Invité Posté(e) 2 juillet 2009 Posté(e) 2 juillet 2009 Selon un article du courrier international , parlez Français à Montréal serait une chose très difficile, qu'en pensez-vous?Un journaliste anglophone s'est fait passer pour un francophone le temps d'un reportage à Montréal. Et il a découvert avec surprise qu'il n'était pas facile d'y parler la langue de Gilles Vigneault.02.07.2009 | Don MacPherson | The GazetteEn 1959, John Howard Griffith, un journaliste blanc du Texas, s'était noirci la peau pour pouvoir voyager dans le Deep South [le sud profond des Etats-Unis] et se faire passer pour un Noir. Il a relaté son expérience dans l'ouvrage Black Like Me [Dans la peau d'un Noir, éd. Gallimard, 1962]. En 2009, au Québec, un journaliste anglophone n'a pas à subir une transformation aussi drastique pour expérimenter ce que vivent ses compatriotes francophones. Tout ce dont il a besoin, c'est de prendre l'habitude de s'adresser à autrui en français et de garder les yeux et les oreilles bien ouverts. Et ce qu'il voit et entend explique les résultats du sondage publié le 22 juin dans The Gazette selon lequel les francophones de Montréal ont de plus en plus l'impression que leur langue est menacée. En observant les noms des magasins bordant la rue Sainte-Catherine depuis sa fenêtre American Eagle Outfitters, Roots, Off the Hook, Andrew's Ties , le journaliste anglophone a bien du mal à dire s'il se trouve bien dans une ville francophone. Puis il entre dans un café à l'est de la Main [le boulevard Saint-Laurent, qui sépare encore les deux communautés, à l'est les francophones, à l'ouest les anglophones] et observe un client dont la commande, passée en français, doit être traduite en anglais d'un serveur à un autre. Parfois, il entend un "Sorry, I don't speak French" [Désolé, je ne parle pas français] embarrassé. Lorsqu'il entre dans un autre café du centre-ville et s'adresse au serveur en français, celui-ci lui répond en anglais, de manière agressive cette fois, comme pour lui signifier qu'il n'est plus au Québec. Même lorsqu'on le sert en parlant français la majorité du temps, y compris dans le centre-ville , il entend le personnel et les autres clients discuter en anglais autour de lui et ne se sent pas à sa place. Il se remémore alors un sketch de l'humoriste Louis-José Houde se plaignant du caissier d'un magasin du centre-ville qui insistait pour lui parler en anglais. "Quand on me sert en anglais, je réponds en français jusqu'à ce que mon interlocuteur se rappelle où il est", expliquait l'humoriste. Le caissier insistait. "Je ne parle pas français", rechignait-il. "Eh bien moi je ne paie pas en anglais", rétorquait Louis-José Houde. Certaines des expériences vécues par le journaliste montrent à quel point Montréal a changé au cours des trente dernières années. Il a prêté l'oreille à une dispute entre des membres de deux groupes ethniques, un échange qui s'est déroulé dans un français teinté d'un fort accent leur langage commun. Et parfois, après avoir discuté une minute ou deux avec un étranger, le journaliste a remarqué la trace à peine perceptible d'un accent anglais et s'est rendu compte qu'il était en train de converser en français avec un anglophone. Que faire dans ce cas ? Se mettre à parler en anglais serait-il considéré par l'étranger comme une marque de courtoisie ou de condescendance ? Serait-il au contraire ridicule de prétendre ne pas avoir remarqué qu'ils ne devisent pas dans la langue qu'ils manient avec le plus d'aise ? Ce n'est qu'à Montréal que surgissent de telles questions d'étiquette linguistique. Toutefois, trente-deux ans après l'adoption de la loi 101 [loi faisant du français la langue officielle du Québec], les Québécois francophones s'attendent à ce que la proverbiale vendeuse anglophone de chez Eaton ait disparu, tout comme l'enseigne de grands magasins pour laquelle elle travaillait. Depuis des années, les Montréalais francophones sont plus attachés à l'indépendance du Québec que le reste des Québécois. Ce sont aussi eux qui ont le plus de contacts avec des non-francophones. Faut-il y voir plus qu'une simple coïncidence ? <script> $(document).ready(function() { a = $('div#article_chapeau'); $('p.infos').before(a); }); Citer
