Habitués Rbreg Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Cela fait 4 mois que je suis au Québec et plus précisément à la ville de Québec et je n'ai pas senti que les gens sont racistes, que ce soit par leur regards, gestes, paroles ou autres, ce que j'ai ressenti par contre c'est tout à fait l'inverse, les gens sont plutôt courtois et respectueux. Pour le travail aussi, à titre d'exemple, quand j'ai commencé à postuler pour les offres d'emploi, j'ai reçu un premier contact après juste 3 jours de ma requête et j'y ai été embauché après une semaine, sans parler que dans mon travail c'est vraiment multiculturel, y a plein de québecois, certes, mais également des français, des maghrébins, africains, sud-américains ...etc. Maintenant il est claire que tu peux très bien tomber sur un raciste ou un con, car de toute façon ils existent partout dans le monde et non pas seulement au Canada, heureusement qu'ils sont minoritaires, mon coneil est de ne pas te fier aux paroles négatives et défaitistes de certains, tu es le bienvenue au Québec/Canada, ici tu trouveras tous ce dont tu auras besoin afin de réussir dans ta nouvelle vie, travail, études, qualité de vie supérieure, loisirs, le coût de l'énergie et des loyers ne sont pas chers, une société plus ouverte aux gens étrangers par rapport à d'autres pays je dois le dire aussi ... etc, je te dis juste une chose, ton bonheur et ta réussite reposent uniquement sur ta volonté et pas sur celles des autres!Quand je suis arrivé à Québec, j'ai vu plein de personnes me regardaient de travers sans trop savoir pourquoi. Puis après j'ai réalisé que ce n'était pas les québécois qui me regardaient comme ça mais les français, les belges, les suisses, ... Je pense ce qui m'a fait réaliser ça, c'est sûrement le jour où y a un français qui a commencé à m'insulter, m'a menacé puis est allé chercher des agents de sécurité juste parce qu'il ne supportait pas que je m'assois dans la même pièce que lui. Seul truc, c'est qu'on est à Québec et qu'un agent de sécurité n'est pas là pour appliquer les délires racistes d'un français. Par contre bien qu'il le lui ait expliqué, je ne suis pas certain qu'il est capté qu'il n'était pas chez lui ici et que les valeurs ne sont pas les mêmes... Il y a des gens racistes de toutes les nationalités!!!! C'est clair que j'essaie de ne pas généraliser et de ne pas dire tous les français sont des gros cons. Mais ça demande beaucoup d'effort. Après en avoir croisé aucun pendant un an à Toronto. Les retrouver plus en forme que jamais à Québec. Ça demande beaucoup, beaucoup d'effort... Mais, Jeremmy, t'es français?Oui ni naturalisé ni fils d'immigré. On est français depuis des générations dans la famille. J'ai même un grand père qui a été le chauffeur du Maréchal Leclerc. Mais je n'ai pas la tête du bon français. Et c'est pour ça que ça m'énerve encore plus que d'autres de me faire traiter comme un paria juste parce que je ne suis pas blond aux yeux bleus. C'est d'une stupidité cette attitude pourrie, encore plus quand ça se produit au Québec... Je ne comprends pas la merde qu'il y a dans la tête de ces gens là. Ça n'a rien à voir avec mon histoire mais ça l'illustre bien. Ce sont les commentaires postés après l'élection de miss France qui est noire mais bien française : Comment voulez-vous que je me sente français quand je vois ça ou pire que je le subis ? C'est normal que t'es un doute sur le fait que je sois français moi aussi j'en ai un GROS...J'ai moi aussi fait cette remarque sur plusieurs forums, cette jeune qui a été élue miss France 2014 doit probablement être fière et chagrine à la fois. Tout ça me rappelle tristement le film " La vénuse noire". Envoyé par l'application mobile Forum IC Citer
