Habitués tohonu Posté(e) 13 janvier 2011 Habitués Posté(e) 13 janvier 2011 Publicite, boite de creation, informatique, hotellerie ... que de societes ou branches qui fonctionnent parcequ'il y a des stagiaires !! Ce n'est pas interdit d'avoir des stagiaires. Tout est question de savoir en quelles proportions. Même si ça existe dans quelques boites, c'est illégal si 90% de tes salariés sont des stagiaires. Les societes que je prends en exemple tournent avec un maximum de 60% de stagiares, ne sont salaries que les postes sensibles: comptabilite, finances, responsables. Le reste, des employes a qui on fait miroiter un poste et qui apres auront du mal a trouver un boulot car ils ont "...une experience non significative ..." Citer
Habitués Éric70 Posté(e) 13 janvier 2011 Habitués Posté(e) 13 janvier 2011 Ma voisine touche le BS depuis de nombreuses années (à ma connaissance déjà 7 ans )..........et à ses heures perdues (qui sont nombreuses!!!!!!!!!!) travaillent comme prostituée....... Ya comme un problème au Québec qui devrait suivre l'exemple de la France, à savoir, si tu refuses plus de 3 offres de travail en relation avec tes compétences, on t'enlève tout simplement le BS ...........Je trouve normal de cotiser ,par des prélèvements sur nos salaires, pour des gens qui sont dans le besoin mais pas pour des fénéants et encore moins pour des gens qui en font un business!! Le but du BS au Québec est de permettre à des gens d'avoir un minimum pour vivre. Ils doivent même prouver qu'ils possèdent presque rien pour avoir droit au BS. L'ADQ a déjà voulu ammener un principe que les gens ne peuvent retirer le BS plus qu'un certain nombre d'année, c'est louable c'est très bien pour les contribuables, mais aidons-nous vraiment les pauvres ??? Cette femme que tu parles que ferat-elle si nous coupons son chèque d'aide social ? Probablement plus de prostitution !!! jimmy a réagi à ceci 1 Citer
Laurent Posté(e) 13 janvier 2011 Posté(e) 13 janvier 2011 Les immigrants sont moins susceptibles de vivre de laide sociale (BS). Citer
Habitués kjaerlighet Posté(e) 13 janvier 2011 Habitués Posté(e) 13 janvier 2011 Exemple tout simple quand j'était à mon compte, en liquidation judiciaire je pouvait pas me verser de salaire et je n'avais pas le droit au RSA pour autant parce que j'avais un salarié ! Et encore plus fort j'avais droit à aucune aide financière d'aucune sorte parce que célibataire sans enfant, donc marche ou crève on s'en fout ! Alors dire que c'est un droit de disposer d'un revenu minimum en france c'est pas vrai du tout... encore heureux qu'un "patron" ne puisse toucher le RSA ... Non c'est pas normal qu'un patron qui ne peut pas se payer ne puisse avoir droit au RSA , n'importe qui devrait avoir droit à un minimum de revenu, à partir du moment ou une entreprise est en liquidation le patron devrait avoir une possibilité de toucher le RSA ça serait peut être un moindre mal pour continuer l'activité parce que vivre avec 0 ça dure pas long donc tu met la clé sous la porte vite fait... Quand à se passer d'un salarié dans la restauration c'est impossible d'être au four et au moulin même avec la meilleure volonté du monde, ... Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 16 janvier 2011 Auteur Habitués Posté(e) 16 janvier 2011 (modifié) Le nouvel immigrant planifiant son intégration à moyen et long terme, et ne se ruant donc pas sur les jobines mais s'orientant vers des formations, peut - il se passer d'être au B.S. ? C'est simple: formation et BS sont tout simplement incompatibles. Une personne en formation n'a pas droit au BS, elle vit de prêts et bourses si sa formation y est admissible, sinon elle combine travail et boulot. La voilà, la seule alternative au BS. Combiner travail et études me semble être une très bonne solution ; c'est celle, en tout cas, qui peut permettre d'intégrer le marché de l'emploi québécois sans perdre trop de temps , au départ, en formations qui pourraient être relativement longues. ( je dirais au passage que c'est la solution qui a été préconisée par mes frères installés à Montréal ainsi que par quelque amis ). Ceci est théoriquement réalisable car la flexibilité des études au Québec permet effectivement de concilier emploi - famille et études. Mais pratiquement, travailler le jour et étudier le soir pourrait s'avérer être une tâche fastidieuse. A moins d'avoir recours à une formation à distance, qui présente cependant l'inconvénient d'induire un manque de motivation chez le parent - élève, de part l' isolement et le cadre dans lesquels ces études se déroulent ( à domicile...). Pourrait - on avoir le témoignage de personnes ayant opté pour cette solution ? Merci. Modifié 16 janvier 2011 par futurquébecois ftta, sinay98 et dilya ont réagi à ceci 3 Citer
