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Un agent du MIDI me dit que y'a beaucoup de dossiers à traiter !!! J'ai trouvé bizarre. S'il s'avère que ce cause d'Ebola c'est pour dire que y'a plus de traitement de dossier pour nous et ils vont fourré nos dossiers dans leur harmoires. Sinon comment comprendre qu'après avoir pris 6 500 dossiers on prolonge les délais au motif que y'a beaucoup de dossiers à traiter. Pauvre de nous. Bon courage à tous

Pas forcement. La centralisation du traitement a beaucoup ralenti les traitements ET la paranoia Ebola a diminue le nombre de missions sur l'Afrique de l'Ouest. Si on ajoute a cela le retard colossale des deux dernières années, on arrive a des délais de 3 - 4 ans pour le CSQ.

Pour l'Afrique de l'Ouest, ils en sont encore au traitement des dossiers de debut 2011 (derniers tableaux de delais)....

  • 2 weeks later...
  • Habitués
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Un agent du MIDI me dit que y'a beaucoup de dossiers à traiter !!! J'ai trouvé bizarre. S'il s'avère que ce cause d'Ebola c'est pour dire que y'a plus de traitement de dossier pour nous et ils vont fourré nos dossiers dans leur harmoires. Sinon comment comprendre qu'après avoir pris 6 500 dossiers on prolonge les délais au motif que y'a beaucoup de dossiers à traiter. Pauvre de nous. Bon courage à tous

Pas forcement. La centralisation du traitement a beaucoup ralenti les traitements ET la paranoia Ebola a diminue le nombre de missions sur l'Afrique de l'Ouest. Si on ajoute a cela le retard colossale des deux dernières années, on arrive a des délais de 3 - 4 ans pour le CSQ.

Pour l'Afrique de l'Ouest, ils en sont encore au traitement des dossiers de debut 2011 (derniers tableaux de delais)....

Avis aux Attendeux Africain 2012-2013

L'année 2015 s'annonce mouvementer. Jusqu'à present au regard des informations réçues ces derniers jours les delais s'allonge pour la majorité de nos pays.

Pensez - vous qu'en 2015 les dossiers déposés au titre de l'année 2012 et 2013 pourront recevoir leur première mis à jour? Avez-vous des informations sur le nombre de dossiers à traiter. Réagissez si vous avez des news.

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Nos exigences linguistiques bloquent-elles l'entrée d'immigrants francophiles?

Selon les dernières données de l'Institut de la statistique du Québec, nous avons perdu 13 000 personnes au profit des autres provinces en 2013, alors que ce solde migratoire interprovincial se situait entre 5 000 et 9000 au cours des cinq années précédentes. Cela en dit long sur notre situation économique!

Ce bilan négatif fut compensé par l'arrivée au Québec de 52 000 immigrants. L'un des objectifs du gouvernement du Québec est l'intégration à la majorité francophone d'une forte proportion des immigrants.

Les immigrants doivent aussi s'intégrer au marché du travail. Or, nos critères de sélection nuisent manifestement à cet objectif d'intégration. En 2013, le ministère québécois de l'Immigration a augmenté ses exigences de connaissance du français dans sa grille de sélection des candidats. Il faut dorénavant atteindre le niveau 7 (sur 12) à l'échelle québécoise des niveaux de compétence en français.

Le bassin de francophones dans le monde est restreint et il est de plus en plus concentré en Afrique. Sur les 220 millions de francophones dans le monde, 96,2 millions sont Africains.

Le Vérificateur général du Québec a déjà souligné que seulement 9 % des candidats à l'immigration sélectionnés par le Québec présentaient un profil répondant aux exigences dans les domaines de formation privilégiés (entre 2006 et 2008). Il est absolument essentiel d'élargir nos critères de sélection, tout en maintenant nos objectifs d'intégration à la société francophone. En mettant démesurément l'accent sur la connaissance du français, nous sélectionnons un trop grand nombre d'immigrants qui n'ont pas les compétences pour occuper les emplois en demande au Québec.