Habitués liberté3001 Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 c'est long a lire pfffffffffffffffffffffffffffffffff Citer
Habitués FAC. Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Bonjour ! Je ne suis pas vraiment à mon aise en anglais. Lors de notre séjour au Québec, nous avons été assez surpris d'entendre tout nos interlocuteurs (taxis, vendeurs, serveurs, hôtels, parkings, receptionnistes,loueurs de vélos....) parler français. Seul un jeune étudiant m'a parlé en anglais pour me demander une chaise dans une pizzeria ! Nous n'y vivons pas mais à premières vues, le français est bien parlé à Montréal (Où alors, on a beaucoup de chance). Citer
Habitués Bouclette Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Bonjour ! Je ne suis pas vraiment à mon aise en anglais. Lors de notre séjour au Québec, nous avons été assez surpris d'entendre tout nos interlocuteurs (taxis, vendeurs, serveurs, hôtels, parkings, receptionnistes,loueurs de vélos....) parler français. Seul un jeune étudiant m'a parlé en anglais pour me demander une chaise dans une pizzeria ! Nous n'y vivons pas mais à premières vues, le français est bien parlé à Montréal (Où alors, on a beaucoup de chance).Bonjour,j'ai eu le même ressenti mais l'accent de certaines personnes est pour moi incompréhensible, je me dis qu'avec le temps je m'y habituerais.Mea culpa, c'est moi qui a l'accent, pas les natifs Citer
Habitués weyd004 Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Bonjour Jai lu cet article dans le journal ce matin et franchement il est de bas niveau.Première question : est-ce que le journaliste anglophone parle français sans AUCUN accent ?je ne sais pas pour vous, mais jai des connaissances anglophones qui parlent français et on voit tout de suite que ce nest pas leur langue maternelle. Ainsi, on est amené à leur parler en anglais instinctivementPar exemple, le journaliste qui rentre dans une boulangerie et qui dis : bonjour, pourrais-je avoir une baguette sil vous plait ? » avec un accent anglais, la boulangère lui répondra certainement : « Yes sure, its 5 $ please » . Sans aucunes arrière-pensées !!! En fait, je ne vois pas le problème avec les langues et à vouloir absolument chercher les problèmes là ou il ny en a pas. Regardez par exemple la Suisse ou selon ou on va, on a des langues différentes (Allemand, Italien, Français..) et ça ne gêne personne !!!Je trouve que chaque langue est une richesse énorme pour celui qui la parle et plus on apprend mieux cest.A Montréal, on trouvera toujours quelquun qui parlera français , anglais, espagnol, arabe, chinoisetc cest ce qui fait la richesse et lattractivité de cette ville. Bonne journée à tous Citer
Habitués Caribou777 Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 c'est long a lire pfffffffffffffffffffffffffffffffffEncore un qui n'a jamais lu de livre de sa vie ! Citer
Invité Posté(e) 2 juillet 2009 Posté(e) 2 juillet 2009 Bonjour Jai lu cet article dans le journal ce matin et franchement il est de bas niveau.Première question : est-ce que le journaliste anglophone parle français sans AUCUN accent ?je ne sais pas pour vous, mais jai des connaissances anglophones qui parlent français et on voit tout de suite que ce nest pas leur langue maternelle. Ainsi, on est amené à leur parler en anglais instinctivementPar exemple, le journaliste qui rentre dans une boulangerie et qui dis : bonjour, pourrais-je avoir une baguette sil vous plait ? » avec un accent anglais, la boulangère lui répondra certainement : « Yes sure, its 5 $ please » . Sans aucunes arrière-pensées !!! En fait, je ne vois pas le problème avec les langues et à vouloir absolument chercher les problèmes là ou il ny en a pas. Regardez par exemple la Suisse ou selon ou on va, on a des langues différentes (Allemand, Italien, Français..) et ça ne gêne personne !!!Je trouve que chaque langue est une richesse énorme pour celui qui la parle et plus