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decision d'immigration


cathygilles

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bonjour a tous,

Mon Mari et moi sommes sur le point de commencer les démarches d'évaluation.

la décision de partir est difficile, nous avons des bons jobs une maison des enfants, partir pour vivre autre chose, il y a des jours ou je suis ok et d'autre ou je me rattache a ce foutu matériel et

des questions sur le déménagement....me pollue l'esprit.

je souhaite discuter avec des familles comme nous qui ont eu le gout de l'aventure et qui ont tout quitté pour vivre autre choses.

merci pour votre aide

cathy

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  • Habitués
bonjour a tous,

Mon Mari et moi sommes sur le point de commencer les démarches d'évaluation.

la décision de partir est difficile, nous avons des bons jobs une maison des enfants, partir pour vivre autre chose, il y a des jours ou je suis ok et d'autre ou je me rattache a ce foutu matériel et

des questions sur le déménagement....me pollue l'esprit.

je souhaite discuter avec des familles comme nous qui ont eu le gout de l'aventure et qui ont tout quitté pour vivre autre choses.

merci pour votre aide

cathy

Je crois que ta situation est comparable à la situation de beaucoup d'entre nous avant notre départ. Il faut accepter de repartir à zéro (ou presque) et un voyage de prospection me semble le meilleur moyen de s'imprégner de çà (en tous cas, c'est ce qui nous a permis de prendre notre décision).

L'immigration est une grande psychothérapie à elle seule et elle te sera bénéfique si tu veux vivre une aventure, pour un temps indéterminé (et non pas que tu plaques tout avec non retour possible). Il est vrai que, enfin, pour nous en tous cas, que partir avec option retour était difficilement imaginable... mais malgré tout, j'ai obtenu une disponibilité et j'en suis bien contente aujourd'hui même si on ne compte pas revenir en France tout de suite....

Bref, décision difficile qui t'appartient. Pose-toi des questions : pourquoi voulez-vous partir? quels en sont les conséquences? en quoi partir va t'aider à trouver ce que tu cherches? ne peux-tu pas le trouver en France? et après de choisir le côté le plus positif... pour toi.

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  • Habitués

Pour nous aussi ces questions se posent.Nous n'avons pas encore d'enfants mais par contre nous avons tout deux un boulot qui nous laisse pas mal de vacances (pour ma part j'ai toutes les vacances scolaires).Alors savoir qu'on va tomber à 2 semaines par an c'est dur dur :shok:

Pour ce qui est du matériel, nous avons pris la décision de vendre une grande partie de nos biens pour racheter au Québec.

Je pense qu'on se posera des questions jusqu'au jour du départ mais l'envie de partir est bien la et je pense qu'il est logique de s'interroger sur une telle décision.

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  • Habitués
Pour nous aussi ces questions se posent.Nous n'avons pas encore d'enfants mais par contre nous avons tout deux un boulot qui nous laisse pas mal de vacances (pour ma part j'ai toutes les vacances scolaires).Alors savoir qu'on va tomber à 2 semaines par an c'est dur dur :shok:

Pour ce qui est du matériel, nous avons pris la décision de vendre une grande partie de nos biens pour racheter au Québec.

Je pense qu'on se posera des questions jusqu'au jour du départ mais l'envie de partir est bien la et je pense qu'il est logique de s'interroger sur une telle décision.

En y repensant, j'avais onze semaines en France :shok:

Euuhhhh les vacances, c'est un peu une fausse excuse -_- . Après si t'as pas envie, t'as pas envie mais bon, si tu veux une maison, que tu la trouves géniale mais que tu ne la prends pas parce que la porte de la cave est verte euhhh... ben c'est peut-être que tu ne le voulais pas vraiment.

Je crois qu'il faut surtout se rapeler qu'une immigration, c'est pas des vacances! c'est parfois difficile; moi, j'ai beaucoup pleuré au départ!!! (pour la plupart de sgens, les 4-6 premières semaines sont de l'euphorie, ensuite vient le processus de deuil).