Par exemple, durant la période 2009-2013, 21,1 % des immigrants permanents sont venus de trois pays de l'Afrique du Nord. En contrepartie, le nombre d'immigrants reçus en provenance d'Amérique du Sud a baissé de 31 %. L'Espagne ne figure pas parmi les dix principaux pays de recrutement des immigrants, malgré ses déboires économiques. Or, les « latinos » apprennent facilement le français. Avec nos exigences linguistiques relevées, nous sommes en train de bloquer à l'entrée des travailleurs qualifiés parlant espagnol. Ces pays représentent pourtant un bon bassin de recrutement de professionnels, techniciens et travailleurs manuels. L'important, c'est que ces immigrants travaillent en grande majorité dans un milieu francophone et que leurs enfants fréquentent l'école française.

Il en va de même que les immigrants admis comme travailleurs temporaires. Si après une année ou deux, ils souhaitent demeurer en permanence au Québec, nous leur refusons l'accès s'ils ne parlent pas français. Nous nous privons ainsi de travailleurs hautement qualifiés et de travailleurs manuels qui occupent des emplois en pénurie. Ces immigrants sont même désavantagés parce que, occupant un emploi à plein temps, ils n'ont pas eu le loisir de s'inscrire à des cours de francisation, contrairement aux immigrants qui étaient à l'aide sociale. Curieuse valorisation du travail.

La ministre de l'Immigration, de la Diversité et de l'Inclusion prépare une nouvelle politique d'immigration. Nous espérons qu'à cette occasion, nous pourrons revenir aux critères de connaissance du français qui prévalaient avant 2013.

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Nos exigences linguistiques bloquent-elles l'entrée d'immigrants francophiles?

Selon les dernières données de l'Institut de la statistique du Québec, nous avons perdu 13 000 personnes au profit des autres provinces en 2013, alors que ce solde migratoire interprovincial se situait entre 5 000 et 9000 au cours des cinq années précédentes. Cela en dit long sur notre situation économique!

Ce bilan négatif fut compensé par l'arrivée au Québec de 52 000 immigrants. L'un des objectifs du gouvernement du Québec est l'intégration à la majorité francophone d'une forte proportion des immigrants.

Les immigrants doivent aussi s'intégrer au marché du travail. Or, nos critères de sélection nuisent manifestement à cet objectif d'intégration. En 2013, le ministère québécois de l'Immigration a augmenté ses exigences de connaissance du français dans sa grille de sélection des candidats. Il faut dorénavant atteindre le niveau 7 (sur 12) à l'échelle québécoise des niveaux de compétence en français.

Le bassin de francophones dans le monde est restreint et il est de plus en plus concentré en Afrique. Sur les 220 millions de francophones dans le monde, 96,2 millions sont Africains.

Le Vérificateur général du Québec a déjà souligné que seulement 9 % des candidats à l'immigration sélectionnés par le Québec présentaient un profil répondant aux exigences dans les domaines de formation privilégiés (entre 2006 et 2008). Il est absolument essentiel d'élargir nos critères de sélection, tout en maintenant nos objectifs d'intégration à la société francophone. En mettant démesurément l'accent sur la connaissance du français, nous sélectionnons un trop grand nombre d'immigrants qui n'ont pas les compétences pour occuper les emplois en demande au Québec.

Par exemple, durant la période 2009-2013, 21,1 % des immigrants permanents sont venus de trois pays de l'Afrique du Nord. En contrepartie, le nombre d'immigrants reçus en provenance d'Amérique du Sud a baissé de 31 %. L'Espagne ne figure pas parmi les dix principaux pays de recrutement des immigrants, malgré ses déboires économiques. Or, les « latinos » apprennent facilement le français. Avec nos exigences linguistiques relevées, nous sommes en train de bloquer à l'entrée des travailleurs qualifiés parlant espagnol. Ces pays représentent pourtant un bon bassin de recrutement de professionnels, techniciens et travailleurs manuels. L'important, c'est que ces immigrants travaillent en grande majorité dans un milieu francophone et que leurs enfants fréquentent l'école française.

