Habitués Curieuse Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 (modifié) Des juifs hassidiques traînent Val-Morin en Cour suprêmePresse CanadienneMontréalLa communauté juive hassidique de Val-Morin, dans les Laurentides, qui conteste des règlements municipaux de zonage l'obligeant à cesser d'utiliser deux de ses chalets comme synagogue et école, porte sa cause devant la Cour suprême du Canada.Les bâtiments qui hébergent la synagogue et l'école sont situés sur des terrains résidentiels.En avril dernier, la Cour d'appel du Québec avait confirmé une décision antérieure de la Cour supérieure du Québec qui donnait raison à la Ville, en stipulant que le règlement municipal est clair et que les édifices ne sont pas conformes aux règlements de zonage locaux.La municipalité fait aussi valoir que la communauté hassidique a menti au sujet de l'utilisation des chalets lorsqu'elle a sollicité ses permis.L'avocat de la communauté, Julius Grey, estime qu'il n'y a pas lieu de tenir compte de cet argument, puisqu'il s'agit d'une cause portant sur un droit garanti par la Charte.Des membres de la communauté hassidique de Montréal passent leurs vacances estivales à Val-Morin, à 90 kilomètres au nord-ouest de Montréal, depuis plus de 20 ans.http://www.cyberpresse.ca/article/20080622...88/CPACTUALITESFaut croire que nous ne sommes pas assez "ouvert" pour comprendre que les lois ne sont pas faites pour tout le monde.... Modifié 23 juin 2008 par Curieuse Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 Bravo aux juifs hassidiques de cette communauté qui démontrent, par leur attitude dans cette affaire, qu'ils n'ont aucun respect des lois et de la justice.Un exemple édifiant y'a pas à dire. :satans: Citer
Invité Posté(e) 23 juin 2008 Posté(e) 23 juin 2008 Bravo aux juifs hassidiques de cette communauté qui démontrent, par leur attitude dans cette affaire, qu'ils n'ont aucun respect des lois et de la justice.Un exemple édifiant y'a pas à dire. :satans:Mais pourquoi obéir aux lois du Québec et du Canada puisqu'ils ont déjà leur lois et leur juge ?!? :frankenstein: Citer
Habitués cherry Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 (modifié) Bravo aux juifs hassidiques de cette communauté qui démontrent, par leur attitude dans cette affaire, qu'ils n'ont aucun respect des lois et de la justice.Un exemple édifiant y'a pas à dire. :satans:Mais pourquoi obéir aux lois du Québec et du Canada puisqu'ils ont déjà leur lois et leur juge ?!? :frankenstein:Grrrrrrrrrrr.... :niark3: L'avocat de la communauté, Julius Grey, estime qu'il n'y a pas lieu de tenir compte de cet argument, puisqu'il s'agit d'une cause portant sur un droit garanti par la Charte.Mais de quel droit il parle?!? Celui de fourrer le système parce qu'on a l'air d'un gros mor*n avec notre barbe, notre chapeau, notre long manteau noir et nos bigoudis? Fuck! Modifié 23 juin 2008 par cherry Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 23 juin 2008 Auteur Habitués Posté(e) 23 juin 2008 Larticle est plus détaillé ici que dans Cyberpresse.. La municipalité faisait aussi valoir que la communauté hassidique a menti au sujet de l'utilisation des chalets lorsqu'elle a sollicité ses permis. Mais l'avocat de la communauté, Julius Grey, estime qu'il n'y a pas lieu de tenir compte de cet argument, puisqu'il s'agit d'une cause portant sur un droit garanti par la Charte. Supposons que c'est le cas, est-ce que le fait de ne pas avoir dit la vérité devrait nous priver d'un droit? demande-t-il. A son avis, la synagogue et l'école devraient être exemptées de l'application du règlement municipal. Des membres de la communauté hassidique de Montréal passent leurs vacances estivales à Val-Morin, à 90 kilomètres au nord-ouest de Montréal, depuis plus de 20 ans. Entre 40 et 50 familles séjournent habituellement huit semaines au camp. Le maire de Val-Morin, Jacques Brien, dit que sa municipalité a dépensé plus de 100 000 $ en frais d'avocat dans cette affaire, et il estime que la communauté hassidique en a déboursé tout autant. Selon