Habitués Sarkos Posté(e) 26 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 26 septembre 2009 Le livre s'appelle Le facteur C: l'avenir passe par la culture,Il vient tout juste d'être lancé. Vous risquez d'en entendre parlerIl pose plusieurs questions, dont une qui vous concerne: Pourquoi les immigrants ne s'intéressent pas à la culture? Pourquoi 95% des spectateurs sont blancs et francos?Je l'ignore. Mais s'agit de lire ce site pour voir qu'il a raison. Combien de messages ici sur la culture? Très peu. Rarissime. A l'occasion on va parler d'une émission de télé. Parfois un film. Un roman? Jamais. Pièce de théâtre? Jamais. Concert? Jamais.Alors pourquoi les immigrants n'aiment pas la culture?http://www.cyberpresse.ca/arts/livres/2009...ge-culturel.phpMario CloutierLa PresseSimon Brault lance un premier essai, Le facteur C: l'avenir passe par la culture, un plaidoyer en faveur de la participation culturelle. En entrevue exclusive à La Presse, cet acteur important de la culture à Montréal explique que le développement de l'offre n'est plus suffisant pour assurer l'avenir de la culture.Simon Brault porte trois chapeaux: directeur de l'École nationale de théâtre, vice-président du Conseil des arts du Canada et président de Culture Montréal. Toutes ses expériences lui ont servi pour écrire Le facteur C: l'avenir passe par la culture, un témoignage, une profession de foi et une invitation à la participation culturelle.Son constat: la culture est devenue un enjeu économique et politique. On le voit dans les investissements publics à Montréal et on le sent dans les campagnes électorales. Paradoxalement, malgré une offre abondante, certains publics s'absentent: les plus démunis, les jeunes et les communautés culturelles, notamment.Avec la nouvelle crise des finances publiques, les gouvernements se serreront la ceinture, et la culture écopera probablement au premier chef, dans les prochaines années. Il devient alors urgent de parer à ce qu'on peut appeler le «décrochage culturel».«Le modèle complètement pensé autour du développement de l'offre, pour stimuler la consommation culturelle, arrive en bout de course. Ce système va imploser si on n'intervient pas massivement pour encourager la participation culturelle», dit-il en entrevue à La Presse.Constatant que certains publics sont imperméables à la culture, il dit craindre que se préparent des «fractures socioculturelles» dans les villes, dont Montréal.«Le Quartier des spectacles et la place des Festivals, c'est bien, mais c'est moins important pour l'avenir de la culture à Montréal, où l'offre est à 95 % blanche et francophone, que de faire le virage pour intéresser les autres à ce que l'on fait», croit-il.Devant la hausse de ces «non-publics», Simon Brault croit qu'une révision des politiques culturelles et du rôle de l'État s'impose.«Oui, l'économie est importante, dit-il, mais les politiques publiques aussi. Je suis très content que le maire s'occupe de la place des Festivals, mais si elle ne sert qu'à mettre en scène ce qu'on avait avant, c'est more of the same. Ça doit être une occasion d'aller chercher d'autres publics.»L'auteur pense qu'il faut encourager la rencontre entre publics et artistes, l'art public, les loisirs culturels et, surtout, un véhicule tout-terrain: l'art et la culture à l'école.«On ne les voit plus comme des choses fondamentales à l'école, déplore-t-il, mais comme périphériques, sauf pour certaines écoles à projet culturel. Toutes les écoles devraient avoir des projets culturels adaptés.»Par ailleurs, on a longtemps cru, ajoute-t-il, que la pratique de l'art amateur éloignait le public des artistes professionnels, mais on se rend compte qu'on avait tout faux.«Plus les gens ont un rapport personnel à la création, plus ils expérimentent le pouvoir de l'art et en redemandent. Malheureusement, on le valorise dans une logique commerciale. Star Académie c'est de la participation culturelle, mais dans un esprit de compétition et de star system uniquement, pas pour le plaisir de la création.» Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Lady Posté(e) 27 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Bouclette Posté(e) 27 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 Le livre s'appelle Le facteur C: l'avenir passe par la culture,Il vient tout juste d'être lancé. Vous risquez d'en entendre parlerIl pose plusieurs questions, dont une qui vous concerne: Pourquoi les immigrants ne s'intéressent pas à la culture? Pourquoi 95% des spectateurs sont blancs et francos?Je l'ignore. Mais s'agit de lire ce site pour voir qu'il a raison. Combien de messages ici sur la culture? Très peu. Rarissime. A l'occasion on va parler d'une émission de télé. Parfois un film. Un roman? Jamais. Pièce de théâtre? Jamais. Concert? Jamais.Alors