Habitués sophie.1940 Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Le blogue de Mathieu Bock-Côté La France renonce-t-elle à intégrer ? Mathieu Bock-Côté - 13 décembre 2013 Il ne faut pas se surprendre exagérément du rapport remis à Matignon qui propose une transformation en profondeur de la politique d’intégration française, en s’ouvrant clairement à la philosophique multiculturaliste. En ce moment, il provoque une tempête médiatique. Ce rapport s’inscrit dans l’histoire des mutations de la gauche française depuis trente ans. Car la gauche a troqué fondamentalement le socialisme pour le multiculturalisme, et cela, partout en Occident, même si sa frange laïciste ou républicaine renâcle. Une partie de la droite s’y est ralliée, en croyant embrasser à travers la «diversité» le nouveau visage de la «modernité», qui a un véritable effet d’hypnose sur elle. L’objectif est clairement affirmé : il s’agit donc de rompre non seulement avec l’assimilation à la française (le mot a été tellement diabolisé qu’ils étaient de moins en moins nombreux à l’utiliser) mais même avec «l’intégration», qui en représentait une version édulcorée, mais qui laissait encore entendre qu’il y avait une «réalité France» à laquelle les immigrants devaient s’acculturer. D’ailleurs, le rapport dénonce «l’injonction à l’intégration», qui marquerait une discrimination à l’endroit des immigrants. La citoyenneté française devrait se vider de tout substrat historique ou du moins, se délester de sa plus lourde part. Désormais, au nom de «l’inclusion», et de la construction d’un «Nous inclusif», on invite la France à se refonder dans une diversité mythifiée, nécessairement bonne, absolument heureuse. Une formule a notamment fait sauter le système médiatique : on invite la France à assumer sa part «arabo-orientale» ce qui impliquerait notamment, bien que le lien ne soit pas fait de manière aussi avouée, d’accepter le voile à l’école et de renoncer aux différentes formes d’encadrement social du religieux. Il faudrait aussi réécrire l’histoire, pour la rendre conforme à cette société diversitaire. On aura compris l’essentiel : il serait discriminatoire pour la France d’imposer son identité aux nouveaux arrivants mais il sera légitime que ces derniers imposent la leur à la société d’accueil, qui devra se transfigurer à travers la figure de la diversité. L’inversion du devoir d’intégration est le fondement idéologique du multiculturalisme. Nous vivons à l’époque de la grande transformation identitaire des nations occidentales. Mais cette transformation est imposée par les élites politiques, bien souvent, qui voudraient bien changer un peuple culturellement réfractaire à la dissolution de ses repères, et qui ne comprend pas vraiment pourquoi le pays d’accueil devrait remettre à plat son identité historique pour recommencer à zéro son histoire. Dans cette perspective, il n’y a plus de nation. Il n’y a plus d’identité française. La France, en fait, est appelée à se dissoudre dans une utopie diversitaire où sa part historique ne sera plus, au mieux, qu’une part parmi d’autres. En fait, on ne la reconnaîtra que pour en faire le procès. Elle ne sera nommée que pour être stigmatisée. C’est le paradoxe du multiculturalisme : on explique sans cesse que la nation d’accueil n’est qu’une fiction, qu’elle n’existe pas, mais on la réinvente pour lui faire porter la plus détestable tunique. La nation n’existe jamais positivement, seulement comme catégorie repoussoir. Elle n’existe pas mais doit s’ouvrir. Elle est une illusion mais doit faire pénitence. Qu’est-ce qui pousse le socialisme français vers cela? Certains assimilent cette mutation à une simple expression de la raison stratégique. Quand la gauche constate, et elle le constate chaque fois qu’elle prend le pouvoir, qu’elle ne parviendra pas à sortir du capitalisme (en 1981, il s’agissait explicitement de rompre avec lui, aujourd’hui, il fallait plus simplement casser le système financier international, du moins, telle était la promesse de François Hollande), elle se tourne vers les questions morales, identitaires et culturelles, qui lui permettent de dynamiser son électorat. Surtout, elle en tire un nouveau «projet de société» visant désormais à transformer en profondeur l’identité française. Le multiculturalisme serait pour elle un projet