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Les critères pour immigrer au Canada sont-ils si difficiles ?


Invité

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J'ai un cadeau pour les pseudo-féministes de ce forum qui cherchent juste a dénigrer la communauté musulmane que de réellement défendre les droits des femmes: un article de CBC (version anglophone de radio-Canada) qui parle de la violence contre les femmes trés elevés au Manitoba qui se situe au 2e rang au Canada selon statistiques Canada. Selon l'article ca s'explique par la forte population autochtone dans la province. Le premier dans le classement c'est le Nunavut , un territoire a majorité inuit.

Alors nos pseudo féministes doivent plutot se pencher aussi sur le probleme de la violence contre les femmes au sein de la communauté autochtone, si leur but n'est pas juste de dénigrer les immigrants et une communauté en particulier . Les autochtones ne sont pas des musulmans a ma connaissance ni avoir immigré d'ailleurs.

Anna Pazdzierski is the executive
director of Nova House in Selkirk, a shelter for abused women and
children in Manitoba’s interlake region.


She said aboriginal women are eight times more likely to be victims of violence.

source:

http://www.cbc.ca/news/canada/manitoba/story/2013/02/25/mb-violence-against-women-twice-national-rate-manitoba.html



Manitoba rate of violence against women double national rate
National rate is 1,207 for every 100,000, the province's rate is 2,191 per 100,000.


CBC News


Manitoba has nearly twice the national rate of cases of violence
against women, according to a report released today from Statistics
Canada.


The report used police reports from 2011 and found just over 173,600
were victims of violence against women. More than 10,000 of those cases
took place in Manitoba.


Statistics Canada said the rate of violence against women is about
1,207 victims for every 100,000 women in Canada. In Manitoba, the rate
is 2,191 per 100,000.


Marie Lands, the executive director at the Ikwe Widdjiitiwin
Aboriginal Crisis Centre, said she is not surprised with the new
statistics.

Generational Problem

Lands works with Aboriginal families and said that she sees the violence as a generational problem.


"A lot of our people are trying to cope and survive, not only just
from current abuse, but from a whole legacy, and that's still going on
in our communities," said Lands.


The province has said that they're working on the numbers.


Manitoba’s health minister, Theresa Oswald, said societal factors
like poverty need to be addressed in the province to reduce the number
of cases of violence against women.


“One of the most important things we can do for all citizens, men and
women, is to ensure they have access to education, to provide
opportunities to work their way out of poverty and for women in
particular to know they do not have to stay in unsafe situations,” said
Oswald.

"Until
we find ourselves in a position where every Manitoban woman is safe at
home with her children, there will always be more work to do."'Until we find ourselves in
a position where every Manitoban woman is safe at home with her
children, there will always be more work do to.'
—Theresa Oswald, Manitoba Health Minister


Barara Judt, the CEO of Osborne House, a shelter for women and
children in Winnipeg, said that one other key factor is getting women
past the stigma of reporting abuse.


"People don't necessarily have to go to someone and disclose their
secrets of being a victim of violence where they feel ashamed and so
embarassed," said Judt.


"There's a number that they call privately … confidentially."


Tim Wall is the director of counseling services for Klinic Community Health Centre in Winnipeg.


Wall said Manitoba’s large First Nations population accounts for a large amount of the violence against women in the province.


“When you have a population that has been highly traumatized, of
course you’re also going to see likely more incidents of the symptoms of
that trauma — family violence being one of them,” said Wall.


Wall also said he believes there is a greater awareness of domestic
violence in Manitoba, which leads to higher rates or reporting in the
province.

Women 8 times more likely to be victims

Anna
Pazdzierski is the executive director of Nova House in Selkirk, a
shelter for abused women and children in Manitoba’s interlake region.


She said aboriginal women are eight times more likely to be victims of violence.


“It’s not something that Manitoba can be proud of – that the rates in
Manitoba are twice the national average. That’s horrendous,” said
Pazdzierski.


The report said Saskatchewan and Manitoba also consistently have some
of the highest provincial rates of police-reported violent crime per
capita, but their numbers don’t come anywhere near those of the
Northwest Territories or Nunavut.


Nunavut’s rate of violent crime against women was nearly 13 times higher than the rate across Canada.


Ontario and Quebec had the lowest rates of violence against women.


The full report is available on Statistics Canada’s website.






Modifié par MacDonald
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Les critères pour immigrer au Canada sont-ils si difficiles ?

- Connaissance de la langue

- Employabilité

- Adaptation culturelle et sociale

http://www.journaldequebec.com/2013/03/01/quand-une-fille-ne-vaut-pas-grand-chose

CRIMES DHONNEUR

Quand une fille ne vaut pas grand-chose

Zakia est allée magasiner sans avertir son père, Afghan ­dorigine. Sa punition : une volée de coups de poing, de coups de bâton et des menaces avec un couteau, a-t-elle raconté aux ­policiers. La jeune femme de 18 ans a dû sauter du deuxième étage pour senfuir de son père, qui ne considère pas ses huit filles comme de vrais enfants.

Un jour, après lécole, Zakia est allée acheter un cadeau pour un neveu. La jeune femme de 18 ans avait prévenu sa mère, mais pas son père. Grave erreur, car, en rentrant à la maison, elle a subi la colère de ce dernier, qui laurait battue à coups de poing pendant 45 minutes.

