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Le journal d'un immigrant


Lilideslacs

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Chapitre 10

Durant cette même nuit, je me branchai sur le tchatte ou Hélène et moi avions faits connaissance. Je discutai avec plusieurs personnes dont une femme qui utilisait le pseudo « Ange Bleu ».

Cette femme avait 49 ans, divorcée, sans enfant et était secrétaire juridique. Ce soir là, elle était plutôt à plat. Elle venait de rompre avec son copain des 8 derniers mois. Un Algérien de 51 ans qui sappelait Mohamed.

En fait, cet homme lui avait fait croire que tout était terminé entre sa femme et lui, qu'ils faisaient toujours vie commune pour le bien de leurs deux enfants uniquement.

Au début de leurs fréquentations, il avait toujours beaucoup de temps libre, mais soudainement tout avait changé ! « Ange bleu », dont le vrai nom était Roselyne, avait commencé à se poser des questions et devant son insistance Mohamed avait fini par cracher le morceau. Sa femme était de nouveau enceinte !

Roselyne n'y comprenait plus rien ! A entendre Mohamed il faisait chambre à part depuis des lustres !

Mohamed avoua qu'il y avait eu un rapprochement, 3 mois plus tôt, avec sa femme Leïla de 14 ans sa cadette et quelle était maintenant enceinte de leurs troisièmes enfants.

Roselyne avait aussitôt placé Mohamed devant un ultimatum. C'était elle ou Leïla. Mohamed avait opté pour sa femme et Roselyne se sentait trahie et honteuse.

Pendant plusieurs heures nous discutâmes ensembles. Je l'écoutai beaucoup et parlai peu. A l'aube nous échangeâmes nos adresses de courriels et elle me promit de me donner des nouvelles régulièrement.

Je me couchai vers 5h00 du matin et dormit jusqu'à 11h00. Hélène et les enfants rentrèrent vers midi. Après avoir dîner, une fois les enfants sortis jouer dehors, nous eûmes Hélène et moi une discussion.

A compter de ce jour j'allais gérer moi-même mon salaire. J'avais fais les comptes et je m'engageai à lui payer 50% de tous les frais. Hélène accepta. Elle n'avait guère le choix ! En effet, mes petites vérifications me permirent de découvrire qu'elle avait encore pas mal de dettes et elle n'avait pas encore terminé de payer la maison.

Je savais que cette situation n'était pas l'idéale, loin de là. Juste le fait de vivre auprès delle m'était insupportable ! Mais je devais absolument gagner du temps histoire de me localiser ailleurs.

Un soir, soit exactement 2 mois après notre entente financière, je dus quitter mon travail plus tôt à cause dune panne délectricité. Je rentrai pour trouver ma femme assise dans le salon avec un black !

Elle portait une robe de nuit très légère. Quant à lui il s'était défait de sa chemise et était allongé sur le divan. Sur « mon » divan !

Ils étaient tellement plongé dans leurs embrassades qu'ils ne m'entendirent pas rentrer. Je poussai un hurlement ! Hélène se redressa en criant. Je sautai à la gorge du black lequel navait même pas eu le temps de se redresser. J'étais beaucoup plus petit que lui mais la fureur me rendait très fort. Ce sont les cris de Hélène et des enfants qui m'empêchèrent de le tuer.

Hélène pleurait et les enfants aussi. Le black quitta l'appartement sans demander son reste !

Je me précipitai dans la chambre. Pris une valise, y engouffrai mes vêtements, papiers etc. Parvenu à la porte Hélène tenta de me retenir en pleurant à chaudes larmes. Elle disait qu'elle était désolée ! Qu'elle m'aimait ! Qu'elle ne savait pas pourquoi elle avait fait ça !

Je sortis sans rien dire. J'étais libre ! Enfin libre !

Ce nest que rendu à la station de métro voisine que je me demandai alors quoi faire ?

J'eus alors lidée dappeler Roselyne avec qui j'avais gardé le contact et à qui je parlais à tous les jours. Je lui expliquai rapidement la situation. Elle vint me chercher à la station de Métro et m'amena chez elle pour y passer la nuit histoire de me dépanner me dit-elle.