pourquoi les immigrants n'aiment pas la culture?http://www.cyberpresse.ca/arts/livres/2009...ge-culturel.phpMario CloutierLa PresseSimon Brault lance un premier essai, Le facteur C: l'avenir passe par la culture, un plaidoyer en faveur de la participation culturelle. En entrevue exclusive à La Presse, cet acteur important de la culture à Montréal explique que le développement de l'offre n'est plus suffisant pour assurer l'avenir de la culture.Simon Brault porte trois chapeaux: directeur de l'École nationale de théâtre, vice-président du Conseil des arts du Canada et président de Culture Montréal. Toutes ses expériences lui ont servi pour écrire Le facteur C: l'avenir passe par la culture, un témoignage, une profession de foi et une invitation à la participation culturelle.Son constat: la culture est devenue un enjeu économique et politique. On le voit dans les investissements publics à Montréal et on le sent dans les campagnes électorales. Paradoxalement, malgré une offre abondante, certains publics s'absentent: les plus démunis, les jeunes et les communautés culturelles, notamment.Avec la nouvelle crise des finances publiques, les gouvernements se serreront la ceinture, et la culture écopera probablement au premier chef, dans les prochaines années. Il devient alors urgent de parer à ce qu'on peut appeler le «décrochage culturel».«Le modèle complètement pensé autour du développement de l'offre, pour stimuler la consommation culturelle, arrive en bout de course. Ce système va imploser si on n'intervient pas massivement pour encourager la participation culturelle», dit-il en entrevue à La Presse.Constatant que certains publics sont imperméables à la culture, il dit craindre que se préparent des «fractures socioculturelles» dans les villes, dont Montréal.«Le Quartier des spectacles et la place des Festivals, c'est bien, mais c'est moins important pour l'avenir de la culture à Montréal, où l'offre est à 95 % blanche et francophone, que de faire le virage pour intéresser les autres à ce que l'on fait», croit-il.Devant la hausse de ces «non-publics», Simon Brault croit qu'une révision des politiques culturelles et du rôle de l'État s'impose.«Oui, l'économie est importante, dit-il, mais les politiques publiques aussi. Je suis très content que le maire s'occupe de la place des Festivals, mais si elle ne sert qu'à mettre en scène ce qu'on avait avant, c'est more of the same. Ça doit être une occasion d'aller chercher d'autres publics.»L'auteur pense qu'il faut encourager la rencontre entre publics et artistes, l'art public, les loisirs culturels et, surtout, un véhicule tout-terrain: l'art et la culture à l'école.«On ne les voit plus comme des choses fondamentales à l'école, déplore-t-il, mais comme périphériques, sauf pour certaines écoles à projet culturel. Toutes les écoles devraient avoir des projets culturels adaptés.»Par ailleurs, on a longtemps cru, ajoute-t-il, que la pratique de l'art amateur éloignait le public des artistes professionnels, mais on se rend compte qu'on avait tout faux.«Plus les gens ont un rapport personnel à la création, plus ils expérimentent le pouvoir de l'art et en redemandent. Malheureusement, on le valorise dans une logique commerciale. Star Académie c'est de la participation culturelle, mais dans un esprit de compétition et de star system uniquement, pas pour le plaisir de la création.»Mon Dieu le Pieu Mensonge!C'est incroyable de mauvaise foi juste histoire de jeter le discrédit sur les immigrants dont on connait tous l'origine.Affligeant! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Sarkos Posté(e) 27 septembre 2009 Auteur Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 Le livre s'appelle Le facteur C: l'avenir passe par la culture,Il vient tout juste d'être lancé. Vous risquez d'en entendre parlerIl pose plusieurs questions, dont une qui vous concerne: Pourquoi les immigrants ne s'intéressent pas à la culture? Pourquoi 95% des spectateurs sont blancs et francos?Je l'ignore. Mais s'agit de lire ce site pour voir qu'il a raison. Combien de messages ici sur la culture? Très peu. Rarissime. A l'occasion on va parler d'une émission de télé. Parfois un film. Un roman? Jamais. Pièce de théâtre? Jamais. Concert? Jamais.Alors pourquoi les immigrants n'aiment pas la culture?http://www.cyberpresse.ca/arts/livres/2009...ge-culturel.phpMario CloutierLa PresseSimon Brault lance un premier essai, Le facteur C: l'avenir passe par la culture, un plaidoyer en faveur de la participation culturelle. En entrevue exclusive à La Presse, cet acteur important de la culture à Montréal explique que le développement de l'offre n'est plus suffisant pour assurer l'avenir de la culture.Simon Brault porte trois chapeaux: directeur de l'École nationale de théâtre, vice-président du Conseil