Habitués GHK Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 Ca a été egalement un gros probleme lors de mes entretiens d'embauche le fait de ne pas parler anglais... comme toi je recherchais un job en tant que commis de bureau et toutes les agences m'ont refusé ma candidature parce que je ne parlais pas un mot d'anglais...J'ai eu de la chance en trouvant l'emploi ou je suis et oû la moitié de mes collegues se parlent en anglais entre eux mais lorsqu'ils s'adressent a moi ils font l'effort de me parler francais, moi le ptit frenchie ...Mais je fais egalement l'effort de prendre des cours en anglais pour tout de meme me permettre de contacter certains collegues a Toronto, chose que je ne peux pas faire pour l'instant et qui est un handicap pour monter un petit peu dans la société....Donc ce n'est pas non plus primordial d'etre bilingue a Montreal mais c'est un veritable atout, disons que ca t'ouvrira beaucoup plus de portes. Citer
Habitués petiboudange Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 (modifié) ben toutes les offres que je vois demande le bilinguisme....et des montréalais qui ne s'expriment qu'en anglais y en a beaucoup.mais si vous voulez vous convaincre du contraire c'est votre choix.en tout cas je me demande bien quel job vous pouvez trouver sans parler anglais. Une amie québécoise de l'outaouais pourtant fille de traducteurs n'a pas un niveau d'anglais des plus fameux et elle bosse pour une association environnementale. Et ça correspond à ce qu'elle voulait faire. Et c'est sur Montréal.Donc trouver tu peux, mais comme dit Lachtite, ça rend les recherches un peu plus difficiles. Maintenant, faut pas oublier non plus que outre la conversation en anglais, on demande parfois la rédaction en anglais dans certains milieux professionnels (moi en com' c'est presque obligatoire si je veux des postes de chargée de communication par exemple). Donc prendre des cours en anglais est presque indispensable à un moment ou un autre dans certains domaines, sauf si vous êtes déja bilingue écrit et oral et il faut donc en faire le calcul dans le budget d'installation.Au mieux vous n'aurez pas besoin de cours, au pire vous les aviez prévu. Modifié 11 octobre 2006 par petiboudange Citer
Habitués cherry Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 (modifié) Dans mon job, il n'est vraiment pas nécessaire de parler anglais, ce n'est pas un pré-requis et on ne m'a rien demandé à ce propos quand jai passé l'entrevue (je travaille pour une télé francophone). J'ai des collègues techniciens qui ne parlent pas un traître mot d'anglais et ça n'a jamais été un problème.Mais bon, ça ne m'empêche pas d'aimer le fait que je parle anglais aussi: ça ouvre les horizons (on est quand même entourés de 300 millions d'anglophones!) et ça m'aide parfois à mon boulot (quand on se sert d'un feed de CNN, c'est pratique de savoir ce qu'ils disent).Ma soeur elle, ne doit travailler qu'en anglais. Elle travaille pour une grosse boîte à Westmount, est la seule francophone à cet endroit (elle trouve ça lourd d'ailleurs), et même si elle a plusieurs collègues qui comprennent le français, son boss exige qu'elle ne parle que l'anglais, même quand ce n'est pas nécessaire. Elle s'est d'ailleurs fait chicané par lui car elle avait échappé quelques mots de français lors d'un échange informel avec des collègues! L'Office de la langue française leur a déjà payé quelques visites (comme ils le savent d'avance, ils doivent cacher des trucs, même un drapeau du Canada!), mais malheureusement ça ne change rien. Son boss est vraiment anti-français et méprise la loi 101. S'il savait: ma soeur est souverainiste... :biohazar: Modifié 11 octobre 2006 par cherry Citer
Habitués petiboudange Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 Son boss est vraiment anti-français et méprise la loi 101. S'il savait: ma soeur est souverainiste... :biohazar:Tu devrais dire à ta soeur de ne porter que du bleu, il finirait par comprendre Citer