on apprend mieux cest.A Montréal, on trouvera toujours quelquun qui parlera français , anglais, espagnol, arabe, chinoisetc cest ce qui fait la richesse et lattractivité de cette ville. Bonne journée à tousAlors je ne suis absolument pas d'accord avec toi.Moi lorsque je reçois un appel en anglais et que je vois sur l'afficheur 514 et que j'ai un professionnel au bout de la ligne, je demande à mon interlocuteur de me trouver quelqu'un qui parle français et de me rappeler ensuite.Le Québec est une province francophone UNILINGUE.Et dire qu'en Suisse il n'y a pas de problème linguistique entre les Suisses eux même, et bien c'est ne pas du tout connaître le cas Suisse ! C'est tellement compliqué pour eux, qu'il y a beaucoup d'entreprises qui adoptent l'anglais comme langue de travail alors que cette langue n'est ni la langue maternelle des employés, ni même une des 3 langues officielles ou des 4 langues nationales de la Confédération Hélvètique. Citer
Habitués kiki75 Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 bientot 1 an que je suis a Montreal et j'ai jamais eu à parler anglais Citer
Habitués Baker & Hattaway Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Ben en une petite semaine à Montreal, tout le monde nous a parlé en français ......après avoir compris que nous n'étions pas des américains !!! Entre la bagnole, les fringues et les mômes qui nous parlent un coup en anglais et un coup en français, nous avions tendance à nous faire aborder en anglais mais quand ils entendaient l'accent d'Hattaway et le mien, on continuait en français. Citer
Habitués weyd004 Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Alors je ne suis absolument pas d'accord avec toi.Moi lorsque je reçois un appel en anglais et que je vois sur l'afficheur 514 et que j'ai un professionnel au bout de la ligne, je demande à mon interlocuteur de me trouver quelqu'un qui parle français et de me rappeler ensuite.Le Québec est une province francophone UNILINGUE.Est-ce parce que vous ne parlez pas anglais que tu demandes à être rappelé ou est-ce vraiment par pure militantisme contre l'anglais au Québec?Dire que la France est UNILINGUE je suis d'accord, et je passe d'ailleurs sur les problèmes que cela cause aux jeunes diplomés qui ne parlent pas un mot d'anglais!!! Dire que les Québec est une province UNILINGUE je ne suis d'accord qu'à moitié tu n'as qu'à voir les statistiques et tu vois bien que tes interlocuteurs téléphoniques qui sont à Montréal ne parlent pas tous Français.... Sinon pour la moitié ou je suis d'accord je dira qu'il est vrai que la langue officielle du Québec est bel et bien le Français mais rien n'empêche de parler une autre langue Pour la Suisse, il est vrai que je n'y ai jamais vécu pour évaluer les conséquences de ce multi-linguisme sur l'économie du pays mais encore une fois, c'est l'une des plus grandes richesses au Monde ce qui veut dire que l'impact de la division linguistique du pays est minime au niveau macroéconomique Citer
Habitués tristan00 Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Bonjour Jai lu cet article dans le journal ce matin et franchement il est de bas niveau.Première question : est-ce que le journaliste anglophone parle français sans AUCUN accent ?je ne sais pas pour vous, mais jai des connaissances anglophones qui parlent français et on voit tout de suite que ce nest pas leur langue maternelle. Ainsi, on est amené à leur parler en anglais instinctivementPar exemple, le journaliste qui rentre dans une boulangerie et qui dis : bonjour, pourrais-je avoir une baguette sil vous plait ? » avec un accent anglais, la boulangère lui répondra certainement : « Yes sure, its 5 $ please » . Sans aucunes arrière-pensées !!! En fait, je ne vois pas le problème avec les langues et à vouloir absolument chercher les problèmes là ou il ny en a pas. Regardez par exemple la Suisse ou selon ou on va, on a des langues différentes (Allemand, Italien, Français..) et ça ne gêne personne !!!Je trouve que chaque langue est une richesse énorme pour celui qui la parle et plus on apprend mieux cest.A