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Posté(e)

La France « s'autocolonise » et l'anglais vient contaminer toutes les sphères de la société, affichage, réunions de travail en anglais, etc.

La progression est fulgurante, photos prises à un seul coin de rue.

 

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  • Habitués
Posté(e)
il y a 9 minutes, Laurent a dit :

La France « s'autocolonise » et l'anglais vient contaminer toutes les sphères de la société, affichage, réunions de travail en anglais, etc.

La progression est fulgurante, photos prises à un seul coin de rue.

 

Oui tant à l'écrit qu'à l'oral !

Je suis passé en Europe Francophone cet été, après plus de 3 ans (merci Covid) et j'avais l'impression de plus parler la même langue qu'eux !

  • Habitués
Posté(e)

La loi 101 comme au Québec...  ?  

  • Habitués
Posté(e)

C'est devenu n'importe quoi, dans la rue, les magasins, a la tv, dans la pub surtout ! On vente le Always DISCRIT (descreet) c'est mieux que discrete !

On propose des frites surgelées JUST au four. Il suffit juste d'ajouter le E mais cela n'est pas !!!

 

La meilleure : je demande au comptoir comment on dit en francais Donut ? La personne n'a jamais su me répondre. Elle me disait : Ben donut !

 

Et ne parlons pas des mots coupés comme : perquize ! le proc ! Je n'arrive plus a suivre.

 

Comme ils doivent se munir d'un dictionnaire du parler québécois va falloir trouver un manuel du francais parlé en France, aujourd'hui.

  • Habitués
Posté(e)
Il y a 3 heures, Denisovan a dit :

La loi 101 comme au Québec...  ?  

Ouein mais eux en France, la langue française n'est pas en danger de disparaître.

Ils ne vivent pas sur un continent 97% anglophone

 

C'est donc une dynamique complètement différente d'icitte

 

Non ce qui est triste c'est que la vrai vrai vrai raison de ce phénomène c'est que les Français et pas mal le monde entier perçoivent l'anglais comme moderne, avant-gardiste, cool, branché etc....

C'est ca qui est triste

 

 

  • Habitués
Posté(e)
il y a 6 minutes, jimmy a dit :

Ouein mais eux en France, la langue française n'est pas en danger de disparaître.

Ils ne vivent pas sur un continent 97% anglophone

 

75 M de francophone (France, Belgique, Suisse et Luxembourg) noyé dans un océan de langues étrangères dans l'UE (570 M de population).

Des guerres, invasions, annexions durant des siècles que dis-je des milénaires et le Français est toujours là !

 

Tu vois @jimmy faut arrêter 

 

 

il y a 6 minutes, jimmy a dit :

C'est donc une dynamique complètement différente d'icitte

 

C'est différent oui mais pas tant que cela.

 

il y a 6 minutes, jimmy a dit :

Non ce qui est triste c'est que la vrai vrai vrai raison de ce phénomène c'est que les Français et pas mal le monde entier perçoivent l'anglais comme moderne, avant-gardiste, cool, branché etc....

C'est ca qui est triste

 

Là oui on est d'accord

mais le problème c'est que la culture américaine (car ce n'est pas l'anglaise qui les séduit) est moderne, cool, avant-gardiste et branchée .... ce qui fait son attractivité

  • Habitués
Posté(e)
il y a une heure, trefle a dit :

C'est devenu n'importe quoi, dans la rue, les magasins, a la tv, dans la pub surtout ! On vente le Always DISCRIT (descreet) c'est mieux que discrete !

On propose des frites surgelées JUST au four. Il suffit juste d'ajouter le E mais cela n'est pas !!!

 

La meilleure : je demande au comptoir comment on dit en francais Donut ? La personne n'a jamais su me répondre. Elle me disait : Ben donut !

 

Et ne parlons pas des mots coupés comme : perquize ! le proc ! Je n'arrive plus a suivre.

 

Comme ils doivent se munir d'un dictionnaire du parler québécois va falloir trouver un manuel du francais parlé en France, aujourd'hui.

 

Attends mais cet été on parlait avec la famille, vestimentaire ... 