Le drame se serait déroulé en deux temps, selon sa plainte. Dabord en après-midi, puis en soirée, cette fois à coups de bâton et sous la menace dun couteau. Mais la jeune femme a finalement pris la fuite en sautant dune fenêtre du deuxième étage de la résidence familiale de Dollard-des-Ormeaux. De chez sa tante, elle a alerté les policiers.

Voilà une cause criminelle qui fait son chemin dans notre système judiciaire. Elle ne se déroule pas en Afghanistan, pays dorigine du père, mais bien à ­Montréal. Lhistoire est dautant plus troublante que la famille de la victime a choisi de prendre le parti du père.

Ce dernier a dailleurs surpris un juge aguerri en déclarant avoir «trois enfants et huit filles». Pour lui, seuls les garçons sont considérés comme ses enfants.

Le cas de cette famille afghane, arrivée à Montréal il y a sept ans, nest pas sans ­rappeler la triste affaire Shafia, où les trois filles et la première épouse de ­Mohammad Shafia ont été tuées par le mari, sa deuxième épouse et un de leur fils, à ­Kingston, en 2009.

Car, à la suite du drame de Zakia ­lautomne dernier, le père a même dit ­vouloir tuer sa fille en donnant comme exemple «un homme qui a tué ses enfants», de mentionner le procureur de la ­Couronne lors de lenquête sur remise en liberté de ­laccusé.

Lhomme est accusé de menaces et de voies de fait sur sa fille, mais il est aussi accusé davoir frappé sa femme.

Au retour de Zakia à la maison, en ­début daprès-midi le 26 octobre dernier, Said lattendait de pied ferme, a raconté Me François ­Allard, de la Couronne, qui sétait en vain opposé à la ­libération sous conditions du père de ­famille de 62 ans.

«Il commence alors à la frapper avec ses mains et ses pieds, mais la plaignante ­devait quitter pour se rendre à son ­travail, a relaté le procureur. Mais, là-bas, elle pleure beaucoup et son patron lui dit de rentrer chez elle, car elle ne peut pas ­travailler dans cet état.»

Deuxième raclée

À son retour à la maison, son père naurait pas accepté de voir sa fille rentrer ­prématurément. Pendant quelle pleurait, laccusé aurait saisi un bâton et laurait frappée à plusieurs reprises, tandis que cette dernière tentait de se protéger.

Voyant la jeune femme blessée aux bras, aux mains et aux jambes, la conjointe du père aura tenté de sinterposer, a continué de raconter Me Allard. Mais la tentative aura été vaine, et la mère aurait, elle aussi, subi des coups.

http://www.journaldequebec.com/2013/03/01/quand-une-fille-ne-vaut-pas-grand-chose

:innocent: La fille s'est fait battre et aussi l'épouse de cet Afghan... alors peut-être que cet Afghan a interpétrer litéralement le verset 4-34 du Coran qui se lit comme suit...

Coran 4-34

34. Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs bien. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand !

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J'ai un cadeau pour les pseudo-féministes de ce forum qui cherchent juste a dénigrer la communauté musulmane que de réellement défendre les droits des femmes: un article de CBC (version anglophone de radio-Canada) qui parle de la violence contre les femmes trés elevés au Manitoba qui se situe au 2e rang au Canada selon statistiques Canada. Selon l'article ca s'explique par la forte population autochtone dans la province. Le premier dans le classement c'est le Nunavut , un territoire a majorité inuit.

Alors nos pseudo féministes doivent plutot se pencher aussi sur le probleme de la violence contre les femmes au sein de la communauté autochtone, si leur but n'est pas juste de dénigrer les immigrants et une communauté en particulier . Les autochtones ne sont pas des musulmans a ma connaissance ni avoir immigré d'ailleurs.

Anna Pazdzierski is the executive

director of Nova House in Selkirk, a shelter for abused women and

children in Manitoba’s interlake region.

She said aboriginal women are eight times more likely to be victims of violence.

source:

http://www.cbc.ca/news/canada/manitoba/story/2013/02/25/mb-violence-against-women-twice-national-rate-manitoba.html

>>

Manitoba rate of violence against women double national rate

National rate is 1,207 for every 100,000, the province's rate is 2,191 per 100,000.

CBC News

Manitoba has nearly twice the national rate of cases of violence

against women, according to a report released today from Statistics

Canada.

The report used police reports from 2011 and found just over 173,600

were victims of violence against women. More than 10,000 of those cases

took place in Manitoba.

Statistics Canada said the rate of violence against women is about

1,207 victims for every 100,000 women in Canada. In Manitoba, the rate

is 2,191 per 100,000.

Marie Lands, the executive director at the Ikwe Widdjiitiwin

Aboriginal Crisis Centre, said she is not surprised with the new

statistics.

Generational Problem

Lands works with Aboriginal families and said that she sees the violence as a generational problem.

"A lot of our people are trying to cope and survive, not only just

from current abuse, but from a whole legacy, and that's still going on

in our communities," said Lands.

The province has said that they're working on the numbers.

Manitoba’s health minister, Theresa Oswald, said societal factors

like poverty need to be addressed in the province to reduce the number

of cases of violence against women.

“One of the most important things we can do for all citizens, men and

women, is to ensure they have access to education, to provide

opportunities to work their way out of poverty and for women in

particular to know they do not have to stay in unsafe situations,” said

Oswald.