Montréal, on trouvera toujours quelquun qui parlera français , anglais, espagnol, arabe, chinoisetc cest ce qui fait la richesse et lattractivité de cette ville. Bonne journée à tousAlors je ne suis absolument pas d'accord avec toi.Moi lorsque je reçois un appel en anglais et que je vois sur l'afficheur 514 et que j'ai un professionnel au bout de la ligne, je demande à mon interlocuteur de me trouver quelqu'un qui parle français et de me rappeler ensuite.Le Québec est une province francophone UNILINGUE.Et dire qu'en Suisse il n'y a pas de problème linguistique entre les Suisses eux même, et bien c'est ne pas du tout connaître le cas Suisse ! C'est tellement compliqué pour eux, qu'il y a beaucoup d'entreprises qui adoptent l'anglais comme langue de travail alors que cette langue n'est ni la langue maternelle des employés, ni même une des 3 langues officielles ou des 4 langues nationales de la Confédération Hélvètique.Ish si je faisais cela à mon travail je sens que le licensiement serait très rapide.... Citer
Habitués grizzli Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Alors je ne suis absolument pas d'accord avec toi.Moi lorsque je reçois un appel en anglais et que je vois sur l'afficheur 514 et que j'ai un professionnel au bout de la ligne, je demande à mon interlocuteur de me trouver quelqu'un qui parle français et de me rappeler ensuite.Le Québec est une province francophone UNILINGUE.Est-ce parce que vous ne parlez pas anglais que tu demandes à être rappelé ou est-ce vraiment par pure militantisme contre l'anglais au Québec?Dire que la France est UNILINGUE je suis d'accord, et je passe d'ailleurs sur les problèmes que cela cause aux jeunes diplomés qui ne parlent pas un mot d'anglais!!! Dire que les Québec est une province UNILINGUE je ne suis d'accord qu'à moitié tu n'as qu'à voir les statistiques et tu vois bien que tes interlocuteurs téléphoniques qui sont à Montréal ne parlent pas tous Français.... Sinon pour la moitié ou je suis d'accord je dira qu'il est vrai que la langue officielle du Québec est bel et bien le Français mais rien n'empêche de parler une autre langue Pour la Suisse, il est vrai que je n'y ai jamais vécu pour évaluer les conséquences de ce multi-linguisme sur l'économie du pays mais encore une fois, c'est l'une des plus grandes richesses au Monde ce qui veut dire que l'impact de la division linguistique du pays est minime au niveau macroéconomique c'est par pure militantisme !et que tu ne soit pas d'accord avec le fait que le quebec est une province unilingue francophone ne change rien a la realité.le quebec est francophone. (point final)néanmoins, cela ne veux pas dire qu'il est interdit de parler une autre langue au quebec ou meme plusieurs.d'un point de vue personnel et meme professionnel, c'est excellent de parler plusieurs langues.mais la langue majoritaire et prioritaire doit rester le francais. Citer
Habitués grizzli Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Bonjour J'ai lu cet article dans le journal ce matin et franchement il est de bas niveau.Première question : est-ce que le journaliste anglophone parle français sans AUCUN accent ?je ne sais pas pour vous, mais j'ai des connaissances anglophones qui parlent français et on voit tout de suite que ce n'est pas leur langue maternelle. Ainsi, on est amené à leur parler en anglais instinctivementPar exemple, le journaliste qui rentre dans une boulangerie et qui dis :' bonjour, pourrais-je avoir une baguette s'il vous plait ? » avec un accent anglais, la boulangère lui répondra certainement : « Yes sure, it's 5 $ please » . Sans aucunes arrière-pensées !!!En fait, je ne vois pas le problème avec les langues et à vouloir absolument chercher les problèmes là ou il n'y en a pas. Regardez par exemple la Suisse ou selon ou on va, on a des langues différentes (Allemand, Italien, Français..) et ça ne gêne personne !!!Je trouve que chaque langue est une richesse énorme pour celui qui la parle et plus on apprend mieux c'est.A Montréal, on trouvera toujours quelqu'un qui parlera français , anglais, espagnol, arabe, chinoisetc c'est ce qui fait la richesse et l'attractivité de cette ville.Bonne journée à tousAlors je ne suis absolument pas d'accord avec toi.Moi lorsque je reçois un appel en anglais et que je vois sur l'afficheur 514 et que j'ai un professionnel au bout de la ligne, je demande à mon interlocuteur de me trouver quelqu'un qui parle français et de me rappeler ensuite.Le Québec est une province francophone UNILINGUE.Et dire qu'en Suisse il n'y a pas de problème linguistique entre les Suisses eux même, et bien c'est ne pas du tout connaître le cas Suisse ! C'est tellement compliqué pour eux, qu'il y a beaucoup d'entreprises qui adoptent l'anglais comme langue de travail alors que cette langue n'est ni la langue maternelle des employés, ni même une des 3 langues officielles ou des 4 langues nationales de la Confédération Hélvètique.Ish si je faisais cela à mon travail je sens que le licensiement serait très rapide....la il y a une nuance a apporter,si un de tes clients te parle en anglais, bien sur qu'il n'y a aucune raison de l'envoyer bouler,car c'est les clients qui font vivre ta boite.par contre quand tu deviens clients et que tu t'adresse a un fournisseur, la il n'y a aucune raison que lui ne fassepas d'effort pour parler le francais. pis si y veux pas... y en a d'autres de fournisseur sur le marché. Citer
Invité znowx Posté(e) 2 juillet 2009 Posté(e) 2 juillet 2009 Bonjour !Je ne suis pas vraiment à mon aise en anglais. Lors de notre séjour au Québec, nous avons été assez surpris d'entendre tout nos interlocuteurs (taxis, vendeurs, serveurs, hôtels, parkings, receptionnistes,loueurs de vélos....) parler français. Seul un jeune étudiant m'a parlé en anglais pour me demander une chaise dans une pizzeria ! Nous n'y vivons pas mais à premières vues, le français est bien parlé à Montréal (Où alors, on a beaucoup de chance).Bonjour,j'ai eu le même ressenti mais l'accent de certaines personnes est pour moi incompréhensible, je me dis qu'avec le temps je m'y habituerais.Mea culpa, c'est moi qui a l'accent, pas les natifs moi aussi j'ai eu des soucis avec le quebecois lors de repas où les discussions se croisent et où l'on croise des gens des differentes regions du quebec... mais c'est tres charmant! Mntnt je comprends bien et j'adore leurs expressions! Citer
Habitués Tinavire Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 @weyd004 et autres futurs résidents...J'aimerais bien que vous tous qui voulez immigrer au "icitt" ne perdiez pas de vue que la langue française est le critère de sélection essentiel.Sans faire de long discours, le Québec compte sur ces nouveaux francophones pour maintenir "le fait français" en Amérique du Nord". Vous vous devez d'accepter de venir pour y vivre en français et agir dans votre quotidien pour que le français perdure !C'est une sorte de contrat moral que vous acceptez de respecter si vous décidez de venir faire votre vie au Québec. Personnellement, j'y met un point d'honneur et n'ai jamais eu besoin de parler anglais à Montréal. Enfin, ne mélangez pas les genres...pour ce qui est de l'anglais au travail, merci de vous rendre sur les nombreux fils qui en parlent ! Citer
Laurent Posté(e) 2 juillet 2009 Posté(e) 2 juillet 2009 Pour remettre les choses en perpective, cet article mentionné par Rocknroll75, a été rédigé en anglais et publié dans The Gazette, le journal de la communauté anglophone de Montréal. Il a été traduit et fait partie d'une des 1000 réactions à la série d'articles publiée dans le journal de Montréal en janvier 2008. La journaliste qui s'est fait passé pour une anglophone, Noée Murchison, parle parfaitement le français et l'anglais sans accent, elle écrit dans un quotidien francophone de Montréal et a un parent anglophone à ma connaissance. Cette série d'articles a suivi un mouvement d'interrogations et une controverse au Québec. Nous en avons parlé en long et en large à l'époque sur le forum. Voici l'article à la source :I don't speak French Le français pas important Noée MurchisonLe Journal de Montréal 14/01/2008 10h08 - Mise à jour 15/01/2008 