politique de substitution. En fait, c’est l’imaginaire politique de la gauche française qui a changé. En quarante ans, elle a troqué l’ouvrier pour l’exclu, ou si on préfère, le «minoritaire». C’est qu’elle a besoin d’un point d’appui extérieur à la société officielle, ou comme elle dira, «dominante», pour en faire une critique complète, intégrale, pour proposer sa transformation radicale. Le minoritaire, parce qu’il est minoritaire, et surtout parce qu’il se définit contre le «majoritaire», a toujours raison. C’est ainsi qu’elle endosse toutes les revendications minoritaires, fondées ou non, parce qu’elles auraient été historiquement refoulées, et feraient aujourd’hui valoir leurs «droits» (on réinvente aussi la référence aux droits de l’homme pour leur donner une portée nouvelle, inédite, qui n’a rien à voir avec leur fondements libéraux). Évidemment, ce concept de «minorité» est bancal et a davantage de consistance idéologique que sociologique. Il désigne rarement des minorités réelles. Cela permet aussi de désigner un nouveau méchant à combattre. Hier, il fallait abattre le bourgeois, le capitaliste. Maintenant, on veut abattre le «majoritaire», figure dominante de l’histoire humaine dont il faudrait aujourd’hui contester les privilèges et déboulonner le statuaire. Plus fondamentalement, la gauche française est passée de la critique du capitalisme à celle de la civilisation occidentale et surtout, de la nation. On pose comme cible le «Français majoritaire» qu’on accable de préjugés et qu’on combattre et souvent, rééduquer. On le traite de «beauf». On se l’imagine à la manière d’un crétin réactionnaire et déphasé qui voudrait persécuter les minorités pour se donner l’impression de contrôler encore un monde qui lui échappe. À cette lumière, on donne un nouveau sens au concept de «tyrannie de la majorité», qui désigne désormais tout refus de réduire la politique à la dissolution de la chose publique dans le «minoritarisme». Il n’y a évidemment plus de monde commun. C’était d’ailleurs il y a près de deux ans la proposition de la fondation Terra Nova, think tank socialiste au cœur de la modernisation du socialisme français, qui proposait au PS de construire une nouvelle majorité politique. La gauche française devait renoncer aux classes populaires, culturellement conservatrices, attachées à certains repères moraux traditionnels, et farouchement patriotes (d’ailleurs, les classes populaires l’avaient abandonné depuis longtemps), pour miser sur une nouvelle coalition misant à la fois sur les jeunes professionnels urbains, nomades et branchés, peuple élu de la mondialisation auquel nous devrions tous rêver d’accéder, et les différentes minorités qui chercheraient à se délivrer du cadre étouffant de la nation historique ou de la civilisation occidentale en général. C’est ce qu’on pourrait appeler une «majorité post-soixante-huitarde» : une alliance des branchés et des «exclus» contre les classes moyennes et populaires attachées à la nation. Il faut le redire: le multiculturalisme est une religion politique. Alors qu’on rêvait hier au paradis prolétarien, et qu’on était prêt à traiter comme ennemi public réactionnaire ceux qui doutaient de ses vertus ou même de sa possibilité, on rêve aujourd’hui au paradis diversitaire, et on réserve le même sort à ceux qui s’inquiètent des ratés de son avènement, ou à ceux qui doutent tout simplement de la vertu de cette prophétie, censée recommencer l’histoire humaine à zéro, à partir d’une nouvelle compréhension de la prophétie égalitariste. Si la question «identitaire» s’impose partout en Occident, c’est parce que le multiculturalisme se pense en bonne partie comme une croisade, privilégiant les questions «sociétales» pour distinguer entre le camp du bien et le camp du mal, entre celui de «l’ouverture» et de la «fermeture». Celui qui doute de la revendication du jour est exclu du camp du progrès et transformé en «porteur d’intolérance» qu’il faudrait peut-être censurer. La fureur idéologique de plusieurs des partisans du