Le deuil fait partie des étapes d'une immigration.

IMMIGRER ce n'est pas facile

Beaucoup de doutes, de stress aussi pour la plupart d'entre nous (sauf ceux qui sont entourés mais pour eux c'est différent). Des larmes, beaucoup de doutes, parfois des regrets aussi ou de l'amertume puis le soleil peu à peu reprend sa place. Il faut avoir su accepter de ne plus avoir la place que l'on avait chez soi.

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Merci pour ta réponse

tu es déja installé?

En y repensant, j'avais onze semaines en France :shok:

Euuhhhh les vacances, c'est un peu une fausse excuse -_- . Après si t'as pas envie, t'as pas envie mais bon, si tu veux une maison, que tu la trouves géniale mais que tu ne la prends pas parce que la porte de la cave est verte euhhh... ben c'est peut-être que tu ne le voulais pas vraiment.

Je crois qu'il faut surtout se rapeler qu'une immigration, c'est pas des vacances! c'est parfois difficile; moi, j'ai beaucoup pleuré au départ!!! (pour la plupart de sgens, les 4-6 premières semaines sont de l'euphorie, ensuite vient le processus de deuil).

Le deuil fait partie des étapes d'une immigration.

IMMIGRER ce n'est pas facile

Beaucoup de doutes, de stress aussi pour la plupart d'entre nous (sauf ceux qui sont entourés mais pour eux c'est différent). Des larmes, beaucoup de doutes, parfois des regrets aussi ou de l'amertume puis le soleil peu à peu reprend sa place. Il faut avoir su accepter de ne plus avoir la place que l'on avait chez soi.

merci pour ta réponse

avez vous commencé les démarches?

quelle région souhaites tu aller?

Pour nous aussi ces questions se posent.Nous n'avons pas encore d'enfants mais par contre nous avons tout deux un boulot qui nous laisse pas mal de vacances (pour ma part j'ai toutes les vacances scolaires).Alors savoir qu'on va tomber à 2 semaines par an c'est dur dur :shok:

Pour ce qui est du matériel, nous avons pris la décision de vendre une grande partie de nos biens pour racheter au Québec.

Je pense qu'on se posera des questions jusqu'au jour du départ mais l'envie de partir est bien la et je pense qu'il est logique de s'interroger sur une telle décision.

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  • Habitués

j'ai aussi longtemps pensé aux presque 4 mois de vacances que me procure mon métier d'enseignante...mais comme dit semago,c'est une fausse excuse,il y avait tout le reste,l'inquiétude de partir seule avec mes enfants,le côté financier à bien considérer,l'angoisse de se retrouver dans un milieu inconnu sans connaitre personne.....Et puis un jour sans trop savoir pourquoi,ma décision etait prise...enfin,c'est un tout,marre de glandouiller dans un boulot pépère qui ne m'ofre aucune possibilité de m'épanouir,marre de voir mes enfants grandir dans un milieu ou règne en permanence un climat d'insécurité(si,si,je vous assure que même en Belgique,ça peut arriver!!!)marre de vivre sans but,sans réel projet parce que là ou je vis,et bien,je ne m'y suis jamais vraiment sentie chez moi,et plein d'autres trucs qui ont déclenché l'étincelle qu'il me manquait pour enfin prendre la décision de commencer les démarches.

De plus,même si mon séjour au Canada remonte à très longtemps,j'en garde un souvenir très présent...la lumière,les couleurs,les odeurs,les paysages,les gens...Malgré tout,les enfants et moi partons en juillet pour trois semaines au Québec histoire de voir si mes impressions d'avant me feront encore aimer ce pays maintenant(quoi que...je me fais pas trop de soucis pour ça,je crois que je vais aimer ^_^ )

Sophie

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Nous aussi nous allons essayer de partir 3 semaines cet été a quebec prendre la température. Dans quelle région tu souhaites aller?