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Anecdote: J'ai fais la connaissance de Ange Bleu sur un forum de discussions. Elle avait écrit dans son profil en caractère gras: Ne parle qu'a des québécois ... maghrébins s'abstenir ! Je suis allée lui parler et elle m'a raconté son histoire. Je l'ai donc intégrée dans ma nouvelle.

Concernant le "black". Le mari éconduit a apprit un peu plus tard que le "black" en question ne savait absolument pas que cette dame était mariée. Comment aurait-il pu le savoir ? Elle le recevait à la maison en présence des enfants.

P.S. J'ai utilisé le terme de "Black" parce que c'est ainsi que cet homme l'a nommé n'y voyez donc aucun racisme de ma part ... je ne suis aucunement raciste.

Je suis consciente que mon histoire ne donne pas un très bon rôle à "Hélène" mais plusieurs des témoignages que j'ai reccueillis n'étaient pas très tendre à l'endroit de certaines québécoises et cette "Hélène" existe réellement.

P.S. La question du partage des tâches ménagères est revenu mille fois au moins sur le tapis :D

Modifié par Lilideslacs
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Anecdote: J'ai fais la connaissance de Ange Bleu sur un forum de discussions. Elle avait écrit dans son profil en caractère gras: Ne parle qu'a des québécois ... maghrébins s'abstenir ! Je suis allée lui parler et elle m'a raconté son histoire. Je l'ai donc intégrée dans ma nouvelle.

Concernant le "black". Le mari éconduit a apprit un peu plus tard que le "black" en question ne savait absolument pas que cette dame était mariée. Comment aurait-il pu le savoir ? Elle le recevait à la maison en présence des enfants.

Je suis consciente que mon histoire ne donne pas un très bon rôle à "Hélène" mais plusieurs des témoignages que j'ai reccueillis n'étaient pas très tendre à l'endroit de certaines québécoises et cette "Hélène" existe réellement.

P.S. La question du partage des tâches ménagères est revenu mille fois au moins sur le tapis :D

tous ce que tu raconte je le savais deja mais je voulias pas creer la polimique dessus je veux pas generaliser.....la suite stp!

une question ce sont des histoires que t a regroupe en une seule ou bien c vraiment arrive comme ca a ce Ali?

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une question ce sont des histoires que t a regroupe en une seule ou bien c vraiment arrive comme ca a ce Ali?

Comme je l'ai dis en introduction j'ai pris l'histoire de plusieurs pour n'en former qu'une.

Mais tous les éléments de mon histoire sont véridiques.

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une question ce sont des histoires que t a regroupe en une seule ou bien c vraiment arrive comme ca a ce Ali?

Comme je l'ai dis en introduction j'ai pris l'histoire de plusieurs pour n'en former qu'une.

Mais tous les éléments de mon histoire sont véridiques.

ok car a un moment donne si ct arrive a ce meme gars je crois que ali aura decouvert les joies de la voltiges a partir du pont jacque cartier....il se serait suicider je pense...

la suite madame svp pour une fois que je me mets a la lecture ;)

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Non seulement elle m'avait « volée » mais en plus elle m'avait trompée ! Avec un noir en plus ! Un Congolais qui vivait à Montréal depuis des années.

S'en était trop.

:lol: pas beau le racisme mon tit gars :D

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Non seulement elle m'avait « volée » mais en plus elle m'avait trompée ! Avec un noir en plus ! Un Congolais qui vivait à Montréal depuis des années.

S'en était trop.

:lol: pas beau le racisme mon tit gars :D

bein comme quoi un arabe peut etre raciste aussi... :dodotime:

y a pas de regle pour etre raciste

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Non seulement elle m'avait « volée » mais en plus elle m'avait trompée ! Avec un noir en plus ! Un Congolais qui vivait à Montréal depuis des années.

S'en était trop.

