Xavier Dolan en page couverture des Inrocks

[Laurent]

Xavier Dolan en page couverture des Inrocks, ne manquez pas ça!

En kiosque en France dès demain.

http://www.lesinrocks.com/

[soulman]

bien hâte de lire l'article pour voir l'angle choisi par Dolan et par le journaliste.

[SarahJade]

Pitié...

[soulman]

Pourquoi pitié ? C'est l'un des réalisateurs les plus prometteurs du Québec au même titre qu'un Jean-Marc Vallée ou qu'un Philippe Falardeau. Qu'on l'aime ou pas.

[SarahJade]

Il ne fait que des navets. Il y a juste l'élite du style Plateau Mont-Royal qui aime ce genre de films.

[Invité AnLau]

Tiens moi qui suis cinéphile je ne connaissais pas ce réal, merci pour l'article.

Qui sait peut être que je vais avoir une révélation

[SarahJade]

Tiens moi qui suis cinéphile je ne connaissais pas ce réal, merci pour l'article.

Qui sait peut être que je vais avoir une révélation

Tes yeux vont brûler si tu vas voir un de ses films!

[Invité AnLau]

Tiens moi qui suis cinéphile je ne connaissais pas ce réal, merci pour l'article.

Qui sait peut être que je vais avoir une révélation

Tes yeux vont brûler si tu vas voir un de ses films!

ahahah et pk ça? Il fait du Lynch?

[SarahJade]

Tiens moi qui suis cinéphile je ne connaissais pas ce réal, merci pour l'article.

Qui sait peut être que je vais avoir une révélation

Tes yeux vont brûler si tu vas voir un de ses films!

ahahah et pk ça? Il fait du Lynch?

C'est juste des films très gay... et j'ai rien contre l'homosexualité! C'est juste pas mon genre! C'est comme du brokeback mountain version québécoise.

[Invité AnLau]

Tiens moi qui suis cinéphile je ne connaissais pas ce réal, merci pour l'article.

Qui sait peut être que je vais avoir une révélation

Tes yeux vont brûler si tu vas voir un de ses films!

ahahah et pk ça? Il fait du Lynch?

C'est juste des films très gay... et j'ai rien contre l'homosexualité! C'est juste pas mon genre! C'est comme du brokeback mountain version québécoise.

hmmm je vois

[Invité AnLau]

Je vois de voir sur certains sites, ces films ont une cote respectable, tout de même.

Par contre 25 ans le monsieur

[soulman]

Il ne fait que des navets. Il y a juste l'élite du style Plateau Mont-Royal qui aime ce genre de films.

Chaque fois que tu diras ce genre d'énormités, je te ressortirais la même vidéo :

Y l'ont tu l'affaire, les américains !

Pour Anker Laurent, si tu es cinéphile, tu vas sûrement apprécier son travail. Son premier film était très autobiographique, il parlait de sa relation avec sa mère. Belle direction photo, un peu trop "surréalisé", mais il avait dans les 20 ans, on lui pardonne. Magnifique Anne Dorval dans le rôle de la mère. Dans son second film, Les amours imaginaires, il décortique les relations amoureuses dans un triangle "amoureux" qui ne l'est pas tant que ça. Le défaut principal de ce film est son manque d'expérience pour aborder ce genre de sujets qu'il voit à travers ses yeux de jeune homosexuel et sa représentation de la mère et du père sont peu intéressantes dans ce volet. Par contre il affine sa réalisation, sa direction photo, et s'affirme dans son style et son propre rythme. L'accueil en Europe notamment est très bon, le directeur du festival de Cannes le prend sous son aile et l'encourage à faire un film vite pour l'année suivante. C'est son troisième film, celui que j'aime le moins pour l'instant, Laurence Anyways. Un peu trop vite réalisé, il a voulu faire plaisir à tout le monde et s'est un peu compromis là dedans. Mais ce n'est que mon avis. Il a mélangé les notions d'homosexualité et de transsexualité et ne maitrisait selon moi pas assez son sujet. Et je suis moins fan de Suzanne Clément que d'Anne Dorval. Après ces 3 films très intimes qui tournaient beaucoup sur les relations amoureuses, le genre et l'orientation sexuelle, il a surpris tout le monde avec Tom à la Ferme, adaptation d'une pièce de théâtre. Il continue sur le thème de l'homosexualité, mais sous un angle différent cette fois et s'essaie au thriller. Réussi selon moi. Moins d'emphase sur la direction photo, réalisation moins léchée, mais très efficace. Pour le dernier, Mommy, je ne l'ai pas encore vu mais j'ai vraiment hâte.

