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Villes canadiennes où la qualité de vie est la meilleure


kabi

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Bonjour,

Plusieurs d’entre vous une fois le visa en poche, ont pris la décision de s’installer dans telle ou telle ville, d’autre ont vécu dans différentes villes Canadiennes, d’autres encore ont changé au cours de leur vie deux, trois ou quatre fois la ville pour en fin de compte s’établir dans un coin dans ce vaste pays.

Quels ont été les causes? Les raisons? Sur quels critères vous vous êtes basée pour décider et choisir votre ville d’installation?

Et pour ceux qui ont changés de ville quelle en était la raison principale?

Pour ceux qui n’ont pas encore changé de villes et décident de le faire, si vous aviez l’occasion quelle serait votre destination et surtout Pourquoi précisément ce choix?

Menons un débat constructif pour le bénéfice de tout.

Merci

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  • Habitués

Bonjour Kabi,

J'ai choisi Montréal à cause du bassin d'emploi que la ville propose dans mon domaine d'activité professionnelle. J'y avais passé du temps il y a quelques années et à cette époque la ville m'avait plu, au contraire de Toronto où je n'avais pas eu un très bon souvenir.

L'autre raison étant que c'est une assez grande ville cosmopolite avec des loyers relativement abordables par rapport à d'autres métropoles du pays, en particulier anglophones.

Pour ma part, je me moque de l'aspect francophone de la ville. Maintenant, du côté professionnel, la désillusion est totale (j'ai du tombé sur les "mauvaises" personnes) et sans travail, les économies que j'avais accumulées au fil des ans en vivant en-dessous de mes moyens fondent comme neige au soleil. Alors, si rien ne se débloque très prochainement, je m'orienterai vers les anglos (avec qui j'ai toujours eu un bon contact), à condition d'avoir la garantie d'un emploi une fois sur place, parce que la vie sans revenu y sera pluis chère qu'à Montréal (loyer).

Dans ce cas, mes critères sont les villes où l'activité scientifique est présente, l'aéroport international pas trop loin et les loisirs aussi présents (cinémas, activités culturelles, restos du monde, etc...). Dans tous les cas, ce sera "go west". Si j'avais eu une petite famille à moi, le choix aurait été surement différent.

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  • Habitués
Dans ce cas, mes critères sont les villes où l'activité scientifique est présente, l'aéroport international pas trop loin et les loisirs aussi présents (cinémas, activités culturelles, restos du monde, etc...). Dans tous les cas, ce sera "go west".

A Vancouver donc?

Pour ma part, c'est Vancouver qui m'a choisie plutot que l'inverse. Au départ, j'avais prévue de rester à l'Est et j'étais assez indécise sur la ville d'installation. J'ai eu plusieurs contacts personnels et professionnels qui étaient tous sur Vancouver, donc c'est là que j'ai atterri, sans jamais y avoir mis les pieds auparavant.

Chacun a sa definition de "qualité de vie". Il est vrai que Vancouver est une ville chère mais j'adore le fait d'avoir océan et montagne en ville, de l'espace, le multiculturalisme, des restos du monde entier, un climat doux toute l'année, pas trop de stress ambiant, la sécurité, l'ambiance West Coast etc...la liste est longue, je pense en faire un prochain billet d'ailleurs.

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  • Habitués
A Vancouver donc?

Pour ma part, c'est Vancouver qui m'a choisie plutot que l'inverse. Au départ, j'avais prévue de rester à l'Est et j'étais assez indécise sur la ville d'installation. J'ai eu plusieurs contacts personnels et professionnels qui étaient tous sur Vancouver, donc c'est là que j'ai atterri, sans jamais y avoir mis les pieds auparavant.

Chacun a sa definition de "qualité de vie". Il est vrai que Vancouver est une ville chère mais j'adore le fait d'avoir océan et montagne en ville, de l'espace, le multiculturalisme, des restos du monde entier, un climat doux toute l'année, pas trop de stress ambiant, la sécurité, l'ambiance West Coast etc...la liste est longue, je pense en faire un prochain billet d'ailleurs.