:lol: pas beau le racisme mon tit gars :D

bein comme quoi un arabe peut etre raciste aussi... :dodotime:

y a pas de regle pour etre raciste

Oui je sais :P mais en règle général je trouve ca pas mal un comble d'etre raciste quand on est soi-même un étranger :D

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OUf ! Quelle histoire Lili,

En fait tu as écrit une histoire à partir d'un patchwork de plusieurs histoires, cela est très réaliste tout de même.

De mon coté j'en ai une histoire une vraie, totalement vraie d'une Algérienne installée à Montréal depuis 1996, une histoire qu'elle ma raconté de long en large.

Mais il serait indécent de ma part de la raconté ici, surtout sans sa permission.

Mais ce que je peux dire, c'est que son histoire démontre a quel point, la manipulation, le mensonge et le tout pour le tout pour quitter le bled est primordial pour certain. Elle est algérienne (pas québécoise) et elle s'est fait avoir par un algérien.

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OUf ! Quelle histoire Lili,

En fait tu as écrit une histoire à partir d'un patchwork de plusieurs histoires, cela est très réaliste tout de même.

De mon coté j'en ai une histoire une vraie, totalement vraie d'une Algérienne installée à Montréal depuis 1996, une histoire qu'elle ma raconté de long en large.

Mais il serait indécent de ma part de la raconté ici, surtout sans sa permission.

Mais ce que je peux dire, c'est que son histoire démontre a quel point, la manipulation, le mensonge et le tout pour le tout pour quitter le bled est primordial pour certain. Elle est algérienne (pas québécoise) et elle s'est fait avoir par un algérien.

la nationalite ou la religion compote peu pour arriver a ses fins........

lili je m impatiente pour connaitre la suite...........c pas gentil ca! :ouafouaf:

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Chapitre 11

Le lendemain Roselyne me demanda quelles étaient mes intentions ! Je lui avouai que jétais encore trop sous le choc pour avoir prit une quelconque décision mais une chose était certaine il me fallait divorcer de cette femme. Je ne voulais plus la revoir jamais !

Je demandai à Roselyne sil était possible quelle me garde chez elle encore quelques jours le temps de trouver un appartement. Je lui donnai 200$ pour payer ma part de nourriture et dhébergement et jemménageai dans le sous-sol de sa maison.

Je visitai plusieurs logements mais comme nous étions hors de la période de location annuelle ils étaient plutôt rares. Certains étaient de véritables taudis et dautres étaient si cher que mon salaire naurait pas suffit à payer les charges.

Roselyne et moi nous installâmes dans un petit train-train quotidien qui nous convenait si bien quelle me proposa alors de rester jusquen juillet (nous étions en mars) ce qui me donnerait largement le temps de trouver un appartement salubre et à un prix raisonnable.

Je devins son colocataire. Du moins cest ainsi quelle voyait les choses. Mais moi javais dautres projets en tête. Roselyne était une femme bien. Gentille, excellente cuisinière, bonne et surtout de la veille école. Elle mentourait toujours de milles attentions. Lavait mes vêtements. Me préparait mon « lunch ».

De mon côté ma vie avec Hélène mavait au moins permit dapprendre à moccuper de la maison et je rendais de menus services à Roselyne. Je réparai la plomberie de la salle de bain de létage. Peinturai le salon qui en avait bien besoin. Bref, tout allait pour le mieux et cet « arrangement » me convenait très bien.

En mai javais non seulement gagné sa confiance mais son affection. Un soir, elle rentra de réunion très fatigué. Javais préparé une soupe marocaine quelle dévora. Puis, je lui proposai de la masser car elle se plaignait de douleurs au cou et aux épaules.

Je mis tout mon art à la masser et elle fut rapidement si détendue quelle se laissa totalement aller entre mes bras. Plus tard, cette nuit là, je lui dis que je laimais et que je voulais passer le reste de ma vie avec elle.

Je quittai mon sous-sol pour emménager à létage avec elle dès le lendemain. Les mois passèrent. Nous faisions plein de projets. Roselyne accepta de maider à payer mes cours. En effet cela me permettrait d'avoir un meilleur travail. Par conséquent cela nous permettrait de réaliser nos rêves plus rapidement.

