Habitués MTBLANC Posté(e) 18 septembre 2006 Habitués Share Posté(e) 18 septembre 2006 bonjour à tous !j'ai lu et entendu que l'ambiance de travail était plus détendue au Québec, et qu'il ya a une vie après le boulot. Mythe ou réalité ?je suis actuellement responsable financier et même avec les 5 semaines de congés payés, les 47 autres semaines sont plus chargées et épuisantes pour le physique et les nerfs : stress, horaires à rallonge, ...Je sais que c'est la fonction qui veut cela, et je l'assume. Quand on est cadre, il faut aussi supporter les inconvénients (reconversion professionnelle ?) ! Mais être cadre au québec avec 2 semaines pour récupérer, ça fait lourd ! Pouvez-vous me faire partager votre vécu ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués MTBLANC Posté(e) 18 septembre 2006 Auteur Habitués Share Posté(e) 18 septembre 2006 slt,Je n'ai pas l experience quebecquoise mais je pense que cela ne peut pas etre pire qu en france,moi je suis responsable d'agence et je peux vous dire que le stress,la pression du chiffre et les 60 heures par semainesca ne peux pas etre pireenfin c 'est mon avisconclusion meme si ce n'est pas l'eldorado je pense qu'au niveau job cela ne peux que s'ameliorer,sans compter que ca risque de s'empirer!! a+michaelmerci Michael, et ça c'est sur !que ça s'améliore obligatoirement je ne peux l'affirmer, car je pense que cela dépend énormément des entreprises et de la culture ! Mais, j'avais lu et entendu que quand t'es au boulot tu bosses (plus hard qu'en France), mais que passé 18h (que ceux qui ne sont pas d'accord se manifestent !), les entreprises se vident et qu'il y a une vie après le boulot (loisirs, famille, sport). Entre le fantasme, les "on dit", et la réalité, je souhaitais avoir le feed back des forumistes !merci pour votre éclairage Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
O'Hana Posté(e) 18 septembre 2006 Share Posté(e) 18 septembre 2006 (modifié) Salut,Je ne suis pas cadre mais en tant que professionnel, je travaille quotidiennement avec des gestionnaires ici.Personnellement, je les trouve aussi chargés tant dans les responsabilités que dans l'horaire de travail et la majorité passe son temps à éteindre des feux ou plongés dans le "day-to-day", c'est-à-dire la gestion quotidienne sans pouvoir se consacrer réellement à leurs véritables tâches d'administration, de gestion, de planification et d'encadrement.Pour autant, être surchargé ne veut pas nécessairement dire stressé : de mon expérience personnelle, les réunions sont axées sur la résolution de problème, le tutoiement est plutôt la règle que l'exception (la directrice générale d'un des endroits où je travaille m'appelle par mon prénom quand on se croise, c'est-à-dire au maximum deux fois dans l'année). Si chacun respecte la hiérarchie, cette dernière n'est pas pour autant cloisonnée, ce qui fait toute une différence.Parallèlement à l'absentéisme qui affecte aussi les travailleurs canadiens, le présentéisme émerge de plus en plus, ce qui est révélateur du climat de travail. Et le harcèlement psychologique est également une réalité bien concrète. Mais il faut donner à ces phénomènes leur juste place : encore des exceptions dans un monde du travail exigeant certes mais globalement très agréable pour qui veut s'impliquer.En n'oubliant pas que s'impliquer ne signifie pas qu'il faut se brûler à la tâche pour être bien vu : et ça, ce sont mes patrons qui me disent ça.O'Hana Modifié 18 septembre 2006 par O'Hana Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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