dens555 Posté(e) 11 octobre 2006 Posté(e) 11 octobre 2006 Rien a voir avec le milieu banquaire mais l'information peut servir.Je travaille dans l'aéronautique et les anciens me disent qu'il y a de ça 20 ans toute l'usine fonctionnait en anglais (même les fiches de paye). Depuis la majorité est repassé au francophone mais le bilinguisme reste obligatoire.De surcroit, je suis régulièrement en formation et tous les cours (domaine technique) sont donnés aux Etats-Unis. J'ai un collègue (sur 16) québécois qui se dit pas bilingue, à date il n'a jamais suivi de cours hormis ceux donnés à Montréal (donc en français). Actuellement il apprend l'anglais de façon intensive pendant ses heures de travail et sur les lieux du travail ce qui facilite grandement la tache. Citer
Habitués cherry Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 (modifié) Son boss est vraiment anti-français et méprise la loi 101. S'il savait: ma soeur est souverainiste... :biohazar:Tu devrais dire à ta soeur de ne porter que du bleu, il finirait par comprendre Le plus rageant là-dedans, c'est que la règle de ne parler QUE l'anglais a été imposée principalement parce que le boss est unilingue anglophone. Comme il veut savoir tout ce qui se dit au bureau même si ça ne le concerne pas, il impose son unilinguisme à tout le monde, même quand l'anglais n'est pas requis! :heyho: On se croirait dans les années 60... Modifié 11 octobre 2006 par cherry Citer
Habitués petiboudange Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 Ouais je vois le genre... Mon problème avec l'autorité est active avec ces patrons là et seulement ceux-là bizarrement ... On appelle ça un "petit" chef ou chefaillon je crois Citer
Habitués tristan00 Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 Ouais je vois le genre... Mon problème avec l'autorité est active avec ces patrons là et seulement ceux-là bizarrement ... On appelle ça un "petit" chef ou chefaillon je crois Oui il s'agit bien du syndrome "petit chef" un iznogoud anglophone... Citer
Habitués Lachtite Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 (modifié) Donc prendre des cours en anglais est presque indispensable à un moment ou un autre dans certains domaines, sauf si vous êtes déja bilingue écrit et oral et il faut donc en faire le calcul dans le budget d'installation.Au mieux vous n'aurez pas besoin de cours, au pire vous les aviez prévu.N'oubliez pas que votre statut de RP vous donne droit 1) à des cours de français gratuits... (mais ça tu n'en as pas besoin Petibou... ) et 2) à des cours d'anglais pas excessifs du tout.. - 120$ pour la session... qui peut aller jusqu'à 3 mois... Et vous pouvez bosser à coté trouver très vite une jobine qui vous permet de justifier de la fameuse 1ère expérience québecoise... Et n'oubliez pas que l'anglais c'est une bille de plus dans votre recherche... Son boss est vraiment anti-français et méprise la loi 101. S'il savait: ma soeur est souverainiste... :biohazar:Tu devrais dire à ta soeur de ne porter que du bleu, il finirait par comprendre Le plus rageant là-dedans, c'est que la règle de ne parler QUE l'anglais a été imposée principalement parce que le boss est unilingue anglophone. Comme il veut savoir tout ce qui se dit au bureau même si ça ne le concerne pas, il impose son unilinguisme à tout le monde, même quand l'anglais n'est pas requis! :heyho: On se croirait dans les années 60... Tiens c'est marrant ça me rappelle mon ancien boss, qui ne supportait pas qu'on ferme les portes.... complétement parano... Modifié 11 octobre 2006 par Lachtite Citer
Habitués cherry Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 De toute façon, que le bilinguisme soit exigé ou pas dans votre domaine, je vous encourage fortement à apprendre l'anglais quand même. Il faut tenir compte de la réalité: nous sommes en Amérique du Nord et 98% des habitants parlent anglais.Autant j'ai de la difficulté avec les Québécois anglophones qui ne parlent pas un traître mot de français, autant je ne comprends pas qu'on puisse se contenter du français, à Montréal comme en région. D'accord, tant mieux si l'anglais n'est pas essentiel pour se trouver un job. Mais il me semble que c'est un plus de maîtriser l'anglais aussi, ou du moins de le comprendre: ça donne accès à une autre culture, un autre point de vue, ça permet de savoir ce qui se passe autour quoi, tout près de nous. Citer