j'ai aussi longtemps pensé aux presque 4 mois de vacances que me procure mon métier d'enseignante...mais comme dit semago,c'est une fausse excuse,il y avait tout le reste,l'inquiétude de partir seule avec mes enfants,le côté financier à bien considérer,l'angoisse de se retrouver dans un milieu inconnu sans connaitre personne.....Et puis un jour sans trop savoir pourquoi,ma décision etait prise...enfin,c'est un tout,marre de glandouiller dans un boulot pépère qui ne m'ofre aucune possibilité de m'épanouir,marre de voir mes enfants grandir dans un milieu ou règne en permanence un climat d'insécurité(si,si,je vous assure que même en Belgique,ça peut arriver!!!)marre de vivre sans but,sans réel projet parce que là ou je vis,et bien,je ne m'y suis jamais vraiment sentie chez moi,et plein d'autres trucs qui ont déclenché l'étincelle qu'il me manquait pour enfin prendre la décision de commencer les démarches.

De plus,même si mon séjour au Canada remonte à très longtemps,j'en garde un souvenir très présent...la lumière,les couleurs,les odeurs,les paysages,les gens...Malgré tout,les enfants et moi partons en juillet pour trois semaines au Québec histoire de voir si mes impressions d'avant me feront encore aimer ce pays maintenant(quoi que...je me fais pas trop de soucis pour ça,je crois que je vais aimer ^_^ )

Sophie

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  • Habitués

Nous allons louer une voiture, passer quelques jours à Montréal et puis remonter jusqu'à Québec voir le maximum du pays et surtout pour essayer de nous faire une petite idée de l'endroit ou nous voudrions vivre... je compte aussi en profiter pour me renseigner sur le boulot, les écoles pour les enfants et tout ce qui pourrait nous être utile pour une eventuelle instalation(je dis eventuelle car pour obtenir le csq,c'est pas gagné pour moi!!!)

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  • Habitués

Contente de suivre le fils de gens de mon âge :dodotime:

Je suis moi aussi dans une situation confortable ici mais comme Cathygilles, j'ai envie de m'épanouir, pas de "glandouiller" jusqu'à ce que mort s'en suive, et d'emmener mes enfants au large.J'ai ouvert mon dossier en octobre dernier et actuellement, ce sont mes enfants qui paniquent à l'idée de ne pas partir :maxpayne: . Prendre une décision c'est dur, mais attendre l'est plus encore :heu2:

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  • Habitués
actuellement, ce sont mes enfants qui paniquent à l'idée de ne pas partir

idem pour moi,

mes enfants n'imaginent même plus de ne pas partir...donc on va tout faire pour l'obtenir ce fameux csq même si ça risque d'être très laborieux,on va se battre :niark1: :angry:

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  • Habitués

Bonjour,

Prendre la décision s'est fait tout seul, c'était presque normal pour nous.

Mais c'est vrai qu'attendre, ça c'est dur. Les enfants sont impatients, ils ne le montrent pas trop à la maison , mais on sait qu'ils en parlent beaucoup à l'école.

Le départ devrait se faire avant juillet, et là il faut les gérer car ils sont prèt à partir au point de ne plus rien faire à l'école.

@+

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  • Habitués

Hello

Je me retrouve bien dans ce que dit Semago.

La décision de partir n'a pas été très facile à prendre pour moi. Mon mari y voyait la porte de sortie d'une période de boulot particulèrement éprouvante . Moi, je rêvais d'une vie plus stable ( nous avions fait 4 villes en 12 ans de mariage et il nous fallait encore déménager !), d'un homme plus présent à la maison....Nous cherchions aussi une ouverture pour notre fils de 12 ans, dyspraxique et pour lequel aucune filière scolaire ne semblait possible.

Et puis, il y avait ce goût d'aventure, de découverte, l'envie de ressembler à ces amies qui m'impressionnaient avec leur " lorsque j'étais à Tokyo...quand je vivais à New York...Pendant mes études à Montréal...". Je les trouvais généralement ouvertes, sympas, gaies, dynamiques.....Nous avions envie que nos enfants puissent aussi avoir cette ouverture d'esprit. Nous voulions leur donner conscience que le monde ne se réduisait pas à nos frontières....

