Habitués username Posté(e) 20 mars 2011 Habitués Posté(e) 20 mars 2011 voila l'expérience optimiste que j'ai trouvé sur un blog Aujourdhui je me réveille et je suis en enfer. En fait, je suis à Ottawa au Canada. Jouvre la fenêtre de ma chambre, jentends une rue bruyante et pleine de trafic et japerçois le McDonalds juste en face de chez moi. Aussitôt je réalise que je ne rêve plus, cest bien réel : JE SUIS AU CANADA ! Quelle triste aventure qui tourne au désastre ! Je ne suis plus le fier français qui partait explorer lautre bout du monde. Je suis un idiot de français qui se rend compte quil est seul à lautre bout du monde sans sa famille, sans ses amis, sans ses repères. Mes illusions ont disparu, je suis au pays de la consommation et de lhypocrisie. Je me lève et me prépare mentalement à affronter une autre journée pleine de défis et de déceptions. Je me prépare un vrai petit déjeuner canadien : un bol de céréales avec du lait vendu en sac. Ce matin il faut que jaille payer ma facture dhôpital qui sélève à 700$. Je suis toujours malade mais je ne peux pas aller consulter un docteur. Étant français sanshealth card (carte de santé) on me refuse les soins et on me redirige vers les urgences de lhôpital où il faut attendre 6 à 7 heures avant de voir un médecin pendant 5 minutes. Je me sens exclu, rejeté, je ne me sens plus le bienvenu. Hier encore, un vendeur a refusé de me vendre des cigarettes car je navais pas de carte didentité canadienne, il a regardé ma carte didentité et ma dit « Sorry but I need a real piece of ID. A valid one that comes from Ontario ». Ceci me rappelle Koodo, la compagnie de téléphone portable qui ma jeté en me disant « If you dont have two Canadian pieces of ID, you cant get a cellphone plan. Sorry about that. Byebye *NEXT PLEASE!* ». Je vais donc prendre mon bus pour lhôpital, je paye mes 700$ avec ma carte de crédit canadienne et me voilà dans la même situation que de nombreux Canadiens. Je suis endetté et la banque va me prendre 20% dintérêt sur cette somme chaque mois jusquà ce que je puisse rembourser ma carte de crédit. Il faut maintenant que je me rende à luniversité pour mon cours de publicité. Bien que mon cours soit en français je me sens stupide car je ne comprends pas plus que durant mes classes en anglais. Le professeur fait référence à des auteurs, à des compagnies, à des marques à des lieux et je ne connais rien de cela. Je nai plus aucun repère. À la fin du cours un étudiant me parle en anglais et encore une fois je me sens stupide car je ne le comprends pas non plus. Je lui demande de répéter et il répète, en français cette fois Encore une fois je nai aucune idée de ce à quoi il fait référence. Cela me frustre tellement je suis incapable de communiquer en français ou en anglais. Je lui souris donc bêtement juste pour pouvoir méchapper. Je réalise que ce que jai appris en France ne mest daucune utilité ici. Jai limpression davoir à tout réapprendre. Je quitte luniversité et marrête à Pizza Pizza sur le chemin de mon appartement, après tout, jai déjà pris 8kg en deux ans, je ne suis plus à ça prêt. La serveuse me voit rentrer et sexclame en souriant « Hey, how is it going? Oh my god you look amazing with that sweater, I love it! So, what can I get for you today? ». Le sweat-shirt que je porte est certainement le plus laid et le plus vieux que je possède mais jai bien compris que la serveuse nen à rien a faire de mon sweat-shirt, elle veut juste que je lui laisse un bon tip (pourboire). Juste avant de partir japerçois Mona une fille de ma classe qui a 3 jobs pour pouvoir payer ses études. Je lui fais un petit signe de la main et continue mon chemin en me demandant si moi aussi je vais finir dans la même situation. Nous sommes à peine en novembre et il fait déjà si froid, lhiver arrive Je nen peux plus, je suis fatigué de tout ça, je veux me réveiller et me retrouver en France, ou bien à Cuba sur une plage avec une eau des plus bleue qui existe sur cette terre. Je ferme les yeux quelques secondes puis les ré-ouvre, mais il ny a pas de plage, pas de mer bleue Au lieu de cela, jarrive chez moi et je vois une sorte de gros rat noir qui fouille dans les poubelles (ndla : au Canada ce genre de rat sappelle « écureuil »). Je décide alors de passer par larrière de mon immeuble et tout à coup je sens une odeur épouvantable, aussitôt japerçois une moufette qui senfuit. Lodeur est répugnante, je mengouffre à lintérieur de mon building et pense déjà a ce que je vais regarder à la télévision. Au fond, peu importe, je sais bien que je vais regarder la même chose que dhabitude, une ou deux heures de publicité entrecoupée par quelques passages dune émission supra nord américanisée qui na pas de maudit bon sens Citer