J'adorerais Vancouver ! Bon, je reviens du Finistère il y a quelques jours et Vancouver m' y avait fait penser chaque fois que j'ai pu y mettre les pieds (la grisaille et la pluie, et les températures douces). C'est vrai que c'est vraiment une ville agréable: montagne et océan, c'est le match idéal. Et puis la proximité avec Seattle joue aussi pour ma part.

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  • Habitués
J'adorerais Vancouver ! Bon, je reviens du Finistère il y a quelques jours et Vancouver m' y avait fait penser chaque fois que j'ai pu y mettre les pieds (la grisaille et la pluie, et les températures douces). C'est vrai que c'est vraiment une ville agréable: montagne et océan, c'est le match idéal. Et puis la proximité avec Seattle joue aussi pour ma part.

Il fait soleil aussi à Vancouver ^_^ et parfois il neige aussi.

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  • Habitués

Oui, je sais bien :). Ca doit etre du a une mauvaise experience en velo au parc Stanley ou je me suis pris une belle sauce sur la tete :)

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Lors de tous mes passages à Vancouver, je crois que je n'ai jamais vu le ciel. Juste une épaisse couche de nuages et de la pluie (ou de la bruine si on a de la chance).

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  • Habitués

Merci green20770 et Blueberry.

J’avoue que choisir sa nouvelle destination d’abord en fonction des perspectives d’emplois (et surtout dans son domaine) est un choix sage. Je confirme aussi le fait qu’à Montréal les loyers –comparativement aux autres métropoles du canada- sont abordables.

Mais comment expliquer la désillusion du côté ‘’professionnel ‘’ green20770 ?

Doit-on comprendre qu’il y avait eu de fausses promesses d’emplois? Ou qu’il n’y en avait pas du tout? Ou qu’il y en avait mais pas ceux escomptés?....???

‘’ Alors, si rien ne se débloque très prochainement, je m'orienterai vers les anglos (avec qui j'ai toujours eu un bon contact), à condition d'avoir la garantie d'un emploi une fois sur place’’

Je suis tout à fait d’accord. J’entends souvent des discours enjolivant de certaines personnes, comme quoi il serait mieux d’abord de déménager et puis chercher du travail pour être proche du marché de travail…. Alors que le plus judicieux serait d’abord d’avoir une offre concrète (signée, cacheté, estampillé, etc…) AVANT de plier bagage !

‘’ Dans tous les cas, ce sera "go west". ‘’

Ces dernières années, j’ai remarqué que justement les bonnes perspectives se passent à l’ouest. L’Ouest du Canada est de plus en plus dynamique économiquement, et selon une étude récente de Manpower ‘’ À l'échelle du Canada, les prévisions les plus favorables se retrouvent chez les employeurs dans l'ouest canadien et dans les Maritimes’'.

Reste qu’il faut être vigilant, car comme nous l’avons pu constater la semaine dernière la première ministre de l'Alberta, annonça que cette année le budget de la province sera trop serré et qu’il faudra s’attendre à des ‘’sacrifices’’; d’autre part des experts prévoient que les revenus et les dépenses des consommateurs seront restreints par une faible création d'emplois l'an prochain dans les Maritimes.

L’Alberta et la Saskatchewan restent les deux provinces ou la situation parait encore optimiste.

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  • Habitués
Lors de tous mes passages à Vancouver, je crois que je n'ai jamais vu le ciel. Juste une épaisse couche de nuages et de la pluie (ou de la bruine si on a de la chance).

C'est ce qui s'appelle etre malchanceux alors....

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  • Habitués

Au fait Blueberry, j'en déduit que le choix de Vancouver s'est fait notament grace aux contacts relationels.

Selon ton expériences est ce que les nouveaux arrivants à Vancouver s'en sortent bien généralement là-bas?

Certes comme tu dis la région est mangifique, mais lorsqu'on débute et surtout avec un travail moins de ses ambitions comment les nouveaux arrivants font-ils?

merci

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Au fait Blueberry, j'en déduit que le choix de Vancouver s'est fait notament grace aux contacts relationels.