lui, les voisins de la synagogue et de l'école se plaignent de la circulation et du bruit accrus dans leur quartier. La Ville n'a rien contre la religion, précise-t-il. Elle souhaite simplement que les édifices en cause soient au bon endroit. Selon lui, les juifs hassidiques possèdent près de 175 000 mètres carrés de terrains dont le zonage est institutionnel, à moins d'un kilomètre du terrain litigieux. Il suffirait qu'ils demandent un permis de construire une synagogue sur cette propriété pour que la Ville le leur accorde, a-t-il affirmé. Le président de la congrégation hassidique, Jacob Binet, a soutenu dimanche que les familles n'ont d'autre choix que d'aller de l'avant avec leur cause devant les tribunaux. http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/ar...622-183300.htmlLarrogance de cette communauté ne semble pas avoir de limites.Après cette histoire en mai dernier à Boisbriand, National | Jeudi 08 mai 2008 | 07:15 Un ordre d'éviction provoque la colère d'un quartier hassidiqueUne huissière a été empêchée d'effectuer son travail, hier vers 10 h, dans le quartier hassidique de Boisbriand, à cause d'une foule en colère. Alors que la huissière se rendait à un appartement de la rue André-Ouellet pour exécuter un ordre d'éviction, une cinquantaine de Juifs lui ont vite fait comprendre qu'il n'était pas possible d'expulser une famille sans l'ordre du Grand Rabbin. Rapidement, des agents de la police de Sainte-Thérèse se sont rendus sur les lieux et ont désigné un médiateur qui a réussi à calmer la foule à 15 h. Le propriétaire du logement avait fait cette demande d'éviction à la Régie du logement pour cause de non-paiement. Les manifestants juifs étaient frustrés de ce geste. L'un d'eux, le rabbin Erin Mizrahi, a expliqué que ce genre de choses doit être référé à un tribunal juif de rabbins. Les mécontents ont présenté leurs arguments en après-midi au Palais de justice de Saint-Jérôme et ont fait suspendre temporairement l'ordre d'éviction. http://www.info690.com/nouvelle-ordre_evic...e-899702-2.htmlAprès lhistoire de lérouv en 2001 (demande faite à la ville dOutremont dinstaller un mince fil de fer ceinturant la ville pour raisons religieuses) et qui a été refusée par la municipalité mais autorisée par la cour supérieure.Après le tollé de protestations suite aux vitres teintées du YWCA. ( En avril 2006, les hassidim de la congrégation Yetev Lev ont payé la pose de vitre teintées pour la salle d'entraînement du YMCA de l'avenue du Parc à Montréal. Ils n'appréciaient pas que leurs enfants puissent voir des femmes en tenue sport) Les voilà encore qui remettent au premier plan toute la controverse entourant les accommodements raisonnables (que certains croyaient enfin enterrée) et qui, soit disant ne reposerait que dans limaginaire du bon peuple trop influencé par les médias. (Voir rapport Bouchard-Taylor) Le moins quon puisse dire, cest quils ont le sens du timming et le chic pour se faire aimerJe me demande bien comment nos chers commissaires vont interpréter la chose.... Citer
Habitués maestro Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 Cest vrai qu'il y'a des demandes plus au moins aberrantes mais il y'a aussi des réactions plus au moins acceptable, surtout quand on fait des généralités à partir de faits isolés. Cela nui à la cohésion et à la création de liens. Il y'a une chose que j'apprécie dans ces situations malheureuse pour les uns et les autres, c'est que les Québécois (presque tous ceux qui interviennent sur ce forum et je ne sais pas si ils sont représentatifs) ont le mérite de loger à la même enseigne tous les récalcitrants, peu importe leur religion et ils ne ce fixent pas principalement sur une même communauté en les attaquant à tort et à travers. Cela prouve au moins que ce n'est pas du racisme aveugle, mais juste une crainte de voir disparaître leurs valeurs fondamentales. Craintes justifiées ou pas ? Citer
