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  • Habitués
Posté(e)

D'après ce que j'ai entendu, les salaires agricoles au Québec se trouvent plutôt entre 10$ et 14$ l'heure.

Posté(e) (modifié)

D'après ce que j'ai entendu, les salaires agricoles au Québec se trouvent plutôt entre 10$ et 14$ l'heure.

Ils sont payés à la production. S'ils sont très efficaces et se tuent à la tâche, ça peut monter à ce niveau, ce qui est quand même nettement inférieur au salaire moyen et ça ne comprend absolument aucun avantage social et assurance. S'ils sont malades ou se blessent, c'est 0$.

Modifié par INGDirect
  • Habitués
Posté(e)

Faque ce n'est pas la peine de se plaindre. Ce sont les occidentaux qui ont créé ce capitalisme de merde, il ne leur reste plus qu'à assumer et non à se chercher des boucs émissaires.

Et les africains qui persistent dans une économie de subsistance, ils ne leur reste qu'à assumer et non chercher à accuser les méchants occidentaux.

Tu n'en es toujours pas revenu que la Maghrébine t'ai planté là, hein! Tu ne peux jamais trouver d'argument logique sans t'en prendre aux Africains?

On parle ici de la vie en occident. Des emplois d'ouvriers menacés par l'immigration (qui n'est pas seulement d'origine africaine, en passant).

Il est vrai que la présence des immigrants tire des salaires par le bas. Mais au moins, les emplois restent sur place.

C'est aux occidentaux de savoir s'ils préfèrent des bas salaires ou pas de salaire du tout, car leurs jobs onf foutu le camp vers l'lnde, le Mexique et la Chine. C'est leur système économique, c'est eux qui ont créé la mondialisation. Ils s'attendaient à quoi au juste? À ce que tout le monde trinque, sauf eux?

  • Habitués
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Évidemment, avec un salaire misérable d'environ 5$ de l'heure, personne ne veut le faire. Par contre, je suis sûr que si on t'offrait 5000$/jour pour la tâche, tu l'envisagerais. Pour d'autres personnes, par exemple, un chômeur sans éducation, il accepterait peut-être 120$/jour. Tel que je l'ai dit précédemment, il n'y a pas de travail que personne ne veut faire. Il y a seulement des emplois mal payés. Si le programme des travailleurs temporaires n'existait pas, les producteurs agricoles augmenteraient les salaires ou investiraient dans la machinerie. Dans un cas comme dans l'autre, la société serait gagnante.

Pas du tout. À cette paye-là, les tomates des fermiers de l'île d'Orléans ne seraient pas vendues, car leur prix serait trop prohibitif. La concurrence californienne, mexicaine, italienne les écraserait vite fait. Déjà que la situation économique des fermes québécoises n'est pas trop reluisante (j'espère que tu écoutes de temps en temps La semaine verte).

Comme tu vois, avec la mondialisation, il est impossible de trouver des solutions à petite échelle. Les Québécois peuvent et doivent réfléchir à l'impact de l'immigration chez eux, ce serait une bonne chose. Mais il faut considérer, dans l'équation, d'autres facteurs. Entre autres, que les autres provinces ne suivront pas nécessairement les Québécois. La saskatchewan et TNL, par exemple, ont d'immenses richesses. Ils attirent des immigrants à tour de bras. Si leur démographie augmente, leur poids dans la fédération augmentera aussi. Et la place du Québec dans le Canada (et du français) diminuera. Ce que le Québécois moyen ne semble pas du tout réaliser.

Posté(e)

Pas du tout. À cette paye-là, les tomates des fermiers de l'île d'Orléans ne seraient pas vendues, car leur prix serait trop prohibitif. La concurrence californienne, mexicaine, italienne les écraserait vite fait. Déjà que la situation économique des fermes québécoises n'est pas trop reluisante (j'espère que tu écoutes de temps en temps La semaine verte).