multiculturalisme à la française est fascinante. Ils sont souvent persuadés d’être engagés dans une croisade morale, presque religieuse, contre «l’intolérance» et les différentes phobies qu’ils se donnent pour mission de recenser. C’est le fanatisme de la vertu. Souvent, d’ailleurs, on n’hésite pas à rabattre les années présentes sur les années trente, comme si la droite républicaine, puisqu’elle refuse d’applaudir comme l’exige le multiculturalisme devant les présentes transformations du monde, était nécessairement traversée par une tentation fasciste, à laquelle elle finirait par céder. C’est l’idée même de nation, entendue comme une communauté historico-politique appelée à se définir par une citoyenneté et à fonder une souveraineté, qui est diabolisée. On peut s’attendre à ce que le gouvernement socialiste fasse un tri dans les propositions qu’on vient de lui soumettre et refuse les plus symboliques pour consentir à d’autres, moins «médiatiquement visibles», mais politiquement tout aussi ruineuses. D’ailleurs, on entend déjà certaines réserves. Peut-être s’agit-il d’un simple réflexe de survie électorale? Il finira néanmoins par céder, à court ou moyen terme, à la plupart d’entre elles. Car rien ne terrifie plus le progressiste autoproclamé que d’avoir l’air de s’opposer à la «modernité». Et la modernité, ici, consiste à accepter toutes les revendications qu’on prétend faire porter aux «minorités», même quand celles-ci sont instrumentalisées dans un projet politique qui a davantage à voir avec le radicalisme multiculturaliste qui fascine une bonne partie de l’intelligentsia locale. La droite classique a un rôle immense à jouer ici : elle doit faire barrage, ne faire preuve d’aucune faiblesse intellectuelle et morale et se porter à la défense de l’identité nationale, une identité nouée dans l’histoire, la culture, les idéaux universalistes, aussi, et qu’elle doit assumer franchement. Elle ne doit pas capituler devant les moralisateurs de la gauche multiculturaliste qui fait passer pour de l’antiracisme son aversion radicale pour la nation. Sans quoi elle ouvrira un boulevard au Front national, qui ne se gênera pas pour s’approprier ce terrain, pour l’occuper, ce dont personne ne se réjouira. Cela ne serait pas surprenant : cela a longtemps été la stratégie mitterrandienne de faire monter le FN pour casser la droite. Le FN parvenant à confisquer la référence nationale, la droite classique était accusée de se lepéniser lorsqu’elle cherchait à la récupérer. Espérons, autrement dit, que la droite ne tombe pas dans le piège mortel d’une fausse modération qui ne serait qu’une vraie lâcheté devant un rapport toxique et qu’elle assume pleinement son héritage gaulliste en rappelant qu’il n’est pas extrémiste d’aimer sa nation. Il ne faut pas faire l’erreur de céder à la droite populiste l’étendard du patriotisme. Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Et en deux lignes, ça veut dire quoi ? Citer
Habitués Cèdre Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 L'auteur de cet article doit être le champion du monde des raccourcis... faire porter le chapeau de l'échec (relatif) du multiculturalisme à la française en grande parie à la gauche, c'est vraiment fort de café A vos livres d'histoire, mon cher Mathieu... Citer
Habitués angela57 Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 (modifié) L'auteur de cet article doit être le champion du monde des raccourcis... faire porter le chapeau de l'échec (relatif) du multiculturalisme à la française en grande parie à la gauche, c'est vraiment fort de café A vos livres d'histoire, mon cher Mathieu... Voici sa présentation sur son blog : «Mathieu Bock-Côté est sociologue (Ph.D). Il a enseigné à l’Université du Québec à Montréal et à l’Université de Montréal. Il est présentement chargé de cours à l’École de politique appliquée de l’Université de Sherbrooke. Il est l’auteur d’Exercices politiques (VLB, 2013) de Fin de cycle : aux origines du malaise politique québécois (Boréal, 2012) de La dénationalisation