des arts du Canada et président de Culture Montréal. Toutes ses expériences lui ont servi pour écrire Le facteur C: l'avenir passe par la culture, un témoignage, une profession de foi et une invitation à la participation culturelle.Son constat: la culture est devenue un enjeu économique et politique. On le voit dans les investissements publics à Montréal et on le sent dans les campagnes électorales. Paradoxalement, malgré une offre abondante, certains publics s'absentent: les plus démunis, les jeunes et les communautés culturelles, notamment.Avec la nouvelle crise des finances publiques, les gouvernements se serreront la ceinture, et la culture écopera probablement au premier chef, dans les prochaines années. Il devient alors urgent de parer à ce qu'on peut appeler le «décrochage culturel».«Le modèle complètement pensé autour du développement de l'offre, pour stimuler la consommation culturelle, arrive en bout de course. Ce système va imploser si on n'intervient pas massivement pour encourager la participation culturelle», dit-il en entrevue à La Presse.Constatant que certains publics sont imperméables à la culture, il dit craindre que se préparent des «fractures socioculturelles» dans les villes, dont Montréal.«Le Quartier des spectacles et la place des Festivals, c'est bien, mais c'est moins important pour l'avenir de la culture à Montréal, où l'offre est à 95 % blanche et francophone, que de faire le virage pour intéresser les autres à ce que l'on fait», croit-il.Devant la hausse de ces «non-publics», Simon Brault croit qu'une révision des politiques culturelles et du rôle de l'État s'impose.«Oui, l'économie est importante, dit-il, mais les politiques publiques aussi. Je suis très content que le maire s'occupe de la place des Festivals, mais si elle ne sert qu'à mettre en scène ce qu'on avait avant, c'est more of the same. Ça doit être une occasion d'aller chercher d'autres publics.»L'auteur pense qu'il faut encourager la rencontre entre publics et artistes, l'art public, les loisirs culturels et, surtout, un véhicule tout-terrain: l'art et la culture à l'école.«On ne les voit plus comme des choses fondamentales à l'école, déplore-t-il, mais comme périphériques, sauf pour certaines écoles à projet culturel. Toutes les écoles devraient avoir des projets culturels adaptés.»Par ailleurs, on a longtemps cru, ajoute-t-il, que la pratique de l'art amateur éloignait le public des artistes professionnels, mais on se rend compte qu'on avait tout faux.«Plus les gens ont un rapport personnel à la création, plus ils expérimentent le pouvoir de l'art et en redemandent. Malheureusement, on le valorise dans une logique commerciale. Star Académie c'est de la participation culturelle, mais dans un esprit de compétition et de star system uniquement, pas pour le plaisir de la création.»Mon Dieu le Pieu Mensonge!C'est incroyable de mauvaise foi juste histoire de jeter le discrédit sur les immigrants dont on connait tous l'origine.Affligeant!Tu es déjà allé à un concert de l'OSM? (c'est l'un des meilleurs orchestres au monde)La seule minorité visible (en québécois ça veut dire des non-blancs) c'est le chef! Chef qui est américain.Au théâtre? 95% sont des blancs-francos.Au Festival de l'humour? 99% des blancs-francos (t'as qu'à regarder les émissions à la télé, on nous montre la foule)Au théâtre? 95% des blancs-francos Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués petitefleur Posté(e) 27 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 Alors pourquoi les immigrants n'aiment pas la culture? Les immigrants aiment la culture , mais ils n'y accedent pas (ou trop peu) , - parce qu'ils ont d'autres priorités vitales : trouver un job, apprendre le français et l'anglais, étudier pour obtenir un diplome quebecois, réseauter , comprendre leur environnement social, economique, institutionnel ,etc ...- parce qu'ils ont d'autres postes de depenses à integrer dans leur budget : billets d'avion , formations professionnelles quebecoises , nourriture etrangere hypertaxée, argent à envoyer au pays , etc ...L'immigrant qui arrive au quebec recommence tout à zero , il en est au même stade qu'un jeune quebecois de 16/18 ans ; donc forcement , il y aura toujours un decalage entre un immigrant et un quebecois du même âge. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués E.Nia Posté(e) 27 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 Le livre s'appelle Le facteur C: l'avenir passe par la culture,Il vient tout juste d'être lancé. Vous risquez d'en entendre parlerIl pose plusieurs questions, dont une qui vous concerne: Pourquoi les immigrants ne s'intéressent pas à la culture? Pourquoi 95% des spectateurs sont blancs et francos?Je l'ignore. Mais s'agit de lire ce site pour voir qu'il a raison. Combien de messages ici sur la culture? Très peu. Rarissime. A l'occasion on va parler d'une émission de télé. Parfois un film. Un roman? Jamais. Pièce de théâtre? Jamais. Concert? Jamais.Alors pourquoi les immigrants n'aiment pas la culture?http://www.cyberpresse.ca/arts/livres/2009...ge-culturel.phpMario CloutierLa PresseSimon Brault lance un premier essai, Le facteur C: l'avenir passe par la culture, un plaidoyer en faveur de la participation culturelle. En entrevue exclusive à La Presse, cet acteur important de la culture à Montréal explique que le développement de l'offre n'est plus suffisant pour assurer l'avenir de la culture.Simon Brault porte trois chapeaux: directeur de l'École nationale de théâtre, vice-président du Conseil des arts du Canada et président de Culture Montréal. Toutes ses expériences lui ont servi pour écrire Le facteur C: l'avenir passe par la culture, un témoignage, une profession de foi et une invitation à la participation culturelle.Son constat: la culture est devenue un enjeu économique et politique. On le voit dans les investissements publics à Montréal et on le sent dans les campagnes électorales. Paradoxalement, malgré une offre abondante, certains publics s'absentent: les plus démunis, les jeunes et les communautés culturelles, notamment.Avec la nouvelle crise des finances publiques, les gouvernements se serreront la ceinture, et la culture écopera probablement au premier chef, dans les prochaines années. Il devient alors urgent de parer à ce qu'on peut appeler le «décrochage culturel».«Le modèle complètement pensé autour du développement de l'offre, pour stimuler la consommation culturelle, arrive en bout de course. Ce système va imploser si on n'intervient pas massivement pour encourager la participation culturelle», dit-il en entrevue à La Presse.Constatant que certains publics sont imperméables à la culture, il dit craindre que se préparent des «fractures socioculturelles» dans les villes, dont Montréal.«Le Quartier des spectacles et la place des Festivals, c'est bien, mais c'est moins important pour l'avenir de la culture à Montréal, où l'offre est à 95 % blanche et francophone, que de faire le virage pour intéresser les autres à ce que l'on fait», croit-il.Devant la hausse de ces «non-publics», Simon Brault croit qu'une révision des politiques culturelles et du rôle de l'État s'impose.«Oui, l'économie est importante, dit-il, mais les politiques publiques aussi. Je suis très content que le maire s'occupe de la place des Festivals, mais si elle ne sert qu'à mettre en scène ce qu'on avait avant, c'est more of the same. Ça doit être une occasion d'aller chercher d'autres publics.»L'auteur pense qu'il faut encourager la rencontre entre publics et artistes, l'art public, les loisirs culturels et, surtout, un véhicule tout-terrain: l'art et la culture à l'école.«On ne les voit plus comme des choses fondamentales à l'école, déplore-t-il, mais comme périphériques, sauf pour certaines écoles à projet culturel. Toutes les écoles devraient avoir des projets culturels adaptés.»Par ailleurs, on a longtemps cru, ajoute-t-il, que la pratique de l'art amateur éloignait le public des artistes professionnels, mais on se rend compte qu'on avait tout faux.«Plus les gens ont un rapport personnel à la création, plus ils expérimentent le pouvoir de l'art et en redemandent. Malheureusement, on le valorise dans une logique commerciale. Star Académie c'est de la participation culturelle, mais dans un esprit de compétition et de star system uniquement, pas pour le plaisir de la création.»Sans doute parce qu'on est tous des gros niais incultes face à la supprématie de la race québécoise?ok, je sors... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Lady Posté(e) 27 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 Moi, j'ai pas mal compris le topic de sarkos.érje pense qu'il adresse la question aux adhérents de ce forum. je ne pense pas qu'elle est adressé aux qui sont déjà installés au Québec.L'article critique les autorités qui ne tiennent pas en considération, lors de la préparation des évènements, l'intégration des cultures des autres communautés (cette idée est clairement exprimée) et le peu d'occasions donner aux artistes amateurs à présenter leur savoir faire.A la question "pourquoi les immigrants ne s'intéresse pas à la culture", et comme il a indiqué: on parle pas de romans, de théâtre, de film, je répondrai, que puisqu'on est sur un forum d'entraide pour réaliser un projet aussi important qu'est le changement de pays, tout le monde ici à des questions à poser et des soucis à exposer, on cherche des solutions aux difficultés qu'on rencontre et on partage ses expériences avec les autres. Personnellement, j'ai des amis déjà installés et ils sont branché avec la plupart des évènements culturels tout en étudiant, travaillant et apprenant de nouvelles choses. Les premiers temps, on n'est certainement hyper occupé pour allez faire un tour au musée ou voir un concert mais par la suite on s'habitue au mode de vie et on s'intéresse aux évènements culturels. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Mowgli Posté(e) 27 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 Tu es déjà allé à un concert de l'OSM? (c'est l'un des meilleurs orchestres au monde)La seule minorité visible (en québécois ça veut dire des non-blancs) c'est le chef! Chef qui est américain.Au théâtre? 95% sont des blancs-francos.Au Festival de l'humour? 99% des blancs-francos (t'as qu'à regarder les émissions à la télé, on nous montre la foule)Au théâtre? 95% des blancs-francosEt au francofolies de Montréal, au concert d'ouverture, devine de quelle couleur était majoritairement la foule? Pas blanche en tout cas, et c'était bien le fun! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Sarkos Posté(e) 27 septembre 2009 Auteur Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 Alors pourquoi les immigrants n'aiment pas la culture?Les immigrants aiment la culture , mais ils n'y accedent pas (ou trop peu) , - parce qu'ils ont d'autres priorités vitales : trouver un job, apprendre le français et l'anglais, étudier pour obtenir un diplome quebecois, réseauter , comprendre leur environnement social, economique, institutionnel ,etc ...- parce qu'ils ont d'autres postes de depenses à integrer dans leur budget : billets d'avion , formations professionnelles quebecoises , nourriture etrangere hypertaxée, argent à envoyer au pays , etc ...L'immigrant qui arrive au quebec recommence tout à zero , il en est au même stade qu'un jeune quebecois de 16/18 ans ; donc forcement , il y aura toujours un decalage entre un immigrant et un quebecois du même âge.Mais après 5 ans tout ça est réglé en principeUn tas de Québécois s'intéressent au Jazz ou à la danse latine. Mais combien d'immigrants s'intéressent au théâtre québécois? C'est un peu ca la question soulevéeOn a le même problème avec l'homosexualité. Les immigrants ont beaucoup de problèmes à accepter l'homosexualité, tellement que les groupes gays ont eu des subventions pour expliquer aux immigrants ce qu'ils sont. On en revient à la culture du nouvel arrivant et à sa difficulté d'intégrer la culture la locale Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués juetben Posté(e) 27 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 blanc franco... donc tout ce qui n'est pas blanc franco est immigrant et tout ce qui l'est n'est pas immigrant...belle vision des choses... bref un bel exposé sur le racisme basé sur l'apparence des personnes, l'origine ethnique... bref les idées d'un pauvre raciste de base tel que tu es!!!au fait je suis blanc franco et je ne vais pas au théatre, je ne vais pas voir l'osm, je ne vais pas courrir les festivals... et tu sais pourquoi parce que je n'en ai tout simplement rien a foutre de tout ça... je manque de culture?? et oui si tu le dis mais je vais voir les courses de bateaux dragons, je vais m'amuser a valcartier en hiver et en été, je vais à la coupe du monde de vélo de montagne à bromont... donc continues de juger le monde uniquement sur les apparences et tes préjugés tu fais ça si bien!!! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 27 septembre 2009 Share Posté(e) 27 septembre 2009 Tu es déjà allé à un concert de l'OSM? (c'est l'un des meilleurs orchestres au monde)La seule minorité visible (en québécois ça veut dire des non-blancs) c'est le chef! Chef qui est américain.Au théâtre? 95% sont des blancs-francos.Au Festival de l'humour? 99% des blancs-francos (t'as qu'à regarder les émissions à la télé, on nous montre la foule)Au théâtre? 95% des blancs-francosAh ok donc immigrant = pas blanc et pas francophone ? Belle ouverture d'esprit mon Sarkos, tu portes bien ton pseudo T'as fait un sondage pour savoir s'où venaient les gens dans la foule ? Non parce que moi je te dis que je connais aussi un sacré PAQUET de Québécois qui ne vont jamais ni à l'OSM ni au théâtre hein On y a va pas parce qu'on est Québécois, blanc et francophone mais parce qu'on aime ça !Pigkiller : on a dû se croiser à un sacré paquet de courses de bateau-dragon alors Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués juetben Posté(e) 27 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 Tu es déjà allé à un concert de l'OSM? (c'est l'un des meilleurs orchestres au monde)La seule minorité visible (en québécois ça veut dire des non-blancs) c'est le chef! Chef qui est américain.Au théâtre? 95% sont des blancs-francos.Au Festival de l'humour? 99% des blancs-francos (t'as qu'à regarder les émissions à la télé, on nous montre la foule)Au théâtre? 