Et alors? Si les prix de production sont trop élevés pour que ça soit profitable sans passer par des subterfuges qui contournent les lois du marché, c'est que ce secteur n'a pas sa place. Si les demandes sont vraiment trop chères à produire pour le prix de ventes, les producteurs se tourneront simplement vers un produit plus profitable. On ne produit pas de bananes au Québec et ça ne nous manque pas tellement.

Les Québécois peuvent et doivent réfléchir à l'impact de l'immigration chez eux, ce serait une bonne chose. Mais il faut considérer, dans l'équation, d'autres facteurs. Entre autres, que les autres provinces ne suivront pas nécessairement les Québécois. La saskatchewan et TNL, par exemple, ont d'immenses richesses. Ils attirent des immigrants à tour de bras. Si leur démographie augmente, leur poids dans la fédération augmentera aussi. Et la place du Québec dans le Canada (et du français) diminuera. Ce que le Québécois moyen ne semble pas du tout réaliser.

Ça pourrait effectivement être un impact positif, si les immigrants s'intégraient parfaitement à la culture québécoise et à la majorité francophone. Mais est-ce vraiment le cas? J'en doute. Si le poids du Québec augmente, mais que c'est le fait de personnes qui n'adoptent pas la culture québécoise, l'intérêt politique n'y est plus, au contraire.

  • Habitués
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Encore une fois :

Si les Québécois veulent sauvegarder leur culture, traditions, murs, religion, langue, etc... la solution passe par la fécondité.

  • Habitués
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Les familles nombreuses c'etait quand il n'y avait pas de méthodes anticonceptionnelles..

Aujourd'hui , si tu veux avoir un train de vie normal, que tes enfants aillent a l'université etc...Tu n'as guère le choix que d'en limiter le nombre.

Dans mon cas ce fut 2 , je vois mal comment en avoir plus.

Il me semble qu'au plus un pays monte dans l'echelle de revenus, au plus le nombre d'enfants diminue, en d'autres mots on fait beaucoup plus d'enfants dans les pays pauvres que les pays riches.

Doit t'on pour cette raison ouvrir les portes toutes grandes a l'immigration ou aider les pays pauvres ?, a chacun d'y répondre.

  • Habitués
Posté(e)

Les familles nombreuses c'etait quand il n'y avait pas de méthodes anticonceptionnelles..

Aujourd'hui , si tu veux avoir un train de vie normal, que tes enfants aillent a l'université etc...Tu n'as guère le choix que d'en limiter le nombre.

Dans mon cas ce fut 2 , je vois mal comment en avoir plus.

Il me semble qu'au plus un pays monte dans l'echelle de revenus, au plus le nombre d'enfants diminue, en d'autres mots on fait beaucoup plus d'enfants dans les pays pauvres que les pays riches.

Doit t'on pour cette raison ouvrir les portes toutes grandes a l'immigration ou aider les pays pauvres ?, a chacun d'y répondre.

Peut-être qu'il va falloir se faire l'idée à un mode de vie plus modeste, moins de «gadgets» et de surconsommation, plus de bouffe à la maison, moins de soupers dehors, etc.

Aider les pays pauvres est une bonne idée, en plus.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Ben ouais, moi j'ai fait des enfants pour la main d'oeuvre : qu'est-ce que vous croyez? les filles font le ménage et la cuisine, les garçons montent le bois et entretiennent le jardin...À oui, pis les ainés élévent le dernier, comme ça j'ai plus de temps pour trainer sur le forum. :bye:

Autrement, sûr qu'on aurait pas vu si grand pour la maison :lol:

Modifié par isseo17
  • Habitués
Posté(e)

Tout à fait d'accord avec toi,pourtant c'est simple il faut poser cette question au peuple Québécois ,est ce que le Québec veut de nous ou pas??

À lire les commentaires, ça fait peur:

Envoyé par Hermil LeBel de St-Damien-de-Brandon le30 août 2011 à 05 h 50 HAE

Je pense que Legeault se trompe d'échelle: il faudrait réduire l'immigration de 45 000 nouveaux arrivants par année !