Et là quelqu'un nous sort : les crop top c'est vraiment à la mode cet été

Nous Hein quoi crop top ? C'est quoi

L'autre : beh un t-shirt où l'on voit le nombril

Ma fille de 10 ans : ah oui un t-shirt bedaine 

 

Bon d'accord, t-shirt bedaine c'est du pur jus québecois mais avoue quand tu es occupé de parler français et on te répète sans cesse un terme anglais (qu'au demeurant on connaissait mais en contexte anglophone) mais pas dans cet usage de franglais ...

 

En tout cas, ça m'a marqué ! Et cette anecdote je vais la sortir pendant des années

  • Habitués
Posté(e) (modifié)
il y a 51 minutes, qwintine a dit :

 

75 M de francophone (France, Belgique, Suisse et Luxembourg) noyé dans un océan de langues étrangères dans l'UE (570 M de population).

Oui l'Europe est un océan de langues étrangères..mais aucune dominâtes comme l'est l'anglais en Amérique du Nord.

C'est tout différent.

 

il y a 51 minutes, qwintine a dit :

Des guerres, invasions, annexions durant des siècles que dis-je des milénaires et le Français est toujours là !

Des guerres, des invasions, des déportations durant des centaines d'années....et les Québécois sont toujours la.

 

 

Modifié par jimmy
  • Habitués
Posté(e)
il y a 2 minutes, jimmy a dit :

Oui l'Europe est un océan de langues étrangères..mais aucune dominâtes comme l'est l'anglais en Amérique du Nord.

C'est tout différent.

 

Si t'écoutes les FR du GoP, ils vont subir la même chose avec l'espagnol ... alors t'sé 

 

il y a 2 minutes, jimmy a dit :

Des guerres, des invasions, des déportations durant des centaines d'années....et les Québécois sont toujours la.

 

Donc tu vois pas de crainte à avoir ! 

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

L’anglais de France et le culte du cargo

 

Bien des Québécois, débarqués à Paris, à Bordeaux, à Lyon pour les vacances, s’indignent de la présence envahissante de l’anglais sur les affiches, à la télé, dans les vitrines de magasins, les slogans politiques, les affiches de manif, les « happy hours ». Jusqu’à la ville de Paris, qui a pris pour slogan olympique « Made for Sharing ». .

 

Dans les écoles de commerce, on préfère parler de « managers » plutôt que de gestionnaires ou de cadres. Un « trader » est nettement plus dans le coup qu’un courtier, pas vrai ?

L’attirance que l’anglais exerce en France est indéniable. Bien que cela fasse jaser dans nos barbecues estivaux, je n’irais cependant pas jusqu’à dire que les Français de 2022 font plus d’anglicismes qu’en 1999. Ni plus d’anglicismes que les Québécois. Après tout, si les Français se garent au parking, les Québécois, eux, se parquent au stationnement !

Quant à l’anglais et aux anglicismes, les différences de perceptions entre Français et Québécois sont énormes – et je dirais même : opposées. Au Québec, l’anglais exerce une présence forte du fait de l’histoire et de la géographie. Les Québécois se sont donc dotés de lois pour affirmer la place du français en public, dans l’affichage, et dans les communications en général.

 

Tous les français sont-ils égaux ?

En France, où la présence de l’anglais reste superficielle et où le risque d’assimilation est nul, l’anglais n’est pas une menace. Les Français ont donc tendance à afficher publiquement le peu d’anglais qu’ils savent. Et un Olivier Schrameck, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel, refuse d’exercer les pouvoirs qui lui incombent en matière de respect de la langue française sur les chaînes de radio et de télévision. (Ce qui lui a d’ailleurs valu le Prix 2018 de l’Académie de la Carpette anglaise qui récompense les individus s’étant distingués par leur acharnement à promouvoir la domination de l’anglais en France.)

 

Le culte du cargo

Ayant vécu plusieurs années en France, j’ai toujours été fasciné par la dimension incantatoire que prend l’anglais dans ce pays. C’est une forme d’idolâtrie qu’on ne voit pas au Québec et qui fait beaucoup penser au « culte du cargo ».

 

Cette expression, bien connue des anthropologues, décrit une religion qui s’est développée dans les îles du Pacifique Sud sous l’effet de la colonisation, et qui a connu son apogée pendant la Seconde Guerre mondiale. Pour les insulaires frappés par la richesse et la puissance des Occidentaux et des Japonais, seule une faveur divine pouvait expliquer l’abondance et le perfectionnement des biens débarqués du « Cargo » (un bateau ou un avion). Une fois les conquérants repartis, les insulaires tentaient d’appeler le Cargo en construisant des avions en bois, des radios en noix de coco, des antennes en bambou.