Habitués kobico Posté(e) 20 mars 2011 Habitués Posté(e) 20 mars 2011 (modifié) voila l'expérience optimiste que j'ai trouvé sur un blog Aujourd'hui je me réveille et je suis en enfer. En fait, je suis à Ottawa au Canada. J'ouvre la fenêtre de ma chambre, j'entends une rue bruyante et pleine de trafic et j'aperçois le McDonald's juste en face de chez moi. Aussitôt je réalise que je ne rêve plus, c'est bien réel : JE SUIS AU CANADA ! Quelle triste aventure qui tourne au désastre ! Je ne suis plus le fier français qui partait explorer l'autre bout du monde. Je suis un idiot de français qui se rend compte qu'il est seul à l'autre bout du monde sans sa famille, sans ses amis, sans ses repères. Mes illusions ont disparu, je suis au pays de la consommation et de l'hypocrisie. Je me lève et me prépare mentalement à affronter une autre journée pleine de défis et de déceptions. Je me prépare un vrai petit déjeuner canadien : un bol de céréales avec du lait vendu en sac. Ce matin il faut que j'aille payer ma facture d'hôpital qui s'élève à 700$. Je suis toujours malade mais je ne peux pas aller consulter un docteur. Étant français sanshealth card (carte de santé) on me refuse les soins et on me redirige vers les urgences de l'hôpital où il faut attendre 6 à 7 heures avant de voir un médecin pendant 5 minutes. Je me sens exclu, rejeté, je ne me sens plus le bienvenu. Hier encore, un vendeur a refusé de me vendre des cigarettes car je n'avais pas de carte d'identité canadienne, il a regardé ma carte d'identité et m'a dit « Sorry but I need a real piece of ID. A valid one that comes from Ontario ». Ceci me rappelle Koodo, la compagnie de téléphone portable qui m'a jeté en me disant « If you don't have two Canadian pieces of ID, you can't get a cellphone plan. Sorry about that. Byebye… *NEXT PLEASE!* ». Je vais donc prendre mon bus pour l'hôpital, je paye mes 700$ avec ma carte de crédit canadienne et me voilà dans la même situation que de nombreux Canadiens. Je suis endetté et la banque va me prendre 20% d'intérêt sur cette somme chaque mois jusqu'à ce que je puisse rembourser ma carte de crédit. Il faut maintenant que je me rende à l'université pour mon cours de publicité. Bien que mon cours soit en français je me sens stupide car je ne comprends pas plus que durant mes classes en anglais. Le professeur fait référence à des auteurs, à des compagnies, à des marques à des lieux et je ne connais rien de cela. Je n'ai plus aucun repère. À la fin du cours un étudiant me parle en anglais et encore une fois je me sens stupide car je ne le comprends pas non plus. Je lui demande de répéter et il répète, en français cette fois… Encore une fois je n'ai aucune idée de ce à quoi il fait référence. Cela me frustre tellement je suis incapable de communiquer en français ou en anglais. Je lui souris donc bêtement juste pour pouvoir m'échapper. Je réalise que ce que j'ai appris en France ne m'est d'aucune utilité ici. J'ai l'impression d'avoir à tout réapprendre. Je quitte l'université et m'arrête à Pizza Pizza sur le chemin de mon appartement, après tout, j'ai déjà pris 8kg en deux ans, je ne suis plus à ça prêt. La serveuse me voit rentrer et s'exclame en souriant « Hey, how is it going? Oh my god you look amazing with that sweater, I love it! So, what can I get for you today? ». Le sweat-shirt que je porte est certainement le plus laid et le plus vieux que je possède mais j'ai bien compris que la serveuse n'en à rien a faire de mon sweat-shirt, elle veut juste que je lui laisse un bon tip (pourboire). Juste avant de partir j'aperçois Mona une fille de ma classe qui a 3 jobs pour pouvoir payer ses études. Je lui fais un petit signe de la main et continue mon chemin en me demandant si moi aussi je vais finir dans la même situation. Nous sommes à peine en novembre et il fait déjà si froid, l'hiver arrive… Je n'en peux plus, je suis fatigué de tout ça, je veux me réveiller et me retrouver en France, ou bien à Cuba sur une plage avec une eau des plus bleue qui existe sur cette terre. Je ferme les yeux quelques secondes puis les ré-ouvre, mais il n'y a pas de plage, pas de mer bleue… Au lieu de cela, j'arrive chez moi et je vois une sorte de gros rat noir qui fouille dans les poubelles (ndla : au Canada ce genre de rat s'appelle « écureuil »). Je décide alors de passer par l'arrière de mon immeuble et tout à coup je sens une odeur épouvantable, aussitôt j'aperçois une moufette qui s'enfuit. L'odeur est répugnante, je m'engouffre à l'intérieur de mon building et pense déjà a ce que je vais regarder à la télévision. Au fond, peu importe, je sais bien que je vais regarder la même chose que d'habitude, une ou deux heures de publicité entrecoupée par quelques passages d'une émission supra nord américanisée qui n'a pas de maudit bon sens… 1) Pourquoi avoir mis cela dans le forum Québec alors qu'il s'agit d'une expérience ontarienne? 