Habitués cherry Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 En dehors du réglement municipal qui est très clair et qui a été confirmé par deux tribunaux jusqu'à présent, pendant des années, ces hassidiques ont carrément nié à répétitions que les "chalets" litigieux servaient en fait de synagogue et d'école. Il a fallu que la Ville les emmène en cours après avoir tout essayé pour qu'ils finissent par l'admettre.Aussi, ces gens sont hyper égoïstes: qui dit chalet en nature, sur le bord d'un lac et dans un quartier officiellement résidentiel, dit calme. Ils se foutent complètement de leurs voisins. Citer
Habitués petithobbitt Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 Ce sont des gens qui ne vivent qu'entre eux, comme d'autres; c'est une plaie pour nos sociétés.Enfin bref... Citer
Habitués Bill Boquet Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 Eh oui,Je suis d'accord avec vous,Ce qui me surprend c est comment le Canada etat laique, arrive a se faire mener par le bout du nez par des minorites religieuses. Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 Alors que la huissière se rendait à un appartement de la rue André-Ouellet pour exécuter un ordre d'éviction, une cinquantaine de Juifs lui ont vite fait comprendre qu'il n'était pas possible d'expulser une famille sans l'ordre du Grand Rabbin.Et bien dis donc c'est rassurant de savoir ça.Ils peuvent bien fourrer le systême, mentir, etc. mais si le Grand Rabbin leur en donne le droit c'est correct.Pour d'autres c'est Dieu qui leur en donne le droit.Ouf. Citer
Habitués Jade Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 Tiens, mets-en ! C'est tout chaud, ça vient de sortir ! Que de difficultés pour la communauté hassidique de respecter d'autres lois que les leurs. Et, toujours avec un certain aplomb ! Comment, la société québécoise n'est pas foutue de s'adapter à leur us et coutumes ? Oh, mon dieu ... :w00t: Le lundi 23 juin 2008Travaux illégaux dans une synagogue: le Plateau-Mont-Royal veut sévirÉric ClémentLa PresseNul n'est à l'abri de la loi, pas même les communautés religieuses. L'arrondissement du Plateau-Mont-Royal veut sévir contre le propriétaire de la synagogue du 5253, rue Hutchison. Celui-ci a procédé à des travaux illégaux, arraché l'ordre d'interdiction des travaux et fait déraciner un arbre sans permis. Il recevra des contraventions et devra donc payer, notamment, une amende de 2000$ pour l'arbre abattu.Que le propriétaire de la synagogue, la First Mesifta Hutchison Branch, ait entrepris des travaux sans permis, cela n'est pas une grande surprise pour l'arrondissement puisque cela s'est déjà produit. Mais que le propriétaire ait osé retirer l'avis de cessation des travaux et faire arracher un arbre mature le lendemain renverse l'administration municipale. Dans ce dossier délicat, puisqu'il s'agit de la communauté hassidique, le conseiller du quartier, Michel Labrecque, est stupéfait.«Quand tu ne demandes même pas de permis, que tu fais des travaux, qu'on te demande d'arrêter, que tu enlèves l'affiche pour continuer les travaux, que tu esquintes un arbre et que tu décides de le couper, là, il y a un mépris de la réglementation et c'est malheureux», a-t-il dit à La Presse.Dominic St-Jean, un avocat disant représenter le propriétaire de l'édifice, a envoyé un courriel à La Presse dans lequel il écrit que l'arbre a été abattu pour «une question de sécurité des lieux» et qu'un autre arbre a été planté depuis.«S'il y avait un problème de sécurité, il fallait nous demander un permis, qui aurait été délivré dans les 24 heures», rétorque Michel Labrecque, qui rappelle qu'il est interdit de couper un arbre, même sur un terrain privé.L'élu sait également qu'une inspectrice est venue constater que l'arbre avait été coupé sans autorisation. Michael Rosenberg, le père du président de la First Mesifta Hutchison Branch, Martin Rosenberg, lui a dit de partir parce qu'elle était sur une propriété privée. «Les inspecteurs sont habitués à ce genre de réaction qu'on fait souvent sur leur dos, explique M. Labrecque. C'est assez spécial, mais nos employés ont une formation pour gérer ce genre