Habitués Laurence Nadeau Posté(e) 7 novembre 2003 Habitués Share Posté(e) 7 novembre 2003 Bonjour,Voilà, un p'tit retour pour notre Flying Antoine.À lire en page d'accueil.Laurence Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués schumarette Posté(e) 7 novembre 2003 Habitués Share Posté(e) 7 novembre 2003 J'aime beaucoup ta chronique Antoine !!Elle refléte malheureusement la réalité : les régions vivront tant que les entreprises et le travail y seront présents !! Mais, si, pour une raison ou une autre, ceci vient à manquer, hé bien, adieu veaux, vaches, cochons, couvées...Je trouve ça bien plate Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Tchoupy Posté(e) 7 novembre 2003 Habitués Share Posté(e) 7 novembre 2003 c'est bien triste de voir qu'une région..apparemment prospère il y'a quelques années, soit maintenant presqu'à l'abandon.C'est le gros problème ici aussi et c'est bien dommage!Val d'Or me semble bien charmante et vous y retournez avec plaisir..c'est le principal!Bizzes.Tchoupy Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Habitués Colonel Higgins Posté(e) 8 novembre 2003 Habitués Share Posté(e) 8 novembre 2003 Salut,Moi aussi j'aime bien tes chroniques Flying Antoine Un petit peu morose cette dernière non ?En tout cas elle s'inscrit complètement (même si ce n'était sans doute pas ton objectif) dans la récente discussion sur les régions C qquechose ces "régions"... il me semble que ça fournit du bonheur à certains, des désillusions à d'autres, de l'amertume aux troisièmes...En tout cas merci pour ta chronique !@+JB Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 8 novembre 2003 Share Posté(e) 8 novembre 2003 Très bonne chronique qui me rappelle la chanson de la chicane : sodôme et Val d'Or :"J'viens de m'taper dix-huit automnifèresL'âme aux aboies devant l'hivernitéDans cette ville hélas-végas du nordOù les néons maquillent les néantTroisième avenue à deux dimensionsLe vent s'enfarge dans les façade postichesDes deux côtés d'la rue, les murs sont à l'afficheDans cette ville où tout propos l'exilL'ennui circule au abords du MétroJe déambule devant le CasinoDans cette ville, hélas-végas du nordOù le temps dense et circulaireLaisse place au jeux suicidairesL'adolescence adossée au billardBelle et rebelle pose le regardSur la parade des gros charsVal-d'Or, Val-d'Or, je chanteraiTes vices qui s'évertuentDans les chambres de tes commercesJe mûrirai tes pertes, récolterai tes défaitesFaux val, fauve plateauLentement s'avance le convoi funèbreSous une averse de peaux de lièvreSur les branches des arbres passagèresSont accrochées les canettes de bièreUn écolo capote sur le capot d'un charEmpanaché et grimaçant la mortLe défilé en fausses notes s'effilocheEt la fanfare patauge dans la slushJe m'enfouirais dans la neige jusqu'à SiscoeMe ferai défossoyeur d'or, déchercheur d'îles sans trésorEt j'enfouirai dans la fosse aux désirsTes débauches passées et ton présent délireUn Algonquin sort de l'hôtelDans ses yeux une étincelle "Bonjour chez-vous!", chante la choraleC'est l'Festival de l'orignalSur quatres roues l'esprit de la fêteHélas, hélas, elle a perdu l'nordDans cette ville où tout propos l'exilEt tous ces shérifs dans cette ville maintenant l'indien dans son exil" Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 8 novembre 2003 Share Posté(e) 8 novembre 2003 Merci pour ce texte que je ne connaissais pas.C'est vrai que Val d'Or, il y a quelques dizaines d'années, était une ville de débauche. Le jour à la Mine, la nuit aux Filles, la fin de semaine au Jeu ; le tout copieusement arrosé de bière !A + Antoine Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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