2) Pourquoi repiqué des témoignages négatifs alors que tu ne sais même pas la véracité de ces écrits. 3) Il a pris 8kg en 2 ans, pourquoi ne fait-il pas du jogging au lieu d'écrire des textes crachoirs? Ce serait tellement plus profitable.... 4) S'il est rendu à confondre les écureuils avec les rats, il devrait retourner en France rapidement avant de confondre les écureuils avec des chevreuils. Username, ne vois-tu pas que c'est un texte uniquement pour se défouler et casse du sucre sur le dos des Canadiens? Quel intérêt as-tu à nous le partager? Modifié 20 mars 2011 par kobico Jade, djidou et Baker & Hattaway ont réagi à ceci 3 Citer
Habitués algerie11 Posté(e) 20 mars 2011 Habitués Posté(e) 20 mars 2011 voila l'expérience optimiste que j'ai trouvé sur un blog Aujourd'hui je me réveille et je suis en enfer. En fait, je suis à Ottawa au Canada. J'ouvre la fenêtre de ma chambre, j'entends une rue bruyante et pleine de trafic et j'aperçois le McDonald's juste en face de chez moi. Aussitôt je réalise que je ne rêve plus, c'est bien réel : JE SUIS AU CANADA ! Quelle triste aventure qui tourne au désastre ! Je ne suis plus le fier français qui partait explorer l'autre bout du monde. Je suis un idiot de français qui se rend compte qu'il est seul à l'autre bout du monde sans sa famille, sans ses amis, sans ses repères. Mes illusions ont disparu, je suis au pays de la consommation et de l'hypocrisie. Je me lève et me prépare mentalement à affronter une autre journée pleine de défis et de déceptions. Je me prépare un vrai petit déjeuner canadien : un bol de céréales avec du lait vendu en sac. Ce matin il faut que j'aille payer ma facture d'hôpital qui s'élève à 700$. Je suis toujours malade mais je ne peux pas aller consulter un docteur. Étant français sanshealth card (carte de santé) on me refuse les soins et on me redirige vers les urgences de l'hôpital où il faut attendre 6 à 7 heures avant de voir un médecin pendant 5 minutes. Je me sens exclu, rejeté, je ne me sens plus le bienvenu. Hier encore, un vendeur a refusé de me vendre des cigarettes car je n'avais pas de carte d'identité canadienne, il a regardé ma carte d'identité et m'a dit « Sorry but I need a real piece of ID. A valid one that comes from Ontario ». Ceci me rappelle Koodo, la compagnie de téléphone portable qui m'a jeté en me disant « If you don't have two Canadian pieces of ID, you can't get a cellphone plan. Sorry about that. Byebye *NEXT PLEASE!* ». Je vais donc prendre mon bus pour l'hôpital, je paye mes 700$ avec ma carte de crédit canadienne et me voilà dans la même situation que de nombreux Canadiens. Je suis endetté et la banque va me prendre 20% d'intérêt sur cette somme chaque mois jusqu'à ce que je puisse rembourser ma carte de crédit. Il faut maintenant que je me rende à l'université pour mon cours de publicité. Bien que mon cours soit en français je me sens stupide car je ne comprends pas plus que durant mes classes en anglais. Le professeur fait référence à des auteurs, à des compagnies, à des marques à des lieux et je ne connais rien de cela. Je n'ai plus aucun repère. À la fin du cours un étudiant me parle en anglais et encore une fois je me sens stupide car je ne le comprends pas non plus. Je lui demande de répéter et il répète, en français cette fois Encore une fois je n'ai aucune idée de ce à quoi il fait référence. Cela me frustre tellement je suis incapable de communiquer en français ou en anglais. Je lui souris donc bêtement juste pour pouvoir m'échapper. Je réalise que ce que j'ai appris en France ne m'est d'aucune utilité ici. J'ai l'impression d'avoir à tout réapprendre. Je quitte l'université et m'arrête à Pizza Pizza sur le chemin de mon appartement, après tout, j'ai déjà pris 8kg en deux ans, je ne suis plus à ça prêt. La serveuse me voit rentrer et s'exclame en souriant « Hey, how is it going? Oh my god you look amazing with that sweater, I love it! So, what can I get for you today? ». Le sweat-shirt que je porte est certainement le plus laid et le plus vieux que je possède mais j'ai bien compris que la serveuse n'en à rien a faire de mon sweat-shirt, elle veut juste que je lui laisse un bon tip (pourboire). Juste avant de partir j'aperçois Mona une fille de ma classe qui a 3 jobs pour pouvoir payer ses études. Je lui fais un petit signe de la main et continue mon chemin en me demandant si moi aussi je vais finir dans la même situation. Nous sommes