrants selon les besoins, ce serait déjà une grosse avancée. slim73 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués slim73 Posté(e) 9 octobre 2017 Auteur Habitués Posté(e) 9 octobre 2017 il y a 35 minutes, bencoudonc a dit : Je ne suis vraiment pas spécialiste, mais je ne crois pas que le problème se situe au niveau de la technologie en tant que telle, slim73. Les plateformes de formation à distance des CEGEPs et universités s'adressent à priori à un bassin d'étudiants dont les acquis sont connus et n'ont pas besoin d'être réévalués (par ex. pour avoir accès à tel cours ou telle formation, tu dois avoir passé tel cours dispensé dans le programme d'ici, disons "maths 402" ou "FIN 301" en pré-requis) ; dans le cadre de leurs cours, ces étudiants doivent pouvoir acheter des manuels voire de l'équipement, interagir avec leurs pairs et leurs profs (séminaires virtuels, travaux d'équipe, discussions téléphoniques, etc) ; ils doivent se rendre à tel endroit pour passer des examens supervisés ; etc. Il faut probablement des investissements énormes pour adapter ce genre de plateforme à des clientèles qui vivent à l'autre bout du monde, qui possèdent des acquis scolaires différents parce qu'elles ont étudié dans des systèmes différents, pour faire ensuite le suivi et l'évaluation de ces clientèles ; même le volet administratif (identification et numéro permanent d'étudiant-e, gestion des dossiers, perception des frais de scolarité, recouvrement...) est probablement hyper compliqué. Et souvent on parle de clientèles qui ont des moyens financiers très limités par rapport à ici, dont les pays d'origine imposent des restrictions sur l'achat de devises et sur les transferts de fonds à l'étranger, etc. Je me trompe peut-être, mais je ne crois pas qu'il soit si simple d'investir dans la création d'une telle "machine" puis de la faire fonctionner ensuite sur une base de recouvrement des coûts... tout à fait vrai A mon avis il faut faire un business case où on peut évaluer la rentabilité d'un tel projet et son impact sur le budget de la province et sur le contribuable. tout s'articule sur deux axes majeurs : - le coût des services qu'ils reçoivent du gouvernement. - le paiement de l'impôt voila Citer
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