Habitués E-Logisticien Posté(e) 16 janvier 2011 Habitués Posté(e) 16 janvier 2011 Il faudrait d'abord trouver ce travail et avoir le courage de repartir sous les bancs de l'ecole car cette volonté n'est pas donnée à tout le monde. FurursQuébecois, detrompe toi, ici assister aux cours ne servent pas à grand chose, donc cela depend de la façon dont tu es capable d'assimiler. Mes profs postent les diapos sur les espaces partagés de l'école à toi de comprendre et de s'exercer, il y'a beaucoup de travail personnel. Je combine un emploi à temps plein et des cours du soir, avoir un diplome d'ici ne garantit pas un emploi, sinon il n'y aurait pas un taux de chomage de plus de 8% mais cela aide. Le bilinguisme et la premiere experience ici sont primordiables. Au final, Il n'y a pas de recette magique pour réussir au Québec, car deux personnes ayant le même profil, l'un peut réussir et l'autre pas, d'autres facteurs rentrent en compte Citer
Invité Posté(e) 16 janvier 2011 Posté(e) 16 janvier 2011 Il faudrait d'abord trouver ce travail et avoir le courage de repartir sous les bancs de l'ecole car cette volonté n'est pas donnée à tout le monde. FurursQuébecois, detrompe toi, ici assister aux cours ne servent pas à grand chose, donc cela depend de la façon dont tu es capable d'assimiler. Mes profs postent les diapos sur les espaces partagés de l'école à toi de comprendre et de s'exercer, il y'a beaucoup de travail personnel. Je combine un emploi à temps plein et des cours du soir, avoir un diplome d'ici ne garantit pas un emploi, sinon il n'y aurait pas un taux de chomage de plus de 8% mais cela aide. Le bilinguisme et la premiere experience ici sont primordiables. Au final, Il n'y a pas de recette magique pour réussir au Québec, car deux personnes ayant le même profil, l'un peut réussir et l'autre pas, d'autres facteurs rentrent en compte Tu as très bien résumé la situation. Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 16 janvier 2011 Auteur Habitués Posté(e) 16 janvier 2011 (modifié) Il faudrait d'abord trouver ce travail et avoir le courage de repartir sous les bancs de l'ecole car cette volonté n'est pas donnée à tout le monde. FurursQuébecois, detrompe toi, ici assister aux cours ne servent pas à grand chose, donc cela depend de la façon dont tu es capable d'assimiler. Mes profs postent les diapos sur les espaces partagés de l'école à toi de comprendre et de s'exercer, il y'a beaucoup de travail personnel. Je combine un emploi à temps plein et des cours du soir, avoir un diplome d'ici ne garantit pas un emploi, sinon il n'y aurait pas un taux de chomage de plus de 8% mais cela aide. Le bilinguisme et la premiere experience ici sont primordiables. Au final, Il n'y a pas de recette magique pour réussir au Québec, car deux personnes ayant le même profil, l'un peut réussir et l'autre pas, d'autres facteurs rentrent en compte Tu as très bien résumé la situation. Le problème ne se pose pas en termes de volonté... Les nouveaux immigrants ont- ils d'autres choix, pour s'intégrer au Québec et y vivre décemment , que de faire des formations et de chercher ( pour finir, dans 92 % des cas par trouver ) du travail? Ou sinon, nous retombons dans les filets du B.S., thème de ce sujet... Les immigrants partent avertis et motivés , forts de quatre années de préparation ( langues, formations complémentaires diverses bien qu'en possession, pour la majorité, de hauts diplômes,...), décidés à repartir sur ( et surtout pas sous ) les bancs de l'école. Le problème se posera certainement au niveau du premier recrutement, le nouvel immigrant débarquant bien évidemment avec un " capital expérience professionnelle au Québec " nul. Et comme partout, il est clair que les valeurs intrinsèques des uns et des autres seront décisives quant à l'évolution de leur carrière... Modifié 16 janvier 2011 par futurquébecois sinay98 et dilya ont réagi à ceci 2 Citer