Il en va de même que les immigrants admis comme travailleurs temporaires. Si après une année ou deux, ils souhaitent demeurer en permanence au Québec, nous leur refusons l'accès s'ils ne parlent pas français. Nous nous privons ainsi de travailleurs hautement qualifiés et de travailleurs manuels qui occupent des emplois en pénurie. Ces immigrants sont même désavantagés parce que, occupant un emploi à plein temps, ils n'ont pas eu le loisir de s'inscrire à des cours de francisation, contrairement aux immigrants qui étaient à l'aide sociale. Curieuse valorisation du travail.

La ministre de l'Immigration, de la Diversité et de l'Inclusion prépare une nouvelle politique d'immigration. Nous espérons qu'à cette occasion, nous pourrons revenir aux critères de connaissance du français qui prévalaient avant 2013.

Merci de nous fournir la source du texte....

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Nos exigences linguistiques bloquent-elles l'entrée d'immigrants francophiles?

Selon les dernières données de l'Institut de la statistique du Québec, nous avons perdu 13 000 personnes au profit des autres provinces en 2013, alors que ce solde migratoire interprovincial se situait entre 5 000 et 9000 au cours des cinq années précédentes. Cela en dit long sur notre situation économique!

Ce bilan négatif fut compensé par l'arrivée au Québec de 52 000 immigrants. L'un des objectifs du gouvernement du Québec est l'intégration à la majorité francophone d'une forte proportion des immigrants.

Les immigrants doivent aussi s'intégrer au marché du travail. Or, nos critères de sélection nuisent manifestement à cet objectif d'intégration. En 2013, le ministère québécois de l'Immigration a augmenté ses exigences de connaissance du français dans sa grille de sélection des candidats. Il faut dorénavant atteindre le niveau 7 (sur 12) à l'échelle québécoise des niveaux de compétence en français.

Le bassin de francophones dans le monde est restreint et il est de plus en plus concentré en Afrique. Sur les 220 millions de francophones dans le monde, 96,2 millions sont Africains.

Le Vérificateur général du Québec a déjà souligné que seulement 9 % des candidats à l'immigration sélectionnés par le Québec présentaient un profil répondant aux exigences dans les domaines de formation privilégiés (entre 2006 et 2008). Il est absolument essentiel d'élargir nos critères de sélection, tout en maintenant nos objectifs d'intégration à la société francophone. En mettant démesurément l'accent sur la connaissance du français, nous sélectionnons un trop grand nombre d'immigrants qui n'ont pas les compétences pour occuper les emplois en demande au Québec.

Par exemple, durant la période 2009-2013, 21,1 % des immigrants permanents sont venus de trois pays de l'Afrique du Nord. En contrepartie, le nombre d'immigrants reçus en provenance d'Amérique du Sud a baissé de 31 %. L'Espagne ne figure pas parmi les dix principaux pays de recrutement des immigrants, malgré ses déboires économiques. Or, les « latinos » apprennent facilement le français. Avec nos exigences linguistiques relevées, nous sommes en train de bloquer à l'entrée des travailleurs qualifiés parlant espagnol. Ces pays représentent pourtant un bon bassin de recrutement de professionnels, techniciens et travailleurs manuels. L'important, c'est que ces immigrants travaillent en grande majorité dans un milieu francophone et que leurs enfants fréquentent l'école française.

Il en va de même que les immigrants admis comme travailleurs temporaires. Si après une année ou deux, ils souhaitent demeurer en permanence au Québec, nous leur refusons l'accès s'ils ne parlent pas français. Nous nous privons ainsi de travailleurs hautement qualifiés et de travailleurs manuels qui occupent des emplois en pénurie. Ces immigrants sont même désavantagés parce que, occupant un emploi à plein temps, ils n'ont pas eu le loisir de s'inscrire à des cours de francisation, contrairement aux immigrants qui étaient à l'aide sociale. Curieuse valorisation du travail.

La ministre de l'Immigration, de la Diversité et de l'Inclusion prépare une nouvelle politique d'immigration. Nous espérons qu'à cette occasion, nous pourrons revenir aux critères de connaissance du français qui prévalaient avant 2013.

Merci de nous fournir la source du texte....

http://quebec.huffingtonpost.ca/francoise-bertrand/immigrants-francophiles-quebec_b_6355622.html

  • Habitués
Posté(e)

Merci pour avoir partagé cette information. J'ajoute que le bilinguisme est de mise ici à Montreal pour decrocher un bon travail.

Joyeux Noël.

  • Habitués
Posté(e)

Joyeux noel à toutes et à tous.

lapressecanadienne_logo.gif

OTTAWA - Le gouvernement fédéral dit que le Canada a accordé la citoyenneté à un nombre record d'immigrants en 2014.

Le ministre de la Citoyenneté et de l'Immigration Chris Alexander a déclaré dans un communiqué que plus de 260 000 personnes sont devenues des citoyens du pays au cours de l'année.

Le ministre a ajouté qu'il s'agit du plus grand nombre de n'importe quelle année dans l'histoire du Canada et de plus du double de l'an dernier.

Il a cité des changements récemment apportés à la loi sur la citoyenneté qui ont facilité le processus et affirme que les requérants voient déjà les résultats.

Un nouveau processus décisionnel pour la citoyenneté est entré en vigueur le 1er août et a réduit les démarches de trois étapes à une seule.

Les responsables affirment que depuis cette date, plus de 115 000 personnes sont devenues des citoyens — une augmentation de 90 pour cent par rapport à la même période l'an dernier.

Le retard de traitement a été réduit de 17 pour cent depuis juin et est à son plus bas niveau en près de trois ans, a dit le ministre Alexander.

http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/12/23/ottawa-dit-avoir-accorde-la-citoyennete-a-un-nombre-record-dimmigrants-en-2014_n_6375282.html

  • Habitués
Posté(e)

Que la volonté de l'éternel mon DIEU se realise en 2015 pour le traitement de nos demande.Bonne et heureuse année 2015 à tous les attendeux.....

  • Habitués
Posté(e)

Réactions plutôt négatives

À Toronto, l'avocat Ravi Jain affirme que ce nouveau processus sera plus lourd, parce qu'il ajoute une sélection supplémentaire par rapport à l'ancien système. La formule est aussi moins transparente selon lui et moins démocratique, parce qu'elle accorde plus de pouvoir au ministre Chris Alexander sans passer par le Parlement. « Le gouvernement sacrifie l'État de droit, dit-il, pour choisir de façon aléatoire des candidats de son choix et au moment qu'il trouve opportun. »

Même son de cloche dans les bureaux de l'avocate Chantal Desloges qui ajoute que le nouveau système est injuste et surtout imprévisible. « Les étrangers qui sont déjà au pays, comme les étudiants et les travailleurs temporaires, devront faire face à une compétition de l'extérieur », dit-elle. Elle souligne que certains d'entre eux devront retourner chez eux si leur visa ou leur permis sont expirés, mais sans aucune garantie qu'ils puissent revenir ici même s'ils répondent de toute façon aux nouveaux critères d'admissibilité.

Si la nouvelle formule permet selon Mme Desloges d'éviter des retards dans le traitement des requêtes, les candidats à l'immigration ne seront toutefois pas à l'abri d'erreurs humaines et ils ne pourront, le cas échéant, refaire une demande avant cinq ans.

L'avocat Joël Étienne ajoute de son côté que le gouvernement est en train de devenir une agence de placement à la lumière de ce nouveau système, parce que les employeurs auront eux aussi accès à la banque de données du ministère en ligne. Il précise toutefois que le gouvernement devra faire preuve d'une grande vigilance intellectuelle à cause des risques de fausse représentation qu'une telle sélection peut poser.

  • 3 weeks later...
  • 4 months later...
  • Habitués
Posté(e)

Salut a tous les choses bougent au Midi.De nouveaux Délais sont publiés sur le site du midi. Le Ghana et le Senegal passent 25 mois et le Cameroun et la passe à 26 mois.

  • Habitués
Posté(e)

C'est des délais inférieurs aux précédents ou bien ça s'est rallongé ?

  • Habitués
Posté(e)

C'est des délais inférieurs aux précédents ou bien ça s'est rallongé ?

Ces délais sont largement inférieur aux précédent. La côte d'ivoire est passée de 39 à 36. Et maintenant nous sommes à 26 mois.

Le Cameroun est passé de 32 à 26 mois.

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