Alors, peu à peu, je me suis laisser convaincre ( en fait, j'ai eu un an pour m'y faire : le temps des démarches :D )

Et oui,ça a été dur d'abandonner la sécurité de ce qu'on connait ( même si ce n'est pas parfait) pour sauter à deux pieds dans l'inconnu ( même si on se renseigne bien avant, croyez-moi, on arrive dans l'inconnu !). Oui, la séparation avec les amis, les proches, ce n'est pas facile et oui, on verse des larmes, quoiqu'on n'en veuille. Les plus dures à supporter sont celles des enfants, qui même s'ils sont très partants, excités et curieux, pleurent la perte de leurs amis et l'éloignement des mamies et des cousins...

Et puis on arrive avec un mélange d'euphorie, d'exitation, de joie, de larme. Le coeur déborde de sentiments mélés : l'envie de se battre pour que tout marche comme il faut, l'emmerveillement devant notre nouveau cadre de vie, l'excitation devant toutes les nouveautés, mais aussi la frustration d'avoir perdu tous ses repères ( et en 40 ans, on en acumulent !!! :blushing: ), le moral qui fait du yoyo, au rythme de celui des enfants et de la recherche d'emploi.

Comme dit Semago, après cette période intense de découverte toutes " en bloc", viennent les temps de l'inquiètude, de l'angoisse, du deuil de ce que l'on a perdu. Et deuil de ce que l'on a pas trouvé : parce que oui, on arrive malgrè tout avec des rêves qui tiennent parfois des "images d'Épinale" malgré toutes les infos que l'on peut glaner avant le départ...C'est si facile de tomber dans le " mais qu'est-ce que je fais là ?" :( dès que quelque chose ne va pas exactement comme on l'espèrait.

C'est une période difficile. Mais arriver en famille permet de se soutenir. On tient pour l'autre, pour ne pas agraver le mal être, pour que l'autre continue à vivre...

Et puis vient enfin l'atterrissage dans la réalité : le deuil est fait, les regrets s'espacent, et les vraies découvertes peuvent enfin se faire.

Découvrir que même si les finances ne sont pas au beau fixes la vie est belle, la luge est pour tous et les ballades aussi.

Découvrir que les profs sont ravis de découvrir des parents prêts à les soutenir et partant pour engager un dialogue.

Découvrir que la curiosité des gens quant à notre démarche peut devenir un terrain fertile pour l'amitié.

Découvrir qu'un boulot "merdique" peut malgré tout avoir de bon coté ( journée libre, temps passé ensemble comme jamais jusque là...)

Découvrir un "réseau d'amitié" que nous 'avions pas soupçonné ,s'est créé malgré tout et s'est concrétisé par le boulot de nos rêves.

Découvrir que notre fils est capable de suivre une scolarité " à peu près" normale quelquepart dans ce monde.

Découvrir que certains matin, la neige scintille vraiment comme dans les contes de Noël

Découvrir que nos enfants sont capables d'ouvrir leurs yeux et leurs oreilles. Qu'ils sont aussi capables de mettre des mots sur leur émotions pour les partager avec nous. Que nous vivons cette belle aventure en symbiose familiale....

Nous ne sommes pas venus avec l'idée de finir notre vie ici. Nous voulions que nos enfants aient le choix, voire le goût, de vivre autre chose, autrement. Et pour l'instant , après presque 2 ans et demi, je dirais que nous pensons avoir gagné notre pari.

L'avenir ? "À chaque jours suffit sa peine!" et "Un pas à la fois". Mais si l'avenir est tel qu'il semble s'annoncer aujourd'hui, nous aurons vraiment vécu ensemble une très belle aventure humaine, pleine de difficultés et de joies, comme il se doit. Et nous en sommes fiers.

Je vous souhaite à vous aussi , de pouvoir aller au boût de vos rêves.

Amicalement

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Bonjour les filles,

J'ai une super idée : et si on montait un club d'immigrants quadragénaires ???