Habitués kjaerlighet Posté(e) 16 janvier 2011 Habitués Posté(e) 16 janvier 2011 Il faudrait d'abord trouver ce travail et avoir le courage de repartir sous les bancs de l'ecole car cette volonté n'est pas donnée à tout le monde. FurursQuébecois, detrompe toi, ici assister aux cours ne servent pas à grand chose, donc cela depend de la façon dont tu es capable d'assimiler. Mes profs postent les diapos sur les espaces partagés de l'école à toi de comprendre et de s'exercer, il y'a beaucoup de travail personnel. Je combine un emploi à temps plein et des cours du soir, avoir un diplome d'ici ne garantit pas un emploi, sinon il n'y aurait pas un taux de chomage de plus de 8% mais cela aide. Le bilinguisme et la premiere experience ici sont primordiables. Au final, Il n'y a pas de recette magique pour réussir au Québec, car deux personnes ayant le même profil, l'un peut réussir et l'autre pas, d'autres facteurs rentrent en compte Je vais te dire que ça, ça dépend pas mal du diplôme, dans certain cas t'as un emploi garanti à la clé derrière, le tout c'est juste d'être un peu pragmatique et de choisir quelque chose avec des débouchés derrière... Citer
Invité Posté(e) 17 janvier 2011 Posté(e) 17 janvier 2011 (modifié) Il faudrait d'abord trouver ce travail et avoir le courage de repartir sous les bancs de l'ecole car cette volonté n'est pas donnée à tout le monde. FurursQuébecois, detrompe toi, ici assister aux cours ne servent pas à grand chose, donc cela depend de la façon dont tu es capable d'assimiler. Mes profs postent les diapos sur les espaces partagés de l'école à toi de comprendre et de s'exercer, il y'a beaucoup de travail personnel. Je combine un emploi à temps plein et des cours du soir, avoir un diplome d'ici ne garantit pas un emploi, sinon il n'y aurait pas un taux de chomage de plus de 8% mais cela aide. Le bilinguisme et la premiere experience ici sont primordiables. Au final, Il n'y a pas de recette magique pour réussir au Québec, car deux personnes ayant le même profil, l'un peut réussir et l'autre pas, d'autres facteurs rentrent en compte Tu as très bien résumé la situation. Le problème ne se pose pas en termes de volonté... Les nouveaux immigrants ont- ils d'autres choix, pour s'intégrer au Québec et y vivre décemment , que de faire des formations et de chercher ( pour finir, dans 92 % des cas par trouver ) du travail? Ou sinon, nous retombons dans les filets du B.S., thème de ce sujet... Les immigrants partent avertis et motivés , forts de quatre années de préparation ( langues, formations complémentaires diverses bien qu'en possession, pour la majorité, de hauts diplômes,...), décidés à repartir sur ( et surtout pas sous ) les bancs de l'école. Le problème se posera certainement au niveau du premier recrutement, le nouvel immigrant débarquant bien évidemment avec un " capital expérience professionnelle au Québec " nul. Et comme partout, il est clair que les valeurs intrinsèques des uns et des autres seront décisives quant à l'évolution de leur carrière... Les immigrants partent sûrement très motivés, je n'en doute pas. Cependant, E-Logisticien est au Québec depuis plusieurs mois déjà et je crois qu'il a une bonne idée de la situation qui prévaut ici pour les immigrants. Beaucoup de personnes qui arrivent avec de bons diplômes en poche doivent retourner faire des formations. Cela n'est pas donné à tout le monde nécessairement. Il faut un sacré courage, surtout lorsqu'on arrive avec une famille, des enfants ... et qu'on a déjà pas mal d'années d'études derrière la cravate et qu'on s'est fait dire en plus qu'on était accepté sur la foi de nos diplômes justement. Modifié 17 janvier 2011 par Ensaimada E-Logisticien a réagi à ceci 1 Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 17 janvier 2011 Auteur Habitués Posté(e) 17 janvier 2011 (modifié) Il faudrait