Si on regarde juste en dessous de la petite phrase, on lit: 31 en accord, 12 en désaccord. Que se passe-t-il donc pour que les Québécois soient tannés de recevoir des immigrants?

peut être que la meilleure façon pour résoudre ce problème c'est d'organiser un référendum, si les québecois disent stop à l'immigration on respecte leur choix et s'ils disent y a pas de problèmes à recevoir des immigrants ça sera ainsi!

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Je crains que la réponse majoritaire sera : «Non».

Modifié par argentino2003
  • Habitués
Posté(e)

Et alors? Si les prix de production sont trop élevés pour que ça soit profitable sans passer par des subterfuges qui contournent les lois du marché, c'est que ce secteur n'a pas sa place. Si les demandes sont vraiment trop chères à produire pour le prix de ventes, les producteurs se tourneront simplement vers un produit plus profitable. On ne produit pas de bananes au Québec et ça ne nous manque pas tellement.

J'imagine que les fermiers ne sont pas bêtes. Si ce système de production existait, ils l'auraient et ne se casseraient pas la tête à apprendre l'espagnol pour pouvoir gérer les Mexicains.

Je ne connais de l'agriculture québécoise que ce que je vois à l'île d'Orléans. Donne-moi donc un exemple d'une production agricole qui serait assez rentable pour nos fermiers et ne subirait pas la concurrence mondialisée.

Posté(e) (modifié)

J'imagine que les fermiers ne sont pas bêtes. Si ce système de production existait, ils l'auraient et ne se casseraient pas la tête à apprendre l'espagnol pour pouvoir gérer les Mexicains.

Je ne connais de l'agriculture québécoise que ce que je vois à l'île d'Orléans. Donne-moi donc un exemple d'une production agricole qui serait assez rentable pour nos fermiers et ne subirait pas la concurrence mondialisée.

L'immense majorité des entreprises bioalimentaires (blé, canola, produits laitiers, industrie bovine, etc.) n'engagent pas les travailleurs temporaires étrangers et survivent sans problème. Évidemment, le profit des producteurs est plus élevés lorsqu'ils utilisent du cheap labor que lorsqu'ils paient des employés à leur juste valeur, mais une diminution des profits n'impliquent pas une non-rentabilité. Je ne comprends pas commun le commun des mortels peut cautionner l'exploitation de travailleurs étrangers, d'autant plus que cette exploitation cause une dégradation directe du niveau de vie de la classe ouvrière. Faut croire que les lobbies sont particulièrement efficaces.

Modifié par INGDirect
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Ben ouais, moi j'ai fait des enfants pour la main d'oeuvre : qu'est-ce que vous croyez? les filles font le ménage et la cuisine, les garçons montent le bois et entretiennent le jardin...À oui, pis les ainés élévent le dernier, comme ça j'ai plus de temps pour trainer sur le forum. :bye:

Autrement, sûr qu'on aurait pas vu si grand pour la maison :lol:

Moi j'ai bien pris une roumaine a la maison en tant que coloc' en pensant qu'elle ferait la bouffe, le ménage et tout. Que nenni, elle s'est occidentalisée et elle fait quasiment rien a la maison. Damn it ! <_<(elle m'entendrait, elle me taperait :vava: )

Donc faut que je fasse des enfants pour la main d'oeuvre me dis tu ? Mais apres s'ils nous plaisent pas on peut les ramener sous 30 jours comme chez Walmart ??? :ph34r:

Bon ok je sors

Modifié par laureenfr
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Peut-être qu'il va falloir se faire l'idée à un mode de vie plus modeste, moins de «gadgets» et de surconsommation, plus de bouffe à la maison, moins de soupers dehors, etc.

T'es tu malade ? Et que vont devenir mes 12380 amis sur Facebook ??? Et qui va s'occuper de mon Iphone et de mon animal de compagnie virtuel ? Et enfin et surtout, si on arrete de trop consommer sur quoi va reposer notre économie ?