[Invité AnLau]

Il ne fait que des navets. Il y a juste l'élite du style Plateau Mont-Royal qui aime ce genre de films.

Chaque fois que tu diras ce genre d'énormités, je te ressortirais la même vidéo :

Y l'ont tu l'affaire, les américains !

Pour Anker Laurent, si tu es cinéphile, tu vas sûrement apprécier son travail. Son premier film était très autobiographique, il parlait de sa relation avec sa mère. Belle direction photo, un peu trop "surréalisé", mais il avait dans les 20 ans, on lui pardonne. Magnifique Anne Dorval dans le rôle de la mère. Dans son second film, Les amours imaginaires, il décortique les relations amoureuses dans un triangle "amoureux" qui ne l'est pas tant que ça. Le défaut principal de ce film est son manque d'expérience pour aborder ce genre de sujets qu'il voit à travers ses yeux de jeune homosexuel et sa représentation de la mère et du père sont peu intéressantes dans ce volet. Par contre il affine sa réalisation, sa direction photo, et s'affirme dans son style et son propre rythme. L'accueil en Europe notamment est très bon, le directeur du festival de Cannes le prend sous son aile et l'encourage à faire un film vite pour l'année suivante. C'est son troisième film, celui que j'aime le moins pour l'instant, Laurence Anyways. Un peu trop vite réalisé, il a voulu faire plaisir à tout le monde et s'est un peu compromis là dedans. Mais ce n'est que mon avis. Il a mélangé les notions d'homosexualité et de transsexualité et ne maitrisait selon moi pas assez son sujet. Et je suis moins fan de Suzanne Clément que d'Anne Dorval. Après ces 3 films très intimes qui tournaient beaucoup sur les relations amoureuses, le genre et l'orientation sexuelle, il a surpris tout le monde avec Tom à la Ferme, adaptation d'une pièce de théâtre. Il continue sur le thème de l'homosexualité, mais sous un angle différent cette fois et s'essaie au thriller. Réussi selon moi. Moins d'emphase sur la direction photo, réalisation moins léchée, mais très efficace. Pour le dernier, Mommy, je ne l'ai pas encore vu mais j'ai vraiment hâte.

Bon je pense que je vais faire le grand écart avec ma passion pour le cinéma hongkongais, mais à voir peut être que le style de ce jeune homme me parlera.

[soulman]

Il ne fait que des navets. Il y a juste l'élite du style Plateau Mont-Royal qui aime ce genre de films.

Chaque fois que tu diras ce genre d'énormités, je te ressortirais la même vidéo :

Y l'ont tu l'affaire, les américains !

Pour Anker Laurent, si tu es cinéphile, tu vas sûrement apprécier son travail. Son premier film était très autobiographique, il parlait de sa relation avec sa mère. Belle direction photo, un peu trop "surréalisé", mais il avait dans les 20 ans, on lui pardonne. Magnifique Anne Dorval dans le rôle de la mère. Dans son second film, Les amours imaginaires, il décortique les relations amoureuses dans un triangle "amoureux" qui ne l'est pas tant que ça. Le défaut principal de ce film est son manque d'expérience pour aborder ce genre de sujets qu'il voit à travers ses yeux de jeune homosexuel et sa représentation de la mère et du père sont peu intéressantes dans ce volet. Par contre il affine sa réalisation, sa direction photo, et s'affirme dans son style et son propre rythme. L'accueil en Europe notamment est très bon, le directeur du festival de Cannes le prend sous son aile et l'encourage à faire un film vite pour l'année suivante. C'est son troisième film, celui que j'aime le moins pour l'instant, Laurence Anyways. Un peu trop vite réalisé, il a voulu faire plaisir à tout le monde et s'est un peu compromis là dedans. Mais ce n'est que mon avis. Il a mélangé les notions d'homosexualité et de transsexualité et ne maitrisait selon moi pas assez son sujet. Et je suis moins fan de Suzanne Clément que d'Anne Dorval. Après ces 3 films très intimes qui tournaient beaucoup sur les relations amoureuses, le genre et l'orientation sexuelle, il a surpris tout le monde avec Tom à la Ferme, adaptation d'une pièce de théâtre. Il continue sur le thème de l'homosexualité, mais sous un angle différent cette fois et s'essaie au thriller. Réussi selon moi. Moins d'emphase sur la direction photo, réalisation moins léchée, mais très efficace. Pour le dernier, Mommy, je ne l'ai pas encore vu mais j'ai vraiment hâte.

Bon je pense que je vais faire le grand écart avec ma passion pour le cinéma hongkongais, mais à voir peut être que le style de ce jeune homme me parlera.