Habitués juetben Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 (modifié) en tout cas je me demande bien quel job vous pouvez trouver sans parler anglais. voyons voir... caissier, caissiere dependament du quartier de montreal, infirmiere, technologue de laboratiore medical, educatrice de garderie, livreur, geometre, arpenteur, un grand nombre de metiers manuels comme dans la construction ou en usine, col bleu ou blanc a la ville selon les services, secretaire selon les domaines de l'entreprise... bref on peut trouver sans mais avec c'Est un atout mais faut pas mettre en cause une absence de parler anglais pour justifier qu'on ne trouve pas de travail... Modifié 11 octobre 2006 par juetben Citer
Habitués tof Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 en tout cas je me demande bien quel job vous pouvez trouver sans parler anglais. voyons voir... caissier, caissiere dependament du quartier de montreal, infirmiere, technologue de laboratiore medical, educatrice de garderie, livreur, geometre, arpenteur, un grand nombre de metiers manuels comme dans la construction ou en usine, col bleu ou blanc a la ville selon les services, secretaire selon les domaines de l'entreprise... bref on peut trouver sans mais avec c'Est un atout mais faut pas mettre en cause une absence de parler anglais pour justifier qu'on ne trouve pas de travail... Oui faut quand-même pas pousser : on peut trouver du travail sans nécessairement parler anglais, on est sensé être au Québec quand-même. MAIS c'est certain que c'est beaucoup plus facile d'en trouver quand on connait l'anglais, surtout à Montréal. Ailleurs au Québec je pense qu'on peut plus facilement faire sans. Citer
Habitués mylene3 Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 Ouais je vois le genre... Mon problème avec l'autorité est active avec ces patrons là et seulement ceux-là bizarrement ... On appelle ça un "petit" chef ou chefaillon je crois Ou encore un p'tit boss de bécosse Citer
Invité Posté(e) 11 octobre 2006 Posté(e) 11 octobre 2006 c'est sûr qu'il vaut mieux prendre des cours,c'est toujours un plus.mais c'est pas mon cas car je suis bilingue. Citer
Habitués Zogu Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 (modifié) Moi j'ai travaillé dans une entreprise québécoise où les anglophones (et allophones) devaient suivre un cours de Français, parce que les réunions se passient en Français. Pas mal hein, pour un domaine technique, l'informatique. Ainsi mon collègue kabyle a eu droit à un cours (payé par le bureau) de perfectionnement en langue française. À l'opposé, j'ai une amie qui travaille dans une grande entreprise pharmaceutique à Montréal, division d'une entreprise américaine. Récemment ils ont invoqué le Patriot Act pour forcer tous les employés à ne parler qu'Anglais dans les réunions et dans leurs e-mails, pour que les systèmes de surveillance internes soient en mesure de traiter l'information qui circule. C'est non seulement illégal selon la Loi 101, mais c'est aussi illégal du point de vue des lois canadiennes sur l'emploi. En plus c'est ridicule de faire des réunions en Anglais quand tous les participants sont des francophones. Modifié 11 octobre 2006 par Zogu Citer
Habitués peanut Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 cherry et zogu, mais ce n'est pas possible de dénoncer ces entreprises qui bafouent la loi 101? peanut qui travaille uniquement en français(bon, j'ai bien un patient anglophone de temps en temps, mais je ne me considère pas du tout bilingue...je me débrouille comme bien des québécois!) Citer
