Aller au contenu

Messages recommandés

Posté(e)

mon mari et moi sommes commerçant dans l'alimentation, nous avons 39 ans et nous désirons changer. comment achete t on un commerce au québec, qu'elles sont les démarches. côté administratif est ce que c'est aussi lourd qu'en France. les charges salariales sont elles énormes ? actuellement nous avons une boucherie charcuterie qui marche très bien mais on aimerais changer de branche, un motel ou créperie ou pizzaria ou sandwicherie etc... notre anglais est quasiment nul. merci par avance de vos réponses. :lol:

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Le meilleur conseil que je puisse vous donner, c'est de ne pas vous précipiter pour acheter quoi que ce soit. Le marché est très différent, la clientèle est très différente (et ses goûts aussi), et c'est très facile de se faire avoir. Si vous souhaitez vous installer ici, vous devriez d'abord vous trouver un emploi dans le type de commerce qui vous intéresse, de façon à vous familiariser avec le domaine tel qu'il se pratique ici.

Par ailleurs dans ce genre de commerce, l'anglais sera probablement nécessaire (je dis probablement parce que ça peut dépendre des régions) et donc vous avez tout intérêt à vous y mettre.

Modifié par bencoudonc
Posté(e)

actuellement nous avons une boucherie charcuterie qui marche très bien mais on aimerais changer de branche, un motel ou créperie ou pizzaria ou sandwicherie etc...

Eh bien c'est dommage, la boucherie c'est plutôt un beau créneau pour celui qui sait y faire...donc pas d'affolo avec les procédures, c'est simple, suffit d'avoir le cash le reste c'est de l'ordre du détail insignifiant.

Le plus important c'est le plan d'affaires et il vaut mieux être sur place pour fait l'étude qui va bien.

Bosser dans le secteur qui vous intéresse quelques mois, pas la peine d'y passer des années, quand on est un pro, on pige vite puis c'est du classique : l'emplacemenent, l'emplacement et l'emplacement

Juste un dernier conseil : prenez tout le secteur de la restauration avec des pincettes

Posté(e)

actuellement nous avons une boucherie charcuterie qui marche très bien mais on aimerais changer de branche, un motel ou créperie ou pizzaria ou sandwicherie etc...

Eh bien c'est dommage, la boucherie c'est plutôt un beau créneau pour celui qui sait y faire...donc pas d'affolo avec les procédures, c'est simple, suffit d'avoir le cash le reste c'est de l'ordre du détail insignifiant.

Le plus important c'est le plan d'affaires et il vaut mieux être sur place pour fait l'étude qui va bien.

Bosser dans le secteur qui vous intéresse quelques mois, pas la peine d'y passer des années, quand on est un pro, on pige vite puis c'est du classique : l'emplacemenent, l'emplacement et l'emplacement

Juste un dernier conseil : prenez tout le secteur de la restauration avec des pincettes

merci pour la réponse justement dans notre branche qui est la boucherie comment cela se passe au québec y a t il de la demande et comment cela se passe au niveau charges etc... car en France on est de plus en plus ponctionné et notre métier n'est pas reconnu, la nouvelle génération a tendance à choisir la facilité c'est à dire les grandes surfaces,je dis ca car c'est notre deuxième affaire et on se rend compte que l'alimentation n'est pas toujours une priorité pour la population mais c'est vrai aussi que la viande est chère, nous même nous la payions de plus en plus cher pour avoir de la qualité.

Posté(e)

actuellement nous avons une boucherie charcuterie qui marche très bien mais on aimerais changer de branche, un motel ou créperie ou pizzaria ou sandwicherie etc...

Eh bien c'est dommage, la boucherie c'est plutôt un beau créneau pour celui qui sait y faire...donc pas d'affolo avec les procédures, c'est simple, suffit d'avoir le cash le reste c'est de l'ordre du détail insignifiant.

Le plus important c'est le plan d'affaires et il vaut mieux être sur place pour fait l'étude qui va bien.