Pas forcément un grand écart. Sa réalisation se rapproche pas mal de celle de Wong Kar-Wai, hyper esthétisée, des plans centrés, une bonne utilisation du silence, etc. Les thèmes ne sont pas forcément les mêmes, mais même si l'homosexualité reste l'un des sujets sous-jacents de Dolan, ses films sont avant tout des satires sociales. Le premier film vraiment connu internationalement de Wong Kar Wai, Happy together, parlait aussi d'un couple gay d'ailleurs.

[dentan]

Il ne fait que des navets. Il y a juste l'élite du style Plateau Mont-Royal qui aime ce genre de films.

Chaque fois que tu diras ce genre d'énormités, je te ressortirais la même vidéo :

Y l'ont tu l'affaire, les américains !

Pour Anker Laurent, si tu es cinéphile, tu vas sûrement apprécier son travail. Son premier film était très autobiographique, il parlait de sa relation avec sa mère. Belle direction photo, un peu trop "surréalisé", mais il avait dans les 20 ans, on lui pardonne. Magnifique Anne Dorval dans le rôle de la mère. Dans son second film, Les amours imaginaires, il décortique les relations amoureuses dans un triangle "amoureux" qui ne l'est pas tant que ça. Le défaut principal de ce film est son manque d'expérience pour aborder ce genre de sujets qu'il voit à travers ses yeux de jeune homosexuel et sa représentation de la mère et du père sont peu intéressantes dans ce volet. Par contre il affine sa réalisation, sa direction photo, et s'affirme dans son style et son propre rythme. L'accueil en Europe notamment est très bon, le directeur du festival de Cannes le prend sous son aile et l'encourage à faire un film vite pour l'année suivante. C'est son troisième film, celui que j'aime le moins pour l'instant, Laurence Anyways. Un peu trop vite réalisé, il a voulu faire plaisir à tout le monde et s'est un peu compromis là dedans. Mais ce n'est que mon avis. Il a mélangé les notions d'homosexualité et de transsexualité et ne maitrisait selon moi pas assez son sujet. Et je suis moins fan de Suzanne Clément que d'Anne Dorval. Après ces 3 films très intimes qui tournaient beaucoup sur les relations amoureuses, le genre et l'orientation sexuelle, il a surpris tout le monde avec Tom à la Ferme, adaptation d'une pièce de théâtre. Il continue sur le thème de l'homosexualité, mais sous un angle différent cette fois et s'essaie au thriller. Réussi selon moi. Moins d'emphase sur la direction photo, réalisation moins léchée, mais très efficace. Pour le dernier, Mommy, je ne l'ai pas encore vu mais j'ai vraiment hâte.

Pourquoi elle n'a pas le droit de dire qu'elle n'aime pas ce genre de film et que selon elle que c'est un navet?

Pourquoi le qualificatif de cinéphile doit être seulement pour ceux qui aiment ces films?

Si on regarde la définition du Larousse : Amateur de cinéma!

Elle est finie la période ou il fallait que cela soit des films tristes, noires, dépressifs et qui se contemplent le nombril!

Ce gars oui il a fait et fait des films, certains furent assez bon mais il a de très bons ''protecteurs'' pour être capable de pouvoir continuer à produire en faisant :

- Trop surréalisé

- Le défaut principal de ce film est son manque d'expérience pour aborder ce genre de sujets

- Direction de photos peu affirmée

- Etc.

Donc des commentaires passables pour un cinéaste amateur mais qui a la chance d'avoir de bons protecteurs!

[SarahJade]

Il ne fait que des navets. Il y a juste l'élite du style Plateau Mont-Royal qui aime ce genre de films.

Chaque fois que tu diras ce genre d'énormités, je te ressortirais la même vidéo :

Y l'ont tu l'affaire, les américains !

