Bulletin patronal sur la prospérité du Québec

[pninon]

Bonjour,

Le Conseil du patronat dévoile aujourd'hui son tout premier Bulletin de la prospérité du Québec, qui vise à évaluer le positionnement économique du Québec et ses progrès dans sa quête de prospérité et de création de la richesse.

L'édition 2010 du Bulletin révèle que, malgré quelques résultats positifs, notamment en matière de diplomation universitaire, de taxation sur les investissements et de dépenses en recherche et développement, le Québec devra redoubler d'efforts s'il souhaite créer davantage de richesse et s'engager dans la voie de la prospérité au cours des prochaines années,particulièrement au chapitre de l'intégration économique des immigrants, des taxes sur la masse salariale, des lois du travail et de l'endettement. Le Conseil du patronat accorde en effet une moyenne globale de « C » au Québec, basée sur une appréciation pour chacun des déterminants de la prospérité :

Disponibilité et qualité de la main-d'oeuvre : C

Coût du capital humain : C

Réglementation : D

Finances publiques : C

Environnement d'affaires : C

Moyenne : C

http://www.cpq.qc.ca/fr/index.php?id=67

Je suis très intéressé à connaître votre point de vue notamment sur vos attentes concernant l'intégration en entreprise. Je souhaite compiler les avis les plus significatifs et les présenter au sein de la Chambre de Commerce Française de Québec afin d'étudier les pistes pour remédier à cette problématique.

Merci d'avance pour votre concours.

Pierre.

Modifié 19 août 2010 par pninon

[cicine]

Bonjour,

Le Conseil du patronat dévoile aujourd'hui son tout premier Bulletin de la prospérité du Québec, qui vise à évaluer le positionnement économique du Québec et ses progrès dans sa quête de prospérité et de création de la richesse.

L'édition 2010 du Bulletin révèle que, malgré quelques résultats positifs, notamment en matière de diplomation universitaire, de taxation sur les investissements et de dépenses en recherche et développement, le Québec devra redoubler d'efforts s'il souhaite créer davantage de richesse et s'engager dans la voie de la prospérité au cours des prochaines années,particulièrement au chapitre de l'intégration économique des immigrants, des taxes sur la masse salariale, des lois du travail et de l'endettement. Le Conseil du patronat accorde en effet une moyenne globale de « C » au Québec, basée sur une appréciation pour chacun des déterminants de la prospérité :

Disponibilité et qualité de la main-d'oeuvre : C

Coût du capital humain : C

Réglementation : D

Finances publiques : C

Environnement d'affaires : C

Moyenne : C

http://www.cpq.qc.ca...index.php?id=67

Je suis très intéressé à connaître votre point de vue notamment sur vos attentes concernant l'intégration en entreprise. Je souhaite compiler les avis les plus significatifs et les présenter au sein de la Chambre de Commerce Française de Québec afin d'étudier les pistes pour remédier à cette problématique.

Merci d'avance pour votre concours.

Pierre.

Bonjour Pierre,

Comme tu le sais, le Québec filtre d'une manière assez stricte les postulants à l'immigration, avec un choix bien orienté vers certains métiers manuels (boucher par exemple) ou formation très précises (infirmières), l'aspect financier venant en second plan pour l'obtention du CSQ.

Cela dit, il serait souhaitable, pour la bonne intégration dans l'entreprise, qu'il y ait une juste reconnaissance des qualités des immigrants, afin qu'ils puissent accéder à des postes à responsabilités au sein de leur carrière. Pour ce faire, pourquoi ne pas mettre en place un système de tutorat ou d'accompagnement pendant un temps probatoire dont la durée reste à définir en fonction du poste considéré.

Permettre également de pouvoir bénéficier de formation continue (si cela existe au Québec) et inciter le candidat à rester dans l'entreprise de manière pérenne, pour partager la valeur ajoutée qu'il apporte.

Bien que postulant en qualité de travailleur qualifié, comme tu le sais, je souhaite y créer ma propre entreprise et si je dois embaucher quelqu'un un jour, ce sera dans cet état d'esprit.

Bien à toi

Jean-Michel

[stefane321]

Le Québec est pris dans une culture socialiste exagéré.

Les gens qui réussisent en affaire son perçu comme des voleurs ou des profiteurs.

La classe de québécois sans formations ou a faible scolarité se permet de ne pas vouloir travailler fort pour gagner son pain quotidien . donc nous devons faire venir des immigrant pour travailler dans les champs.

Au Québec notre fiscalité socialiste fais en sorte que rendu a un certain niveau sa ne vaut plus la peine de se forcer pour performer car l'état va te prendre en impot la moitié de ta paie.

L'état québécois, sous la pression des lobby socialiste et environnementaux n'arrete pas de mettre des baton dans roues des entreprises privé

Les syndicats ont maintenant trop de pouvoir aussi