Bosser dans le secteur qui vous intéresse quelques mois, pas la peine d'y passer des années, quand on est un pro, on pige vite puis c'est du classique : l'emplacemenent, l'emplacement et l'emplacement

Juste un dernier conseil : prenez tout le secteur de la restauration avec des pincettes

merci pour la réponse justement dans notre branche qui est la boucherie comment cela se passe au québec y a t il de la demande et comment cela se passe au niveau charges etc... car en France on est de plus en plus ponctionné et notre métier n'est pas reconnu, la nouvelle génération a tendance à choisir la facilité c'est à dire les grandes surfaces,je dis ca car c'est notre deuxième affaire et on se rend compte que l'alimentation n'est pas toujours une priorité pour la population mais c'est vrai aussi que la viande est chère, nous même nous la payions de plus en plus cher pour avoir de la qualité.

  • Habitués
Posté(e)

Je pense que le marché sensiblement le même qu'en France ... Les gens vont plutôt au supermarché pour leur viande ... Rarement chez le boucher ... Je dis pas que personne y va, mais bon disons qu'il vaut mieux être dans un secteur avec plein de petit commerce et que les gens se déplace à pied pour implanter une boucherie ... Parce que bon sinon les gens vont simplement aux supermarchés ! J'ai jamais mis les pieds chez un boucher ... Toujours fait mes courses en supermarché !

  • Habitués
Posté(e)

Je pense que le marché sensiblement le même qu'en France ... Les gens vont plutôt au supermarché pour leur viande ... Rarement chez le boucher ... Je dis pas que personne y va, mais bon disons qu'il vaut mieux être dans un secteur avec plein de petit commerce et que les gens se déplace à pied pour implanter une boucherie ... Parce que bon sinon les gens vont simplement aux supermarchés ! J'ai jamais mis les pieds chez un boucher ... Toujours fait mes courses en supermarché !

Sacrilège! tu n'as jamais essayé la boucherie sur de Vitré?

Sérieux, y aller une fois, c'est l'adopter!

  • Habitués
Posté(e)

Tu trouveras plein d'infos sur ce site, très complet et avec beaucoup de liens :

http://www.entreprisescanada.ca/servlet/ContentServer?cid=1184863764589&pagename=CBSC_FE%2FCBSC_WebPage%2FCBSC_WebPage_Temp&lang=fr&c=CBSC_WebPage

Bonne lecture ... :)

Posté(e)

actuellement nous avons une boucherie charcuterie qui marche très bien mais on aimerais changer de branche, un motel ou créperie ou pizzaria ou sandwicherie etc...

Eh bien c'est dommage, la boucherie c'est plutôt un beau créneau pour celui qui sait y faire...donc pas d'affolo avec les procédures, c'est simple, suffit d'avoir le cash le reste c'est de l'ordre du détail insignifiant.

Le plus important c'est le plan d'affaires et il vaut mieux être sur place pour fait l'étude qui va bien.

Bosser dans le secteur qui vous intéresse quelques mois, pas la peine d'y passer des années, quand on est un pro, on pige vite puis c'est du classique : l'emplacemenent, l'emplacement et l'emplacement

Juste un dernier conseil : prenez tout le secteur de la restauration avec des pincettes

merci pour la réponse justement dans notre branche qui est la boucherie comment cela se passe au québec y a t il de la demande et comment cela se passe au niveau charges etc... car en France on est de plus en plus ponctionné et notre métier n'est pas reconnu, la nouvelle génération a tendance à choisir la facilité c'est à dire les grandes surfaces,je dis ca car c'est notre deuxième affaire et on se rend compte que l'alimentation n'est pas toujours une priorité pour la population mais c'est vrai aussi que la viande est chère, nous même nous la payions de plus en plus cher pour avoir de la qualité.