Pour Anker Laurent, si tu es cinéphile, tu vas sûrement apprécier son travail. Son premier film était très autobiographique, il parlait de sa relation avec sa mère. Belle direction photo, un peu trop "surréalisé", mais il avait dans les 20 ans, on lui pardonne. Magnifique Anne Dorval dans le rôle de la mère. Dans son second film, Les amours imaginaires, il décortique les relations amoureuses dans un triangle "amoureux" qui ne l'est pas tant que ça. Le défaut principal de ce film est son manque d'expérience pour aborder ce genre de sujets qu'il voit à travers ses yeux de jeune homosexuel et sa représentation de la mère et du père sont peu intéressantes dans ce volet. Par contre il affine sa réalisation, sa direction photo, et s'affirme dans son style et son propre rythme. L'accueil en Europe notamment est très bon, le directeur du festival de Cannes le prend sous son aile et l'encourage à faire un film vite pour l'année suivante. C'est son troisième film, celui que j'aime le moins pour l'instant, Laurence Anyways. Un peu trop vite réalisé, il a voulu faire plaisir à tout le monde et s'est un peu compromis là dedans. Mais ce n'est que mon avis. Il a mélangé les notions d'homosexualité et de transsexualité et ne maitrisait selon moi pas assez son sujet. Et je suis moins fan de Suzanne Clément que d'Anne Dorval. Après ces 3 films très intimes qui tournaient beaucoup sur les relations amoureuses, le genre et l'orientation sexuelle, il a surpris tout le monde avec Tom à la Ferme, adaptation d'une pièce de théâtre. Il continue sur le thème de l'homosexualité, mais sous un angle différent cette fois et s'essaie au thriller. Réussi selon moi. Moins d'emphase sur la direction photo, réalisation moins léchée, mais très efficace. Pour le dernier, Mommy, je ne l'ai pas encore vu mais j'ai vraiment hâte.

Pourquoi elle n'a pas le droit de dire qu'elle n'aime pas ce genre de film et que selon elle que c'est un navet?

Pourquoi le qualificatif de cinéphile doit être seulement pour ceux qui aiment ces films?

Si on regarde la définition du Larousse : Amateur de cinéma!

Elle est finie la période ou il fallait que cela soit des films tristes, noires, dépressifs et qui se contemplent le nombril!

Ce gars oui il a fait et fait des films, certains furent assez bon mais il a de très bons ''protecteurs'' pour être capable de pouvoir continuer à produire en faisant :

- Trop surréalisé

- Le défaut principal de ce film est son manque d'expérience pour aborder ce genre de sujets

- Direction de photos peu affirmée

- Etc.

Donc des commentaires passables pour un cinéaste amateur mais qui a la chance d'avoir de bons protecteurs!

Oui d'ailleurs il produit ses films grâce aux subventions venant de nos poches. Sinon, il n'aurait pas pu en sortir un seul parce que ce n'est pas rentable.

[melina44]

Laurent si tu veux voir une version courte il y a le clip d'Indochine qu'il a fait pour la sortie du dernier album.

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[La Féline]

On aime ou on n'aime pas, mais ce n'est pas parce qu'on n'aime pas que c'est forcément nul

[soulman]

Blablabla, le refrain sur les subventions, l'argent de nos poches, etc. TOUTES les productions cinématographiques sont subventionnées, sauf quelques rares films d'auteur, et encore. Il en va de même pour tous les types de spectacle d'ailleurs. Cet investissement fédéral et provincial est destiné à faire rayonner la culture locale toute en développant les retombées annexes. Un film c'est pas juste le trip d'un réalisateur. C'est une centaine d'emplois pour le tournage et la production, de l'éclairagiste au preneur de son, c'est des boites de pub qui vivent, des annonceurs, des employés de cinéma, des boites de montage, de post-prod, des doubleurs, des musiciens, etc. Dolan pourrait se permettre sans aucun problème de s'exiler en France, les studios et producteurs lui tendent les bras et il ne toucherait plus un dollar de subventions canadiennes. Mais on y perdrait un des fleurons du cinéma québécois. Et ça ne réduirait en rien les subventions, ils les donneraient juste à quelqu'un d'autre. Et comme le dit la Féline, on aime ou on aime pas, mais dire que c'est "des navets" ou que "ça brûle les yeux de les regarder", non. Si t'entends un pianiste qui exécute un concerto, tu peux dire j'aime pas le classique, tu peux pas dire c'est nul il est mauvais. Enfin si, tu peux le dire, mais t'as l'air cave. Pis Dentan, essaie pas comme d'habitude de provoquer sans raison. Dolan n'a rien d'un "cinéaste amateur" et il n'a pas de "protecteurs". Le pire là-dedans c'est que je ne suis vraiment pas fan du personnage, mais je lui reconnais un talent très précoce et une "intention", un parti pris dans sa réalisation, c'est tellement rare.

[soulman]

Et si je me permets d'être incisif assez vite, c'est parce qu'on a déjà eu cette conversation il y a quelques semaines, où certains d'entre vous dont SarahJade insistaient pour dire que la culture au Québec était minable, que seule la "clique du plateau" aimait ça et que les Québécois se sentaient beaucoup plus proches de la culture américaine. D'où le vidéo d'Elvis Gratton. On peut aimer ce qu'on veut, c'est juste complètement faux de dire qu'il n'y a rien d'intéressant culturellement dans la province et que seuls quelques snobs s'y intéressent. C'est pas une question d'opinion, c'est ridicule.