95% des blancs-francosAh ok donc immigrant = pas blanc et pas francophone ? Belle ouverture d'esprit mon Sarkos, tu portes bien ton pseudo T'as fait un sondage pour savoir s'où venaient les gens dans la foule ? Non parce que moi je te dis que je connais aussi un sacré PAQUET de Québécois qui ne vont jamais ni à l'OSM ni au théâtre hein On y a va pas parce qu'on est Québécois, blanc et francophone mais parce qu'on aime ça !Pigkiller : on a dû se croiser à un sacré paquet de courses de bateau-dragon alors peut être et sans doute même sur un sentier de Sutton ou du Mont Mégantic, et une piste de bromont un soir de ski!!! mais nous on est sauvé on est blanc franco... donc la culturation ça nous connait!!! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués le_spleen Posté(e) 27 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 Combien de messages ici sur la culture? Très peu. Rarissime. A l'occasion on va parler d'une émission de télé. Parfois un film. Un roman? Jamais. Pièce de théâtre? Jamais. Concert? Jamais.On parle surtout de médecine, RAMQ et des québécois qui doivent supporter les vrais de santé des immigrants. :lol: Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Bouclette Posté(e) 27 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 C'est vrai je ne suis jamais allée à un festival pour rire, je ne dois pas avoir beaucoup le sens de l'humour. Par contre, aussi bronzée que je sois, les concert de jazz, de musique classique, de rock, l'opéra, le cinéma et le théâtre, ça me connaît très bien.Mais pour toi, je manque de culture Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 27 septembre 2009 Share Posté(e) 27 septembre 2009 peut être et sans doute même sur un sentier de Sutton ou du Mont Mégantic, et une piste de bromont un soir de ski!!! mais nous on est sauvé on est blanc franco... donc la culturation ça nous connait!!!Ouais Pis on est plutôt tranquille puisque pendant qu'on skie tranquille le soir, tous les Québécois sont à l'OSM Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués juetben Posté(e) 27 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 peut être et sans doute même sur un sentier de Sutton ou du Mont Mégantic, et une piste de bromont un soir de ski!!! mais nous on est sauvé on est blanc franco... donc la culturation ça nous connait!!!Ouais Pis on est plutôt tranquille puisque pendant qu'on skie tranquille le soir, tous les Québécois sont à l'OSM ben pas tous juste les quebecois blancs et francos... Ah ben c'est vrai les autres c'est pas des québecois c'est des immigrants sans culturation hein sarkos!!! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Afromento Posté(e) 27 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 Le livre s'appelle Le facteur C: l'avenir passe par la culture,Il vient tout juste d'être lancé. Vous risquez d'en entendre parlerIl pose plusieurs questions, dont une qui vous concerne: Pourquoi les immigrants ne s'intéressent pas à la culture? Pourquoi 95% des spectateurs sont blancs et francos?Je l'ignore. Mais s'agit de lire ce site pour voir qu'il a raison. Combien de messages ici sur la culture? Très peu. Rarissime. A l'occasion on va parler d'une émission de télé. Parfois un film. Un roman? Jamais. Pièce de théâtre? Jamais. Concert? Jamais.Alors pourquoi les immigrants n'aiment pas la culture?http://www.cyberpresse.ca/arts/livres/2009...ge-culturel.phpMario CloutierLa PresseSimon Brault lance un premier essai, Le facteur C: l'avenir passe par la culture, un plaidoyer en faveur de la participation culturelle. En entrevue exclusive à La Presse, cet acteur important de la culture à Montréal explique que le développement de l'offre n'est plus suffisant pour assurer l'avenir de la culture.Simon Brault porte trois chapeaux: directeur de l'École nationale de théâtre, vice-président du Conseil des arts du Canada et président de Culture Montréal. Toutes ses expériences lui ont servi pour écrire Le facteur C: l'avenir passe par la culture, un témoignage, une profession de foi et une invitation à la participation culturelle.Son constat: la culture est devenue un enjeu économique et politique. On le voit dans les investissements publics à Montréal et on le sent dans les campagnes électorales. Paradoxalement, malgré une offre abondante, certains publics s'absentent: les plus démunis, les jeunes et les communautés culturelles, notamment.Avec la nouvelle crise des finances publiques, les gouvernements se serreront la ceinture, et la culture écopera probablement au premier chef, dans les prochaines années. Il devient alors urgent de parer à ce qu'on peut appeler le «décrochage culturel».