de situation.»Intégrité des bâtimentsTout petit, M. Labrecque a vécu en bon voisinage avec la communauté hassidique. Mais, dans ce cas, il y a un réel problème. «C'est une synagogue qui a déjà fait des travaux qu'on a dû arrêter au début des années 2000, dit-il. On a été en Cour, qui a confirmé que la synagogue était dans son droit. Mais là, c'est autre chose.»Selon lui, il s'agit cette fois d'une question d'intégrité des bâtiments, d'autant plus que l'édifice qui abrite la synagogue a été construit en 1910. «On a des règles d'intégrité du paysage. Si on veut préserver le cachet du Plateau pour les 100 prochaines années, il faut permettre certaines innovations architecturales, mais quand on a un bâti de pierre, des lanterneaux et des encadrements de portes, il faut les préserver.»M. Labrecque affirme que les policiers suivent la situation de près, «même de nuit, pour qu'il n'y ait pas de travaux». On a en effet signalé à l'arrondissement qu'il y aurait eu des travaux au marteau-piqueur à l'intérieur de la synagogue, ce qui est interdit lorsqu'on ne possède pas de permis.L'arrondissement est déterminé à sévir. «Nos agents travaillent avec la cour municipale pour dresser des constats d'infraction et demander les amendes maximales, assure-t-il. On a aussi demandé à nos services juridiques d'explorer les avenues réglementaires ou légales concernant les règlements qui ne sont pas respectés.»L'amende étant maximale pour l'arbre arraché et le fautif étant une personne morale, l'arrondissement a fait savoir à La Presse que la synagogue devra payer 2000$ pour ce méfait.Michel Labrecque précise que Martin Rosenberg s'est présenté aux bureaux de l'arrondissement. «On lui a dit qu'il ne peut pas faire ça après ce qu'il a fait auparavant, comme tout démolir et demander le permis par la suite.»Selon le courriel de Me St-Jean, si les travaux ont été faits illégalement, c'est à cause «d'une méprise à l'égard des demandes de la municipalité». L'avocat reconnaît que, dans le passé, 13 constats d'infraction ont été remis au propriétaire. Il ajoute toutefois que, dans 12 de ces cas, la Ville a retiré ou abandonné toute procédure et que, dans le dernier cas, le propriétaire a payé une amende de 800$.L'avocat prétend que la Ville a récemment autorisé «sa cliente» à effectuer des travaux au sous-sol de l'édifice pour changer un appareil de climatisation avant d'avoir le permis. L'arrondissement affirme que c'est faux.Source : http://www.cyberpresse.ca/article/20080623...19/CPACTUALITES Citer
Habitués grizzli Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 (modifié) ...oupsdeja posté par jade. Modifié 23 juin 2008 par grizzli Citer
Habitués Jade Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 (modifié) Oups, l'ours a réagi plus vite que moi ! Modifié 23 juin 2008 par Jade Citer
Habitués Nemesis Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 Que le propriétaire de la synagogue, la First Mesifta Hutchison Branch, ait entrepris des travaux sans permis, cela n'est pas une grande surprise pour l'arrondissement puisque cela s'est déjà produit. Mais que le propriétaire ait osé retirer l'avis de cessation des travaux et faire arracher un arbre mature le lendemain renverse l'administration municipale. Dans ce dossier délicat, puisqu'il s'agit de la communauté hassidique, le conseiller du quartier, Michel Labrecque, est stupéfait.Parce qu'il s'agit d'une communauté religieuse, cette situation devrait être plus délicate que si cela avait concerné un particulier? Les lois sont les mêmes pour tout le monde et c'est rassurant de constater que la municipalité de ne se laisse pas intimider sous prétexte justement que le problème concerne une communauté religieuse. Il est temps que des jalons soient posés et que les municipalités fassent respecter les lois afin de ne pas laisser faire tout et n'importe quoi... Citer