10h50 Malgré les 30 ans de la loi 101, les francophones peinent encore à se faire servir dans leur langue à Montréal. Une de nos journalistes a pu trouver 15 emplois dans des commerces en parlant uniquement anglais. Dès la première journée, elle a obtenu deux emplois et trois entrevues, menant tous à son embauche. Elle disait à tous les employeurs qu'elle savait dire un seul mot de français: «bonjour».Des «chialeux»La journaliste, qui peut s'exprimer en anglais sans accent, a travaillé directement avec la clientèle en tant que vendeuse, serveuse ou caissière.Dans huit endroits sur 15, elle n'a jamais été obligée de dire un seul mot de français.Un seul magasin a finalement placé la représentante du Journal dans l'arrière-boutique parce qu'elle n'arrivait pas à servir les clients en français.Dans les 14 autres commerces, les patrons jugeaient que ses lacunes en français n'étaient pas très importantes, et ce, malgré les plaintes de la clientèle. «Ce n'est pas grave, ces clients-là sont chialeux», disait notamment une patronne. Une gérante francophone est même allée jusqu'à demander l'assistance d'une employée bilingue pour traduire l'entrevue d'embauche de la journaliste.PlaintesLa plupart des emplois obtenus étaient en plein coeur de Montréal, l'endroit qui suscite le plus de plaintes pour la langue de service, selon Gérald Paquette, porte-parole de l'Office québécois de la langue française (OQLF).«Le centre-ville de Montréal a une valeur symbolique. On a un problème si on n'est pas capable de s'y faire accueillir et servir en français», dit-il. Un expert de la situation linguistique au Québec remarque que les gens se plaignent de plus en plus qu'ils se font servir en anglais à Montréal. Charles Castonguay l'a lui-même observé en tant que client.«On dirait qu'on est en train de perdre le contrôle de la situation et que l'anglais est en train de redevenir la langue principale dans le centre-ville», constate-il.Fiefs francophonesLa représentante du Journal a décroché aussi des emplois dans des fiefs francophones comme la Rive-Sud et le Plateau Mont-Royal.Elle a été engagée comme vendeuse sur le Plateau sans même que la gérante lui demande si elle parlait français.Plusieurs patrons ont d'ailleurs félicité la journaliste, qui servait en anglais des clients majoritairement francophones.«Tu es formidable avec les clients», disait un patron en qualifiant d'«excellent» le service offert par la journaliste. Avis à nos lecteurs Nous avons choisi de ne pas publier les noms des commerces qui ont embauché la représentante du Journal. Nous souhaitons ainsi éviter de montrer du doigt seulement certaines entreprises alors que les résultats de l'enquête reflètent un phénomène largement répandu. De plus, les questions linguistiques ayant par le passé été à l'origine d'actes de vandalisme, nous préférons taire le nom de ces commerces afin d'éviter qu'ils soient ciblés, le cas échéant. Les faits Une journaliste du Journal de Montréal, Noée Murchison, s'est rendue dans 97 commerces de la région de Montréal avec un curriculum vitæ rédigé uniquement en anglais. Le CV distribué indiquait l'anglais comme seule langue parlée, avec une certaine connaissance du français. Quand un employeur questionnait la journaliste à savoir si elle parlait français, elle répondait: «Non, je comprends un peu, mais sans plus» ou «Non, je pourrais dire bonjour, mais c'est tout». La journaliste informait tous les employeurs qu'elle serait incapable de répondre aux clients en français et de les servir dans cette langue. En entrevue, la journaliste refusait toujours de parler français. Quand on lui demandait si elle était prête à apprendre le français, elle répondait qu'elle «pourrait peut-être essayer». En servant les clients, elle ne disait au départ aucun mot de français. Lorsqu'un patron exigeait qu'elle salue ou remercie en français, elle se limitait à quelques mots comme «bonjour» et «merci».http://www.canoe.com/infos/dossiers/archiv...114-100825.html Citer