Aider les pays pauvres est une bonne idée, en plus.

Ca par contre oui.

Les occidentaux se plaignent souvent qu'on "ne peut pas accueillir toute la misère du monde". Pourtant la solution est simple : faire en sorte qu'il soit aussi bien chez eux que chez nous et que le choix soit plus difficile et ca limiterait un bon nombre. Ca empecherait pas les gens d'aller vivre ailleurs (toujours ce coté aventurier/explorateur de l'homme), mais ca éviterait que certains pays se vident de leur population pour aller voir ailleurs

Modifié par laureenfr
  • Habitués
Posté(e)

Malheureusement, certains Canadiens veulent avoir le beurre, l'argent du beurre, la vache et la fermière.

Plus précisément, ils veulent avoir des enfants - NOS enfants - sans avoir à faire l'effort de porter la bedaine, de gérer les couches, les biberons, et les coliques, et toutes les énergies que l'éducation des enfants implique.

Ils savent que NOS enfants seront complètement intégrés. Mais ils ne veulent pas avoir à cohabiter ou travailler avec les parents de ces mêmes enfants. Cherchez l'erreur ...

dois-je comprendre par la que les premières générations d'immigrants sont sacrifiées à chaque fois "par préméditation" et qu'on veut juste s'investir sur "le produit" ..je veux dire NOS enfants!

  • Habitués
Posté(e)

Les occidentaux se plaignent souvent qu'on "ne peut pas accueillir toute la misère du monde". Pourtant la solution est simple : faire en sorte qu'il soit aussi bien chez eux que chez nous et que le choix soit plus difficile et ca limiterait un bon nombre. Ca empecherait pas les gens d'aller vivre ailleurs (toujours ce coté aventurier/explorateur de l'homme), mais ca éviterait que certains pays se vident de leur population pour aller voir ailleurs

Ne pas les enfoncer davantage dans la misère en pillant leurs richesses et en appuyant leurs dictateurs, ça serait déjà beaucoup. Après cela, ils devraient pouvoir s'aider tout seuls.

De toute manière, il est assez erroné de croire que ceux qui immigrent recherchent un meilleur niveau de vie. C'est peut-être vrai pour les réfugiés. Mais pour bon nombre de gens d'Afrique sélectionnés par le Canada, on immigre parce qu'on a DÉJÀ un niveau de vie élevé. On ne vient pas ici pour vivre mieux, on vient pour vivre et permettre à nos enfants de vivre EN SÉCURITÉ. Ce n'est pas drôle de passer sa vie sur un volcan qui dort et qui pourrait exploser n'importe quand.

  • Habitués
Posté(e)

J'imagine que les fermiers ne sont pas bêtes. Si ce système de production existait, ils l'auraient et ne se casseraient pas la tête à apprendre l'espagnol pour pouvoir gérer les Mexicains.

Je ne connais de l'agriculture québécoise que ce que je vois à l'île d'Orléans. Donne-moi donc un exemple d'une production agricole qui serait assez rentable pour nos fermiers et ne subirait pas la concurrence mondialisée.

L'immense majorité des entreprises bioalimentaires (blé, canola, produits laitiers, industrie bovine, etc.) n'engagent pas les travailleurs temporaires étrangers et survivent sans problème. Évidemment, le profit des producteurs est plus élevés lorsqu'ils utilisent du cheap labor que lorsqu'ils paient des employés à leur juste valeur, mais une diminution des profits n'impliquent pas une non-rentabilité.

S'ils sont si rentables que ça, pourquoi ont-ils besoin d'un organisme gouvernemental pour les subventionner et d'un autre pour les assurer? Pourquoi ont-ils besoin de monopoles?

Je ne comprends pas commun le commun des mortels peut cautionner l'exploitation de travailleurs étrangers, d'autant plus que cette exploitation cause une dégradation directe du niveau de vie de la classe ouvrière. Faut croire que les lobbies sont particulièrement efficaces.

