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partir sans avoir visiter?


totox26

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  • Habitués

Au debut, nous voulions partir sans faire de voyage. J'étais deja allé au Québec 10 ans plus tôt, ma femme ne connaissait pas. Nous avons quand même decidé un voyage d'une 10aine de jours pour voir.Ma femme a decouvert, j'ai observé beaucoup de changement en 10 ans, c'est bien normal ! Nous avons essayer de ne pas faire les "touristes" et nous avons essayer plutôt de vivre comme si nous étions installés, le travail en moins bien sûr ! Nous ne regrettons pas puisque nous avons aussi pris des contacts sur place avec notre ordre professionnel et cela fait une bonne difference pour la planification de notre expedition finale. Pourtant, je comprend l'envie de partir loin sans "essayer" avant. C'est drôle parfois les choses quand on y pense. Il y a 400 ans, des hommes et des femmes partaient vers des pays inconnus, avec un voyage de plusieurs mois en bateau. Beaucoup ne voyaient même pas la terre promise. Et pourtant ils partaient, laissant le peu qu'ils avaient pour esperer plus .Aujourd'hui, on est à 8 heures d'avion, on a internet, on est documenté comme pas possible et il parrait dingue de partir "sans voir avant" !

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  • Habitués

Nous , nous avions visité avant de faire nos démarches d'immigration .

Mais je ne pense pas que cela soit indispensable . C'est un plus c'est sur ,ca permet de se faire une meilleure idée du pays qui nous acceuillera .

Cependant , il est difficile d'imaginer de quoi sera faite notre nouvelle vie et ce même en venant ici en tant que touriste au par avant . On est jamais totalement préparé à ce qui nous attend , des vacances différent beaucoup de la '' véritable vie qui nous attend '' . On apprend réellement une fois sur place , lorsque tout est mis en route .

Enfin , voila mon avis .

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  • Habitués
Il y a 400 ans, des hommes et des femmes partaient vers des pays inconnus, avec un voyage de plusieurs mois en bateau. Beaucoup ne voyaient même pas la terre promise. Et pourtant ils partaient, laissant le peu qu'ils avaient pour esperer plus .Aujourd'hui, on est à 8 heures d'avion, on a internet, on est documenté comme pas possible et il parrait dingue de partir "sans voir avant" !

Tout a fait. Et en plus c'etait en general en aller simple pour nos ancetres partis au Quebe ou ailleurs. L'immigration comporte toujours une certaine prise de risques. Le fait d'y "aller en avant" ne donnera jamais une vision complete et realiste des choses, quoiqu'on en dise.

Pour ma part, je suis arrivee a Vancouver sans y etre jamais allee auparavant. J'etais allee en Ontario et au Quebec, qui sont des provinces tres differentes de la CB. Je ne regrette pas mon choix.

Je pense que globalement j'aurai ete dans le meme etat d'esprit et probablement vecu les memes choses que si j'avais ete a Toronto ou a Montreal. Ce que je veux dire c'est que, ou que l'on soit, on passe tous par les memes etapes d'euphorie, puis de choc culturel, d'adaptation etc...

Stephanie.

Modifié par blueberry4579
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  • Habitués
Ce que je veux dire c'est que, ou que l'on soit, on passe tous par les memes etapes d'euphorie, puis de choc culturel, d'adaptation etc...

Stephanie.

Je n'ai eu pas eu de phase d'euphorie, ni de choc culturel... probablement du au fait que je me suis installé à Montréal avec une native (après y avoir passé 1 mois de vacances). La visite de la terre d'accueil n'est pas primordiale. Elle permet simplement à l'esprit d'avoir un [premier] contact concrêt avec le projet d'immigration.

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  • Habitués
Je n'ai eu pas eu de phase d'euphorie, ni de choc culturel... probablement du au fait que je me suis installé à Montréal avec une native (après y avoir passé 1 mois de vacances). La visite de la terre d'accueil n'est pas primordiale. Elle permet simplement à l'esprit d'avoir un [premier] contact concrêt avec le projet d'immigration.

Selon les situations personnelles de chacun, ces phases sont plus ou moins apparentes et rapides, mais elles existent. Il y a toujours un temps d'adaptation a un nouveau pays. Selon les circonstances de chacun, c'est ressenti de maniere plus ou moins forte.

Stephanie.