à peine en novembre et il fait déjà si froid, l'hiver arrive Je n'en peux plus, je suis fatigué de tout ça, je veux me réveiller et me retrouver en France, ou bien à Cuba sur une plage avec une eau des plus bleue qui existe sur cette terre. Je ferme les yeux quelques secondes puis les ré-ouvre, mais il n'y a pas de plage, pas de mer bleue Au lieu de cela, j'arrive chez moi et je vois une sorte de gros rat noir qui fouille dans les poubelles (ndla : au Canada ce genre de rat s'appelle « écureuil »). Je décide alors de passer par l'arrière de mon immeuble et tout à coup je sens une odeur épouvantable, aussitôt j'aperçois une moufette qui s'enfuit. L'odeur est répugnante, je m'engouffre à l'intérieur de mon building et pense déjà a ce que je vais regarder à la télévision. Au fond, peu importe, je sais bien que je vais regarder la même chose que d'habitude, une ou deux heures de publicité entrecoupée par quelques passages d'une émission supra nord américanisée qui n'a pas de maudit bon sens Salut les pessimiiiiiistes. Et en plus ca parle de Ottawa, pas d QC, donc s sujet n merite pas ca place iciiiiii . Cio Citer
Invité Posté(e) 20 mars 2011 Posté(e) 20 mars 2011 voila l'expérience optimiste que j'ai trouvé sur un blog Aujourdhui je me réveille et ... Cache moi ça malheureux, ça ne peut pas être vrai. J'en appelle à la censure ! Plus sérieusement, ce témoignage est fictif mais il est représentatif du blues que certains immigrants peuvent avoir au Québec. Le Québec n'a rien de magique. Que ce soit au Québec, en France ou ailleurs, il faut construire soit même son bonheur parce que personne ne vous l'apportera. Comme le dit l'auteur, les désillusions peuvent amener à vivre un enfer au quotidien. Je n'ai pas un vécu aussi sombre (et même pas du tout sombre) mais je comprends ce qu'il veut dire. Plus mal on est préparé, plus on tombe de haut. isseo17 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués kobico Posté(e) 20 mars 2011 Habitués Posté(e) 20 mars 2011 (modifié) voila l'expérience optimiste que j'ai trouvé sur un blog Aujourd'hui je me réveille et ... Cache moi ça malheureux, ça ne peut pas être vrai. J'en appelle à la censure ! Plus sérieusement, ce témoignage est fictif mais il est représentatif du blues que certains immigrants peuvent avoir au Québec au Canada. Le Québec Canada n'a rien de magique. Que ce soit au Québec Canada, en France ou ailleurs, il faut construire soit même son bonheur parce que personne ne vous l'apportera. Comme le dit l'auteur, les désillusions peuvent amener à vivre un enfer au quotidien. Je n'ai pas un vécu aussi sombre (et même pas du tout sombre) mais je comprends ce qu'il veut dire. Plus mal on est préparé, plus on tombe de haut. Je peux aussi comprendre ce blues même si c'est après 2 ans comme cela semble être le cas. Par contre, vivre un blues n'est pas une justificatif. cela n'autorise pas à dire tout et n'importe quoi. Et comme tu vois, je me porte à la défense de mes amis les Canadiens qui se font insulter gratuitement. Modifié 20 mars 2011 par kobico macipsa13 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués username Posté(e) 20 mars 2011 Auteur Habitués Posté(e) 20 mars 2011 la suite Vous êtes-vous reconnu ? Au contraire avez-vous trouvé ce récit caricatural ? Cette histoire vous donne-t-elle toujours envie daller au Canada, ou bien rappelle-t-elle à votre mémoire de désagréables souvenirs de vos années passées ? Quelle que soit votre situation, les commentaires sont ouverts, la parole est à vous, ne soyez pas timide. Au passage, si vous vous sentez à laise, vous pouvez même nous raconter vos bonnes et mauvaises anecdotes sur votre expérience et votre vie au Canada ! Citer
Invité Posté(e) 20 mars 2011 Posté(e) 20 mars 2011 (modifié) C'est un exercice d'écriture intéressant et original que nous propose l'auteur. Le Canada et le Québec apparaissent souvent comme un eldorado pour le futur immigrant, mais toute chose peut aussi montrer ses aspects sombres. L'hiver est splendide avec ses activités hivernales et ses paysages blancs. Mais il est aussi froid, long et contraignant. Il faut être préparer à cette dualité. Je pense aussi qu'il faut avoir le vécu de l'immigration pour le comprendre. Modifié 20 mars 2011 par HelloPanda Citer