Selon ton expériences est ce que les nouveaux arrivants à Vancouver s'en sortent bien généralement là-bas?

Certes comme tu dis la région est mangifique, mais lorsqu'on débute et surtout avec un travail moins de ses ambitions comment les nouveaux arrivants font-ils?

merci

C'est un peu difficile de parler de tous les immigrants venant sur Vancouver. C'est partout pareil, je dirai. Certains s'en sortent bien, d'autres galèrent au début puis finissent par y arriver, d'autres galèrent et repartent dans leur pays ou vers une autre province.

Gobalement, les défis et difficultés sont les memes que l'on aille sur Toronto, Montreal, Calgary ou Vancouver.

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J'adore Québec, mais la côte ouest présente des attraits aussi, même si, à l'Ouest, j'irais un peu plus au sud si je le pouvais...

Au Québec en tout cas, la ville de Québec est vraiment magnifique en tous points.

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  • Habitués

Je suis d’Accord sur le fait que l’on ne peut pas savoir qu’en est-il pour tout les immigrants puisque on ne peut connaître tout les immigrants du canada. Cela va de sois, mais je ne suis pas d’accord sur l’idée que c’est partout pareille, car d’or et déjà chaque province est complètement différente de l’autre et aucune ville ni marché de travail de ces villes ne se ressemblent. En gros la situation diffère d’une place à une autre et d’un immigrant à un autre.

Néanmoins il y a des TENDANCES dont plusieurs faits et études les confirment.

Il est connu que la majorité des immigrants choisissent de s’établir d’office dans les grandes métropoles - ce qui est normal - mais ironiquement c’est là ou ils galèrent le plus, surtout lors des premières années de leur intégration.

Selon statistique canada dans les très grands centres urbains, les immigrants font face à un désavantage initial important au chapitre du revenu, et les hausses subséquentes ne leur sont pas suffisantes pour atteindre la parité. Une meilleure intégration économique des immigrants à l’extérieur des très grands centres urbains est observée même après avoir tenu compte des différences liées au niveau de scolarité des immigrants au moment de l’établissement, à leur connaissance préalable d’une langue officielle, à leur catégorie d’admission et à leur pays d’origine.

D’autre part lit-on dans une étude toute fraîche de l'Institut de recherche et d'informations économiques (IRIS) que ‘’Avec des taux de scolarisation largement plus élevés que la moyenne des Québécois d'origine, les immigrants affichent des taux de chômage de deux à trois fois plus élevés. Les compétences ne sont pas tant en cause que la discrimination à l'emploi, plus manifeste au Québec que dans d'autres provinces de référence ’’.

L’étude enchérit qu’au Québec ‘’ … un immigrant diplômé d'un pays dit développé a 60% plus de chances de se trouver un premier emploi qu'un immigrant diplômé d'un pays considéré moins développé. En Colombie-Britannique, cet avantage n'est que de 36%’’.

Certes que les nouveaux immigrants galèrent mais leur galère n’est pas du tout pareille sur tout le territoire Canadien.

Citoyenneté et Immigration Canada affirment que s’il est généralement reconnu que l’immigration peut, dans une certaine mesure, contribuer à combler certains besoins de main d’œuvre et à ralentir légèrement le vieillissement démographique, il est également clair que ces bienfaits ne sont pas répartis également à l’échelle du pays. C’est pourquoi les divers niveaux de gouvernement usent de stratégies diverses visant à favoriser l’établissement des immigrants hors des grands pôles traditionnels d’attraction, ce qu’il est convenu d’appeler la régionalisation de l’immigration ([CIC], 2001).

Cela fait presque 3 ans que selon certains immigrants avec qui je partage de très bonnes conversations, la tendance est vers les provinces de l’Ouest ; d’ailleurs Radio-Canada International confirme ce fait en indiquant tout récemment que plus de la moitié de la croissance de l’emploi chez les immigrants reçus du Canada est attribuable aux immigrants vivant dans les Prairies et en Colombie-Britannique.

