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avec des difficultés d'incarcération

J en connais un avec des difficultés comme tu dis mais il est bloqué à New York en ce moment.

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Le lien est installé.

C'est le problème avec les "sous forum" : les mêmes sujets ressortent à plusieurs endroits, et les réponses se dispersent.

  • Habitués
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N'est-ce pas ce qui se fait aux États Unis?

Aux USA, il existe plusieurs types de visa, comme au Canada. Il y a des visas de travail temporaires et des visas permanents. Ceux qu'on obtient par la loterie de la diversité sont notamment permanents.

N'oublions pas que nous sommes ici pour répondre à un besoin économique du Québec, pas à un acte de philantropie.

Tant mieux pour toi si tu es ici pour répondre aux besoins économiques du Québec au détriment des tiens. Ce n'est pas mon cas, et ce n'est pas le cas de bien des gens que je connais.

Si le Canada ne m'avait pas donné une résidence permanente, je n'aurais pas du tout été intéressée à y venir. J'aurais regardé du côté de l'Australie ou tenté la loterie green card, c'est tout.

L'immigration ne vise pas seulement à enrichir le fisc à court terme, nous emmenons AUSSI nos enfants pour assurer le renouvellement démographique (et on nous donne des points pour ça). Quel parent peut être inconscient au point de déménager sa famille ici pour un visa de travail temporaire avec possibilité d'expulsion à la clé?

Non mais, quels types intelligents que ces libertaaaaaaariens! whistlingb.gif

  • Habitués
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je suis d'accord avec toi Kweli sur le fait que qd tu as des enfants tu evites les risques avec des visas temporaires, mais d'un autre côté tu es prête à faire tous les sacrifices pour eux, a prendre une jobine...contrairement a ceux qui viennent en celibataire, et qui preferent toucher le BS plutot que de trouver une jobine

  • Habitués
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Je suis daccord avec Kweli !

Il ne faut pas non plus chausser ses lunettes roses et croire que les immigrants viennent ici par grandeur d'âme, pour aider financièrement, économiquement ou démographiquement le Québec ou le Canada.

Le rêve américain en français est bien ancré dans certaines têtes ou certains coeurs, mais je ne pense pas que ce soit vrai chez la majorité des postulants. On prend tous un risque en lachant " un "tien" pour deux "tu l'auras"", mais pas sans en mesurer les conséquences personnelles.

Je pense que chacun vient, avant tout, pour réussir ses propres projets.Si cela est utile, en plus, à la province qui les accueille, tant mieux : c'est gagnant /gagnant.

Sinon, c'est à la province de revoir ses critères de façon cohérente.

Mais si les critères deviennent trop restrictifs ou trop aléatoires, le jeu n'en vaudra plus la chandelle et les immigrants iront voir ailleurs.

La juste mesure n'est jamais facile à trouver.

  • Habitués
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L'Institut Fraser est un "think tank" de droite. Ses études sont donc aussi orientées.

Évidemment qu'ils vont favoriser les employeurs, les employés et les syndicats auront toujours tort et les employeurs n'ont jamais à se remettre en question.

Seulement, seulement... je ne peux m'empêcher de réagir aussi à certains propos, comme celui-ci :

je lui dirai qu'un nouvel arrivant lui faut une prise en charge totale même psychologique et cela pour plus d'une année

Il ne faut pas non plus tomber dans l'autre extrême avec l'assistanat. Je crois que pour améliorer la situation, tous doivent mettre la main à la pâte.

Il faut demander le maximum pour avoir le minimum , c'est la base de toute négociation et ça le dirai

à celui qui veut se mettre à la place de l'économiste "le chercheur" afin d'optimiser l'èquation .

  • Habitués
Posté(e)
je lui dirai qu'un nouvel arrivant lui faut une prise en charge totale même psychologique et cela pour plus d'une année

Faut pas exagérer non plus.... Si vous avez vraiment besoin d'un soutien psy pour réussir à vous adapter à la vie d'ici, faudrait peut-être revoir vos plans ?

Tout le monde n'est pas fait pour tout quitter et immigrer. On ne cesse de dire, sur ce forum, que ça prend une bonne dose d'adaptabilité, de patience, de motivation,de fric, et de prise en charge personnelle.... Il faut vraiment en tenir compte.

Demander le maximum est aussi une façon de décribiliser ses demandes ultérieures.

  • Habitués
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Policy recommendations

Before turning to our proposals for changes in Canadian immigration policies flowing from the findings just presented, we wish to introduce some ideas that should enter into decisions about changes to immigration policies.

First, most Canadians are happy to live with the welfare state that redistributes income from the rich to the poor, be they the unemployed, the sick, or the elderly. But the transfers to immigrants are altogether different from those to needy Canadians. Until they arrive at our borders, immigrants are foreigners and not part of the Canadian social contract that guides the welfare state provisions. Immigrants are only here because we allow them to come, so that the fiscal burdens they impose can be attributed to our deliberate decision to allow them to become landed immigrants. By the same token, we are free to stop these fiscal burdens on ourselves if we choose to do so either by changing immigration policies or by severely limiting immigrants access to the benefits of the welfare state.

Second, it is important to consider that Canadians have the right to limit access to the countrys social institutions, income, and wealth that they and their ancestors have created. In a sense, Canada is like a private club (Gibson, 2009), whose members have the right to exclude others from sharing in its benefits without proper compensation to existing members. Clubs do not allow non-members just to enter the premises and use the facilities. Nor do they allow individual members to grant the free use of club privileges to outsiders just because it suits them. What is right for clubs in the minds of most Canadians should also be right for Canada.

Third, in a free society like Canadas, individuals decide to maximize their well-being by considering choices they face with regard to their work, spending, investment, and many other issues. One of these choices involves the number of children they wish to raise. Into this decision enter personal preferences, but also considerations about the effect that their children will have on the size of the countrys population, congestion, pollution, climate change, and overall quality of life for themselves and the country and world

as a whole. The government of Canada should be obligated to respect the population growth that results from the decisions made by Canadians and should not change it without much more public consultation than has ever taken place concerning these consequences of population growth.

Finally, the precarious fiscal conditions of Canadian governments caused by short-run cyclical deficits and, more important in the long run, by the unfunded liabilities of social programs, give special urgency to the discussion of immigration policies at the beginning of the second decade of the twenty-first century. Changes in immigration policies can contribute to the alleviation, or possibly even the elimination, of fiscal deficits. Timely steps to curtail further increases in the fiscal burdens imposed by poorly selected immigrants will reduce fiscal pressures on governments and curb the growth of underfunded liabilities of social programs such as health and pensions. The money saved could be used to lower taxes or reduce debt from what they would be otherwise and ultimately to meet the fiscal demands of an aging population.

Du coup, j'ai bien envie de voter oui au prochain référendum moi ...

Ce Canada-là, non merci ! Ils peuvent bien se le garder et faire ce qu'ils veulent avec smile.gif

  • Habitués
Posté(e)

Policy recommendations

Before turning to our proposals for changes in Canadian immigration policies flowing from the findings just presented, we wish to introduce some ideas that should enter into decisions about changes to immigration policies.

First, most Canadians are happy to live with the welfare state that redistributes income from the rich to the poor, be they the unemployed, the sick, or the elderly. But the transfers to immigrants are altogether different from those to needy Canadians. Until they arrive at our borders, immigrants are foreigners and not part of the Canadian social contract that guides the welfare state provisions. Immigrants are only here because we allow them to come, so that the fiscal burdens they impose can be attributed to our deliberate decision to allow them to become landed immigrants. By the same token, we are free to stop these fiscal burdens on ourselves if we choose to do so either by changing immigration policies or by severely limiting immigrants' access to the benefits of the welfare state.

Second, it is important to consider that Canadians have the right to limit access to the country's social institutions, income, and wealth that they and their ancestors have created. In a sense, Canada is like a private club (Gibson, 2009), whose members have the right to exclude others from sharing in its benefits without proper compensation to existing members. Clubs do not allow non-members just to enter the premises and use the facilities. Nor do they allow individual members to grant the free use of club privileges to outsiders just because it suits them. What is right for clubs in the minds of most Canadians should also be right for Canada.

Third, in a free society like Canada's, individuals decide to maximize their well-being by considering choices they face with regard to their work, spending, investment, and many other issues. One of these choices involves the number of children they wish to raise. Into this decision enter personal preferences, but also considerations about the effect that their children will have on the size of the country's population, congestion, pollution, climate change, and overall quality of life for themselves and the country and world

as a whole. The government of Canada should be obligated to respect the population growth that results from the decisions made by Canadians and should not change it without much more public consultation than has ever taken place concerning these consequences of population growth.

Finally, the precarious fiscal conditions of Canadian governments caused by short-run cyclical deficits and, more important in the long run, by the unfunded liabilities of social programs, give special urgency to the discussion of immigration policies at the beginning of the second decade of the twenty-first century. Changes in immigration policies can contribute to the alleviation, or possibly even the elimination, of fiscal deficits. Timely steps to curtail further increases in the fiscal burdens imposed by poorly selected immigrants will reduce fiscal pressures on governments and curb the growth of underfunded liabilities of social programs such as health and pensions. The money saved could be used to lower taxes or reduce debt from what they would be otherwise and ultimately to meet the fiscal demands of an aging population.

