impossible d'immigrer dans votre Belle province

[Invité]

PS : je précise que l'ami en question est québécois pure laine justement

[Automne]

si y'a des gens qui font des métiers 'ingrats' , c'est peut être aussi par passion ou parce que c'est ce qu'ils ont voulu faire ( prendre soin des gens)

[Miss Cerise]

Oui les vacances c'est un bon début. Au moins votre conjoint peut voir de quoi à l'air la vie là-bas et peut être se projeter. Et si ça ne lui plait pas bcp, au moins vous savez ou vous en êtes...

Jobs saisonniers, c'est dur. Par contre un truc qui peut marcher c'est l'échange de maison pendant les vacances. Je ne sais pas d'où vous êtes en France (ah si Saint Malo? C'est joli en plus!), mais il y a plein de québécois qui veulent passer un peu de temps en France l'été, et en échange vous logez chez eux et vous testez la vie "locale" pour pas trop cher.

[Invité]

si y'a des gens qui font des métiers 'ingrats' , c'est peut être aussi par passion ou parce que c'est ce qu'ils ont voulu faire ( prendre soin des gens)

C'est clair que j'espère qu'il y en a 1 ou 2 dans la province qui aime sa job

[Automne]

si y'a des gens qui font des métiers 'ingrats' , c'est peut être aussi par passion ou parce que c'est ce qu'ils ont voulu faire ( prendre soin des gens)

C'est clair que j'espère qu'il y en a 1 ou 2 dans la province qui aime sa job

pis même dans les métiers 'pas ingrats', y'a des gens qui aiment pas leur job et change de métier après des années

[Krinele]

Bonjour Florence,

Je comprends tout à fait votre déception car je l'ai moi-même vécu pendant quelques jours. Je m'explique, j'ai toujours voulu m'installer au Québec (en tout cas depuis l'adolescence ). J'avais commencer à me renseigner lors de ma 1ère union mais nous ne remplissions pas les critères de sélection à ce moment là (je n'étais pas encore infirmière et mon ex-conjoint n'avait pas non plus de métier ou diplôme en demande) donc je n'insiste pas. Puis je me sépare et germe de nouveau l'idée de tenter l'immigration mais impossible j'ai mes 3 poupées qui sont trop petites pour que je partes (elles avaient 5, 7 et 9 ans et elles vivaient avec leur papa, ce qui est toujours le cas). Et, nous voilà arriver à maintenant, je suis infirmière, j'ai un nouveau mari (enfin depuis 5 ans, plus trop nouveau finalement ), mes grandes ont bien grandit et j'ai 3 autres bouts de chou (4 ans, 2 ans et 10 mois) et toujours cette réelle envie d'immigrer au Québec (plus ma cousine qui m'encourage à fond, elle vit là-bas depuis 15 ans et même pas en rêve elle rentrerait en France même si elle aime son pays).

Donc je me lance et j'en parle à mon mari qui a justement envie de partir s'installer ailleurs (ça tombe bien, je sais où ), pareil que le tien il ne me dit ni oui, ni non (il pensait plus se diriger vers un pays chaud, plutôt raté ). On en parle en famille, c'est-à dire avec mes plus grandes lorsque qu'elles viennent nous voir en vacances. Elles sont tout à fait d'accord, elles me disent que je dois réaliser mon rêve et son raves de se dire qu'elles viendront en vacances au Canada si on arrive à partir. Puis il finit par me dire oui car ce serait une chance pour nous et nos enfants. Je suis aux anges, j'entame les démarches, je m'inscris aux journées Québec et réussis à avoir un entretien avec RSQ (recruteur pour le personnel médical mais tu dois connaitre) et bien sûr je lui demande de m'accompagner pour que lui-même prenne quelques contacts (il a un bac pro cuisine) et qu'il soit présent si j'ai la chance de signer mon contrat. Et cela se passe comme dans un rêve, j'entends encore les IDE d'RSQ me souhaiter la bienvenue au Québec ! Tout est nickel mais je sens mon mari un peu sur la réserve. Et effectivement, une fois rentrés à la maison (on est de Bordeaux) mon mari me dit qu'il ne veut plus partir. Coup de massue sur la tête ! il me donne ses raisons qui sont légitimes (en fait il a peur que je ne supporte pas l'éloignement avec mes plus grandes ou inversement. Il attend que je lui donne des garanties que je ne peux lui fournir). Il me fait envoyer un mail à RSQ pour annuler le contrat, je ne vous dit pas dans quel état j'étais. Je lui en voulais car il m'avait laisser faire mes démarches, passer l'entretien que j'avais réussi pour me dire qu'il ne voulait plus partir (c'est vrai qu'il m'avait exposer ses craintes mais à chaque fois on en discutait et à aucun moment il ne m'avait dit : non on ne part pas). J'ai passé des jours à pleurer tellement la déception était grande mais je ne pouvais pas le forcer. Et finalement, en se renseignant de son côté (car c'est moi qui faisait tout au niveau recherches) et me voyant tellement malheureuse, il m'a expliqué que c'était parce qu'il avait peur de sauter le pas (je le comprends car malgré ma très grande envie, j'ai peur aussi. C'est une sacrée aventure) mais que finalement il voulait tenter l'aventure, il en avait vraiment envie et pas juste pour me faire plaisir (car je ne serai pas partie dans ces conditions et risquer de voir mon couple voler en éclats). Du coup j'ai pu rattraper les choses avec RSQ qui sont vraiment supers (je crois que je ne dois pas être la 1ère à leur faire le coup) et j'ai signé pour le CHUSherbrooke (maintenant j'attends la confirmation de l'hôpital et je croise fort les doigts).

Bref, tout ça pour te dire que c'est certainement la peur qui le fait parler et c'est bien normal mais que p-ê en lui montrant tous les résultats de tes recherches (les bons comme les mauvais car il est souvent rappeler sur ce forum ce n'est pas le pays des bisounours, ni un el d'orado et comme partout il y a des bons et des mauvais côtés), en l'implicant dans ce projet, en le rassurant sur la possibilité de ton projet, p-ê que ça lui donnera de te suivre dans cette aventure et qu'il te dira oui. En tout cas, c'est vraiment ce que je te souhaite. Je suis désolée d'avoir été si longue et j'espère vraiment que tout s'arrangera pour toi.

Bon courage.

[Invité]

si y'a des gens qui font des métiers 'ingrats' , c'est peut être aussi par passion ou parce que c'est ce qu'ils ont voulu faire ( prendre soin des gens)

C'est clair que j'espère qu'il y en a 1 ou 2 dans la province qui aime sa job

pis même dans les métiers 'pas ingrats', y'a des gens qui aiment pas leur job et change de métier après des années

C'est clair et ça, quoi qu'on en dise, c'est bien plus facile au Québec ! J'en connais un paquet des gens reconvertis ayant repris leurs études sur le tard... PAB devenu agent de voyage, psy devenu journaliste, etc.

[Cherrybee]

Non mais 1. je connais aussi les défauts du Québec (scuse hein j'y ai vécu quand même 7 ans) donc ton discours là, c'est bon, tu peux ranger ton violon et 2. lui exposer la réalité OK mais ca ne veut pas forcément dire sur un ton aussi agressif avec des !!! et des ??? Franchement elle cherche du réconfort là, allo ! Un peu de compassion aussi ça fait du bien des fois...

donc je lui ai dit ce que je vois tous les jours au travail: conditions pas terribles, disponible pour les trois quarts de travail..etc..

Est-ce que tu connais le scenario des hostos? je ne sais pas!!!!mais tu travailles confortablement dans un bureau pas pareil......tu connais ton boulot, je connais le mien!!!c'est tout!!!

Pourquoi? Vous êtes PAB ?

Modifié 22 janvier 2014 par Cherrybee

[Invité]

Non mais 1. je connais aussi les défauts du Québec (scuse hein j'y ai vécu quand même 7 ans) donc ton discours là, c'est bon, tu peux ranger ton violon et 2. lui exposer la réalité OK mais ca ne veut pas forcément dire sur un ton aussi agressif avec des !!! et des ??? Franchement elle cherche du réconfort là, allo ! Un peu de compassion aussi ça fait du bien des fois...

donc je lui ai dit ce que je vois tous les jours au travail: conditions pas terribles, disponible pour les trois quarts de travail..etc..

Est-ce que tu connais le scenario des hostos? je ne sais pas!!!!mais tu travailles confortablement dans un bureau pas pareil......tu connais ton boulot, je connais le mien!!!c'est tout!!!

Pourquoi? Vous êtes PAB ?

Pourquoi?

Pour pouvoir chialer, voyons donc

[Automne]

si y'a des gens qui font des métiers 'ingrats' , c'est peut être aussi par passion ou parce que c'est ce qu'ils ont voulu faire ( prendre soin des gens)

C'est clair que j'espère qu'il y en a 1 ou 2 dans la province qui aime sa job

pis même dans les métiers 'pas ingrats', y'a des gens qui aiment pas leur job et change de métier après des années

C'est clair et ça, quoi qu'on en dise, c'est bien plus facile au Québec ! J'en connais un paquet des gens reconvertis ayant repris leurs études sur le tard... PAB devenu agent de voyage, psy devenu journaliste, etc.

bon, je dérive un peu du sujet, mais c'est surtout que quand on est ado , pas facile de savoir vraiment le métier qu'on aime ou que l'on veut faire. donc , on fait des études puis on travaille et on se rend compte que c'était ça notre passion.

comme mon père au début il était photographe et dans la trentaine il a changé complètement. retour au études puis maintenant il est technicien en génie-bio médical

[Cherrybee]

Non mais 1. je connais aussi les défauts du Québec (scuse hein j'y ai vécu quand même 7 ans) donc ton discours là, c'est bon, tu peux ranger ton violon et 2. lui exposer la réalité OK mais ca ne veut pas forcément dire sur un ton aussi agressif avec des !!! et des ??? Franchement elle cherche du réconfort là, allo ! Un peu de compassion aussi ça fait du bien des fois...

donc je lui ai dit ce que je vois tous les jours au travail: conditions pas terribles, disponible pour les trois quarts de travail..etc..

Est-ce que tu connais le scenario des hostos? je ne sais pas!!!!mais tu travailles confortablement dans un bureau pas pareil......tu connais ton boulot, je connais le mien!!!c'est tout!!!

Pourquoi? Vous êtes PAB ?

Pourquoi?

Pour pouvoir chialer, voyons donc

Non mais c'est trop facile de porter un jugement quand on n'est que spectateur ... Je viens justement d'avoir à l'instant une discussion dans ce genre. Une personne qui n'a jamais eu d'enfant et qui explique à une autre qui en a déjà 2 1/2 comment les élever .

[Invité]

Non mais c'est trop facile de porter un jugement quand on n'est que spectateur ... Je viens justement d'avoir à l'instant une discussion dans ce genre. Une personne qui n'a jamais eu d'enfant et qui explique à une autre qui en a déjà 2 1/2 comment les élever .

Ca c'est tellement classique

[emma1068]

C'est vrai que c'est une situation délicate. Pour une reprise d'études, en général, il vaut mieux avoir de bons diplômes de base en France si on ne veut pas galérer pendant des années dans les études. J'ai vu des gens qui ne pouvaient être admis en fac galérer plusieurs années en formation continue, mais bon, il est vrai que la reprise d'études est une chose facile et vous retrouver à la fac (ou au CEGEP je suppose) à 40 ans est loin d'être une exception. D'ailleurs le travail de groupe intergénérationnel (des étudiants de 20, plus de 40 et des retraités), ça reste mon plus beau souvenir.

[caroline77]

Pourquoi? Vous êtes PAB ?

Quand on est infirmière, je pense qu'on est un peu beaucoup bien placé pour pouvoir discuter de la fonction, si tu permets. C'est vrai que le boulot d'AS en France est bien plus cool (du moins dans les hôpitaux publics car ce n'est pas vrai partout).

[Cherrybee]

Pourquoi? Vous êtes PAB ?

Quand on est infirmière, je pense qu'on est un peu beaucoup bien placé pour pouvoir discuter de la fonction, si tu permets. C'est vrai que le boulot d'AS en France est bien plus cool (du moins dans les hôpitaux publics car ce n'est pas vrai partout).

Quand on est infirmière, on est un peu beaucoup bien placée pour discuter de la fonction. Quand on est PAB, on est un peu beaucoup bien placée pour discuter de la fonction. Je rajouterai même que ça dépend des établissements. Je connais des infirmières très heureuses, et d'autres qui pleurent d'épuisement. Il en est exactement de même pour les PAB selon les établissements où ils travaillent.

Donc, à moins d'être Dieu, il serait beaucoup plus réaliste d'écrire en réponse à une personne qui se renseigne pour une immigration : dans MON établissement, ça se passe comme ça pour MON titre d'emploi.

Bon sang, on dirait que certains, une fois arrivés ici, trouvent la place tellement bonne qu'ils veulent se la protéger en essayant de décourager tous ceux qui voudraient, comme eux auparavant, tenter l'aventure!

Modifié 22 janvier 2014 par Cherrybee

[sophie.1940]

Pourquoi? Vous êtes PAB ?

Quand on est infirmière, je pense qu'on est un peu beaucoup bien placé pour pouvoir discuter de la fonction, si tu permets. C'est vrai que le boulot d'AS en France est bien plus cool (du moins dans les hôpitaux publics car ce n'est pas vrai partout).

Quand on est infirmière, on est un peu beaucoup bien placée pour discuter de la fonction. Quand on est PAB, on est un peu beaucoup bien placée pour discuter de la fonction. Je rajouterai même que ça dépend des établissements. Je connais des infirmières très heureuses, et d'autres qui pleurent d'épuisement. Il en est exactement de même pour les PAB selon les établissements où ils travaillent.

Donc, à moins d'être Dieu, il serait beaucoup plus réaliste d'écrire en réponse à une personne qui se renseigne pour une immigration : dans MON établissement, ça se passe comme ça pour MON titre d'emploi.

Bon sang, on dirait que certains, une fois arrivés ici, trouvent la place tellement bonne qu'ils veulent se la protéger en essayant de décourager tous ceux qui voudraient, comme eux auparavant, tenter l'aventure!

ma chère Cherrybee, parle et parle!!!!!sans jamais finir!!! Mais, bon, il faut pas être égoiste...elle a son droit à s'exprimer!!!

Modifié 23 janvier 2014 par sophie.1940

[sophie.1940]

Pourquoi? Vous êtes PAB ?

Quand on est infirmière, je pense qu'on est un peu beaucoup bien placé pour pouvoir discuter de la fonction, si tu permets. C'est vrai que le boulot d'AS en France est bien plus cool (du moins dans les hôpitaux publics car ce n'est pas vrai partout).

Ben oui, Caroline..on connait..ma chère!!

[Cherrybee]

Pourquoi? Vous êtes PAB ?

Quand on est infirmière, je pense qu'on est un peu beaucoup bien placé pour pouvoir discuter de la fonction, si tu permets. C'est vrai que le boulot d'AS en France est bien plus cool (du moins dans les hôpitaux publics car ce n'est pas vrai partout).

Quand on est infirmière, on est un peu beaucoup bien placée pour discuter de la fonction. Quand on est PAB, on est un peu beaucoup bien placée pour discuter de la fonction. Je rajouterai même que ça dépend des établissements. Je connais des infirmières très heureuses, et d'autres qui pleurent d'épuisement. Il en est exactement de même pour les PAB selon les établissements où ils travaillent.

Donc, à moins d'être Dieu, il serait beaucoup plus réaliste d'écrire en réponse à une personne qui se renseigne pour une immigration : dans MON établissement, ça se passe comme ça pour MON titre d'emploi.

Bon sang, on dirait que certains, une fois arrivés ici, trouvent la place tellement bonne qu'ils veulent se la protéger en essayant de décourager tous ceux qui voudraient, comme eux auparavant, tenter l'aventure!

ma chère Cherrybee, parle et parle!!!!!sans jamais finir!!! Mais, bon, il faut pas être égoiste...elle a son droit à s'exprimer!!!

Et oui Mais quand je m'exprime, moi, au moins ça veut dire quelque chose . Après, on peut se faire passer pour infirmière ou PAB, mais ça, c'est une autre histoire.

[caroline77]

Tes sous-entendus font vraiment pitié...

[Zemida]

Bon, les filles, et si on arrêtait là les crêpages de chignons qui ne mènent à rien, ok ???

Pour revenir au sujet initial, quand l'un des deux n'est pas prêt, ce n'est évidemment pas gagné, et ce, quel que soit le projet d'ailleurs, à partir du moment où l'on parle d'un projet de vie, d'un projet "commun" donc !!!

Il y a quelques années nous étions tous les deux fins prêts pour tout quitter et partir. Puis mon mari a eu une grande période de flottement, il avait pas mal de choses à régler avec lui-même, alors je n'ai plus trop insisté sur le "projet Québec" je l'ai laissé prendre du recul, régler ses problèmes, se sentir mieux et voir les choses "avec son propre regard". Et c'est un voyage avec son fils aîné, tous les deux, au fin fond de la forêt qui lui a fait comprendre "l'amour du Québec". Depuis, non seulement il va bien mieux, mais en plus, il met tout en oeuvre pour que nous puissions un jour réaliser notre rêve de s'y installer, même si c'est très compliqué aujourd'hui !

Et il y a encore quatre ans seulement, mon deuxième fils ado, me lançait régulièrement à la tête "tu nous fais ch... avec TON Québec, c'est ton projet, pas le mien, moi j'irais vivre au Japon !"

Depuis, il a un peu grandit, et à 19 ans il a des projets qui se mettent petit à petit en place ! Et depuis quelques mois, après analyse et recherche sur le sujet, il parle éventuellement de continuer ses études ..................... au Québec .................où il envisage de rejoindre son frère !!!!!!!!!!!!!

Moralité : ne jamais forcer quand la personne n'est pas prête ! Laisser du temps au temps !

Mais ...............savoir de temps en temps montrer les bons points de "notre" projet ou mieux encore, laisser la personne les trouver elle-même, par des recherches sur Internet, par les rencontres qu'elle fait avec d'autres personnes ou en allant se rendre compte sur place et se faire une idée toute seule !

Pour certaines personnes, la décision peut être juste innée, c'est une évidence, "c'est çà que je dois faire", pour d'autres, cela prendra plus de temps, et pire, cela ne se fera peut-être jamais s'ils ne sont pas faits pour cela !

Ne pas brusquer les choses, telle est ma devise et si cela doit se faire, çà se fera, mais il faudra peut-être être patient !

Bon courage et profite de ce temps pour te renseigner sur les bons et les mauvais côté du Québec, pour t'y rendre en touriste à l'occasion et prendre un peu de recul pour ne pas voir ce projet qu'avec "des lunettes roses". Je ne te dis pas çà méchamment, mais on passe tous par cette phase à un moment donné et puis on déchante et après, on relativise et ensuite on est juste "lucide" !!! "OK il y a ces bons et ces mauvais points, alors,si je peux y vivre un jour, je ferais avec ou pas ???"

Modifié 23 janvier 2014 par Zemida