Tous ces gens de 40 ans qui veulent partir et bien ça me fait plaisir, on commençait à se sentir seuls...

Les raisons pour que l'on parte ??? C'est trés simple, on n'a aucune raison de rester : pas vraiment de job qui rapporte financièrement ou humainement, un appart qui vaut super cher mais qui est trop petit pour élever nos deux gars, un système scolaire inadapté et puis surtout l'âge...

Quand j'étais petit, on m'a offert une mappemonde. J'ai pointé le Canada et j'ai dit quand je serai grand, j'habiterai là. Plus tard, j'ai vu robert Charlebois à la TV et je me suis dit : ça doit être bien un coin ou il y a des mecs comme ça. Et j'ai aussi revu 2000 fois La menace avec Carole Laure et Yves Montand et je me suis dit, un coin ou y' a des filles comme ça, des paysages comme ça et des camions comme ça, c'st fait pour moi...

Et donc maintenant, chui grand donc c'est maintenant ou jamais parce que plus tard, j'ai ben l'impression que ce sera trop tard !!!!

Qu risque-t'on de perdre : du temps ? non, ça c'est que nous perdons tous les jours. De l'argent ? Bon, ben ça, ça va ça vient. Des illusions ? je ne vois pas trop lesquelles.

Si nous pensons trente secondes aux enfants : qui peut penser une seule seconde que leur avenir soit plus assuré en France qu'au Québec ? Qui peut prétendre qu'avoir la double nationalité soit un handicap dans la vie ??

Tout cela peut paraître à la foi futile, profond, improvisé, inconscient etc etc

Mais n'est ce pas le lot d'un immigrant que de partir avec des tas de raisons à la fois rationnel et irraisonné ??

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  • Habitués

merci pour ces mots :haouais:

ces derniers temps, ce n'est pas ma famille qui m'a fait douter, mais les forumistes eux-même...

S'entendre de dire par des gens qui sont dans la même démarche que mon projet est un peu léger, et que je n'ai plus l'âge, c'est très dur à encaisser :frankenstein:

erreur ou non, telle est la question :glups:

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  • Habitués

C'est bien vu Isséo, nous qui sommes encore de ce côté-ci, c'est un peu comme ça que je m'imagine l'arrivée, avec des hauts et des bas, de l'euphorie et du découragement, en tout cas de la nouveauté et pour le reste on essaiera de s'adapter.

Comment prendre la décision, c'est difficile à expliquer, encore plus à conseiller. Ca dépend de chacun, certains se décident très vite, d'autres ont besoin de mûres réflexions, c'est un peu mon cas j'ai remarqué que pour des décisions importantes, je me pose toujours des tas de questions, parfois très longtemps et un jour ça me paraît évident, donc c'est le moment je suppose.

Pour ceux qui arrivent à la quarantaine, le pas semble parfois plus difficile à franchir car il y a plus de choses à mettre dans la balance : des enfants dont on est responsable, des parents qui deviennent âgés, du confort matériel, des boulots bien payés, etc.

Bon courage à vous tous en tout cas.

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  • Habitués

Comme tu dis béviane,pleins de questions et un jour c'est l'évidence qui nous saute aux yeux...et je dirais qu'avoir plus de 40 ans, pour moi ,c'est loin d'être un handicap,je me dis que maintenant,il faut foncer,ne plus me satisfaire du train train quotidien qui m'empêche de m'epanouir,montrer à mes enfants déjà grands(18 et 16 ans) qu'il y a autre chose,que la vie peut-être vécue autrement,que tout n'est pas facile mais que si on veut,on peut....ça fait de années que je parle de partir sans jamais avoir osé,des années à me morfondre dans une vie qui ne me convient pas...moi qui disais toujours à mes chers ados que dans la vie,il faut tout faire pour accéder à nos rêves,j'etais loin de leur donner l'exemple à suivre!!!

egl....aaahhhhh,les camions du Canada,il y a bien longtemps,ils ont presque réussi à me faire changer d'orientation mais j'avais pas le gabarit pour dresser une de ces bestioles là!!!!!

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