Habitués Baker & Hattaway Posté(e) 20 mars 2011 Habitués Posté(e) 20 mars 2011 Pauv' ptit pépère !!! Etudiant qui n'a pas besoin d'avoir de jobine pour payer ses études et qui se demande s'il ne va pas être obligé de faire comme sa copine de classe et de prendre une job étudiant ... Qui chiale sur le lait en sac ... Plus écologique que les briques en j'sais-pas-quoi ... Qui au bout de deux ans passé à Ottawa n'est pas foutu de parler et de comprendre l'anglais (ça a pris moins de 6 mois à mes gamins !). A qui on refuse de vendre des cigarettes sur présentation d'une ID française ... Bullshit !!! Qui raconte n'importe quoi sur les taux du crédit... Qui préfère les rats français aux écureuils ... Etc... etc... En effet, il devrait rentrer en France ! Il ne fait aucun effort et se contente de chialer sur son sort !!! Au Canada, tu dois te sortir les doigts du ... si tu veux avancer, un peu comme partout. Donc, qu'il se casse en France, à Cuba ou ailleurs. J'imagine que ce sont ses parents qui vont payer de toute façon et qu'à peine arrivé, il re-chialera encore. Ca doit être ça qu'on appelle un maudit-francais ?! Edit : Mets nous donc le lien de son blog qu'on aille lui faire nos commentaires en personne à ce ... kobico et Jade ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués Mourad15 Posté(e) 20 mars 2011 Habitués Posté(e) 20 mars 2011 (modifié) Moi je propose ce texte: Vivre au Canada : le paradis ou l’histoire d’un rêve devenu réalité ! Aujourd’hui je me réveille et je suis au paradis. En fait, je suis enfin à Ottawa au Canada. J’ouvre la fenêtre de ma chambre et j’entends les oiseaux qui chantent, j’aperçois deux écureuils qui jouent ensemble, aussitôt je réalise que ce n’est pas un rêve, c’est bien réel : JE SUIS ENFIN AU CANADA ! Quelle aventure excitante, je me rends compte que je vis une expérience unique, cela me rend si fier car j’ai eu le courage de tout quitter. Je me sens unique, je me sens tellement spécial et en effet, je suis spécial, je suis un français en Amérique du Nord, je suis au Canada, le pays des caribous et des castors. Quelques minutes plus tard je suis levé, habillé et prêt à partir à la découverte de ma nouvelle ville. Tout d’abord, je veux aller downtown (au centre-ville) pour prendre un petit déjeuner canadien : œufs, bacon, pancakes, fruits, sirop d’érable… Awww pour moi qui adore la nourriture, c’est vraiment LE PARADIS ! En chemin je m’arrête à Tim Horton et je demande un hot chocolate et Oh mon Dieu… On me sert un délicieux chocolat chaud to go (à emporter) à la vanille surmonté de whipped cream (Crème fouettée / Chantilly). Je continue mon aventure au milieu de la ville dans la sérénité ambiante, tout est propre, tout est vert. La nature est omniprésente dans la ville, les paysages, les rues et bâtiments sont immenses, c’est tellement beau, tellement différent de là d’où je viens. J’entends les gens qui parlent en anglais autour de moi, je ne comprends que quelques mots mais j’adore être ici et je n’échangerais ma place pour rien au monde. Je traverse désormais un mall (centre commercial) et fais quelques arrêts dans les magasins, c’est incroyable de découvrir ce qu’est une ville bilingue. En me voyant les vendeurs me disent « Hey, how are you doing today ? » après quelques secondes ils comprennent que je suis un étranger, ils me sourient et me tutoient en enchaînant avec un « Salut, comment ça va ? Est-ce que je peux t’aider ? ». C’était donc vrai, les Canadiens sont gentils, tolérants et civiques, ils sont toujours prêts à aider les autres c’est incroyable ! Je poursuis ma route sans pouvoir me débarrasser de ce sourire plus embarrassant qu’une banane à la place de la bouche. Je repense encore à tous les avantages de la vie au Canada de façon aléatoire : les magasins ouverts 24h/24 – 7j/7, les films et séries en même temps que les États-Unis, les restaurants chinois, afghans, africains, japonais, italiens éthiopiens, les bars Canadiens, les Canadiens… et les Canadiennes , la possibilité de rencontrer des gens du monde entier, le contact facile avec les gens et… et… euh et… « snif snif »… huumm bagels canelle-raisins, et blueberry muffins, mon nez ne me trahit pas je viens d’arriver à destination. Je vais devoir vous quitter car mon p’tit déj. de rêve m’attends. À très bientôt pour la suite et fin de cet article, Jérôme Paradis Versus Enfer Modifié 20 mars 2011 par Mourad15 sandra1967 a réagi à ceci 1 Citer
Invité Posté(e) 20 mars 2011 Posté(e) 20 mars 2011 C'est justement ce que j'allais demander, Baker. Quelle est la source ? Citer