tranquille : mémoire, identité et multiculturalisme dans le Québec post-référendaire (Boréal, 2007) et de La cité identitaire (Athéna, 2007) en plus de nombreux chapitres de livres et articles scientifiques portant sur l’histoire de l’identité québécoise, les idées politiques et le multiculturalisme.» J'ose espérer qu'il a lu ses livres d'histoire..... En même temps, c'est peut-être l'histoire de France qui lui fait défaut.... Quant à ce fameux rapport, franchement, encore l'occasion pour nos "zoms" politiques de la ramener et d'y aller de leurs petites phrases assassines, histoire de figurer dans les médias. Quitte à des dire des âneries, ce en quoi ils excellent TOUS quelle que soit leur appartenance idéologique, il faut qu'on parle d'eux. Moi, en tous cas, et je crois bien ne pas être la seule, ils me gavent. TOUS ! Je n'ai jamais ressenti un tel décalage entre les préoccupations de la population et les gesticulations de cette "classe" de citoyens. Moi je dis qu'il faudrait les mettre tous dans un genre de zoo, mais dans un même enclos, où ils pourraient à l'envi, s'écharper ou se faire la cour, s'accoupler ou s'.. (euh non, ça je ne l'écris pas ) ! Modifié 14 décembre 2013 par angela57 Pandore et Cherrybee ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués djessie22 Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 @ Rbreg : Bonjour. Pourquoi avez-vous choisi une photo de Mandela pour vous identifier ? Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 @ Rbreg : Bonjour. Pourquoi avez-vous choisi une photo de Mandela pour vous identifier ? Je me suis fait la même réflexion hier en voyant ça. Même si Rbreg m'est très sympathique, je trouve que, en référence à le douloureuse histoire récente, c'est d'un manque total de respect et de retenue. La précédente photo ne me choquait pas, vu que je ne connaissais absolument pas le personnage, mais là, effectivement, c'est choquant. djessie22 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués caroline77 Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Ça peut être un signe d'hommage. Citer
Habitués Cherrybee Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Ça peut être un signe d'hommage. C'est choquant pareil. Est-ce que je me mets une photo de Dieu ou d'Allah? Remarque, peut-être que certains apprécieraient une photo de Miley Cyrus Citer
Habitués caroline77 Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Je ne trouve pas choquant de mettre la photo d'un personnage que l'on appréciait, de manière générale. Par contre le personnage était controversé, et c'est un autre propos. sophie.1940 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués djessie22 Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 @ Rbreg : Bonjour. Pourquoi avez-vous choisi une photo de Mandela pour vous identifier ? Je me suis fait la même réflexion hier en voyant ça. Même si Rbreg m'est très sympathique, je trouve que, en référence à le douloureuse histoire récente, c'est d'un manque total de respect et de retenue. La précédente photo ne me choquait pas, vu que je ne connaissais absolument pas le personnage, mais là, effectivement, c'est choquant. Moi, je ne trouve pas cela choquant que Rbreg ait choisi de s'identifier à Nelson Mandela. Simplement, je me demande pourquoi. Est-ce pour rendre hommage à ce dernier, comme l'a souligné Caroline ? Si c'est le cas, je trouve ça dommage de le faire de manière posthume. C'est même je trouve un peu hypocrite. Et là, je te rejoins Cherrybee, c'est à mes yeux, indécent également. Mais bon.... c'est pas important... c'est juste interpellant !! Citer
Habitués djessie22 Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Je ne trouve pas choquant de mettre la photo d'un personnage que l'on appréciait, de manière générale. Par contre le personnage était controversé, et c'est un autre propos. Non, bien sûr qu'il n'est pas choquant de mettre la photo d'un personnage que l'on apprécie ( ou que l'on appréciait) pour s'identifier. C'est juste que là, il s'agit de Nelson Mandela. A peine enterré ! C'est pas rien.... Tout comme Cherrybee, je trouve que c'est un manque de retenue. Que l'on rende hommage à ce grand homme est une chose. Que l'on prenne une photo de ce même homme et s'en servir comme identification de soi-même, en est un autre.. Après que le personnage soit ou était controversé, c'est en effet un autre propos et surtout un autre débat.... Citer