 

Il y a de ça dans la fascination des Français pour l’anglais : la tentation de singer la modernité incarnée par le monde « anglo-saxon » dans l’espoir d’en récolter les fruits. D’où les modes anglophiles souvent ridicules et l’abus d’anglicismes, comme un appel désespéré pour des bienfaits d’un cargo que l’on espère sans en comprendre l’essentiel.

 

Parmi tous les grigris de l’« anglolâtrie », le plus fascinant est bien l’« angloïde », qui ressemble à de l’anglais, mais qui n’en est pas. Prenez le « pin’s » (épinglette). Il faudrait dire « pin » au singulier et « pins » au pluriel, car « pin’s » en anglais est un complément du nom. Le « pin’s » signifie, littéralement, le « de l’épinglette ». C’est du pseudo-anglais de la plus belle eau, tout comme d’ailleurs le « recordman », le « baby-foot », le « zapping » et le « brushing ».

 

Le grand générateur d’angloïde est évidemment la France des affaires, où l’anglais atteint sa puissance incantatoire maximale. Les entreprises françaises ont une longue histoire avec le pseudo-anglais. Des noms d’entreprise comme Leader Price (épicerie), Speed Rabbit Pizza ou Monop’Daily (restauration rapide) ne veulent rien dire en anglais. Nul ne sait ce qu’est un « speed rabbit ». Leur seul sens réel est de ressembler à l’anglais. On peut dire de même de Woodeum (promoteur immobilier spécialisé en construction en bois) ou Made in Fish (un commerce de poisson-frites à l’anglaise). Il y a quelques années, j’avais été frappé par le fait qu’Editis, qui publie Le Robert, avait son responsable des « communications corporates ». Un candidat sérieux à un éventuel Cordonniers mal chaussés Awards (ça fait plus sérieux).

 

Dans mon esprit, tous ces exemples font penser à Aplusbégalix, ce personnage de chef gallo-romain assimilé dans Le Combat des chefs. Il faut relire cet album d’Astérix, le meilleur de la série et l’un de ceux qui ont le mieux vieilli. La grande force de Goscinny et Uderzo est d’avoir brillamment utilisé les Romains pour incarner à la fois l’histoire récente (20 ans après la fin de l’Occupation allemande) et l’actualité du temps dominé par l’hégémonisme américain. L’album est paru la même année (1964) que le célèbre essai du critique littéraire René Étiemble, Parlez-vous franglais ?, ce qui montre bien que la question n’est pas nouvelle en France.

 

Mondialisateur ou globalisateur?

Ce côté incantatoire de l’anglais serait parfaitement ridicule s’il ne venait s’appuyer sur d’autres motifs qui légitiment les anglicismes et qui en amortissent les effets.

Toutes les langues du monde empruntent à l’anglais et je ne vois pas pourquoi les Français s’en priveraient plus que les autres.

Mais en France, les anglicismes prennent une fonction particulière puisqu’ils servent de laboratoire à la néologie.

 

Anecdote vécue en 2005 : je préparais alors la parution d’un nouveau livre sur les Français, et mon éditrice parisienne m’a demandé de lui écrire l’argumentaire. Dans ce texte, j’employais l’expression « Mondialisateurs malgré eux ».

« Ah non, Jean-Benoît, tu ne peux pas écrire ça ? Ce n’est pas français.

— Mais ça n’a pas l’air du russe ou du chinois ou de l’italien. Pourquoi ça ne serait pas français ?

— Parce que ça n’est pas dans le dictionnaire. Il faudrait écrire “globalisateur”…

— Mais c’est un anglicisme. »

 

Depuis, les éditeurs en sont venus à la raison, mais ce ne fut pas sans mal. Il y a tout dans cette anecdote : l’idée de la faute, le rapport à la néologie, les anglicismes. On est ici au cœur de la mentalité française vis-à-vis de la langue française et qui explique une très grande part de leurs anglicismes : mieux vaut un bon anglicisme que de porter atteinte au dictionnaire (c’est à dire à la langue).