Ici on trouve de la viande à tous les prix. Cela ne veut d'ailleur pas dire que la qualité est fonction du prix...Mais la vraie question est de savoir si des bouchers indépendants peuvent tirer leur épingle du jeu. La réponse est oui (je parle de Montréal ou Laval. La région,je ne connais pas)

Mais ça ne veut pas dire qu'on gagne à tous les coups. Les règles du commerce s'applique : une bonne zone de chalandise, l'emplacement et l'assortiment (qui peut aller bien au delà de la boucherie : de l'épicerie fine au fromage et l'imagination est sans borne.

Les charges sont bien plus faibles qu'en france, les contrats de travail hyper légers, le licenciement immédiat et l'embauche aussi...le problème va venir de l'instabilité de la main d'oeuvre et de la difficulté à trouver des bouchers expérimentés (plus rares que les ingénieurs)

Les coûts sont bien plus faibles qu'en France, de ce fait le seuil de rentabilité est plus bas et donc les chances de survie et d'expansion plus grande...

  • Habitués
Posté(e)

actuellement nous avons une boucherie charcuterie qui marche très bien mais on aimerais changer de branche, un motel ou créperie ou pizzaria ou sandwicherie etc...

Eh bien c'est dommage, la boucherie c'est plutôt un beau créneau pour celui qui sait y faire...donc pas d'affolo avec les procédures, c'est simple, suffit d'avoir le cash le reste c'est de l'ordre du détail insignifiant.

Le plus important c'est le plan d'affaires et il vaut mieux être sur place pour fait l'étude qui va bien.

Bosser dans le secteur qui vous intéresse quelques mois, pas la peine d'y passer des années, quand on est un pro, on pige vite puis c'est du classique : l'emplacemenent, l'emplacement et l'emplacement

Juste un dernier conseil : prenez tout le secteur de la restauration avec des pincettes

merci pour la réponse justement dans notre branche qui est la boucherie comment cela se passe au québec y a t il de la demande et comment cela se passe au niveau charges etc... car en France on est de plus en plus ponctionné et notre métier n'est pas reconnu, la nouvelle génération a tendance à choisir la facilité c'est à dire les grandes surfaces,je dis ca car c'est notre deuxième affaire et on se rend compte que l'alimentation n'est pas toujours une priorité pour la population mais c'est vrai aussi que la viande est chère, nous même nous la payions de plus en plus cher pour avoir de la qualité.

Ici on trouve de la viande à tous les prix. Cela ne veut d'ailleur pas dire que la qualité est fonction du prix...Mais la vraie question est de savoir si des bouchers indépendants peuvent tirer leur épingle du jeu. La réponse est oui (je parle de Montréal ou Laval. La région,je ne connais pas)

Mais ça ne veut pas dire qu'on gagne à tous les coups. Les règles du commerce s'applique : une bonne zone de chalandise, l'emplacement et l'assortiment (qui peut aller bien au delà de la boucherie : de l'épicerie fine au fromage et l'imagination est sans borne.

Les charges sont bien plus faibles qu'en france, les contrats de travail hyper légers, le licenciement immédiat et l'embauche aussi...le problème va venir de l'instabilité de la main d'oeuvre et de la difficulté à trouver des bouchers expérimentés (plus rares que les ingénieurs)

Les coûts sont bien plus faibles qu'en France, de ce fait le seuil de rentabilité est plus bas et donc les chances de survie et d'expansion plus grande...

Bonjour,

Je rejoins ce point de vue. Il est important de diversifier l'activité. Mon fils est boucher de métier et travaille actuellement en supermarché IGA et je peux vous confirmer que le turn over est très fort. Ici c'est la loi de l'offre et de la demande.Comme les conditions d'embauches et de départs sont plus souples celà devient rapidement un casse-tête pour l'entrepreneur.

Les charges sociales sont effectivement plus basses. Il reste à trouver un emplacement adapté et un concept attrayant.

Bonne préparation.

Pierre.