Je commençai mes cours à lUniversité de Montréal en septembre 2003.

Je prétextai bientôt mes nombreux travaux scolaires pour réintégrer le sous-sol. Je ne voulais surtout pas la priver de son précieux sommeil !

Même si Roselyne était un peu triste de mon éloignement, elle mettait le tout sur le compte des sacrifices nécessaires pour réaliser nos projets.

Je faisais ma part dans la maison. Lui faisait lamour sur une base régulière. Bref, elle était pleinement heureuse même si elle trouvait la charge financière de ma scolarité un peu lourde.

Pour ma part je navais pas à me plaindre. Mes études se passaient bien. Je métais fais quelques copines avec qui je passais de bons moments sans engagement et sans complications.

Cest ce quil y avait de bien avec les Québécoises. Elles étaient ouvertes et sans tabous. Très différentes de la femme marocaine sur plusieurs points. En plus, pour une raison que jignorais la plupart aimaient beaucoup les « basanés ».

Bon je dois ladmettre jétais assez bel homme. 1,80, cheveux bruns, yeux brun, teint légèrement halé, mince avec un sourire blanc comme la neige javais tout pour plaire à ces dames.

Bien sur, je nai jamais parlé de ces petites aventures à Roselyne. A quoi bon ? Et puis, je nétais pas marié avec elle à ce que je sache !

A suivre

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Chapitre 12

Dès mon inscription à lUniversité javais fait les démarches pour mettre fin à mon mariage avec Hélène. Fort heureusement elle accepta de signer des documents à lamiable.

En fait, je lui avais fais comprendre que je pouvais fort bien me laisser vivre sur laide sociale, ce qui lui aurait coûté très cher, puisquelle devrait alors rembourser le gouvernement des dites sommes dues au fait quelle avait signé un engagement (parrainage) à cet effet.

Lors de mon inscription jappris quil me faudrait faire un stage afin que mes quatre cours soient reconnus par le Ministère de lÉducation.

Je ne connaissais personne ici si bien que je me tournai à nouveau vers Roselyne qui me dit quelle vérifierait au sein de son entreprise, auprès de collègues et damis sil ny avait pas une entreprise prête à me prendre pour un stage de trois mois.

Jen parlai aussi à mes petites copines de lUniversité et, sur les conseils de Roselyne je mis même une annonce dans le journal qui ne donna pas grand chose !

Puis, je fis la connaissance de Julie. La douce et tendre Julie. Sa sur lui avait parlé de moi. Julie fréquentait un Marocain depuis un peu plus de un an. Ce dernier était retourné au Maroc depuis plusieurs semaines car sa mère était très malade. Elle avait visité le Maroc à deux reprises et avait beaucoup aimé. Elle travaillait pour la firme Studio Urbanistica et, devant linstance de sa sur, elle avait parlé de moi au département des ressources humaines de son entreprise. La responsable était prête à me rencontrer pour discuter dun possible stage chez eux.

Après deux entrevues, ils acceptèrent de me prendre comme stagiaire dès la fin de mes cours en autant, bien sur, quils fussent réussis avec succès.

Pour les remercier jinvitai Julie et sa sur au restaurant. Roselyne mavait prêté la voiture pour loccasion ainsi que de largent.

La soirée se passa très bien. Je proposai à Martine et Julie daller les reconduire. Je déposai dabord Martine chez elle, puis allai reconduire Julie qui minvita alors à prendre un café.

Julie ne cessait de parler de Hamid, son amoureux. Elle sennuyait terriblement de lui. Sinquiétait du temps quil mettait à rentrer au Québec etc. Elle se mit à pleurer. Je la pris dans mes bras pour la consoler. Tout à coup, elle membrassa. Un baiser qui me scia les jambes !

Javais beau me dire : attention danger ! Rien à faire ! Était-ce leffet de la pleine lune ? Le fait quelle soit en manque depuis trop longtemps toujours est-il que nous nous retrouvâmes à baiser comme des fous sur le tapis du salon !