Elle confirme aussi ce que l'Institut de recherche et d'informations économiques (IRIS) indiquait, en stipulant que c'est au Québec qu'on enregistre le plus bas taux d'emploi du pays pour les immigrés: '' En 2011, le taux d’emploi des immigrants du Québec, qui s’élevait à 70,3 %, était plus faible que celui des immigrants de toute autre province'' .

Maintenant, si la croissance économique est bien prisée à l’Ouest reste à savoir quelle serait (globalement) la meilleure destination.

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  • Habitués

Les difficultes initiales rencontrées par beaucoup d'immigrants sont les memes partout: non-reconnaissance des diplomes et de l'expérience internationaux, difficultés a trouver un emploi digne de ce nom...etc...

Il est certain qu'il y a de grosses différences par provinces et meme au sein des provinces. Par ex le Nord de la CB est en plein emploi, quand des villes comme Prince George ou Prince Rupert ont un taux de chomage plus élevé.

La "meilleure" destination point de vue économique reste l'Alberta, mais les Prairies ne s'en sortent pas trop mal non plus, de meme que certaines zones de la CB.

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  • Habitués

Merci Blueberry de ta réponse,

Tiens ça c'est point important :

'' Par ex le Nord de la CB est en plein emploi, quand des villes comme Prince George ou Prince Rupert ont un taux de chomage plus élevé ''.

Mais dans ce cas -là qu'est ce qui fait qu'il y ait du chomage élevé?

N'y a-t-il pas de points de relais entre ''ceux qui cherchent un emploi'' avec ''ceux qui offrent de l'emploi'' dans ces régions ?

Y a-t-il des obstacles que nous ne voyons pas?

Qu'en penses-tu?

J'avoue également que L'Alberta, Les Prairies et la Colombie-britanique mènent le bal en terme de croissance économique, encore une fois les immigrants sont attirés par les grandes centres de ces provinces : Calgary-Edmonton, Régina-Saskatoon, Vancouver etc... sauf que en migrants vers ces villes les besoins en services et infrastructures augmentent aussi, puis les loyers montent également etc....

Des fois j'ai l'impression que ce que l'immigrant gagne en migrant dans ces régions le perd à cause de l'effets de cette immigration de masse. Je me trompe peut-être ?

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  • Habitués
Des fois j'ai l'impression que ce que l'immigrant gagne en migrant dans ces régions le perd à cause de l'effets de cette immigration de masse. Je me trompe peut-être ?

Cela peut etre tout à fait gagnant d'immigrer en regions, à condition de vraiment bien se renseigner et de bien se préparer, notamment sur les perspectives d'emploi. Quand on va dans une ville plus petite, le bassin d'emploi est en général en rapport, à quelques exceptions. L'idéal serait d'avoir une offre d'emploi avant d'arriver ou un réseau qui est pret à aider.

Pour la CB, certaines régions n'offrent vraiment pas de perspectives.

A noter aussi que les "locaux régionaux" ne sont pas toujours prets à accueillir des immigrants et que certains services ne sont pas disponibles en régions.

Modifié par Blueberry
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  • Habitués

Je me rappelle lorsque j’ai décidé de m’installer au Canada, avoir choisi Sherbrooke comme destination initiale. C’était surtout pour vouloir étudier dans son université et bénéficier d’un cadre de vie moins stressant que celui de Montréal; j’avoue aussi l’image de feuilles des arbres en été indien, orange, rouge, violet, vert, etc… y en était pour quelque chose.

Le destin a fait que je me suis installé à Montréal puisque j’y ai trouvé l’accueil et l’aide de quelques compatriotes, en plus de ce sentiment d’être moins dépaysé m’a encouragé de rester, d’autant plus que mon inscription à l’Université de Sherbrooke fut refusée à deux reprises.

3 ans et demi plus tard, étant tanné de la situation professionnelle qui ne bouge point, malgré un petit diplôme québécois et toute une armada d’expériences et d’attitudes professionnelle, un bilinguisme dans les normes, un réseau de contact correcte…. j’ai décidé de chercher ‘’ailleurs‘’. Reste à savoir ou pourrait être ce ailleurs !