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  • Habitués
Je n'ai eu pas eu de phase d'euphorie, ni de choc culturel... probablement du au fait que je me suis installé à Montréal avec une native (après y avoir passé 1 mois de vacances). La visite de la terre d'accueil n'est pas primordiale. Elle permet simplement à l'esprit d'avoir un [premier] contact concrêt avec le projet d'immigration.

Selon les situations personnelles de chacun, ces phases sont plus ou moins apparentes et rapides, mais elles existent. Il y a toujours un temps d'adaptation a un nouveau pays. Selon les circonstances de chacun, c'est ressenti de maniere plus ou moins forte.

Stephanie.

Tu sais que j'aime te taquiner avec çà mais pourquoi tu voudrais que vivent tous un choc ... un choc culturel j'en ai connu un quand je suis allé immigrer en pologne juste à la fin du règne de jaruzelski et entre ma petite bretagne et le fin fond des cités ouvrières polonaises là je l'ai eu . mais ici rien , le seul choc que j'ai eu c'est de voir à quel point j'étais devenu sauvage au bout de 2 ans :lol:

mais comme tu dis on est unique et chacun ressent ses émotions et ses découvertes à sa façon et je croit que c'est çà être humain ;)

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  • Habitués

Moi je suis à la fin de mon séjour de découverte du québec...et très honnêtement, je dois avouer que je ne regrette absolument pas ma décision. Cette visite m'a permis de me reposer autrement les questions auquelles je croyais avoir déjà répondu. De nature, je suis assez réticente aux changements ds mon environnement, càd que je suis du genre à me faire mes petites habitudes. Du coup j'ai mieux réalisé le dépaysement que représente une immigration comme celle-ci, où tout, de l'architecture, des routes, de l'accent, des programmes télé (et leurs pubs intempestives), la bouffe etc où tout est absolument différent. Il faut s'y refaire. Et puis je vais retourner ds mon environnement habituel et je vais à nouveau revoir et revivre tout ce qui m'y énerve, et je sais que je réaliserai ainsi mieux ma décision.

Mais vraiment ce voyage aura été important et nécessaire pour moi pour me faire ma propre idée.

Au fait, je trouve les québécois et canadiens du roc que j'ai rencontré absolument sympa et très chaleureux de façon général. Très bonne surprise!!! :)

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  • Habitués

bonjour , c'est mon cas je suis arriver au québec depuis le 5 avril 2008 et je n'y avait jamais mis les pieds,celà va faire cela va faire 5 mois que nous y sommes et ce n'est que du bonheur ,nous avons trouver du travail très rapidement et tout va pour le mieux,d'ailleurs depuis notre arrivée je n'avais pas encore eu le temps de revenir sur immigrer.comdésolé pour le retard mais me voici je suis de retour bonne chance pour la suite

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Il y a 400 ans, des hommes et des femmes partaient vers des pays inconnus, avec un voyage de plusieurs mois en bateau. Beaucoup ne voyaient même pas la terre promise. Et pourtant ils partaient, laissant le peu qu'ils avaient pour esperer plus .Aujourd'hui, on est à 8 heures d'avion, on a internet, on est documenté comme pas possible et il parrait dingue de partir "sans voir avant" !

Il faut savoir que le Québec a eu très peu d'immigration au temps de la Nouvelle France.

Les personnes migrantes étaient de plusieurs types : des soldats (engagés les fameux "36 mois") (15%), des petites gens (70%), des élites (15%).

On estime le taux de retour à 70%, auquel il faut rajouter les élites qui rentrèrent en France en 1763 après le traité de Paris.

La politique française n'a jamais été au peuplement de la Nouvelle France, mis à part sous Talon (en 1665 on comptait 3215) : il y a eu environ 4000 engagés mais la moitié à 2/3 sont revenus en France. Au XVII siècle la colonie française comptait 15 000 personnes contre 450 000 dans les 13 colonies autonomes.

(c'était la minute Marcel Trudel)

Je pense, ce n'est que mon avis personnel, qu'il est "nécessaire" de venir en repérage : le climat, la manière de vivre (même si en repérage ce n'est pas la même chose), plein de facteurs sont totalement différents, et la chute peut être rude ... ou non.