"Until

we find ourselves in a position where every Manitoban woman is safe at

home with her children, there will always be more work to do."'Until we find ourselves in

a position where every Manitoban woman is safe at home with her

children, there will always be more work do to.'—Theresa Oswald, Manitoba Health Minister

Barara Judt, the CEO of Osborne House, a shelter for women and

children in Winnipeg, said that one other key factor is getting women

past the stigma of reporting abuse.

"People don't necessarily have to go to someone and disclose their

secrets of being a victim of violence where they feel ashamed and so

embarassed," said Judt.

"There's a number that they call privately … confidentially."

Tim Wall is the director of counseling services for Klinic Community Health Centre in Winnipeg.

Wall said Manitoba’s large First Nations population accounts for a large amount of the violence against women in the province.

“When you have a population that has been highly traumatized, of

course you’re also going to see likely more incidents of the symptoms of

that trauma — family violence being one of them,” said Wall.

Wall also said he believes there is a greater awareness of domestic

violence in Manitoba, which leads to higher rates or reporting in the

province.

Women 8 times more likely to be victims

Anna

Pazdzierski is the executive director of Nova House in Selkirk, a

shelter for abused women and children in Manitoba’s interlake region.

She said aboriginal women are eight times more likely to be victims of violence.

“It’s not something that Manitoba can be proud of – that the rates in

Manitoba are twice the national average. That’s horrendous,” said

Pazdzierski.

The report said Saskatchewan and Manitoba also consistently have some

of the highest provincial rates of police-reported violent crime per

capita, but their numbers don’t come anywhere near those of the

Northwest Territories or Nunavut.

Nunavut’s rate of violent crime against women was nearly 13 times higher than the rate across Canada.

Ontario and Quebec had the lowest rates of violence against women.

The full report is available on Statistics Canada’s website.

J'ignore pourquoi cette différence entre l'Ouest et l'Est du Canada sur la violence dans les communautés autochtones, cependant je suis sur que personne expliquera et cautionnera cette violence par la tradition ou bien des écritures sacrées du Grand Manitou.

Pour le cadeau pour les pseudo-féministes de ce forum. De qui tu parles ? C'est quoi une ou un pseudo féministe ?

Une vraie féministe est membre de la FFQ ? :biggrin2:

Modifié par hdelmondo
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La violence domestique doit évidemment être très sévèrement punie, qu'elle soit commise par un québécois ou un immigrant/réfugié/etc.

Bien d'accord avec ça. En même temps, le plus tragique de cette histoire ne se mesure pas au nombre de coups portés ni à la futile "gratuité" (jugement culturel de ma part...) des gestes violents.

Le plus tragique est que le père se pense dans son bon droit d'agir ainsi. Cela est particulièrement odieux, et disons-le, en parfaitement inadéquation avec les valeurs de notre société. Le psychocriminologue le résume bien:

«Une personne qui souffre de pauvreté intellectuelle ne peut pas se détacher de ses valeurs, ce qui crée un choc culturel», explique le psychocriminologue Cyrous Amin.

Dans le cas dimmigrés afghans, le défi est de bien les intégrer à la société plutôt que de les stigmatiser, croit-il.

Mais lintégration est plus ­difficile pour les adultes que pour les enfants, croit-il.

Il explique que, à cause des ­différences socioculturelles, des hommes afghans peu éduqués pourraient tomber dans un

«emprisonnement intellectuel» et commettre un crime sans même se rendre compte quils sont dans lillégalité.

«Un homme qui ne veut pas abandonner ses valeurs ne peut pas sadapter», déplore le psychocriminologue.

Alors non, nier la composante culturelle dans la genèse de cette violence ou comparer avec la violence domestique "home made" afin d'exprimer un point de vue vertueux et irréprochable, ou encore avec la prostitution (contrairement au père, le pim sait très bien qu'il exploite des femmes et que c'est mal aux yeux de la société) ne sert qu'à noyer le poisson et permettre que cela se reproduise en l'absence d'actions ciblées adéquates.

On pourrait dire aussi L'islamophobie et le racisme sont des valeurs incompatibles avec celles du Québec. Veux tu essayer d'expulser tout ce monde la aussi ?

C'est quand même bizarre cette manie de vouloir expulser les gens a tout va. Fait arrêter d'être naïf à ce point, être immigré ne signifie pas être a l'abri de tout actes criminels ou répréhensible pénalement mais de la à s'en prendre à chaque fois a leur processus d'immigration. Personellement je préfère qu'un criminel qu'il soit immigré ou non soit jugé et sous contrôle dans nos prisons qu'en liberté même au delà de nos frontières.

Soyons clair expulser les gens ou leur fermer la porte n'est clairement pas un moyen de faire reculer les violences intra-familiales au Québec. Les gens qui essayent de justifier leurs actes répréhensibles par la religion ou de la culture c'est juste de la manipulation et de la bêtise humaine.

Parce que sinon on pourrait dire aussi qu'au Québec il existe une culture de parents alcooliques et BS qui maltraitent leurs enfant ou que l'alcoolisme est une composante importante de la culture québécoise et donc potentiellement dangereuse pour la société ! Bref comme vous pouvez le voir, on peut toujours aller loin dans ce délire nationaliste.