Une fois le calme revenu, nous étions tous les deux en état de choc. Julie tout dabord parce quelle aimait sincèrement Hamid mais également parce quelle savait que sa sur était amoureuse de moi. Et moi, parce que je ne voulais pas voir mon stage senvoler en fumée pour une partie de jambe en lair !

Nous décidâmes de ne pas parler de cet « incident » de parcours à quiconque mettant la faute sur la fatigue et la solitude.

Je rentrai à la maison. Il était deux heures du matin. Roselyne était très inquiète ! Ce soir là je dormis avec elle. Dire que javais failli tout gâcher pour une blonde aux yeux bleus. Mais quelle blonde ouffff !

A suivre

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Chapitre 13

Une fois les quatre cours terminés et réussis avec mention je débutai mon stage chez Studio Urbanistica.

Je revis Julie à quelques reprises dans le cadre de mon stage mais nous avons tout fait pour nous en tenir à des relations purement professionnelles.

Javais couché à quelques reprises avec sa soeur Martine, histoire de la remercier de sa précieuse aide pour le stage mais, fort heureusement pour moi, elle jeta vite son dévolu sur un latino qui donnait des cours de Tango ce qui mempêcha davoir à mettre fin à une relation trop envahissante.

A la fin de mon stage, javais si bien fait, que lentreprise mengagea à temps plein pour un salaire bien en dessous de ma valeur. Qua cela ne tienne, jallais lavoir mon « expérience canadienne ! ».

Avec Roselyne les choses nétaient plus ce quelles étaient. Je ne sais pas si cétait le fait quelle venait davoir cinquante ans mais elle était devenue dune jalousie quasi maladive.

Bon je nétais pas un saint, cest vrai, mais javais toujours eu la décence dêtre très discret concernant mes petites aventures sans lendemain.

Maintenant que javais officiellement divorcé et que javais un emploi permanent je navais qu'une envie soit celle de vivre comme je lentendais sans rendre de compte à personne.

Je navais rien à reprocher à Roselyne. Seulement je voulais autre chose voila tout !

Et puis, elle devait bien se douter, vu notre différence d'âge que ça ne durerait pas toujours nous deux !

Les adieux furent déchirants. Roselyne pleura beaucoup. Cria. Hurla. Elle me supplia de ne pas partir. Mais rien ny fit ma décision était prise. Javais préparé ma sortie depuis quelques semaines déjà en amenant petit à petit mes effets personnels dans mon nouvel appartement tant et si bien que le jour J venu il ne restait plus grand chose à déménager.

Pendant les semaines qui suivirent ce fut infernal. Elle ne cessait de me téléphoner au travail en me disant quelle se suiciderait si je ne revenais pas à la maison. Elle me menaçait de prendre un avocat etc.

Je raccrochais dès que jentendais sa voix. Je plaçai ma ligne personnelle sur liste rouge et je coupai les ponts avec tous les gens qui la connaissaient de près ou de loin.

Javais dautres chats à fouetter. Jallais retourner au Maroc. Pour les vacances. La première fois en trois ans. Javais hâte de revoir ma famille et mes amis. De goûter la cuisine de ma mère. De me baigner dans la mer. Retrouver le soleil et la chaleur de mon pays.

A suivre

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Chapitre 14

Durant les mois qui précédèrent mon retour au Maroc jeus loccasion de sortir avec plusieurs femmes.

Comme je ne voulais plus dengagement daucune sorte je disparaissais dès que je sentais que lune delle sattachait à moi !

Javais réalisé quil y avait plusieurs types de femmes. Il y avait les féministes. Ce sont des femmes qui ont en horreur les hommes mais qui savent très bien quil est utile den avoir un dans sa vie à loccasion. Ces femmes agissaient comme les hommes. Elles chassaient leurs proies. Contrôlaient tous les détails de leurs relations et nhésitaient pas à jeter tous les hommes qui ne correspondaient pas à leur « profil » cible.