d'abord trouver ce travail et avoir le courage de repartir sous les bancs de l'ecole car cette volonté n'est pas donnée à tout le monde. FurursQuébecois, detrompe toi, ici assister aux cours ne servent pas à grand chose, donc cela depend de la façon dont tu es capable d'assimiler. Mes profs postent les diapos sur les espaces partagés de l'école à toi de comprendre et de s'exercer, il y'a beaucoup de travail personnel. Je combine un emploi à temps plein et des cours du soir, avoir un diplome d'ici ne garantit pas un emploi, sinon il n'y aurait pas un taux de chomage de plus de 8% mais cela aide. Le bilinguisme et la premiere experience ici sont primordiables. Au final, Il n'y a pas de recette magique pour réussir au Québec, car deux personnes ayant le même profil, l'un peut réussir et l'autre pas, d'autres facteurs rentrent en compte Tu as très bien résumé la situation. Le problème ne se pose pas en termes de volonté... Les nouveaux immigrants ont- ils d'autres choix, pour s'intégrer au Québec et y vivre décemment , que de faire des formations et de chercher ( pour finir, dans 92 % des cas par trouver ) du travail? Ou sinon, nous retombons dans les filets du B.S., thème de ce sujet... Les immigrants partent avertis et motivés , forts de quatre années de préparation ( langues, formations complémentaires diverses bien qu'en possession, pour la majorité, de hauts diplômes,...), décidés à repartir sur ( et surtout pas sous ) les bancs de l'école. Le problème se posera certainement au niveau du premier recrutement, le nouvel immigrant débarquant bien évidemment avec un " capital expérience professionnelle au Québec " nul. Et comme partout, il est clair que les valeurs intrinsèques des uns et des autres seront décisives quant à l'évolution de leur carrière... Les immigrants partent sûrement très motivés, je n'en doute pas. Cependant, E-Logisticien est au Québec depuis plusieurs mois déjà et je crois qu'il a une bonne idée de la situation qui prévaut ici pour les immigrants. Beaucoup de personnes qui arrivent avec de bons diplômes en poche doivent retourner faire des formations. Cela n'est pas donné à tout le monde nécessairement. Il faut un sacré courage, surtout lorsqu'on arrive avec une famille, des enfants ... et qu'on a déjà pas mal d'années d'études derrière la cravate et qu'on s'est fait dire en plus qu'on était accepté sur la foi de nos diplômes justement. Les immigrants partent motivés et avertis... Avertis que leurs diplômes risquent de ne pas être reconnus ( c'est selon le pays d'origine et les conventions bilatérales de reconnaissance mutuelle des études qui auraient été paraphées entre les deux pays ) et qu'ils seront donc fort probablement contraints de retourner sur les bancs de l'école. Si l'immigrant ne se sent pas le courage de le faire, autant qu'il jette l'éponge dès maintenant ! Modifié 17 janvier 2011 par futurquébecois Citer
Invité Posté(e) 17 janvier 2011 Posté(e) 17 janvier 2011 Savoir que l'on est accepté au Québec ... tout en sachant également que nos diplômes ne seront pas reconnus, voilà qui commence bien une immigration Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 17 janvier 2011 Auteur Habitués Posté(e) 17 janvier 2011 (modifié) Certains n'ont pas trop le choix... Et puis, ces restrictions ( diplômes non reconnus, adhésion à des ordres de métiers ) pour pouvoir exercer au Québec, sont incontournables et imposées au nouvel immigrant . L' immigrant aurait bien voulu commencer autrement... Modifié 17 janvier 2011 par futurquébecois Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 19 janvier 2011 Auteur Habitués Posté(e) 19 janvier 2011 (modifié) Pour répondre à ta question "Aux personnes averties, quelles solutions alternatives préconisez vous ?", et bien la seule solution futurquébécois est très simple: il s'agit de venir avec suffisamment de mois d'autonomie (ou d'argent) pour pouvoir tenir jusqu'à trouver une job qui te convienne...Il suffit donc que tu prévois 8 mois d'autonomie si tu sens que sur ton métier, il y a plutôt 8 mois de chômage...12 mois si c'est plus... Mais c'est bien sûr, il "suffit" d'avoir de l'argent... quelle simplicité ou de se bouger