 

Ce qui vient diminuer l’impact des anglicismes, c’est que les Français cultivent une grande virtuosité langagière, très supérieure aux Québécois ou aux locuteurs de la plupart des langues.

On voit rarement un peuple arriver à une telle maîtrise. Et comme les Français raffolent des nuances, les anglicismes leur permettent d’en inventer de nouvelles, comme par exemple « weekend » (samedi et dimanche) qui n’est pas synonyme de « fin de semaine » (jeudi et vendredi). « Liker », ce n’est pas aimer.

 

Les anglicismes font partie du jeu normal de la conversation, qui est le grand art des Français et leur véritable sport national. D’où leur propension à triturer et à franciser les anglicismes, pour décliner rapidement des variations et des sens étrangers à l’anglais.

 

À lire aussi

Cette langue qui ne voulait pas changer

Lors de notre séjour en famille en France en 2013-2014, nos filles n’ont pas tardé à ramener des « bestas » (contraction de « best amie »). Un « slasheur » est une personne qui cumule les petits boulots, ce qui n’a aucun rapport avec le verbe anglais « to slash ». Encore plus intéressant : le terme « pipole », qui décrit ces célébrités qui font les journaux à potins. C’est évidemment une déformation du nom du magazine People, qui n’a jamais existé en édition française. Cela a donné toutes sortes de dérivés fascinants comme « pipoliser », « pipolisation » et « pipolisable » — des notions extrêmement difficiles à traduire en anglais.

 

Au début du 20e siècle, les Français se sont entichés du suffixe –ing. Le « happening », le « meeting », le « planning » ont le même sens qu’en anglais, mais d’autres mots angloïdes sont de pures créations françaises comme le « pressing », le « footing » et le « forcing ». Heureusement, les tentatives pour implanter le « dorming » ou le « séjourning » ont échoué.

 

En fait, les emprunts à l’anglais ont tellement nourri la langue des Français qu’on ne pourrait l’en purger sans l’endommager.

 

Il y a eu jadis le français d’Angleterre, qui a disparu après avoir marqué profondément l’anglais. Nous sommes ici en présence d’un anglais de France qui disparaîtra après avoir laissé un certain nombre de traces. Qu’on le veuille ou non, cela fait partie de la culture des Français.

 

Jean-Benoît Nadeau

 

Modifié par jimmy
  • Habitués
Posté(e)
il y a 2 minutes, jimmy a dit :

Bien que cela fasse jaser dans nos barbecues estivaux, je n’irais cependant pas jusqu’à dire que les Français de 2022 font plus d’anglicismes qu’en 1999. Ni plus d’anglicismes que les Québécois. Après tout, si les Français se garent au parking, les Québécois, eux, se parquent au stationnement !

Quant à l’anglais et aux anglicismes, les différences de perceptions entre Français et Québécois sont énormes – et je dirais même : opposées. Au Québec, l’anglais exerce une présence forte du fait de l’histoire et de la géographie. Les Québécois se sont donc dotés de lois pour affirmer la place du français en public, dans l’affichage, et dans les communications en général.

 

 

Écoute dans mon quotidien privé et professionnel (le monde du col blanc), je ne fais que côtoyer des québécois ou des français décontaminés. Et j'ai vraiment été choqué cet été, en Belgique en plus, sauf quelque visite d'amis français ...

De ma perception, moins de mots anglais icite ! Mais bon c'est un témoignage, mon témoignage, toussa toussa ...

 

Pour ce qui est de "se parquer", pour moi c'est un néologisme partant d'une base d'un mot anglais (to park) et pas un emprunt tel quel. Donc je ne considère pas cela comme un anglicisme ... et non c'est pas parce qu'en Belgique on se parque dans le parking ?

 

 

  • Habitués
Posté(e)
il y a 2 minutes, qwintine a dit :

 

Écoute dans mon quotidien privé et professionnel (le monde du col blanc), je ne fais que côtoyer des québécois ou des français décontaminés.

 

Euh, chu curieux, c'est quoi un Français décontaminé ?

 

  • Habitués
Posté(e) (modifié)
il y a 2 minutes, jimmy a dit :

Euh, chu curieux, c'est quoi un Français décontaminé ?