Habitués thegreatone Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 S'ils veulent suivre leur coutume en toute quiétude et bien ils peuvent retourner ou leurs coeurs se trouvent. Bien souvent, ces gens la n'ont aucune consideration pour le pays ou ils sont et preferent afficher leur fierté d'appartenir à une communauté défendant leur pays d'"origine" et meme s ils n'y sont pas nés." It doesnt matter where you're from but you must know where you're at" John Cena Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 23 juin 2008 Auteur Habitués Posté(e) 23 juin 2008 Que le propriétaire de la synagogue, la First Mesifta Hutchison Branch, ait entrepris des travaux sans permis, cela n'est pas une grande surprise pour l'arrondissement puisque cela s'est déjà produit. Mais que le propriétaire ait osé retirer l'avis de cessation des travaux et faire arracher un arbre mature le lendemain renverse l'administration municipale. Dans ce dossier délicat, puisqu'il s'agit de la communauté hassidique, le conseiller du quartier, Michel Labrecque, est stupéfait.Parce qu'il s'agit d'une communauté religieuse, cette situation devrait être plus délicate que si cela avait concerné un particulier? Les lois sont les mêmes pour tout le monde et c'est rassurant de constater que la municipalité de ne se laisse pas intimider sous prétexte justement que le problème concerne une communauté religieuse. Il est temps que des jalons soient posés et que les municipalités fassent respecter les lois afin de ne pas laisser faire tout et n'importe quoi...Entièrement daccord.Et tout compte fait, si on y pense bien, les conclusions du rapport Bouchard-Taylor (nier le problème) et limmobilisme du gouvernement sur le sujet ont eu ceci de bon de renvoyer la balle aux institutions et aux municipalités qui nont dautres choix que de prendre maintenant les choses en main. Après tout, ce sont les premières concernées quand vient le temps « daccommoder » certaines communautés.(en espérant que la Cour Suprême du Canada ne réduisent pas chaque fois leurs efforts à néant en vertue de la sacro-sainte chartre des droits et libertés...)Peut-être que la vrai solution se trouve là. Citer
Habitués cyber_cow Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 mouais mais je me rend compte que pour le cas des indiens en reserves qui passe outres les lois Quebecoise ou canadienne ont fais pas etat de tout ca dans les medias non ? Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 S'ils veulent suivre leur coutume en toute quiétude et bien ils peuvent retourner ou leurs coeurs se trouvent. Bien souvent, ces gens la n'ont aucune consideration pour le pays ou ils sont et preferent afficher leur fierté d'appartenir à une communauté défendant leur pays d'"origine" et meme s ils n'y sont pas nés.Et c'est quoi leur pays d'origine ? Ces gens-là sont ici depuis plusieurs générations... Citer
Habitués grizzli Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 mouais mais je me rend compte que pour le cas des indiens en reserves qui passe outres les lois Quebecoise ou canadienne ont fais pas etat de tout ca dans les medias non ?bonne idée,on devrais demander a la communauté hassidique de s'installer dans les reserves indiennes... :blushing: Citer
Habitués cherry Posté(e) 23 juin 2008 Habitués Posté(e) 23 juin 2008 (modifié) mouais mais je me rend compte que pour le cas des indiens en reserves qui passe outres les lois Quebecoise ou canadienne ont fais pas etat de tout ca dans les medias non ?bonne idée,on devrais demander a la communauté hassidique de s'installer dans les reserves indiennes... :blushing:Et Cybercow, si tu cites ces problèmes, c'est que tu en as entendu parlé. On a entre autres parlé de la construction de chalets illégaux par des autochtones sur des réserves fauniques dont le territoire est protégé. Ils estiment être dans leur droit car ils disent que ce sont leurs territoires ancestraux reconnu par de vieux traités douteux. Plusieurs lacs sont ainsi bordés par leurs chalets, là où les animaux s'abreuvent. La notion de respect de la nature est décidemment élastique...Un exemple ici Modifié 23 juin 2008 par cherry Citer
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