Il y avait aussi les indépendantes. Différentes des féministes par le fait quelles aimaient bien les hommes au contraire. Tous les hommes. Leur seul but dans la vie étant davoir du plaisir et de se faire gâter.

Puis il y avait les éclopées. Alors celles-là cétait « ma » catégorie préférée. En effet, on retrouvait dans cette catégorie toutes les laissez pour compte. Les femmes plus âgées, rondes, moches, écervelées, délaissées etc.

Le seul fait de leur accorder un peu dattention et elles voulaient te donner la lune !

Elles donnaient, donnaient, sans compter et il suffisait de peu pour les mettre dans sa poche. Un peu de patience, de lécoute, des petites attentions, un petit mot, quelques fleurs etc.

Cétait aussi les femmes les plus faciles à laisser car bien souvent elles te fournissaient elles-mêmes les milles et unes raisons qui justifiaient de le faire.

Ainsi Sandrine qui, après un mois de fréquentations, me dit quelle comprenait que jen ai marre dune femme aussi grosse quelle et que je méritais mieux.

Ou encore Lucie qui comprenait mon souhait davoir des enfants un jour alors quelle ne pouvait plus en avoir à 52 ans.

Je naviguais de lune à lautre sans éprouver le moindre remord. Après tout, je ne faisais rien de mal. Je les gâtais à loccasion. Je leur donnais de la tendresse. Je leur donnais du plaisir. Plusieurs dentres elles, mavaient avoués ne jamais avoir eu un amant tel que moi dans leur vie !

Bref, tout allait pour le mieux dans ma vie et cest pleinement satisfait de ma vie que je pris lavion devant me ramener près des miens le 8 juillet 2004.

A suivre

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Anecdote: La description que je donne des "catégories de femmes" selon Ali ... m'a été donné par plusieurs ... dans des termes différents ... parfois moins flatteurs ... carrément odieux ... mais la base est la même ... à savoir qu'il y a une niche "cible" si j'ose dire.

Ah oui ... ils paraient qu'ils sont tous de supers amants ... bah ça ... je ne sais pas ... mais c'est eux qui le disent :D

Parait que toutes les femmes qu'ils ont eu les plaçaient au top de la liste ... de quelle liste ... ça l'histoire ne le dit pas.

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Cest ce quil y avait de bien avec les Québécoises. Elles étaient ouvertes et sans tabous. Très différentes de la femme marocaine sur plusieurs points....

Cela est un fait plusieurs mecs du bled quand ils arrivent en occident ils capotent devant autant de fruits a cueuillir et cela fait changement du bled, par contre si leurs soeurs osent la même chose elles seront jugés comme des vraies salopes, de vraies putes. La québécoise elle ben ... :dodotime:

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  • Habitués

c pas ali ca!! c : DON ALI DI MARCO ,

quel cruseur le gars! Ali Delon! :lol:

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Ah oui ... ils paraient qu'ils sont tous de supers amants ... bah ça ... je ne sais pas ... mais c'est eux qui le disent :D

Parait que toutes les femmes qu'ils ont eu les plaçaient au top de la liste ... de quelle liste ... ça l'histoire ne le dit pas.

Au bled les filels doivent rester vierges jusqu'au mariage, donc elles ne peuvent comparer, cela rassure le puissant mâle du désert.

Un marocain m'avait dit un jour tu sais quel est l'activité sexuelle la plus répondu au Maroc ? Non . La masturbation :chouette:

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Chapitre 12

Julie ne cessait de parler de Hamid, son amoureux. Elle sennuyait terriblement de lui. Sinquiétait du temps quil mettait à rentrer au Québec etc. Elle se mit à pleurer. Je la pris dans mes bras pour la consoler. Tout à coup, elle membrassa. Un baiser qui me scia les jambes !

Quand je vous disais qu'il y a ÉNORMÉMENT de femmes avec une pathologie de dépendance affective dans les histoires de parrainnage!!!!!!! :chouette: :chouette:

Mais bon au moins ici elles sont des les bras de VRAIS HOMMES !! :chouette: :chouette: :chouette: :chouette:

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