 

 

On dira que c'est un Français qui vit ici depuis 5 à 10 ans minimum qui est citoyen et qui ne te parle pas en anglicisme dans chacune de ses phrases. ET qui se la ramène avec la France pas dans toutes les conversations 

Modifié par qwintine
  • Habitués
Posté(e)
il y a 8 minutes, qwintine a dit :

 

On dira que c'est un Français qui vit ici depuis 5 à 10 ans minimum qui est citoyen et qui ne te parle pas en anglicisme dans chacune de ses phrases. ET qui se la ramène avec la France pas dans toutes les conversations 

Ah oui...ceux la ?

  • Habitués
Posté(e)

Il y avait une époque ou c'est le francais qui avait envahi la langue anglaise d'ou on trouve beaucoup d'emprunts du francais en anglais.

Le meme phénomene s'est produit de l'arabe vers le francais. Lorsque la culture arabe était dominante notament à l'époque ou les arabes occupaient l'Espagne et une bonne partie du sud de l'Europe ( Sicile), les francais ont emprunté beaucoup de mots de l'arabe qu'on trouve encore de nos jours dans la langue francaise moderne.

L'ironie c'est que les maghrébins  de nos jours ont eux meme emprunté dans leur dialecte ces mots ( d'origine arabe)  à partir du francais et prononcés à la francaise. 

  • Habitués
Posté(e)
il y a 18 minutes, qwintine a dit :

 

Écoute dans mon quotidien privé et professionnel (le monde du col blanc), je ne fais que côtoyer des québécois ou des français décontaminés. Et j'ai vraiment été choqué cet été, en Belgique en plus, sauf quelque visite d'amis français ...

De ma perception, moins de mots anglais icite ! Mais bon c'est un témoignage, mon témoignage, toussa toussa ...

 

Mais donc même en Belgique c'est choquant ?

 

 

  • Habitués
Posté(e)
il y a 8 minutes, jimmy a dit :

Mais donc même en Belgique c'est choquant ?

 

Bon pour la faire courte ,

oui cela m'a choqué MAIS c'est encore un peu moins qu'en France. Mais pour que ça choque mes oreilles et mon cerveau, ça te donne une idée.

En effet, pour la France, je traine depuis cet été aussi dans des trucs de médias sociaux avec des Français et c'est terrible ... 

Ce que Laurent a publié n'est que la face visible de l'Iceberg.

  • Habitués
Posté(e)
1 minute ago, qwintine said:

 

Bon pour la faire courte ,

oui cela m'a choqué MAIS c'est encore un peu moins qu'en France. Mais pour que ça choque mes oreilles et mon cerveau, ça te donne une idée.

En effet, pour la France, je traine depuis cet été aussi dans des trucs de médias sociaux avec des Français et c'est terrible ... 

Ce que Laurent a publié n'est que la face visible de l'Iceberg.

En Belgique le francais wallon est envahi par le flamand.

  • Habitués
Posté(e)
il y a 12 minutes, Captain_Haddock a dit :

Il y avait une époque ou c'est le francais qui avait envahi la langue anglaise d'ou on trouve beaucoup d'emprunts du francais en anglais.

Le meme phénomene s'est produit de l'arabe vers le francais. Lorsque la culture arabe était dominante notament à l'époque ou les arabes occupaient l'Espagne et une bonne partie du sud de l'Europe ( Sicile), les francais ont emprunté beaucoup de mots de l'arabe qu'on trouve encore de nos jours dans la langue francaise moderne.

L'ironie c'est que les maghrébins  de nos jours ont eux meme emprunté dans leur dialecte ces mots ( d'origine arabe)  à partir du francais et prononcés à la francaise. 

 

Oui parmi ces emprunts : maison en brique, plandémie, libartayyyy, injection mortifère, pseudo vaccin, gripette ... on connait ta chanson !

  • Habitués
Posté(e) (modifié)
il y a 4 minutes, Captain_Haddock a dit :

En Belgique le francais wallon est envahi par le flamand.

 

C'est tout à fait FAUX ! C'est même plutôt l'inverse , en Belgique, ce sont les Flamand qui sont un peu les Québecois du Canada de service malgré qu'ils sont largement majoritaires (presque le double) des francophones.

 

En gros tu racontes à nouveau n'importe quoi !!

 

@jimmy le poto à Poilievre ... le captaine fisch briques ... il est ... ?‍♂️

Modifié par qwintine

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