«Le modèle complètement pensé autour du développement de l'offre, pour stimuler la consommation culturelle, arrive en bout de course. Ce système va imploser si on n'intervient pas massivement pour encourager la participation culturelle», dit-il en entrevue à La Presse.Constatant que certains publics sont imperméables à la culture, il dit craindre que se préparent des «fractures socioculturelles» dans les villes, dont Montréal.«Le Quartier des spectacles et la place des Festivals, c'est bien, mais c'est moins important pour l'avenir de la culture à Montréal, où l'offre est à 95 % blanche et francophone, que de faire le virage pour intéresser les autres à ce que l'on fait», croit-il.Devant la hausse de ces «non-publics», Simon Brault croit qu'une révision des politiques culturelles et du rôle de l'État s'impose.«Oui, l'économie est importante, dit-il, mais les politiques publiques aussi. Je suis très content que le maire s'occupe de la place des Festivals, mais si elle ne sert qu'à mettre en scène ce qu'on avait avant, c'est more of the same. Ça doit être une occasion d'aller chercher d'autres publics.»L'auteur pense qu'il faut encourager la rencontre entre publics et artistes, l'art public, les loisirs culturels et, surtout, un véhicule tout-terrain: l'art et la culture à l'école.«On ne les voit plus comme des choses fondamentales à l'école, déplore-t-il, mais comme périphériques, sauf pour certaines écoles à projet culturel. Toutes les écoles devraient avoir des projets culturels adaptés.»Par ailleurs, on a longtemps cru, ajoute-t-il, que la pratique de l'art amateur éloignait le public des artistes professionnels, mais on se rend compte qu'on avait tout faux.«Plus les gens ont un rapport personnel à la création, plus ils expérimentent le pouvoir de l'art et en redemandent. Malheureusement, on le valorise dans une logique commerciale. Star Académie c'est de la participation culturelle, mais dans un esprit de compétition et de star system uniquement, pas pour le plaisir de la création.»Encore un livre qui veut se faire vendre.... Ah le merketing et ses rouages ... on en a à gaver... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Afromento Posté(e) 27 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 27 septembre 2009 peut être et sans doute même sur un sentier de Sutton ou du Mont Mégantic, et une piste de bromont un soir de ski!!! mais nous on est sauvé on est blanc franco... donc la culturation ça nous connait!!!Ouais Pis on est plutôt tranquille puisque pendant qu'on skie tranquille le soir, tous les Québécois sont à l'OSM ben pas tous juste les quebecois blancs et francos... Ah ben c'est vrai les autres c'est pas des québecois c'est des immigrants sans culturation hein sarkos!!!ahahahaha ... franchement j'admire .. vous êtes forts Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués hadi2727 Posté(e) 28 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 28 septembre 2009 (modifié) Le livre s'appelle Le facteur C: l'avenir passe par la culture,Il vient tout juste d'être lancé. Vous risquez d'en entendre parlerIl pose plusieurs questions, dont une qui vous concerne: Pourquoi les immigrants ne s'intéressent pas à la culture? Pourquoi 95% des spectateurs sont blancs et francos?Je l'ignore. Mais s'agit de lire ce site pour voir qu'il a raison. Combien de messages ici sur la culture? Très peu. Rarissime. A l'occasion on va parler d'une émission de télé. Parfois un film. Un roman? Jamais. Pièce de théâtre? Jamais. Concert? Jamais.Alors pourquoi les immigrants n'aiment pas la culture?http://www.cyberpresse.ca/arts/livres/2009...ge-culturel.phpMario CloutierLa PresseSimon Brault lance un premier essai, Le facteur C: l'avenir passe par la culture, un plaidoyer en faveur de la participation culturelle. En entrevue exclusive à La Presse, cet acteur important de la culture à Montréal explique que le développement de l'offre n'est plus suffisant pour assurer l'avenir de la culture.Simon Brault porte trois chapeaux: directeur de l'École nationale de théâtre, vice-président du Conseil des arts du Canada et président de Culture Montréal. Toutes ses expériences lui ont servi pour écrire Le facteur C: l'avenir passe par la culture, un témoignage, une profession de foi et une invitation à la participation culturelle.Son constat: la culture est devenue un enjeu économique et politique. On le voit dans les investissements publics à Montréal et on le sent dans les campagnes électorales. Paradoxalement, malgré une offre abondante, certains publics s'absentent: les plus démunis, les jeunes et les communautés culturelles, notamment.Avec la nouvelle crise des finances publiques, les gouvernements se serreront la ceinture, et la culture écopera probablement au premier chef, dans les prochaines années. Il devient alors urgent de parer à ce qu'on peut appeler le «décrochage culturel».