Invité Posté(e) 20 mars 2011 Posté(e) 20 mars 2011 Moi je propose ce texte: Vivre au Canada : le paradis ou lhistoire dun rêve devenu réalité ! Aujourdhui je me réveille et je suis au paradis. En fait, je suis enfin à Ottawa au Canada. Jouvre la fenêtre de ma chambre et jentends les oiseaux qui chantent, japerçois deux écureuils qui jouent ensemble, aussitôt je réalise que ce nest pas un rêve, cest bien réel : JE SUIS ENFIN AU CANADA ! Quelle aventure excitante, je me rends compte que je vis une expérience unique, cela me rend si fier car jai eu le courage de tout quitter. Je me sens unique, je me sens tellement spécial et en effet, je suis spécial, je suis un français en Amérique du Nord, je suis au Canada, le pays des caribous et des castors. Quelques minutes plus tard je suis levé, habillé et prêt à partir à la découverte de ma nouvelle ville. Tout dabord, je veux aller downtown (au centre-ville) pour prendre un petit déjeuner canadien : ufs, bacon, pancakes, fruits, sirop dérable Awww pour moi qui adore la nourriture, cest vraiment LE PARADIS ! En chemin je marrête à Tim Horton et je demande un hot chocolate et Oh mon Dieu On me sert un délicieux chocolat chaud to go (à emporter) à la vanille surmonté de whipped cream (Crème fouettée / Chantilly). Je continue mon aventure au milieu de la ville dans la sérénité ambiante, tout est propre, tout est vert. La nature est omniprésente dans la ville, les paysages, les rues et bâtiments sont immenses, cest tellement beau, tellement différent de là doù je viens. Jentends les gens qui parlent en anglais autour de moi, je ne comprends que quelques mots mais jadore être ici et je néchangerais ma place pour rien au monde. Je traverse désormais un mall (centre commercial) et fais quelques arrêts dans les magasins, cest incroyable de découvrir ce quest une ville bilingue. En me voyant les vendeurs me disent « Hey, how are you doing today ? » après quelques secondes ils comprennent que je suis un étranger, ils me sourient et me tutoient en enchaînant avec un « Salut, comment ça va ? Est-ce que je peux taider ? ». Cétait donc vrai, les Canadiens sont gentils, tolérants et civiques, ils sont toujours prêts à aider les autres cest incroyable ! Je poursuis ma route sans pouvoir me débarrasser de ce sourire plus embarrassant quune banane à la place de la bouche. Je repense encore à tous les avantages de la vie au Canada de façon aléatoire : les magasins ouverts 24h/24 7j/7, les films et séries en même temps que les États-Unis, les restaurants chinois, afghans, africains, japonais, italiens éthiopiens, les bars Canadiens, les Canadiens et les Canadiennes , la possibilité de rencontrer des gens du monde entier, le contact facile avec les gens et et euh et « snif snif » huumm bagels canelle-raisins, et blueberry muffins, mon nez ne me trahit pas je viens darriver à destination. Je vais devoir vous quitter car mon ptit déj. de rêve mattends. À très bientôt pour la suite et fin de cet article, Jérôme Moi je propose ca Merci pour ton lien Mourad qui propose une autre réalité, un autre vécu. Le type en tout cas commence à apprendre l'anglais Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 20 mars 2011 Habitués Posté(e) 20 mars 2011 Moi je propose ce texte: Vivre au Canada : le paradis ou lhistoire dun rêve devenu réalité ! Aujourdhui je me réveille et je suis au paradis. En fait, je suis enfin à Ottawa au Canada. Jouvre la fenêtre de ma chambre et jentends les oiseaux qui chantent, japerçois deux écureuils qui jouent ensemble, aussitôt je réalise que ce nest pas un rêve, cest bien réel : JE SUIS ENFIN AU CANADA ! Quelle aventure excitante, je me rends compte que je vis une expérience unique, cela me rend si fier car jai eu le courage de tout quitter. Je me sens unique, je me sens tellement spécial et en effet, je suis spécial, je suis un français en Amérique du Nord, je suis au Canada, le pays des caribous et des castors. Quelques minutes plus tard je suis levé, habillé et prêt à partir à la découverte de ma nouvelle ville. Tout dabord, je veux aller downtown (au centre-ville) pour prendre un petit déjeuner canadien : ufs, bacon, pancakes, fruits, sirop dérable Awww pour moi qui adore la nourriture, cest vraiment LE PARADIS ! En chemin je marrête à Tim Horton et je demande un hot chocolate et Oh mon Dieu On me sert un délicieux chocolat chaud to go (à emporter) à la vanille surmonté de whipped cream (Crème fouettée / Chantilly). Je continue mon aventure au milieu de la ville dans la sérénité ambiante, tout est propre, tout est vert. La nature est omniprésente dans la ville, les paysages, les rues et bâtiments sont immenses, cest tellement beau, tellement différent de là doù je viens. Jentends les gens qui parlent en anglais autour de moi, je ne comprends que quelques mots mais jadore être ici et je néchangerais ma place pour rien au monde. Je traverse désormais un mall (centre commercial) et fais quelques arrêts dans les magasins, cest incroyable de découvrir ce quest une ville bilingue. En me voyant les vendeurs me disent « Hey, how are you doing today ? » après quelques secondes ils comprennent que je suis un étranger, ils me sourient et me tutoient en enchaînant avec un « Salut, comment ça va ? Est-ce que je peux taider ? ». Cétait donc vrai, les Canadiens sont gentils, tolérants et civiques, ils sont toujours prêts à aider les autres cest incroyable ! Je poursuis ma route sans pouvoir me débarrasser de ce sourire plus embarrassant quune banane à la place de la bouche. Je repense encore à tous les avantages de la vie au Canada de façon aléatoire : les magasins ouverts 24h/24 7j/7, les films et séries en même temps que les États-Unis, les restaurants chinois, afghans, africains, japonais, italiens éthiopiens, les bars Canadiens, les Canadiens et les Canadiennes , la possibilité de rencontrer des gens du monde entier, le contact facile avec les gens et et euh et « snif snif » huumm bagels canelle-raisins, et blueberry muffins, mon nez ne me trahit pas je viens darriver à destination. Je vais devoir vous quitter car mon ptit déj. de rêve mattends. À très bientôt pour la suite et fin de cet article, Jérôme Paradis Versus Enfer Bravo Mourad ! Tu as tout démystifié ! Moi je propose ce texte: Vivre au Canada : le paradis ou l'histoire d'un rêve devenu réalité ! Aujourd'hui je me réveille et je suis au paradis. En fait, je suis enfin à Ottawa au Canada. J'ouvre la fenêtre de ma chambre et j'entends les oiseaux qui chantent, j'aperçois deux écureuils qui jouent ensemble, aussitôt je réalise que ce n'est pas un rêve, c'est bien réel : JE SUIS ENFIN AU CANADA ! Quelle aventure excitante, je me rends compte que je vis une expérience unique, cela me rend si fier car j'ai eu le courage de tout quitter. Je me sens unique, je me sens tellement spécial et en effet, je suis spécial, je suis un français en Amérique du Nord, je suis au Canada, le pays des caribous et des castors. Quelques minutes plus tard je suis levé, habillé et prêt à partir à la découverte de ma nouvelle ville. Tout d'abord, je veux aller downtown (au centre-ville) pour prendre un petit déjeuner canadien : ufs, bacon, pancakes, fruits, sirop d'érable Awww pour moi qui adore la nourriture, c'est vraiment LE PARADIS ! En chemin je m'arrête à Tim Horton et je demande un hot chocolate et Oh mon Dieu On me sert un délicieux chocolat chaud to go (à emporter) à la vanille surmonté de whipped cream (Crème fouettée / Chantilly). Je continue mon aventure au milieu de la ville dans la sérénité ambiante, tout est propre, tout est vert. La nature est omniprésente dans la ville, les paysages, les rues et bâtiments sont immenses, c'est tellement beau, tellement différent de là d'où je viens. J'entends les gens qui parlent en anglais autour de moi, je ne comprends que quelques mots mais j'adore être ici et je n'échangerais ma place pour rien au monde. Je traverse désormais un mall (centre commercial) et fais quelques arrêts dans les magasins, c'est incroyable de découvrir ce qu'est une ville bilingue. En me voyant les vendeurs me disent « Hey, how are you doing today ? » après quelques secondes ils comprennent que je suis un étranger, ils me sourient et me tutoient en enchaînant avec un « Salut, comment ça va ? Est-ce que je peux t'aider ? ». C'était donc vrai, les Canadiens sont gentils, tolérants et civiques, ils sont toujours prêts à aider les autres c'est incroyable ! Je poursuis ma route sans pouvoir me débarrasser de ce sourire plus embarrassant qu'une banane à la place de la bouche. Je repense encore à tous les avantages de la vie au Canada de façon aléatoire : les magasins ouverts 24h/24 7j/7, les films et séries en même temps que les États-Unis, les restaurants chinois, afghans, africains, japonais, italiens éthiopiens, les bars Canadiens, les Canadiens et les Canadiennes , la possibilité de rencontrer des gens du monde entier, le contact facile avec les gens et et euh et « snif snif » huumm bagels canelle-raisins, et blueberry muffins, mon nez ne me trahit pas je viens d'arriver à destination. Je vais devoir vous quitter car mon p'tit déj. de rêve m'attends. À très bientôt pour la suite et fin de cet article, Jérôme Moi je propose ca Merci pour ton lien Mourad qui propose une autre réalité, un autre vécu. Le type en tout cas commence à apprendre l'anglais Les deux textes sont dans le même blog. Il s'est amusé comme un petit fou, le gars ! Citer
Habitués kobico Posté(e) 20 mars 2011 Habitués Posté(e) 20 mars 2011 Moi je propose ce texte: Vivre au Canada : le paradis ou lhistoire dun rêve devenu réalité ! Aujourdhui je me réveille et je suis au paradis. En fait, je suis enfin à Ottawa au Canada. Jouvre la fenêtre de ma chambre et jentends les oiseaux qui chantent, japerçois deux écureuils qui jouent ensemble, aussitôt je réalise que ce nest pas un rêve, cest bien réel : JE SUIS ENFIN AU CANADA ! Quelle aventure excitante, je me rends compte que je vis une expérience unique, cela me rend si fier car jai eu le courage de tout quitter. Je me sens unique, je me sens tellement spécial et en effet, je suis spécial, je suis un français en Amérique du Nord, je suis au Canada, le pays des caribous et des castors. Quelques minutes plus tard je suis levé, habillé et prêt à partir à la découverte de ma nouvelle ville. Tout dabord, je veux aller downtown (au centre-ville) pour prendre un petit déjeuner canadien : ufs, bacon, pancakes, fruits, sirop dérable Awww pour moi qui adore la nourriture, cest vraiment LE PARADIS ! En chemin je marrête à Tim Horton et je demande un hot chocolate et Oh mon Dieu On me sert un délicieux chocolat chaud to go (à emporter) à la vanille surmonté de whipped cream (Crème fouettée / Chantilly). Je continue mon aventure au milieu de la ville dans la sérénité ambiante, tout est propre, tout est vert. La nature est omniprésente dans la ville, les paysages, les rues et bâtiments sont immenses, cest tellement beau, tellement différent de là doù je viens. Jentends les gens qui parlent en anglais autour de moi, je ne comprends que quelques mots mais jadore être ici et je néchangerais ma place pour rien au monde. Je traverse désormais un mall (centre commercial) et fais quelques arrêts dans les magasins, cest incroyable de découvrir ce quest une ville bilingue. En me voyant les vendeurs me disent « Hey, how are you doing today ? » après quelques secondes ils comprennent que je suis un étranger, ils me sourient et me tutoient en enchaînant avec un « Salut, comment ça va ? Est-ce que je peux taider ? ». Cétait donc vrai, les Canadiens sont gentils, tolérants et civiques, ils sont toujours prêts à aider les autres cest incroyable ! Je poursuis ma route sans pouvoir me débarrasser de ce sourire plus embarrassant quune banane à la place de la bouche. Je repense encore à tous les avantages de la vie au Canada de façon aléatoire : les magasins ouverts 24h/24 7j/7, les films et séries en même temps que les États-Unis, les restaurants chinois, afghans, africains, japonais, italiens éthiopiens, les bars Canadiens, les Canadiens et les Canadiennes , la possibilité de rencontrer des gens du monde entier, le contact facile avec les gens et et euh et « snif snif » huumm bagels canelle-raisins, et blueberry muffins, mon nez ne me trahit pas je viens darriver à destination. Je vais devoir vous quitter car mon ptit déj. de rêve mattends. À très bientôt pour la suite et fin de cet article, Jérôme Paradis Versus Enfer Heureusement que tu es là , toi! macipsa13 a réagi à ceci 1 Citer
Invité Posté(e) 20 mars 2011 Posté(e) 20 mars 2011 Intéressant, en effet; c'est le même blog. Deux façons de voir les choses. Citer
Invité Posté(e) 20 mars 2011 Posté(e) 20 mars 2011 Paradis Versus Enfer Merci Mourad. Je n'avais pas vu sa version paradis. C'est vraiment très bon. Deux visions extrêmes d'une même réalité Citer
Habitués tartan Posté(e) 20 mars 2011 Habitués Posté(e) 20 mars 2011 Quel talent ce Mourad... et merci pour cette recherche de vie fictive... ecrite sur le meme blog excellent! Citer
Invité Posté(e) 20 mars 2011 Posté(e) 20 mars 2011 Mais n'oubliez pas que c'est : Touriste Vs Immigrant (étudiant) Saam cherche à gâcher la petite fête Kweli a réagi à ceci 1 Citer
Invité Posté(e) 20 mars 2011 Posté(e) 20 mars 2011 (modifié) Mais n'oubliez pas que c'est : Touriste Vs Immigrant (étudiant) Saam cherche à gâcher la petite fête Non, non, Saam; je me suis fait la même réflexion. Ce Jérôme, au demeurant fort sympa et amusant (bel exercice en effet) est un étudiant. Sa vision des choses est forcément différence d'une famille qui arrive ici et dont le père doit se trouver rapidement du boulot pour nourrir sa famille. Et puis ce genre d'exercice pourrit être repris partout : un type pourrait faire la même chose à Sherbrooke, à Calgary, à Paris, à Barcelone, à Marseille. Modifié 20 mars 2011 par Ensaimada Citer
Invité Posté(e) 21 mars 2011 Posté(e) 21 mars 2011 Non, non, Saam; je me suis fait la même réflexion. Ce Jérôme, au demeurant fort sympa et amusant (bel exercice en effet) est un étudiant. Sa vision des choses est forcément différence d'une famille qui arrive ici et dont le père doit se trouver rapidement du boulot pour nourrir sa famille. Et puis ce genre d'exercice pourrit être repris partout : un type pourrait faire la même chose à Sherbrooke, à Calgary, à Paris, à Barcelone, à Marseille. Bon très bien si tu le dis Citer
Habitués Baker & Hattaway Posté(e) 21 mars 2011 Habitués Posté(e) 21 mars 2011 Ah bah si on n'a pas les deux versions, on peut se crinquer ! Citer
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