Laurent Posté(e) 29 mars 2016 Posté(e) 29 mars 2016 Pour valoriser ses jeunes des quartiers pauvres et les empêcher de tomber dans les mains du groupe armé État islamique, la commune belge de Molenbeek a puisé son inspiration... au Québec. Ses travailleurs sociaux commencent à mettre en place des façons de faire importées d'ici. Une trentaine de jeunes de Molenbeek sont actuellement considérés comme étant à risque de sombrer dans la radicalisation. Il s'agit d'une infime minorité des 17 000 jeunes de la commune, mais c'est encore trop pour les autorités. Pour tenter d'endiguer le phénomène et trouver des solutions différentes pour donner une nouvelle perspective aux jeunes défavorisés, des travailleurs sociaux de Molenbeek se sont rendus au Québec au cours des derniers mois. « Ils sont revenus emballés », raconte Sarah Turine, mairesse adjointe responsable de la jeunesse, de la cohésion et prévention sociale et du dialogue interculturel. « Sur le plan de l'action communautaire, le Québec est plus en avance que la Belgique ou la France », croit-elle. Selon Sarah Turine, c'est cette approche plus émancipatrice de la jeunesse que ses travailleurs sociaux ont retrouvée au Québec et qu'elle veut voir se développer dans sa commune. « Le Québec est très riche en ressources au niveau du travail social, et je pense que la jeunesse québécoise a beaucoup de chance. » Une autre source d'inspiration québécoise La commune de Molenbeek, au même titre que le reste de la Belgique, souhaite aussi mieux aider les jeunes qui se sont déjà radicalisés, afin de les accompagner plus efficacement. Et là encore, la Belgique s'inspire du Québec. Plusieurs ministres belges se sont rendus à Montréal ces derniers mois pour visiter le Centre de prévention de la radicalisation menant à la violence. Une entente de coopération a même été signée avec le gouvernement québécois. Pour valoriser ses jeunes des quartiers pauvres et les empêcher de tomber dans les mains du groupe armé État islamique, la commune belge de Molenbeek a puisé son inspiration... au Québec. Ses travailleurs sociaux commencent à mettre en place des façons de faire importées d'ici. Pour écouter le reportage sur votre appareil mobile, cliquez ici. Source : Radio-Canada Citer
Habitués resterzen Posté(e) 30 mars 2016 Habitués Posté(e) 30 mars 2016 Le 29/3/2016 at 08:19, Laurent a dit : Pour valoriser ses jeunes des quartiers pauvres et les empêcher de tomber dans les mains du groupe armé État islamique, la commune belge de Molenbeek a puisé son inspiration... au Québec. Ses travailleurs sociaux commencent à mettre en place des façons de faire importées d'ici. Une trentaine de jeunes de Molenbeek sont actuellement considérés comme étant à risque de sombrer dans la radicalisation. Il s'agit d'une infime minorité des 17 000 jeunes de la commune, mais c'est encore trop pour les autorités. Pour tenter d'endiguer le phénomène et trouver des solutions différentes pour donner une nouvelle perspective aux jeunes défavorisés, des travailleurs sociaux de Molenbeek se sont rendus au Québec au cours des derniers mois. « Ils sont revenus emballés », raconte Sarah Turine, mairesse adjointe responsable de la jeunesse, de la cohésion et prévention sociale et du dialogue interculturel. « Sur le plan de l'action communautaire, le Québec est plus en avance que la Belgique ou la France », croit-elle. Selon Sarah Turine, c'est cette approche plus émancipatrice de la jeunesse que ses travailleurs sociaux ont retrouvée au Québec et qu'elle veut voir se développer dans sa commune. « Le Québec est très riche en ressources au niveau du travail social, et je pense que la jeunesse québécoise a beaucoup de chance. » Une autre source d'inspiration québécoise La commune de Molenbeek, au même titre que le reste de la Belgique, souhaite aussi mieux aider les jeunes qui se sont déjà radicalisés, afin de les accompagner plus efficacement. Et là encore, la Belgique s'inspire du Québec. Plusieurs ministres belges se sont rendus à Montréal ces derniers mois pour visiter le Centre de prévention de la radicalisation menant à la violence. Une entente de coopération a même été signée avec le gouvernement québécois. Pour valoriser ses jeunes des quartiers pauvres et les empêcher de tomber dans les mains du groupe armé État islamique, la commune belge de Molenbeek a puisé son inspiration... au Québec. Ses travailleurs sociaux commencent à mettre en place des façons de faire importées d'ici. Pour écouter le reportage sur votre appareil mobile, cliquez ici. Source : Radio-Canada Molenbeek en Belgique veut s'inspirer du Québec ? Ça risque fort de planter. Simplement parce que le processus d'islamisation en Belgique est plus avancé qu'au Québec. Aussi faudrait d'abord et avant tout arrêter les discours haineux d'imams islamistes qui font des prêches violentes an nom du djihad... Molenbeek, c'est déjà trop tard. C'est un territoire perdu du royaume. Une enclave musulmane en Belgique où sévit le communautarisme et la ghettoïsation volontaire où les musulmans veulent vivre entre eux ( la " oumma " ou communauté musulmane " ) et où sévit une version soft de la charia islamique et où de nombreux musulmans ont une haine féroce des " mécréants " belges, condamné à l'enfer selon eux. Trop tard je vous dit. Malheureusement. Alain Finkielkraut parlant de Molenbeck : Je suis allé moi-même à Molenbeek. Je m’y suis promené en voiture, j’y étais avec un sénateur belge et il m’a dit : “Nous n’avons pas intérêt à nous promener à pied, on risque de nous reconnaître et nous serions alors dans une situation très désagréable, nous pourrions être insultés, voire molestés. Donc nous avons traversé Molenbeek en voiture. Toutes les femmes étaient voilées. […] Dans les quartiers que j’ai traversés, dans les rues que j’ai vues, toutes les femmes étaient voilées, tous les gens étaient d’apparence musulmane : les femmes étaient voilées, les hommes portaient des djellabas et des burnous, les enseignes des boutiques étaient rédigées en arabe. […] Nous étions hors de l’Europe, au cœur de l’Europe. Evidemment, devant ce phénomène, je suis étreint par le sentiment du trop tard et je me demande si la force du nombre ne réduit pas à néant toutes nos belles résolutions. […] Il y a des Molenbeek en France, en effet, mais je me demande parfois si la reconquête est encore possible. Citer
Habitués seba666 Posté(e) 30 mars 2016 Habitués Posté(e) 30 mars 2016 il y a 49 minutes, resterzen a dit : Molenbeek, c'est déjà trop tard. C'est un territoire perdu du royaume. Amen Citer
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