Et toi qui ne cautionne pas l'exploitation, qu'est-ce que tu peux faire concrètement pour que ça cesse?

Posté(e)

S'ils sont si rentables que ça, pourquoi ont-ils besoin d'un organisme gouvernemental pour les subventionner et d'un autre pour les assurer? Pourquoi ont-ils besoin de monopoles?

Ils n'en ont pas besoin. Comme tout groupe d'intérêt, les lobbies agricoles cherchent à en avoir le plus possible pour leurs membres. Aux ÉU, il n'y a pas de monopoles et l'industrie agricole est toujours présente et importante.

Et toi qui ne cautionne pas l'exploitation, qu'est-ce que tu peux faire concrètement pour que ça cesse?

La première chose à faire serait de ne pas la cautionner avec ce genre de programmes complètement immoral qui s'assimile à de l'esclavagisme moderne.

  • Habitués
Posté(e)

Par contre, je mets un bémol en ce qui concerne l'immigration pour des raisons de sécurité.

Peut-être est-ce vrai pour le Canada, mais en Europe et aux US il faut reconnaître que l'immigration économique est, non pas un fléau, mais une nécessité pour la survie de leur famille restée au pays.

Il n'y a qu'à voir les foyers Sonacotra en France ou bien l'immigration mexicaine dans la Sun Belt.

L'homme part, seul, travaille comme un âne et renvoi tout ce qu'il peut au pays pour faire vivre sa famille (au sens large du mot).

Et au-delà du cercle familial, il y a des pays où ce revenu est même comptabilisé par les gouvernements comme "richesse".

Alors oui, il y a des réfugiés politiques et d'autres que je qualifierais plus d'exilés (ceux que tu cites et qui viennent se mettre à l'abri, eux et leurs proches), mais je ne suis pas sûr qu'ailleurs (Europe par exemple) ils soient majoritaires.

Tu as malheureusement raison. Il faut ajouter à tes exemples européens ce qui se fait à Dubaï et d'autres pays boostés aux pétrodollars. Des réfugiés économiques, oui, il y en a par millions (et probablement qu'il y en aura encore plus avec les catastrophes climatiques que les pays pauvres connaissent aujourd'hui).

Les gens qui choisissent de tenter le tout pour le tout pour aller en Europe (tout en sachant qu'il est fort probable qu'ils se retrouvent dans le premier avion qui rentre):

1) n'ont jamais entendu parler de la possibilité d'immigrer légalement au Canada, en Australie ou en Nouvelle-Zélande;

2) ont entendu parler de cette possibilité, mais n'ont pas les qualifications nécessaires pour être sélectionnés, ou les moyen$$$ nécessaires pour faire ce projet;

3) se sont laissés emberlificoter par des passeurs;

4) n'ont, de toute façon, rien à perdre.

Mais du point de vue de l'immigration au Canada, qui se fait par sélection, les gens qui viennent sont ceux qui peuvent se le permettre. Tout le monde n'a pas les moyens d'investir 25 000 $ dans un projet d'immigration (le salaire moyen d'un fonctionnaire au Rwanda doit être quelque chose comme 400 $ par mois et c'est assez pour faire vivre une famille décemment là-bas). Sans être richissime, j'avais une belle situation chez moi et bon nombre d'Africains sur ce forum aussi. Mais à force de vivre avec des barreaux aux fenêtres, avec une clôture de barbelés, quand, en plus, on a des enfants, on finit par se dire qu'il est infiniment plus enrichissant de vivre en sécurité. Même si, pour cela, il faut emballer des brocolis au Provigo. Personnellement, je n'avais aucune attente sur le plan professionnel en venant ici. Tout ce qui m'a été donné est comme la cerise sur le gâteau, j'étais prête à faire n'importe quoi pourvu que mes enfants grandissent en sécurité.

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