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Pour le cadeau pour les pseudo-féministes de ce forum. De qui tu parles ? C'est quoi une ou un pseudo féministe ?

Une vraie féministe est membre de la FFQ ? :biggrin2:

Je suppose qu'il s'adressait à moi parce qu'il me suit comme une sangsue sur le forum.

Macdonald, il faut arrêter de voir le mal partout. Ça devient de la victimisation à outrance et ça tue le débat. Je refuse de me taire sur la situation des femmes en Afghanistan pour ne pas offenser d'une quelconque manière l'islam. Au demeurant, la situation est complexe et la religion n'est pas nécessairement au coeur de la problématique bien qu'elle vienne s'y greffer dans un amalgame particulièrement odieux et destructeur envers les droits des femmes. On parle ici d'une société particulière inégalitaire où les traditions tribales jouent un rôle prépondérant. Le moins que l'on puisse dire est qu'en Afghanistan, talibans ou pas, il y a une lecture, disons particulière, des préceptes religieux, une dérive qu'il importe de dénoncer.

Afghanistan - La place des femmes dans une société inégalitaire: la réforme du droit familial achoppe sur les traditions locales

Le sort des femmes varie selon les provinces ou les tribus au pouvoir

8 septembre 2007 | Lisa-Marie Gervais

Après avoir souffert 25 ans de guerre et de soumission à la loi des talibans, l'Afghanistan est à reconstruire. Dans un pays en perte de repères où les institutions se sont effondrées, la question du droit revêt une importance cruciale.

Malgré un certain climat de chaos post-guerre et contrairement à la croyance populaire, l'Afghanistan est un pays extrêmement sophistiqué en matière de lois. «La première loi du Code de la famille, fait dans les années 20 et réformé dans les années 60, fait à elle seule 360 pages», souligne Ariane Brunet, spécialiste des questions législatives pour l'organisme Droits et Démocratie, qui travaille actuellement sur un projet de réforme du droit familial dans ce pays d'Asie.

Droit islamique, charia et droit coutumier

Le droit est un complexe amalgame entre le droit islamique, la charia et le droit coutumier, qui diffère selon les ethnies et les clans. «Chaque ethnie a sa propre compréhension du Code, car il est investi du code du droit coutumier. La loi ne sera pas la même si je suis Pachtoun d'un tel clan ou Hazara, note Mme Brunet. C'est extrêmement compliqué. Nous, on essaie de voir si les Afghans sont prêts à envisager un code standard et dans quelle mesure ils sont prêts à le faire.»

En Afghanistan, où un tiers de la population vit dans un système tribal, les normes islamiques entrent souvent en contradiction avec les coutumes tribales. Par exemple, selon la charia, il faut au moins quatre témoins de la consommation de l'acte pour que quelqu'un soit reconnu coupable d'adultère. Mais, d'après le Pachtounwali (le code de coutumes de l'ethnie pachtoune qui renferme des règles prévalant sur toute autre loi), la rumeur (peghor) suffit pour condamner une femme. Ici, l'honneur l'emporte sur le respect de la morale.

Sur la question de l'héritage, le Coran permet à la femme de recevoir la moitié de la part des hommes, tandis qu'elle n'empoche pas un sou selon le code pachtoun. La dot est interdite par la charia mais, signe de prestige chez les Pachtouns, elle atteint des sommets de fortune inégalés.

Quant au divorce, il est interdit. Les femmes qui prennent mari n'ont souvent plus aucun recours pour échapper à un mariage malheureux. C'est ce qui fait qu'elles sont de plus en plus nombreuses à vouloir mettre fin à leurs jours, notamment en s'immolant par le feu. Dans une étude effectuée par Medica Mondiale, un organisme allemand de défense des droits des femmes, une centaine de suicides de ce genre ont été rapportés au cours des deux dernières années à Kandahar. À Herat, près de la frontière avec l'Iran, le nombre serait deux fois plus élevé.

«On ne peut pas nier la réalité. Dans certains villages, oui, on échange les femmes. Au même titre que des terres ou du bétail», soutient Razmik Panossian, directeur de programmes à Droits et démocratie, qui revient d'un court séjour en Afghanistan. Il témoigne néanmoins du grand changement qui s'opère dans les villes, beaucoup plus rapidement que dans les villages.

«En plus de pouvoir voter, les femmes peuvent désormais aller à l'école, occuper des postes dans des organismes gouvernementaux et internationaux et contribuer à l'économie en travaillant», rappelle M. Panossian en soulignant ce progrès. «Mais on ne peut pas généraliser. À Kaboul, vous avez un mélange de femmes, certaines plus ouvertes que d'autres, même si elles s'habillent sobrement. Dans les villages, la structure tribale est beaucoup plus ancrée et les femmes sont davantage opprimées», ajoute-t-il en insistant pour parler d'espoir et de progrès.

Réécrire la loi

Financé en majeure partie par l'Agence canadienne de développement international (ACDI), le projet de cinq millions de dollars sur quatre ans qu'a élaboré Droits et Démocratie vise à soutenir les efforts des Afghans pour concrétiser les droits des femmes et des filles dans tout le pays. Mis en oeuvre à Kaboul, à Kandahar et dans quatre autres provinces, le plan d'action est axé sur quatre initiatives principales, notamment la promotion des droits en général et l'élaboration d'une réforme progressiste du droit familial, par les législateurs, les juristes, les autorités religieuses et les organisations de la société civile, qui corresponde à la Constitution afghane et aux obligations de l'État afghan en vertu du droit humanitaire international. «Nous soutenons les Afghans dans leur effort pour créer un squelette, une structure sur laquelle ils vont baser le reste de leurs pratiques», explique Razmik Panossian. «Il est important de comprendre que ce n'est pas nous qui écrivons leurs lois. Nous ne faisons que faciliter le processus en jouant un rôle de coordination», poursuit-il. Géré depuis Kaboul, le projet n'engage pour l'instant aucun expatrié, que des Afghans. En plus du personnel de sécurité, ils sont huit professionnels au total à travailler en collaboration avec les scribes de la loi.

L'écriture de ce nouveau code du droit familial est inspirée de la Déclaration universelle des droits de l'homme et de la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes, mais elle va également devoir intégrer harmonieusement la charia, les composantes du droit islamique et celles du droit coutumier. «C'est un immense défi», assure M. Panossian. «Mais je suis confiant. Il y a beaucoup d'éléments progressistes dans la loi islamique», ajoute-t-il.

Résistances annoncées

Cet ambitieux projet de réforme n'est pas au bout de ses peines. Sitôt terminé, il devra affronter une certaine résistance à sa mise en application. «On ne peut pas arriver dans les villages et dire au mollah: "Voici la nouvelle loi nationale, vous devez la faire respecter telle quelle [...]." Vous devez situer votre action dans son contexte, bien parler la langue de l'ethnie, aller voir le conseil des aînés et peu à peu vous insérer dans la structure locale», dit M. Panossian. D'autant que c'est la manière d'enregistrer un document devant une instance qui détermine s'il a force de loi.

Incroyablement lent, le changement des mentalités ne s'opérera pas non plus en un jour. «On se trouve dans un État qui donne préséance à l'honneur de la famille et du mâle et aux questions de fierté tribale. Il s'est développé une plus grande masculinisation de la société», souligne Ariane Brunet.

Pour elle, l'Afghanistan d'aujourd'hui n'est pas le Moyen Âge ni le Québec des années 1940, où la femme mariée possédait bien peu de droits. «Ils ne sont pas arriérés, c'est plutôt que le droit est mal appliqué. [...] Et, vu le haut taux d'analphabétisme, beaucoup de gens demeurent dans l'ignorance de leurs droits et n'ont pas conscience des recours qu'ils ont à leur disposition», note Mme Brunet. Mais elle insiste et refuse d'emblée toute comparaison avec les sociétés occidentales.

«C'est beaucoup plus intéressant de comparer le droit de la famille de l'Afghanistan à celui du Maroc ou de la Tunisie, qui sont aussi des sociétés musulmanes. C'est comme comparer des pommes avec des oranges», croit-elle. Confiante pour l'avenir, elle rappelle qu'un bon vent de réforme du droit de la famille souffle actuellement dans d'autres pays musulmans, comme le Liban et l'Égypte. «Il faut que l'Afghanistan fasse partie de ces discussions qui enrichiront sa façon de voir la société», conclut-elle.

http://www.ledevoir.com/international/actualites-internationales/155812/afghanistan-la-place-des-femmes-dans-une-societe-inegalitaire-la-reforme-du-droit-familial-achoppe-sur-les-traditions-locales

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On pourrait dire aussi L'islamophobie et le racisme sont des valeurs incompatibles avec celles du Québec. Veux tu essayer d'expulser tout ce monde la aussi ?

C'est quand même bizarre cette manie de vouloir expulser les gens a tout va. Fait arrêter d'être naïf à ce point, être immigré ne signifie pas être a l'abri de tout actes criminels ou répréhensible pénalement mais de la à s'en prendre à chaque fois a leur processus d'immigration. Personellement je préfère qu'un criminel qu'il soit immigré ou non soit jugé et sous contrôle dans nos prisons qu'en liberté même au delà de nos frontières.

Soyons clair expulser les gens ou leur fermer la porte n'est clairement pas un moyen de faire reculer les violences intra-familiales au Québec. Les gens qui essayent de justifier leurs actes répréhensibles par la religion ou de la culture c'est juste de la manipulation et de la bêtise humaine.

Parce que sinon on pourrait dire aussi qu'au Québec il existe une culture de parents alcooliques et BS qui maltraitent leurs enfant ou que l'alcoolisme est une composante importante de la culture québécoise et donc potentiellement dangereuse pour la société ! Bref comme vous pouvez le voir, on peut toujours aller loin dans ce délire nationaliste.

Encore tes procès d'intention à la con... :wacko2: Où ai-je dit que je souhaitais expulser tout le monde? Je comprends qu'il a fallu que bencoudonc suggère que cela puisse être mon intention pour que tu achètes cette version. Bien sûr, dès que l'on pose des questions, dès que l'on formule des critiques, on est nécessairement des "antis" quelque chose. Sans blague, j'ai osé affirmé que la culture participe à la genèse de la violence parce qu'elle vient la légitimer et subsidiairement que je ne crois pas que l'on puisse "reformater" de A à Z un individu pour enfin conclure par un "c'est pas simple..." qui exprime tout autant mon ignorance que mes doutes sur ce qu'il faudrait faire.... Tout cela est condamnable? C'est interdit de se poser des questions?

Et pour revenir au Québec, le témoignage de Makai Aref, directrice du Centre des femmes Afghanes de Montréal, à propos de la mentalité des hommes qui perdure au Québec:

>Au lendemain de la lapidation de 300 femmes afghanes protestant contre l’imposition d’une loi sur le mariage chiite, 24 heures a rencontré la présidente du Centre des Femmes Afghanes de Montréal qui témoigné de la difficulté pour les femmes d’origine afghane de s’émanciper…à Montréal.

« Les hommes sont fâchés contre moi. Ils ne voient pas l’utilité du Centre et tentent de décourager leurs femmes de le fréquenter », témoigne Makai Aref, siégant au beau milieu de la cuisine communautaire qu’elle a mis sur pied pour les femmes de son quartier.

Situé à proximité du métro Vendôme, le Centre des Femmes Afghanes de Montréal accueille les nouvelles arrivantes tout en faisant du mentorat auprès de jeunes filles de la communauté afghane de Montréal. Cancer du sein, ménopause et émancipation font parties des sujets abordés lors de ces rencontres qui visent l’intégration à la vie montréalaise.

« Les femmes qui je croise ici sont dans la même situation qu’elles étaient en Afghanistan. Le pouvoir du mâle à la maison est toujours aussi grand. Seulement un faible pourcentage d’entre elles ont une vie de couple égalitaire et épanouissante et ce sont essentiellement les plus jeunes qui ont appris le français ou l’anglais », témoigne Mme Aref.

Selon elle, l’arrivée au Canada n’a changé que la « géographie de la maison » dans la vie de bien des familles. C’est pourquoi son organisation tente « de faire sortir les femmes du foyer ».

Quant à la loi déposée il y a quelques semaines par le président Hamid Karzai et qui stipule que les épouses chiites doivent ne peuvent quitter la maison sans l’accord de son mari, Mme Aref soutient qu’aucune femme ne peut être en accord avec ce projet.

« Nous en avons parlé dans nos réunions et les femmes souhaiteraient qu’on s’occupe d’abord de la sécurité et la consommation d’opium avant de veiller à ce qui se passe dans la maison », soutient cette dernière.

Rappelons que cette loi, intitulée « statut personnel des chiites », a provoqué un véritable tollé chez les organisations féministes internationales après son adoption par le gouvernement afghan il y a environ un mois.

https://sites.google.com/site/afghanwomenscentreofmontreal/home/francaise

Modifié par kobico
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Kobico, je n'ai jamais dit que tu avais l'intention d'expulser qui que ce soit. Je parlais, moi, d'expulsion dans le contexte de quelqu'un qui a commis un crime (c'est le cas ici) ; l'expulsion est normalement possible pour un immigrant mais pas pour un réfugié.

La situation n'est pas simple, en effet. Mais on ne peut pas cesser d'accueillir des réfugiés de certains pays pour autant. Il faut donc se donner des moyens pour prévenir, intervenir, informer, éduquer. L'accès systématique (voire obligatoire) à des cours de francisation et à des séances d'information pour ces femmes réfugiées serait un début, non ? Et donner des moyens à des organisations comme celle de Madame Aref. Au lieu de ça, nos gouvernements coupent et par le fait même, se tirent dans le pied.

Modifié par bencoudonc
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Kobico, je n'ai jamais dit que tu avais l'intention d'expulser qui que ce soit. Je parlais, moi, d'expulsion dans le contexte de quelqu'un qui a commis un crime (c'est le cas ici) ; l'expulsion est normalement possible pour un immigrant mais pas pour un réfugié.

La situation n'est pas simple, en effet. Mais on ne peut pas cesser d'accueillir des réfugiés de certains pays pour autant. Il faut donc se donner des moyens pour prévenir, intervenir, informer, éduquer. L'accès systématique (voire obligatoire) à des cours de francisation et à des séances d'information pour ces femmes réfugiées serait un début, non ? Et donner des moyens à des organisations comme celle de Madame Aref. Au lieu de ça, nos gouvernements coupent et par le fait même, se tirent dans le pied.

J'ai dit seulement que tu avais suggéré que cela puisse être mon intention.

Kobico, tu ne peux pas nier que ces femmes ont quand même des possibilités ici qu'elles n'auraient pas eu en Afghanistan ou dans un camp de réfugiés au Pakistan... ici elles peuvent appeler la police, aller dans une maison pour femmes victimes de violence, divorcer, aller à l'école, etc.

Et puis tu voudrais faire quoi ? Fermer la porte aux réfugiés qui ne "partagent pas nos valeurs" ? Comment tu vas mesurer ça ?

Je réfléchis toujours....

Modifié par kobico
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  • Habitués

À Je reve

Que penses-tu du verset 4-34 du Coran ? Penses-tu que ce verset du Coran est utilisé comme justification religieuse par des maris musulmans afin de battre leurs femmes ? Et si c'est le cas, ça ne ferait qu'aggraver la situation des femmes musulmanes battues ? J'aimerais avoir ta réponse là-dessus...

Coran 4-34

34. Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu'Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu'ils font de leurs bien. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l'absence de leurs époux, avec la protection d'Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d'elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand !

Modifié par Survivor2
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Je nai jamais dit quil fallait expulser tout le monde. Si un immigrant a menti dans son dossier dimmigration oui expulsion et il y a déjà plusieurs cas au Canada et personne ne déchire sa petite culotte sur la place publique par ce quil est en désaccord avec cela.

Pour les demandeurs de refuge au Canada, ce que je trouve désolant, cest la lenteur du processus, quand la personne est ici depuis 3, 4, 5, ans et quelle est expulsée parce quelle nest pas reconnue comme réfugié, je trouve cela pas très correct de la part du Canada. Je pense à cette famille du Mexique qui a été expulsée récemment, pourquoi un délai si long ? Cette famille était installée et surtout bien intégrée.

Le refugiés reconnu comme tel ne sont pas expulsable, même si ils ont commis un crime, nous sommes pris avec eux.

Quand tu nous arrive avec les BS Québécois, cest le signe de quelquun en manque darguments et qui tire sur tout ce qui bouge. La gestion du BS au Québec qui concerne la population jeune les 18 -30 ans est lamentable. Ce nest pas la faute des réfugiés, faux réfugiés, immigrants .. cest lÉtat Québécois. Se retrouver avec un grand nombre de BS jeunes au Québec est pas bon pour la société, cest du gaspillage.

Se retrouver avec des immigrants ou réfugiés, pas adaptables à la société daccueil cest pas bon pour la société, cest du gaspillage.

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  • Habitués

ils ont changés les règles concernant le délai de traitement pour les réfugiés, à l'avenir, ça devrait plus prendre 4-5 ans avant de les expulser.

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  • Habitués

Donner une formation aux personnes acceptées au statut de réfugié. Si je ne me trompe pas elles sont laissées seules avec une liste d'organismes. En plus pour elles ces organismes représentent souvent l'État qui dans bien des cas est la source (dans leur pays d'origine) de leurs problèmes
Oui, ça ferait partie de la réponse. Mais le gouvernement n'a pas cessé de couper dans les programmes d'accueil et d'intégration des réfugiés et des immigrants depuis les années 80...

:innocent: C'est très naïf de penser que des programmes d'accueil pour réfugiés ou immigrants vont changer des mentalités forgées par des années d'endoctrinement religieux....des musulmans pensent que le Coran ( verset 4-34 ) donne le droit à ceux-ci de battre leurs femmes alors des programmes d'accueil ne changeront rien face à leurs croyances religieuses...

Modifié par Survivor2
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Donner une formation aux personnes acceptées au statut de réfugié. Si je ne me trompe pas elles sont laissées seules avec une liste d'organismes. En plus pour elles ces organismes représentent souvent l'État qui dans bien des cas est la source (dans leur pays d'origine) de leurs problèmes
Oui, ça ferait partie de la réponse. Mais le gouvernement n'a pas cessé de couper dans les programmes d'accueil et d'intégration des réfugiés et des immigrants depuis les années 80...la dernière coupure en date de la part du fédéral (accès aux soins médicaux) ne va certainement pas aider, les soins médicaux permettant parfois de dépister les cas de violence.

:innocent: C'est très naïf de penser que des programmes d'accueil pour réfugiés ou immigrants vont changer des mentalités forgées par des années d'endoctrinement religieux....des musulmans pensent que le Coran ( verset 4-34 ) donne le droit à ceux-ci de battre leurs femmes alors des programmes d'accueil ne changeront rien face à leur croyances religieuses...

Mais la femme battue saura qu'il y a des programmes pour l'aider et qu'elle n'a pas à accepter ce fait. Mais cela est certain que tout ne sera pas réglé du jour au lendemain mais c'est mieux que de ne pas savoir.

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Donner une formation aux personnes acceptées au statut de réfugié. Si je ne me trompe pas elles sont laissées seules avec une liste d'organismes. En plus pour elles ces organismes représentent souvent l'État qui dans bien des cas est la source (dans leur pays d'origine) de leurs problèmes
Oui, ça ferait partie de la réponse. Mais le gouvernement n'a pas cessé de couper dans les programmes d'accueil et d'intégration des réfugiés et des immigrants depuis les années 80...la dernière coupure en date de la part du fédéral (accès aux soins médicaux) ne va certainement pas aider, les soins médicaux permettant parfois de dépister les cas de violence.
:innocent: C'est très naïf de penser que des programmes d'accueil pour réfugiés ou immigrants vont changer des mentalités forgées par des années d'endoctrinement religieux....des musulmans pensent que le Coran ( verset 4-34 ) donne le droit à ceux-ci de battre leurs femmes alors des programmes d'accueil ne changeront rien face à leur croyances religieuses...
Mais la femme battue saura qu'il y a des programmes pour l'aider et qu'elle n'a pas à accepter ce fait. Mais cela est certain que tout ne sera pas réglé du jour au lendemain mais c'est mieux que de ne pas savoir.

Elles le savent déjà mais ça ne les empêche aucunement de se faire battre... des maris musulmans vont continuer de croire que le verset 4-34 du Coran leur donnent le droit de battre leurs femmes alors ça ne règle RIEN... car ceux-ci vont continuer de croire que les "lois divines" l'emportent sur les lois humaines.

Modifié par Survivor2
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  • Habitués

Quand tu nous arrive avec les BS Québécois, c'est le signe de quelqu'un en manque d'arguments et qui tire sur tout ce qui bouge.

Moi j'y vois plutôt le signe que tu n'aimes pas qu'on te serve la médecine que tu sers aux autres à longueur d'année.

Ta seule utilité sur le forum, c'est de monter en épingle des faits divers concernant les immigrants musulmans. Et pourtant, en se donnant un petit peu la peine, on monterait aussi les faits divers concernant les travers des Québécois.

Mais évidemment, tu regimbes quand on te met le nez dans ton caca.

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Faut pas oublier de parler des hommes battus. Eh les femmes qui prennent leur revanche. :cool::cool:

@ Helmondo, raconte nous plutôt comment tu es maltraité par ta maghrébine? Elle a un sale caractère c'est ca? Elle est alcoolique ? Elle joue au Loto? Au plaisir de te lire :flowers:

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Le problème c'est que les gens comme Helmondo au fond se contrefichent totalement de la violence intra familiale. Pour lui le véritable sujet de son post c'est encore et toujours la communauté musulmane et leur immigration, il n'y a que cela qui l’intéresse vraiment et bien sur tout les faits divers sont bon pour ça.

Donc si un père afghans ou je ne sais de quel pays maghrebins ou du moyen orient commet un crime quel qu’il soit il va le relever par contre si c'est un blanc, chrétien, québécois ou Belge il ne prendra même pas la peine de le poster.

Apres faut vraiment être aveugle pour ne pas voir cette rhétorique F"haine" vieille comme le monde.

Pour le reste ce n'est pas en avançant avec des pas feutrés qu'on va marquer sa différence idéologique alors qu'on transpire la complaisance.

Donc pour en revenir au sujet (s'il y en a un vraiment autre que celui d'une certaine immigration jugée indésirable par certains), les musulmans n'ont pas le monopole de la violence intra familiale et donc il n'y a pas lieu de relier ce genre de sujet avec l'immigration ou l'expulsion/sélection de certains immigrants, la restriction des frontières.

Chaque personne qui atterrit sur le territoire Canadien ( Hé oui pas qu'au Quebec) est informé qu'il vit dans une société de droits laïque, et tout acte criminel et pénalement répréhensible sera jugée par la Loi et sanctionné comme prévu. Pas besoin de chasse aux sorciéres ( ou aux barbus devrais je dire...) pour cela.

Le soutient a la condition féminine devrait être universelle et c'est a notre société de faire davantage d'effort pour la rendre plus accessible.

Si vous avez l'occasion Faîtes un tour dans un refuge pour femme et vous verrez qu'on est loin d'avoir une clientèle exclusivement musulmanes, afghanes ou autres.

Donc oui, il existe de véritables causes pour lequel on doit se battre mais la haine et la stigmatisation de l'islam ou d'une autre minorités ne le sont pas vraiment.

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Faut pas oublier de parler des hommes battus. Eh les femmes qui prennent leur revanche. :cool::cool:

@ Helmondo, raconte nous plutôt comment tu es maltraité par ta maghrébine? Elle a un sale caractère c'est ca? Elle est alcoolique ? Elle joue au Loto? Au plaisir de te lire :flowers:

Mon épouse est tout à fait charmante. Bisous mon pitou

Le problème c'est que les gens comme Helmondo au fond se contrefichent totalement de la violence intra familiale. Pour lui le véritable sujet de son post c'est encore et toujours la communauté musulmane et leur immigration, il n'y a que cela qui l’intéresse vraiment et bien sur tout les faits divers sont bon pour ça.

Donc si un père afghans ou je ne sais de quel pays maghrebins ou du moyen orient commet un crime quel qu’il soit il va le relever par contre si c'est un blanc, chrétien, québécois ou Belge il ne prendra même pas la peine de le poster.

Apres faut vraiment être aveugle pour ne pas voir cette rhétorique F"haine" vieille comme le monde.

Pour le reste ce n'est pas en avançant avec des pas feutrés qu'on va marquer sa différence idéologique alors qu'on transpire la complaisance.

Donc pour en revenir au sujet (s'il y en a un vraiment autre que celui d'une certaine immigration jugée indésirable par certains), les musulmans n'ont pas le monopole de la violence intra familiale et donc il n'y a pas lieu de relier ce genre de sujet avec l'immigration ou l'expulsion/sélection de certains immigrants, la restriction des frontières.

Chaque personne qui atterrit sur le territoire Canadien ( Hé oui pas qu'au Quebec) est informé qu'il vit dans une société de droits laïque, et tout acte criminel et pénalement répréhensible sera jugée par la Loi et sanctionné comme prévu. Pas besoin de chasse aux sorciéres ( ou aux barbus devrais je dire...) pour cela.

Le soutient a la condition féminine devrait être universelle et c'est a notre société de faire davantage d'effort pour la rendre plus accessible.

Si vous avez l'occasion Faîtes un tour dans un refuge pour femme et vous verrez qu'on est loin d'avoir une clientèle exclusivement musulmanes, afghanes ou autres.

Donc oui, il existe de véritables causes pour lequel on doit se battre mais la haine et la stigmatisation de l'islam ou d'une autre minorités ne le sont pas vraiment.

et je n'affirme pas le contraire sur la clientèle des centres d'hébergement, pour la question de détester une religion cela n'est pas un crime.

http://youtu.be/fxwxS1Pv_3k

Et parce que je t'aime bien.

161ets4.jpg

:flowers:

Modifié par hdelmondo
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