Habitués Bouclette Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Bonjour !Je ne suis pas vraiment à mon aise en anglais. Lors de notre séjour au Québec, nous avons été assez surpris d'entendre tout nos interlocuteurs (taxis, vendeurs, serveurs, hôtels, parkings, receptionnistes,loueurs de vélos....) parler français. Seul un jeune étudiant m'a parlé en anglais pour me demander une chaise dans une pizzeria ! Nous n'y vivons pas mais à premières vues, le français est bien parlé à Montréal (Où alors, on a beaucoup de chance).Bonjour,j'ai eu le même ressenti mais l'accent de certaines personnes est pour moi incompréhensible, je me dis qu'avec le temps je m'y habituerais.Mea culpa, c'est moi qui a l'accent, pas les natifs moi aussi j'ai eu des soucis avec le quebecois lors de repas où les discussions se croisent et où l'on croise des gens des differentes regions du quebec... mais c'est tres charmant! Mntnt je comprends bien et j'adore leurs expressions!C'est charmant quand on les comprends bien mais j'ai un peu honte de ne pas tout comprendre sinon j'adore leur langue (sens étymologique différent quelques fois) et leur accent (je peux le dire de la France). Citer
Habitués laureenfr Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Bonjour !Je ne suis pas vraiment à mon aise en anglais. Lors de notre séjour au Québec, nous avons été assez surpris d'entendre tout nos interlocuteurs (taxis, vendeurs, serveurs, hôtels, parkings, receptionnistes,loueurs de vélos....) parler français. Seul un jeune étudiant m'a parlé en anglais pour me demander une chaise dans une pizzeria ! Nous n'y vivons pas mais à premières vues, le français est bien parlé à Montréal (Où alors, on a beaucoup de chance).Bonjour,j'ai eu le même ressenti mais l'accent de certaines personnes est pour moi incompréhensible, je me dis qu'avec le temps je m'y habituerais.Mea culpa, c'est moi qui a l'accent, pas les natifs moi aussi j'ai eu des soucis avec le quebecois lors de repas où les discussions se croisent et où l'on croise des gens des differentes regions du quebec... mais c'est tres charmant! Mntnt je comprends bien et j'adore leurs expressions!C'est charmant quand on les comprends bien mais j'ai un peu honte de ne pas tout comprendre sinon j'adore leur langue (sens étymologique différent quelques fois) et leur accent (je peux le dire de la France).C'est clair c'est charmant mais il es vrai que tu te retrouves un peu seul quand tu comprends pas l'accent alors qu'on parle la meme langue. Toujours un peu honte de demander de répéter, j'ai pas l'excuse de dire que le francais n'est pas ma langue maternelle Citer
Habitués kobico Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 @weyd004 et autres futurs résidents...J'aimerais bien que vous tous qui voulez immigrer au "icitt" ne perdiez pas de vue que la langue française est le critère de sélection essentiel.Sans faire de long discours, le Québec compte sur ces nouveaux francophones pour maintenir "le fait français" en Amérique du Nord". Vous vous devez d'accepter de venir pour y vivre en français et agir dans votre quotidien pour que le français perdure !C'est une sorte de contrat moral que vous acceptez de respecter si vous décidez de venir faire votre vie au Québec. Personnellement, j'y met un point d'honneur et n'ai jamais eu besoin de parler anglais à Montréal. Enfin, ne mélangez pas les genres...pour ce qui est de l'anglais au travail, merci de vous rendre sur les nombreux fils qui en parlent !Très pertinent! Citer
Habitués Prouut Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Alors je ne suis absolument pas d'accord avec toi.Moi lorsque je reçois un appel en anglais et que je vois sur l'afficheur 514 et que j'ai un professionnel au bout de la ligne, je demande à mon interlocuteur de me trouver quelqu'un qui parle français et de me rappeler ensuite.Le Québec est une province francophone UNILINGUE.Je pense que tes interlocuteurs anglophones sont capables de comprendre aussi que tout le monde ne parle pas anglais. Ils le savent donc tu n'as pas de complexe a avoir de ne pas comprendre l'anglais Citer
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