J’avais énuméré mes atouts et mes faiblesses et j’ai constaté qu’améliorer mon anglais ouvrira beaucoup de portes; Donc l’idée de s’établir dans une province anglophone pour perfectionner mon anglais me paraissais la bonne option; l’affaire des accommodements raisonnables me pressa de mettre mon plan à exécution car la vie à Montréal devenait pesante.

J’ai dû donc chercher des informations, éplucher des nouvelles, décortiquer des données, analyser la situation, demander l’avis des amis et connaissances etc…..

Améliorer mon anglais tout en mettant mon français dans la case des atouts, en faisant un travail dans mon domaine était l’idéal.

Le marché du travail de Toronto et Vancouver paraissaient dynamique et avec la présence d’ami dans chacune de ces villes, présentaient une bonne solution, mais les loyers étaient pharamineux, le cout de la vie est cher et mon français ne me servirait pas forcément pour quelque chose, à moins si la boite ou je travaillerais en a besoin , un peu genre la commission scolaire française ou le centre d’appel d’une boite qui travaille avec le Québec etc…..

Edmonton était aussi dans la ligne de mire, l’University of Alberta et le City of Edmonton fournissaient de bonnes offres d’emplois mais l’ami qui y réside a dû subitement rentrer définitivement au pays et je manquais d’appui (surtout que les début sont dure).

L’histoire d’un ami résidant à Régina m’incitait à faire de même : travailler dans son domaine dans un environnement professionnel français tout en vivant dans un monde Anglais, fructueux comme approche car 6 ans plus tard il est parmi les rares amis et connaissances qui a pu s’offrir une belle grande maison, tout en assurant un travail stable, marié et il attend un enfant dans les mois à venir.

La province reste toujours dynamique et il parait même que les perspectives sont très bonnes pour l’année qui s’en vient.

Le destin a fait son tour encore et par une coïncidence inouïe j’ai du répondre à une offre d’emploi à Ottawa, presque similaire à celle de mon ami de Régina et je fus choisie à ce poste d’Ottawa.

Donc le choix fut beaucoup plus pour raison professionnelle et je dois avouer que c’est la clé de tout déclenchement de migration, ajoutant en plus qu’ici, le fait d’avoir des connaissance en français aide (un peu) jusqu’à un certains point, chose que je ne pense pas pareille dans les autres villes du canada Hors-Québec; euhhhh bon avouant aussi le fait de ne pas s’éloigner de Montréal pour revoir certains amis à aussi peser sur la balance.

J’ai même bénéficier de la juxtaposition de la ville avec celle d’en face sur le territoire Québécois ou les loyers sont moins chers. Un endroit stratégique on l’on trouve nul part ailleurs au canada.

Bref, juste pour dire que c’est faisable de faire une autre migration et que le point culminant c’est de trouver un bon travail dans son domaine et surtout ne pas avoir cette peur de l’inconnu.

Je le dis surtout aux immigrants qui ont du traverser tout un océan pour s’établir au canada, pourquoi ne pas faire encore quelque kilomètre de plus pour améliorer son sort ???

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  • Habitués

Sinon pour les autres, quelles est la ville canadienne ou la qualité de vie est meilleure selon vous ?

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  • Habitués

Mon premier choix était Montréal mais comme j'ai trouvé du travail à Ottawa j'ai décidé de m'installer à Gatineau. En matière de qualité de vie je pense que travailler à Ontario et habiter au Québec me permet de profiter un peu du meilleur des deux villes

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Mon premier choix était Montréal mais comme j'ai trouvé du travail à Ottawa j'ai décidé de m'installer à Gatineau. En matière de qualité de vie je pense que travailler à Ontario et habiter au Québec me permet de profiter un peu du meilleur des deux villes

Interessant comme arrangement. Je comtemple ce meme scenario, comme premiere phase de mon immigration a partir des usa. Je crois que je beneficerai bien des deux cotes anglo et franco. Je constate que les points d'acces entre les duex villes sont tous, ou presques, des ponts. Quant est-il de leur usage pendant l'hiver lorsqu'il neige? Et la circulation quotidienne est elle bonne?

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