Ensuite certes il y a des gens qui s'y sont fait très bien, qui ont une capacité d'adaptation excellente alors :-)

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  • Habitués
Ensuite certes il y a des gens qui s'y sont fait très bien, qui ont une capacité d'adaptation excellente alors :-)

Je ne crois pas de capacité d'adaptation mais juste il faut analyser si on est fait pour çà ou pas . entre partir et vivre , il y a une différence . Dire je partir tout le monde peux le faire, mais vivre ailleurs changer ses repères çà peut faire peur à beaucoup.

On a tous de trais de caractères et il faut pas lutter contre .

je prends un exemple : j'aime pas la ville çà me rend énerver et bien je n'irais pas habiter en ville . donc il y a en a bien n'aime pas le changement ou que le changement les inquiète ou les stresse , alors je leur dirais de pas y aller

lutter contre notre nature nous rattrape un jour

@+

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  • Habitués
Ensuite certes il y a des gens qui s'y sont fait très bien, qui ont une capacité d'adaptation excellente alors :-)

Je ne crois pas de capacité d'adaptation mais juste il faut analyser si on est fait pour çà ou pas . entre partir et vivre , il y a une différence . Dire je partir tout le monde peux le faire, mais vivre ailleurs changer ses repères çà peut faire peur à beaucoup.

On a tous de trais de caractères et il faut pas lutter contre .

je prends un exemple : j'aime pas la ville çà me rend énerver et bien je n'irais pas habiter en ville . donc il y a en a bien n'aime pas le changement ou que le changement les inquiète ou les stresse , alors je leur dirais de pas y aller

lutter contre notre nature nous rattrape un jour

@+

Oui et non, tout est dans la philosophie de vie. Je suis une angoissée de nature mais l,immigration m'a permis de prendre beaucoup de recul par rapport à pleins de choses. Ma vie a changé, mes priorités aussi.

Immigrer a été très bénéfique pour notre couple, on s'engueule beaucoup moins qu'avant, pour d'autres, ce sera l'effet inverse. Bref, je crois que les changements sont souhaitables dans une vie car c'est ça qui te fais avancer. D'ailleurs, ceux qui sont incapables de faire face au changement n'envisageront JAMAIS d'immigrer. Après, avoir peur, me semble normal et c'est toujours cool d'aller jusqu'au bout.

Si j'avais un conseil à donner, ce serait : à partir du moment où tu lances le dossier d'immigration, c,est que tu as pesé les pour et les contre et donc, va jusqu'au bout sans JAMAIS remettre en question ton projet sinon tu risques fort de flancher. On réfléchit avant. That's it, that's all.

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  • Habitués
Immigrer a été très bénéfique pour notre couple, on s'engueule beaucoup moins qu'avant, pour d'autres, ce sera l'effet inverse.

Nous aussi depuis que mon mari est a Montreal et que je suis toujours en France on s'engueule moins qu'avant ;)

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  • Habitués
Tu sais que j'aime te taquiner avec çà mais pourquoi tu voudrais que vivent tous un choc ... un choc culturel j'en ai connu un quand je suis allé immigrer en pologne juste à la fin du règne de jaruzelski et entre ma petite bretagne et le fin fond des cités ouvrières polonaises là je l'ai eu . mais ici rien , le seul choc que j'ai eu c'est de voir à quel point j'étais devenu sauvage au bout de 2 ans :lol:

mais comme tu dis on est unique et chacun ressent ses émotions et ses découvertes à sa façon et je croit que c'est çà être humain ;)

Je sais que tu aimes me taquiner.

Mais ce n'est pas moi qui est invente cette expression de choc culturel. D'ailleurs, le mot n'est pas le plus approprie en fait. Car cela ne ressemble pas a un choc en fait comme j'en ai longuement parle dans ma chronique intitulee....choc culturel!

Stephanie.

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  • Habitués

Moi je pense que tout depend des personnalitées.

Nous avons immigrer, mon mari, mes 3 trois enfants et moi, l'année dernière sans avoir fait un voyage au Canada avant,on est arrivé d'abord au Québec puis apres 10 mois , on est parti en Nouvelle-écosse ( suite à un job plus interessant pour moi, et aussi parce que les ROC nous attiraient plus) et on ne regrette absolument pas notre choix.

Je ne pense pas qu'un voyage de 15 jours, au prealabe, nous aurai apporté quelque chose de plus que lorsque nous sommes arrivés l'année derniere.

Notre choix etaient pris et puis si on ne se serai pas plut ici on aurai été voir ailleurs.

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