Posté(e)

merci pour toutes vos réponses. encore plusieurs questions. nous avons 40 ans n'est ce pas trop agés pour le service immigration? nous avons plusieurs bien immobiliers en location (pensons à la retraite car de toute facon les caisses seront vides pour nous!!!!) plus notre maison tout ca à crédit bien sûr vaut-il mieux avant de partir tout vendre et solder nos crédits ou peut-on gérer à distance ? vaut-il mieux pour mon mari travailler sur place pour voir les méthodes de travail qui sont peut etre différentes ou lieu d'acheter un commerce tout de suite. les banques québécoise pretent elles facilement à des immigrants, je suppose qu'on doit avoir un apport suffisant. qu'elle est la part des charges pour une entreprise au québec ici nous payons l'URSSAF la PARUNION (caisse de retraite de la boucherie) les ASSEDIC la taxe foncière la taxe d'habitation l'impôt sur la société la médecine du travail etc.. et j'en passe des meilleurs....

  • Habitués
Posté(e)

ici nous payons l'URSSAF la PARUNION (caisse de retraite de la boucherie) les ASSEDIC la taxe foncière la taxe d'habitation l'impôt sur la société la médecine du travail etc.. et j'en passe des meilleurs....

Que de mauvais souvenirs, ha la PARUNION, ils n'officent pas que pour les bouchers, j'ai encore leurs P. de formulaires en tête ... mais heureusement ce ne sont que des souvenirs ! :lol::lol::B)

Posté(e)

merci pour toutes vos réponses. encore plusieurs questions. nous avons 40 ans n'est ce pas trop agés pour le service immigration? nous avons plusieurs bien immobiliers en location (pensons à la retraite car de toute facon les caisses seront vides pour nous!!!!) plus notre maison tout ca à crédit bien sûr vaut-il mieux avant de partir tout vendre et solder nos crédits ou peut-on gérer à distance ? vaut-il mieux pour mon mari travailler sur place pour voir les méthodes de travail qui sont peut etre différentes ou lieu d'acheter un commerce tout de suite. les banques québécoise pretent elles facilement à des immigrants, je suppose qu'on doit avoir un apport suffisant. qu'elle est la part des charges pour une entreprise au québec ici nous payons l'URSSAF la PARUNION (caisse de retraite de la boucherie) les ASSEDIC la taxe foncière la taxe d'habitation l'impôt sur la société la médecine du travail etc.. et j'en passe des meilleurs....

Primo pour les 40 ans, l'âge est un critère de sélection parmi d'autres. Il n'empêche rien et ne permet rien non plus. Vous n'aurez tout simplement pas le maximum de point sur ce critère la. Il suffira d'avoir vos points ailleurs (faites le test ici http://www.cic.gc.ca/francais/immigrer/qualifie/evaluer/index.asp)

Secondo, pour vos propriétés en France, vous pouvez naturellement les garder. Absolument rien ne l'empêche. Mais attention, si vous en retirez des revenus, le fisc français vous prélèvera un bon 20% (et peut être même 25%). Il est possible de gérer à distance par l'intermédiaire d'une agence qui vous prélèvera sa com au passage. Donc à vous de voir si c'est rentable. A priori, comme ce n'est pas forcément le moment de vendre de l'immobilier et que si vous vendez, il faudra placer le cash à des taux aujourd'hui peu intéressants, c'est envisageable.

Tertio, c'est instructif de travailler sur place pour connaître le consommateur, les méthodes de travail et pour voir les québécois à l'oeuvre. Si on ne connaît pas la mentalité locale, pas de business possible. Et cette mentalité là est assez éloignée de ce que l'on connaît en France. Parfois on en tombe sur le.... Une fois que l'on maîtrise bien ce paramètre alors on peut envisager de monter son business.

Pour les banques, que l'on vienne du Québec ou du Mozambique, si on a un bon plein d'affaire et un apport cohérent par rapport au projet, elle prête sans problème.

Pour les charges, je comprend la psychose quand on vient de la République populaire de France, mais tranquillisez vous, ça ne représente pas grand chose dans le commerce. Et puis en plus, divers montages sont possibles qui peuvent les réduire à rien ou presque...