un peu.... du travail il y en a .... moi ma compagnie embauche a travers tout le quebec et a du mal a trouver des personnes sérieuses et motivées ! si vous chercher du vous pouvez me contacter en mp je vous donnerai leur coordonéees ! ... Modifié 19 janvier 2011 par futurquébecois Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 19 janvier 2011 Auteur Habitués Posté(e) 19 janvier 2011 Pour répondre à ta question "Aux personnes averties, quelles solutions alternatives préconisez vous ?", et bien la seule solution futurquébécois est très simple: il s'agit de venir avec suffisamment de mois d'autonomie (ou d'argent) pour pouvoir tenir jusqu'à trouver une job qui te convienne...Il suffit donc que tu prévois 8 mois d'autonomie si tu sens que sur ton métier, il y a plutôt 8 mois de chômage...12 mois si c'est plus... Mais c'est bien sûr, il "suffit" d'avoir de l'argent... quelle simplicité ou de se bouger un peu.... du travail il y en a .... moi ma compagnie embauche a travers tout le quebec et a du mal a trouver des personnes sérieuses et motivées ! si vous chercher du vous pouvez me contacter en mp je vous donnerai leur coordonéees ! On note une diminution de 2.1 % du nombre d'adultes ( nés hors du Canada ) prestataires du programme d'aide sociale [ pour la période novembre 2009 - novembre 2010 ]. http://www.mess.gouv.qc.ca/statistiques/aide-sociale/clienteles.asp Citer
affaires.info Posté(e) 20 janvier 2011 Posté(e) 20 janvier 2011 (modifié) Bonjour à tous, xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx Modifié 20 janvier 2011 par Madame Bec-Sec publicité interdite Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 21 janvier 2011 Auteur Habitués Posté(e) 21 janvier 2011 Bonjour... Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 21 février 2011 Auteur Habitués Posté(e) 21 février 2011 Le nouvel immigrant planifiant son intégration à moyen et long terme, et ne se ruant donc pas sur les jobines mais s'orientant vers des formations, peut - il se passer d'être au B.S. ? C'est simple: formation et BS sont tout simplement incompatibles. Une personne en formation n'a pas droit au BS, elle vit de prêts et bourses si sa formation y est admissible, sinon elle combine travail et boulot. La voilà, la seule alternative au BS. Combiner travail et études me semble être une très bonne solution ; c'est celle, en tout cas, qui peut permettre d'intégrer le marché de l'emploi québécois sans perdre trop de temps , au départ, en formations qui pourraient être relativement longues. ( je dirais au passage que c'est la solution qui a été préconisée par mes frères installés à Montréal ainsi que par quelque amis ). Ceci est théoriquement réalisable car la flexibilité des études au Québec permet effectivement de concilier emploi - famille et études. Mais pratiquement, travailler le jour et étudier le soir pourrait s'avérer être une tâche fastidieuse. A moins d'avoir recours à une formation à distance, qui présente cependant l'inconvénient d'induire un manque de motivation chez le parent - élève, de part l' isolement et le cadre dans lesquels ces études se déroulent ( à domicile...). Pourrait - on avoir le témoignage de personnes ayant opté pour cette solution ? Merci. Il n'y a personne dans ce cas de figure? Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 26 juillet 2011 Auteur Habitués Posté(e) 26 juillet 2011 Le jour J se rapproche... et cette dernière alternative me semble, après mûre réflexion, la plus adaptée. sinay98 a réagi à ceci 1 Citer
GRAND POKA Posté(e) 31 juillet 2011 Posté(e) 31 juillet 2011 Bravo pour la brune!!!! ca été rapide pour vous,...est ce que vous etes seul ou en famille? Merci D'après le ministère des transport d'ici quelques mois, lorsque quelqu'un sur le BS sera décédé, son corps sera obligatoirement incinéré. Le but? Éviter que l'asphalte travail. Vous voyez que le monde sur le BS vont devenir utiles pour les routes du Québec. Ok je sors ... mais en faisant un écobilan, vous constateriez que vous auriez dans ce cas plus d'émissions de gaz à effet de serre... Votre raisonnement ne tiens donc pas la...route ! Citer
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