Habitués caroline77 Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Un avatar n'est par forcément utilisé pour y mettre sa photo (identification), faites un peu le tour des avatars moyens du forum pour exemple. Maraudeur a réagi à ceci 1 Citer
Habitués djessie22 Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Un avatar n'est par forcément utilisé pour y mettre sa photo (identification), faites un peu le tour des avatars moyens du forum pour exemple. Je comprend bien. De là à comparer Nelson Mandela à un avatar.... Citer
Habitués Cèdre Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de choquant à publier une photo de Nelson Mandela en avatar en signe d'hommage posthume... caroline77 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués caroline77 Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Un avatar n'est par forcément utilisé pour y mettre sa photo (identification), faites un peu le tour des avatars moyens du forum pour exemple. Je comprend bien. De là à comparer Nelson Mandela à un avatar.... Franchement, tu as un grave problème... Citer
Habitués djessie22 Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Un avatar n'est par forcément utilisé pour y mettre sa photo (identification), faites un peu le tour des avatars moyens du forum pour exemple. Je comprend bien. De là à comparer Nelson Mandela à un avatar.... Franchement, tu as un grave problème... Je sais ce qu'est un avatar. C'est le terme même qui me gêne pour l'identifier à Mandela. Bref.... Mais tu as raison, je dois souffrir d'un grave problème.... Citer
Habitués djessie22 Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de choquant à publier une photo de Nelson Mandela en avatar en signe d'hommage posthume... Wouai ! je devrais songer à mettre en avatar, la photo de Marylin Monroe... ou celle de Gainsbourg.... Et là, tous les avatars prendraient un sens... Dans ce(s) cas, je m'incline... Citer
Habitués Rbreg Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 @ Rbreg : Bonjour. Pourquoi avez-vous choisi une photo de Mandela pour vous identifier ? Je me suis fait la même réflexion hier en voyant ça. Même si Rbreg m'est très sympathique, je trouve que, en référence à le douloureuse histoire récente, c'est d'un manque total de respect et de retenue. La précédente photo ne me choquait pas, vu que je ne connaissais absolument pas le personnage, mais là, effectivement, c'est choquant. @Cherrybe, merci pour le compliment Cherrybe ma magnifique ainée sur le forum. Une question, je me suis incrit sur le forum avec une photo de Steeve Jobs(le cofondateur de Apple) nada, aucun critique, personne n'avait trouvé ça choquant, après la mort de Mandela j'ai fait une petite mise à jour et j'ai même participé dans le plusieurs postes, nada, pas de critique, lol mais après avoir commenté le poste de Jérémie Allemand en mentinnant l'histoire de "la Venise noire" Envoyé par l'application mobile Forum IC Citer
Habitués Cèdre Posté(e) 14 décembre 2013 Habitués Posté(e) 14 décembre 2013 Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de choquant à publier une photo de Nelson Mandela en avatar en signe d'hommage posthume... Wouai ! je devrais songer à mettre en avatar, la photo de Marylin Monroe... ou celle de Gainsbourg.... Et là, tous les avatars prendraient un sens... Dans ce(s) cas, je m'incline... Commence à t'en attribuer un avant de t'exciter comme une puce... Après, que tu y mettes Marilyn Monroe, Charles Manson ou la reine d'Angleterre, ça n'empêchera personne de dormir, tu sais Kweli et caroline77 ont réagi à ceci 2 Citer
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.