Bonne chance à vous

  • Habitués
Posté(e)

merci pour toutes vos réponses. encore plusieurs questions. nous avons 40 ans n'est ce pas trop agés pour le service immigration? nous avons plusieurs bien immobiliers en location (pensons à la retraite car de toute facon les caisses seront vides pour nous!!!!) plus notre maison tout ca à crédit bien sûr vaut-il mieux avant de partir tout vendre et solder nos crédits ou peut-on gérer à distance ? vaut-il mieux pour mon mari travailler sur place pour voir les méthodes de travail qui sont peut etre différentes ou lieu d'acheter un commerce tout de suite. les banques québécoise pretent elles facilement à des immigrants, je suppose qu'on doit avoir un apport suffisant. qu'elle est la part des charges pour une entreprise au québec ici nous payons l'URSSAF la PARUNION (caisse de retraite de la boucherie) les ASSEDIC la taxe foncière la taxe d'habitation l'impôt sur la société la médecine du travail etc.. et j'en passe des meilleurs....

Primo pour les 40 ans, l'âge est un critère de sélection parmi d'autres. Il n'empêche rien et ne permet rien non plus. Vous n'aurez tout simplement pas le maximum de point sur ce critère la. Il suffira d'avoir vos points ailleurs (faites le test ici http://www.cic.gc.ca/francais/immigrer/qualifie/evaluer/index.asp)

Secondo, pour vos propriétés en France, vous pouvez naturellement les garder. Absolument rien ne l'empêche. Mais attention, si vous en retirez des revenus, le fisc français vous prélèvera un bon 20% (et peut être même 25%). Il est possible de gérer à distance par l'intermédiaire d'une agence qui vous prélèvera sa com au passage. Donc à vous de voir si c'est rentable. A priori, comme ce n'est pas forcément le moment de vendre de l'immobilier et que si vous vendez, il faudra placer le cash à des taux aujourd'hui peu intéressants, c'est envisageable.

Tertio, c'est instructif de travailler sur place pour connaître le consommateur, les méthodes de travail et pour voir les québécois à l'oeuvre. Si on ne connaît pas la mentalité locale, pas de business possible. Et cette mentalité là est assez éloignée de ce que l'on connaît en France. Parfois on en tombe sur le.... Une fois que l'on maîtrise bien ce paramètre alors on peut envisager de monter son business.

Pour les banques, que l'on vienne du Québec ou du Mozambique, si on a un bon plein d'affaire et un apport cohérent par rapport au projet, elle prête sans problème.

Pour les charges, je comprend la psychose quand on vient de la République populaire de France, mais tranquillisez vous, ça ne représente pas grand chose dans le commerce. Et puis en plus, divers montages sont possibles qui peuvent les réduire à rien ou presque...

Bonne chance à vous

Bonjour, une alsacienne qui a immigré au Québec en 2005 avait gardé sa maison "en cas où", il y peu de temps elle l'a vendu et a dû payer aux impôts 30 % du prix de la transaction. Elle aurait dû la vendre avant d'émigrer et là elle n'aurait rien payé.

Posté(e)

Bonjour, une alsacienne qui a immigré au Québec en 2005 avait gardé sa maison "en cas où", il y peu de temps elle l'a vendu et a dû payer aux impôts 30 % du prix de la transaction. Elle aurait dû la vendre avant d'émigrer et là elle n'aurait rien payé.

Ouch !!!! Pour les 20 à 25%, je parlais des revenus de location. Mais évidemment avec la vente, c'est différent et pas en mieux....

  • Habitués
Posté(e)

Bonjour, une alsacienne qui a immigré au Québec en 2005 avait gardé sa maison "en cas où", il y peu de temps elle l'a vendu et a dû payer aux impôts 30 % du prix de la transaction. Elle aurait dû la vendre avant d'émigrer et là elle n'aurait rien payé.

Ouch !!!! Pour les 20 à 25%, je parlais des revenus de location. Mais évidemment avec la vente, c'est différent et pas en mieux....

Je confirme, c'est 25% (forfaitaire). Si c'est pour revendre, autant le faire tout de suite alors!

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.


×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement