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Parce que c'est aussi ça, le CANADA


may_line

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Qui osera poster des photos ? ph34r.gif

... juste à titre pédagogique bien sûr ! Ce sujet est tout approprié selon petiboudange :lol:

Modifié par Volvic
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Comme diraient certains, chaque liberté a ses limites, ce qui fait de celle-ci une valeur indiscutable. Tout ce qu'un homme a droit, la femme en a droit et ce n'est pas moi qui serai contre cette égalité. Je suis contre les "hommes maitres de la femme", toutes les sévices minables faites aux femmes quelque soit la raison. Par contre, tout ce qui va à l'encontre de l'équilibre de la société, je suis du camp de ceux qui sont fermes dans leur position car il y a des droits indiscutables admis par tous. Sur le sujet présent, je trouve des gens qui sont à mon avis, accrochés à un droit fondamental de toute l'humanité "le droit de vivre". Même dans le droit positif de certains pays occidentaux comme la France, cette phrase religieuse y existe "Nul n'a le droit d'ôter la vie d'autrui", et ma conscience m'en voudrait de ne pas les soutenir. Ces derniers sont d'une extrême lucidité et je souhaite qu'ils ne devient pas sur leur combat. La vie est sacrée et tout moyen qui pourrait la protéger de façon ferme permanente, je poserai mon vote si j'avais droit. Alors, je ne suis pas pour un choix d'avortement hors dépendance physique (maladie grave), viol et maladie incurable du futur enfant. Ce n'est pas une question de religion, ni de culture, mais une question de conscience individuelle. En plus, je me suis engagé dans des études médicales pour aider à donner la vie, la protéger, je me verrai mal de l'empêcher, ou à l'abréger. Pas pour autant que je ne comprends pas votre choix d'avoir un droit d'avortement, mais en l'état actuel c'est malheureusement ceux qui semblent être du camp que je soutienne, qui sont au pouvoir et ont lancé le débat.

N'étant pas français, mais vivant en France où une décision impopulaire est devenue une valeur cardinale admise par tous, j'en suis confiant que Monsieur Stephen Harper est sur la bonne pente. La peine de mort a été abolie en 1981 par la gauche en France contre l'opinion publique et ses détracteurs la droite. cette même droite est revenue au pouvoir en 1995, 2002 et 2007, mais jamais ils n'ont songé à la rétablir. Il était temps que cette peine de mort disparaisse dans un pays de droit de l'Homme soit dit en passant car " il serait incohérent de vouloir condamner un acte jugé criminel et commettre soi même cet acte".

C'est bien beau ce que tu dis sur la sacralité de la vie. Par contre, tout au long de ce fil, j'ai vu bien davantage , et je ne suis pas la seule, tes jugements sur la frivolité des comportements des femmes. Tu vas jusqu'à prôner l'abstinence sexuelle avant le mariage. Cela en dit long sur tes valeurs. C'est mal. Le plaisir sexuel est mal.

Je prône l'abstinence pour tous ceux ou celles qui sont incapables d'assumer les conséquences collatérales du plaisir sexuel et qui pourrait gêner l'équilibre de la société par la pratique de tout ce qui irait à l'encontre du droit fondamental de l'humanité " le droit immuable à la vie".

Saw, plein de gens partout dans le monde n'ont pas la « sagesse » et la maturité voulues pour procréer et pourtant ils le font. Parfois, les résultats ne sont pas trop mauvais, mais bien souvent, les enfants qui naissent de ce genre d'unions (couples trop jeunes et sans ressources, couples toxicomanes) se retrouvent à errer d'une famille d'accueil à l'autre, avec eux-mêmes des problèmes de comportement. En tant que futur médecin, vous n'êtes pas sans savoir qu'un enfant né de parents toxicomanes est déjà mal parti en venant au monde.

Certains enfants peuvent ainsi vivoter dans une dizaine, voire une quinzaine de famillles d'accueil. Ces enfants sont en détresse et malgré les services que nous avons dans notre société, ce n'est pas suffisant et beaucoup se retrouvent à la rue, très jeunes, et tombent à leur tour dans le cercle vicieux du décrochage, de l'itinérance, de la drogue, etc. Vous croyez que c'est mieux d'avoir une telle société ... d'avoir de tels êtres humains qui sont malheureux ?

J'ai aussi noté que vous semblez assimiler la femme à la Ève de la Bible, la pécheresse, celle par qui tous les maux arrivent. Comme l'ont souligné plusieurs personnes, vous évoquerz souvent le libertinage de la femme, ses moeurs, etc. Pourtant, lorsqu'il y a, comme vous dites, libertinage, c'est bien qu'il y a un homme dans les environs, non ?

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Ben dans les cas exceptionnels ( maladies graves de la mère ou viol) OUI à l'avortement. Si le futur bébé présente déjà une maladie grave incurable, OUI à l'eugénisme donc avortement. Par contre, NON dans les cas de convenance personnelle. Toutes les traitements abominables que tu as cités ci haut en gras doivent être sévèrement punis par la loi tout comme on punit l'avortement hors cas exceptionnels. Pour cela, il faut des mesures radicales, car si on ne peut pas assumer (l'homme et la femme), on ne fait pas ce qu'il faut pour former une cellule vitale.

j'espère que tu ignores le sens de ce mot, sinon, tu n'étais pas bien haut dans mon estime, mais là tu viens de toucher le fond :

un petit rappel , monsieur le moralisateur SAW :

Leugénisme peut être désigné comme lensemble des méthodes et pratiques visant à améliorer le patrimoine génétique de lespèce humaine. Il peut être le fruit dune politique délibérément menée par un État. Il peut aussi être le résultat collectif dune somme de décisions individuelles convergentes prises par les futurs parents, dans une société où primerait la recherche de l « enfant parfait », ou du moins indemne de nombreuses affections graves.

Ce souhait, qui existe depuis l'antiquité peut se traduire par une politique volontariste d'éradication des caractères jugés handicapants ou de favoriser des caractères jugés bénéfiques.

On peut distinguer l'eugénisme de la préoccupation d'assurer à ses enfants le « meilleur » coreproducteur (quoique « meilleur » puisse signifier : taille des cornes, couleurs des plumes, ou étendue du patrimoine ou de la culture, etc.), ainsi que de la pratique qui consiste à favoriser le plus prometteur de ses enfants. Ces stratégies ne se préoccupent pas du devenir de l'espèce humaine, mais seulement de l'avenir de ses propres enfants ou de sa famille.

L'eugénisme pose de sérieuses questions éthiques car il implique une sélection portant nécessairement une part de subjectivité et une part de contrainte, ne serait-ce qu'envers les embryons écartés, ou à l'égard des individus incités à se reproduire, voire à se reproduire avec telle personne et nulle autre.

L'histoire du xxe siècle a fourni des exemples de graves dérives morales associées aux politiques eugéniques.

Dans la période contemporaine, les progrès du génie génétique et le développement des techniques de procréation médicale assistée ont ouvert de nouvelles possibilités médicales (diagnostic prénatal, diagnostic préimplantatoire...) qui ont nourri les débats concernant la convergence des techniques bio-médicales et des pratiques sélectives.

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Ben dans les cas exceptionnels ( maladies graves de la mère ou viol) OUI à l'avortement. Si le futur bébé présente déjà une maladie grave incurable, OUI à l'eugénisme donc avortement. Par contre, NON dans les cas de convenance personnelle. Toutes les traitements abominables que tu as cités ci haut en gras doivent être sévèrement punis par la loi tout comme on punit l'avortement hors cas exceptionnels. Pour cela, il faut des mesures radicales, car si on ne peut pas assumer (l'homme et la femme), on ne fait pas ce qu'il faut pour former une cellule vitale.

j'espère que tu ignores le sens de ce mot, sinon, tu n'étais pas bien haut dans mon estime, mais là tu viens de toucher le fond :

un petit rappel , monsieur le moralisateur SAW :

L'eugénisme peut être désigné comme l'ensemble des méthodes et pratiques visant à améliorer le patrimoine génétique de l'espèce humaine. Il peut être le fruit d'une politique délibérément menée par un État. Il peut aussi être le résultat collectif d'une somme de décisions individuelles convergentes prises par les futurs parents, dans une société où primerait la recherche de l' « enfant parfait », ou du moins indemne de nombreuses affections graves.

Ce souhait, qui existe depuis l'antiquité peut se traduire par une politique volontariste d'éradication des caractères jugés handicapants ou de favoriser des caractères jugés bénéfiques.

On peut distinguer l'eugénisme de la préoccupation d'assurer à ses enfants le « meilleur » coreproducteur (quoique « meilleur » puisse signifier : taille des cornes, couleurs des plumes, ou étendue du patrimoine ou de la culture, etc.), ainsi que de la pratique qui consiste à favoriser le plus prometteur de ses enfants. Ces stratégies ne se préoccupent pas du devenir de l'espèce humaine, mais seulement de l'avenir de ses propres enfants ou de sa famille.

L'eugénisme pose de sérieuses questions éthiques car il implique une sélection portant nécessairement une part de subjectivité et une part de contrainte, ne serait-ce qu'envers les embryons écartés, ou à l'égard des individus incités à se reproduire, voire à se reproduire avec telle personne et nulle autre.

L'histoire du xxe siècle a fourni des exemples de graves dérives morales associées aux politiques eugéniques.

Dans la période contemporaine, les progrès du génie génétique et le développement des techniques de procréation médicale assistée ont ouvert de nouvelles possibilités médicales (diagnostic prénatal, diagnostic préimplantatoire...) qui ont nourri les débats concernant la convergence des techniques bio-médicales et des pratiques sélectives.

Merci Equinox de relever. J'avais bien lu, mais n'osait rien dire (ou écrire). Je crois que Saw ne connait pas le sens du mot eugénise, du moins je l'espère !!!!

Merci par ailleurs, Equinox, pour vos commentaires éclairés de médecin au sujet de l'avortement. J'ai apprécié que vous souligniez le fait que les femmes qui veulent se faire avorter n'entrent pas comme ça dans un cabinet et en ressortent aussi facilement après avoir avorté. Il y a une rencontre, une période de réflexion, une énorme pression sociale (comme vous l'avez justement souligné) ... et la femme sort toujours de cette expérience meurtrie et souvent dévastée. Elle a un vrai deuil à faire.

Et il est toujours facile de juger les autres lorsqu'on n'est pas dans leurs souliers ...

Et vous savez, Saw, il est toujours facile de juger les autres lorsqu'on n'est pas dans leurs souliers ...

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Bien dit Enseimeda. Mon point de vue est simple: Le corps de la femme lui appartient. Toute decision ne peut etre pris que par elle. Si le pere veut garder l'enfant, il peut dire qu'il sera la. C'est un facteur de decision pour celle qui porte l'embryon.

Pour moi le debat est clot.

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Jusqu'à la 10ème semaine, l'embryon n'a pas d'organe. Au delà, le foetus a un corps, des membres, un cerveau, un coeur qui bat, etc. Et au delà de 22 semaines, l'enfant est viable. J'ai du mal à considérer qu'à ce stade l'enfant n'a aucune reconnaissance humaine, et que la femme peut l'éliminer comme si de rien n'était. D'ailleurs, c'est contradictoire puisqu'elles même disent la souffrance psychologique d'une ivg/img mais en même temps ne reconnaissent pas l'implication humaine du foetus dans cette souffrance. Je pense que l'on devrait accorder un statut au foetus selon l'avancée de la grossesse. Et le projet de loi du 1er Ministre Harper permet justement de considérer qu'il ne se passe pas rien quand une femme enceinte perd son enfant suite à une agression.

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Jusqu'à la 10ème semaine, l'embryon n'a pas d'organe. Au delà, le foetus a un corps, des membres, un cerveau, un coeur qui bat, etc. Et au delà de 22 semaines, l'enfant est viable. J'ai du mal à considérer qu'à ce stade l'enfant n'a aucune reconnaissance humaine, et que la femme peut l'éliminer comme si de rien n'était. D'ailleurs, c'est contradictoire puisqu'elles même disent la souffrance psychologique d'une ivg/img mais en même temps ne reconnaissent pas l'implication humaine du foetus dans cette souffrance. Je pense que l'on devrait accorder un statut au foetus selon l'avancée de la grossesse. Et le projet de loi du 1er Ministre Harper permet justement de considérer qu'il ne se passe pas rien quand une femme enceinte perd son enfant suite à une agression.

Bien sûr qu'elles reconnaisent l'implication humaine de leur acte...mais il y a aussi des implications socio-économiques et plutôt que de mettre le petit sur le perron d'une église ou au pire dans une poubelle, autant faire un avortement.

D'autre part, la conscience d'un enfant s'éveille progressivement depuis la naissance jusqu'à l'age adulte par les interaction psycho-sociale avec son milieu. Alors parler de conscience du foetus me parait une supposition sujette à caution.

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Qui osera poster des photos ? ph34r.gif

... juste à titre pédagogique bien sûr ! Ce sujet est tout approprié selon petiboudange :lol:

C'est ça prêtes moi donc des intentions.

Tu as raison, la prévention c'est pas le sujet, l'interdiction/la limitation pure et simple c'est tellement plus intelligent et ça règle tous les problèmes c'est bien connu, c'est d'ailleurs pour ça qu'il n'y a AUCUN cas de dérapages dans les pays qui interdisent ou qui limitent :ph34r:

Ce doit être mon troisième trimestre mais j'ai comme une envie de gerber...

Modifié par petiboudange
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Bien sûr qu'elles reconnaisent l'implication humaine de leur acte...mais il y a aussi des implications socio-économiques et plutôt que de mettre le petit sur le perron d'une église ou au pire dans une poubelle, autant faire un avortement.

D'autre part, la conscience d'un enfant s'éveille progressivement depuis la naissance jusqu'à l'age adulte par les interaction psycho-sociale avec son milieu. Alors parler de conscience du foetus me parait une supposition sujette à caution.

Il n'y a aucune implication juridique de la grossesse. Légalement, une femme enceinte n'a aucun statut particulier, et pour une femme qui perderait son foetus, il ne se passe rien. Ça montre bien que l'aspect juridique ne représente en rien la situation sociale. Légiférer ne veut pas interdire ni favoriser les abandons. Ça donnerait plus de droits aux femmes.

Ce doit être mon troisième trimestre mais j'ai comme une envie de gerber...

Ton troisième trimestre de quoi ? Juridiquement, ce que tu vis actuellement n'existe pas.

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je ne vois pas pourquoi il faudrait légiférer la grossesse, ce n'est pas un délit que je sache. Faudra t-il une loi pour aller faire potpot ?sleep.gif

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La législation ne sert pas uniquement aux délits. Tu as une vision étriquée de ce qu'est la loi. Ça définit aussi les droits et les libertés des gens.

Modifié par Volvic
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Du grand n'importe quoi, je rappelle que tout ce qui n'est pas interdit est autorisé... et les bien pensants qui mettent un cadre autour de pratiques, c'est toujours pour les limiter. Dans le langage conservateur, cela s'appelle proteger...

Il n'y a besoin de legiferer uniquement si il y a conflit ou problematique... Les conservateurs sont les premiers pour en inventer quand cela les arrange: Un bel exemple est le fichier des armes qu'ils voudraient voir supprimer.

Modifié par Benoit6ft6
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Du grand n'importe quoi, je rappelle que tout ce qui n'est pas interdit est autorisé... et les bien pensants qui mettent un cadre autour de pratiques, c'est toujours pour les limiter. Dans le langage conservateur, cela s'appelle proteger...

Justement c'est le cas. Les femmes ont peur de perdre leur possiblité à l'ivg parce qu'il n'est pas inscrit dans la loi. Inscrire ce droit dans la loi permet de le protéger.

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La loi indique la date limite d'avortement. Donc de fait par defaut, elle reconnait que ce droit existe.

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La loi indique la date limite d'avortement. Donc de fait par defaut, elle reconnait que ce droit existe.

On parle du Canada ;)

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Du grand n'importe quoi, je rappelle que tout ce qui n'est pas interdit est autorisé... et les bien pensants qui mettent un cadre autour de pratiques, c'est toujours pour les limiter. Dans le langage conservateur, cela s'appelle proteger...

Justement c'est le cas. Les femmes ont peur de perdre leur possiblité à l'ivg parce qu'il n'est pas inscrit dans la loi. Inscrire ce droit dans la loi permet de le protéger.

Et pour Benoit, moi et d'autres c'est limiter, non protéger.

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Et pour Benoit, moi et d'autres c'est limiter, non protéger.

Les mouvements anarchistes pensent comme ça. Mais la Charte des Droits et Libertés de la personne, la Déclaration des droits de l'homme, la Constitution et autres textes de lois préservent bel et bien nos libertés.

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Personnellement, les manoeuvres des CONS-servateurs pour entrer par la petite porte dans les droits des femmes ne m'impressionnent pas PANTOUTE!

Les droits des foetus? Ah, oui? Aux dernières nouvelles, la personne acquiert une identité juridique À LA NAISSANCE. Avant, on n'a ni nom, ni adresse, ni identité. Seuls les Chinois reconnaissent que la vie commence neuf mois avant la naissance et enregistrent leur date de naissance en conséquence. Pour tous les autres, y compris ceux qui se prétendent grands défenseurs des droits du foetus, l'identité juridique commence à la naissance, point barre! Je suis née le xx/xx/19xx. Avant ça je n'existais pas, rien, nada!

Quand bien même le foetus aurait des droits, pourquoi en aurait-il plus que sa mère? En vertu de quoi sa souffrance compterait-il plus que celle de sa mère? Parce qu'il n'a rien demandé? Justement! Il n'a demandé ni à naître, ni à vivre, non? La mère n'a pas demandé à donner la vie sans le vouloir, non plus. Elle est née avec des ovules et personne, à ma connaissance, n'a jamais demandé à naître avec une paire d'ovaires.

Faque la petite rhétorique néoconne, pour ma part, vous pouvez vous la mettre où vous voulez.

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