Du coup, j'ai bien envie de voter oui au prochain référendum moi ...

Ce Canada-là, non merci ! Ils peuvent bien se le garder et faire ce qu'ils veulent avec :)

Welcome in!:)

N'empêche que c'est vraiment affreux comme mentalité:angry::blink:

Récemment, le ministre fédéral de l'immigration, Jason Kenney, a affirmé que l'immigration sert à combler les emplois où il y a pénurie de diplômés canadiens et les emplois trop pénibles dont les Canadiens ne veulent pas.

  • Habitués
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Récemment, le ministre fédéral de l'immigration, Jason Kenney, a affirmé que l'immigration sert à combler les emplois où il y a pénurie de diplômés canadiens et les emplois trop pénibles dont les Canadiens ne veulent pas.

Toute une découverte de la part du Ministre!

  • Habitués
Posté(e)

Récemment, le ministre fédéral de l'immigration, Jason Kenney, a affirmé que l'immigration sert à combler les emplois où il y a pénurie de diplômés canadiens et les emplois trop pénibles dont les Canadiens ne veulent pas.

Dans les faits, il avait raison. Chaque printemps, on donne des visas aux Mexicains pour venir ramasser les patates que les 300 000 assistés sociaux aptes au travail ne veulent pas ramasser. Probablement parce qu'ils font partie du "private club" de Gibson :P

  • Habitués
Posté(e)
Récemment, le ministre fédéral de l'immigration, Jason Kenney, a affirmé que l'immigration sert à combler les emplois où il y a pénurie de diplômés canadiens et les emplois trop pénibles dont les Canadiens ne veulent pas.

Il n'y a pas si longtemps, il y a eu toute un vaste débat pour savoir si le modéle (foireux) d'immigration à la française , pouvait un jour se retrouver ici. Or cette phrase, est une de celle déjà entendu quelque part, il me semble......

  • Habitués
Posté(e)

Récemment, le ministre fédéral de l'immigration, Jason Kenney, a affirmé que l'immigration sert à combler les emplois où il y a pénurie de diplômés canadiens et les emplois trop pénibles dont les Canadiens ne veulent pas.

Il n'y a pas si longtemps, il y a eu toute un vaste débat pour savoir si le modéle (foireux) d'immigration à la française , pouvait un jour se retrouver ici. Or cette phrase, est une de celle déjà entendu quelque part, il me semble......

Et qui n'est pas fausse en passant ...

La réussite du modèle capitaliste est AUSSI basé sur les millions de travailleurs qui gagnent une misère. Ils ne payent peut-être pas beaucoup d'impôts, mais il faut bien que les routes soient balayées, que les légumes soient ramassés dans les champs, que les pizzas soient livrées. Ils sont aussi "utiles" au système parce qu'ils tirent les salaires vers le bas, ce qui fait l'affaire de ceux qui les emploient.

Il faut arrêter de se voiler la face, le système n'existerait pas s'il ne pouvait pas compter sur une masse de personnes vulnérables, corvéables à merci. Je veux bien que tous les immigrants de Montréal travaillent dans leurs domaines et gagnent minimalement 50 000 $. Sauf qu'à ce rythme, il n'y aura plus de préposées à l'hôpital, ni de vendeuses au Maxi, ni de taxis à Dorval tiens!

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Effectivement, des milliers de Mexicains (et leurs voisins de l'Amérique Centrale) viennent du mois d'avril jusqu'au mois d'octobre pour faire tous les

travaux que les Canadiens de souche ne veulent pas faire, typiquement l'agriculture et le bétail.

Ils sont payés aux salaire minimum, travaillent 14 heures par jour, 5 jours par semaine (70 heures)

Ils payent tous les impôts (fédéral, provincial, RRQ, RQAP, AE, etc) comme n'importe quel autre travailleur au Canada.

Par contre, ils ont le droit aux prestations de maternité/paternité mais pas au chômage.

La plupart d'entre eux n'ont même pas terminé l'école primaire chez eux, mais se débrouillent pareil pour apprendre le français assez rapidement.

Regardez ce vidéo de ce qui se passe à Saint-Rémi (QC).

Les travailleurs méxicains apprenent le français, puis les québécois de Saint-Rémi apprennent l'espagnol.

Je pense toujours aux Anglo-Canadians qui passent des années et des années à apprendre le français à l'école, puis sont pas capables de commander une pizza en français quand ils viennent à Montréal!

Modifié par argentino2003
  • Habitués
Posté(e)

peut-etre que 3 mois c'est court et encore meme pour trouver une jobine ca doit pouvoir se faire.

quand j'en parle a des collègues quebecois, c'est comme ca qu'ils le ressentent, tu trouves pas de boulot tu rentres chez toi. comme le dit Cherrybee il s'agit d'une immigration économique

Mais imagine un peu ce que ce genre de mesure entraînerait. Des employés précaires, pas en mesure d'exercer leurs droits, corvéables à merci puisqu'ils auraient peur de perdre leur droit de séjour...bref ça ouvrirait la porte à tous les abus de la part des employeurs. On voit déjà ce que ça donne pour les femmes qui entrent ici avec un visa d'employées domestiques et qui se retrouvent complètement à la merci de leur employeur.

  • Habitués
Posté(e)

Effectivement, des milliers de Mexicains (et leurs voisins de l'Amérique Centrale) viennent du mois d'avril jusqu'au mois d'octobre pour faire tous les

travaux que les Canadiens de souche ne veulent pas faire, typiquement l'agriculture et le bétail.

Ils sont payés aux salaire minimum, travaillent 14 heures par jour, 5 jours par semaine (70 heures)

Ils payent tous les impôts (fédéral, provincial, RRQ, RQAP, AE, etc) comme n'importe quel autre travailleur au Canada.

Par contre, ils ont le droit aux prestations de maternité/paternité mais pas au chômage.

Et pourtant, ils les paient, les foutues cotisations à l'assurance-chômage... Et dans ce domaine là aussi il y a beaucoup d'abus de la part des employeurs.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

peut-etre que 3 mois c'est court et encore meme pour trouver une jobine ca doit pouvoir se faire.

quand j'en parle a des collègues quebecois, c'est comme ca qu'ils le ressentent, tu trouves pas de boulot tu rentres chez toi. comme le dit Cherrybee il s'agit d'une immigration économique

Mais imagine un peu ce que ce genre de mesure entraînerait. Des employés précaires, pas en mesure d'exercer leurs droits, corvéables à merci puisqu'ils auraient peur de perdre leur droit de séjour...bref ça ouvrirait la porte à tous les abus de la part des employeurs. On voit déjà ce que ça donne pour les femmes qui entrent ici avec un visa d'employées domestiques et qui se retrouvent complètement à la merci de leur employeur.

du moins pour les immigrants au BS. si ils ont travaillé ils auront droit au chomage qui leur laissera le temps de retrouver une job parce que ne pas trouver de job faut vraiment le vouloir. parce que je crois pas que le québec et le canada en general recherche des gens comme mimou. c'est tres complexe, peut-etre que le quebec ne devrait pas donner le BS la 1ere annee

Modifié par kiki75
  • Habitués
Posté(e)

du moins pour les immigrants au BS. si ils ont travaillé ils auront droit au chomage qui leur laissera le temps de retrouver une job parce que ne pas trouver de job faut vraiment le vouloir. parce que je crois pas que le québec et le canada en general recherche des gens comme mimou.

Mais là, c'est d'autre chose qu'on parle. Resserrer des critères de sélection, revoir les exigences financières, revoir les mécanismes d'accès aux programmes d'aide sociale : OK, il y a sans doute matière à débat. Mais créer deux catégories de travailleurs ? Très dangereux, autant pour les immigrants que pour les gens d'ici.

  • Habitués
Posté(e)

du moins pour les immigrants au BS. si ils ont travaillé ils auront droit au chomage qui leur laissera le temps de retrouver une job parce que ne pas trouver de job faut vraiment le vouloir. parce que je crois pas que le québec et le canada en general recherche des gens comme mimou.

Mais là, c'est d'autre chose qu'on parle. Resserrer des critères de sélection, revoir les exigences financières, revoir les mécanismes d'accès aux programmes d'aide sociale : OK, il y a sans doute matière à débat. Mais créer deux catégories de travailleurs ? Très dangereux, autant pour les immigrants que pour les gens d'ici.

tu as tout à fait raison c'est au niveau de la sélection et des exigences financières que bcp de choses pourraient changer.

  • Habitués
Posté(e)

D'après ce que j'ai entendu, les travailleurs agricoles méxicains n'ont pas le droit à l'assurance chômage parce qu'ils travaillent moins de 6 mois par année.

Je ne sais pas si c'est la vraie raison, ou c'est quelque chose d'autre.

Par contre, ils cotisent à l'assurance emploi comme tout le monde. C'est un peu contradictoire.

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