«Le modèle complètement pensé autour du développement de l'offre, pour stimuler la consommation culturelle, arrive en bout de course. Ce système va imploser si on n'intervient pas massivement pour encourager la participation culturelle», dit-il en entrevue à La Presse.Constatant que certains publics sont imperméables à la culture, il dit craindre que se préparent des «fractures socioculturelles» dans les villes, dont Montréal.«Le Quartier des spectacles et la place des Festivals, c'est bien, mais c'est moins important pour l'avenir de la culture à Montréal, où l'offre est à 95 % blanche et francophone, que de faire le virage pour intéresser les autres à ce que l'on fait», croit-il.Devant la hausse de ces «non-publics», Simon Brault croit qu'une révision des politiques culturelles et du rôle de l'État s'impose.«Oui, l'économie est importante, dit-il, mais les politiques publiques aussi. Je suis très content que le maire s'occupe de la place des Festivals, mais si elle ne sert qu'à mettre en scène ce qu'on avait avant, c'est more of the same. Ça doit être une occasion d'aller chercher d'autres publics.»L'auteur pense qu'il faut encourager la rencontre entre publics et artistes, l'art public, les loisirs culturels et, surtout, un véhicule tout-terrain: l'art et la culture à l'école.«On ne les voit plus comme des choses fondamentales à l'école, déplore-t-il, mais comme périphériques, sauf pour certaines écoles à projet culturel. Toutes les écoles devraient avoir des projets culturels adaptés.»Par ailleurs, on a longtemps cru, ajoute-t-il, que la pratique de l'art amateur éloignait le public des artistes professionnels, mais on se rend compte qu'on avait tout faux.«Plus les gens ont un rapport personnel à la création, plus ils expérimentent le pouvoir de l'art et en redemandent. Malheureusement, on le valorise dans une logique commerciale. Star Académie c'est de la participation culturelle, mais dans un esprit de compétition et de star system uniquement, pas pour le plaisir de la création.»Mon Dieu le Pieu Mensonge!C'est incroyable de mauvaise foi juste histoire de jeter le discrédit sur les immigrants dont on connait tous l'origine.Affligeant!Tu es déjà allé à un concert de l'OSM? (c'est l'un des meilleurs orchestres au monde)La seule minorité visible (en québécois ça veut dire des non-blancs) c'est le chef! Chef qui est américain.Au théâtre? 95% sont des blancs-francos.Au Festival de l'humour? 99% des blancs-francos (t'as qu'à regarder les émissions à la télé, on nous montre la foule)Au théâtre? 95% des blancs-francosslt Sarkoman...tu sais que les goûts et couleur ne se discutent pas... Nb : J'ai assisté à un concert de music country et rock and roll pour te faire plaisir Modifié 28 septembre 2009 par hadi2727 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués petiboudange Posté(e) 28 septembre 2009 Habitués Share Posté(e) 28 septembre 2009 A la question "pourquoi les immigrants ne s'intéresse pas à la culture", et comme il a indiqué: on parle pas de romans, de théâtre, de film, je répondrai, que puisqu'on est sur un forum d'entraide pour réaliser un projet aussi important qu'est le changement de pays, tout le monde ici à des questions à poser et des soucis à exposer, on cherche des solutions aux difficultés qu'on rencontre et on partage ses expériences avec les autres.Vraiment?Et quid de ce fil-ci:http://www.forum.immigrer.com/index.php?showtopic=73975Et celui-là: http://www.forum.immigrer.com/index.php?showtopic=88504Celui-là alors: http://www.forum.immigrer.com/index.php?showtopic=90162 (bon ok faut aimer mais n'empêche)Ou encore celui-ci: http://www.forum.immigrer.com/index.php?showtopic=81841Ok c'est peu mais ce n'est pas rien. Ok on pourrait faire plus mais perso je n'allais déjà plus au théâtre en France depuis que j'ai quitté le secondaire, je ne suis allée que 5 fois à l'opéra en 27 ans de vie et vous savez quoi, les 3 premières j'étais au primaire. Oui je vais au musée mais pas tous les jours non plus. Non je n'ai pas participé aux journées de la culture mais oui je suis allée à la nuit blanche sur tableau noir, oui je suis allée au festival de jazz, oui je suis passée aux franco...Et puis la Culture, avec ce grand C, c'est aussi le vocabulaire qu'on intègre, les coutumes qu'on apprend, les traditions qu'on fait siennes (épluchette de blé d'inde, les pommes, eh oui même la boîte à lunch c'est une part de la culture québécoise), c'est pas juste les arts académiques de toute façon. Et de là à dire que les immigrants ne consomment pas de culture, c'est un raccourci au moins aussi facile et sympathique que de dire que de toute façon les québécois sont tous des gros niais parce qu'ils n'ont majoritairement quitté leur pays que pour aller aux États ou dans le Sud. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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