Habitués solene Posté(e) 11 octobre 2006 Habitués Posté(e) 11 octobre 2006 moi j ai de la chance mon niveau d anglais n est pas bon ( faut que je me renseigne pour des cours d anglais) et j ai trouve un boulot dans mon domaine qui est la vente a la baie centre villeils m ont jamais demande si je savais parle anglaisc ets marrant car y a des associes qui ne parlent pas francais et d autres pas anglais et tout le monde cohabite et se comprenddonc franck si jamais tu veux bosser dans la vente en ce moment la baie recrute surtout avant noel Citer
Habitués Zogu Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Notons au passage qu'il y a une différence importante entre "ne pas parler un mot d'Anglais", "avoir une compréhension de base", et "être bilingue".On demande généralement une compréhension de base et de savoir tenir une conversation simple.Si vous dites, en entrevue d'emploi, que vous ne comprenez rien de rien à l'Anglais en vous prenant la tête entre les mains... l'employeur va s'inquiéter et il va choisir quelqu'un d'autre. Juste pour que vous ne mettiez pas le feu au building en lisant mal les instructions du sachet de pop-corn.Assurez-vous d'avoir une compréhension de base, peu importe votre profession. Sinon vous vous sentirez bien à l'étroit en Amérique du nord, même si le Québec vous permettra de vivre tout en Français au moins 90% du temps. Suffit d'éviter les secteurs trop anglophones à votre goût. N'allez pas acheter une maison à Kirkland si vous ne savez pas dire " get out of my driveway" ou "where's the convenience store?".Si votre profession demande des communications importantes avec le public (tourisme, vente) ou avec les entreprises (marketing, organisateur, acheteur), assurez-vous d'avoir une maîtrise suffisante de l'Anglais.Il me semble que c'est l'évidence même. Citer
Habitués TITNINI Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 Ne trouvez-vous pas aussi que les immigrants ont un gros complexe avec la langue de Shakespeare là où les québécois n'en ont pas?Ayant travaillé dans une entreprise internationale dont la langue de conversation entre salariés était l'anglais, j'ai entendu bien des québécois voire des canadiens dont le niveau d'anglais n'était pas si terrible que ça mais leur aisance faisait passer les fautes et une prononciation de certains mot parfois douteuse.Etre bilingue au Canada c'est surtout savoir comprendre et se faire comprendre de ses interlocuteurs sans pour autant exiger une maitrîse parfaite de la langue.Au début, j'étais un peu décontenancée voire même coincée lors des conversations téléphoniques, malgré un niveau d'anglais qualifié de très bon en France. Après mettre fais quelques temps violence et avoir entendu mes collègues ne trouvant pas leurs mots et tentant tout de même une explication pour continuer le dialogue, j'ai eu bien moins honte de mon "maudit anglais de française".NB: les amércains et les canadiens sont généralment très friands de notre pointe d'accent et du coup très compréhensifs. LolCroyez-moi entre un américain d'origine indienne, un pur texan ou un français s'exprimant en anglais, il y a bien des cas où j'aurai préféré parler avec le troisième. Citer
Habitués geez Posté(e) 12 octobre 2006 Habitués Posté(e) 12 octobre 2006 en tout cas je me demande bien quel job vous pouvez trouver sans parler anglais. voyons voir... caissier, caissiere dependament du quartier de montreal, infirmiere, technologue de laboratiore medical, educatrice de garderie, livreur, geometre, arpenteur, un grand nombre de metiers manuels comme dans la construction ou en usine, col bleu ou blanc a la ville selon les services, secretaire selon les domaines de l'entreprise... bref on peut trouver sans mais avec c'Est un atout mais faut pas mettre en cause une absence de parler anglais pour justifier qu'on ne trouve pas de travail... Oui faut quand-même pas pousser : on peut trouver du travail sans nécessairement parler anglais, on est sensé être au Québec quand-même. MAIS c'est certain que c'est beaucoup plus facile d'en trouver quand on connait l'anglais, surtout à Montréal. Ailleurs au Québec je pense qu'on peut plus facilement faire sans.J'y croyais plus Citer
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