Aller au contenu

realité


mardirar

Messages recommandés

  • Habitués

Salam amis forumistes ,

voici un article qui decrit tres bien ce que subissent certains........ quebecois ou bien excusé devrais je dire quebecois d'origine.......

Bonne lecture

Le jeudi 25 octobre 2007

Le «Nous» me tue

Rima Elkouri

La Presse

«Vous faites partie du «Eux» et pas du «Nous» «, m'a récemment écrit un lecteur, qui déplorait mon «manque de rigueur» et ma «propagande» en faveur des gens d'origine arabe, à la suite d'un article où je dénonçais pourtant les propos haineux et les manipulations de l'imam Jaziri. De la propagande? Ah bon.

«Des Québécois ont bâti le Québec pas vous», me dit un autre. «Tous les pays arabes sont en conflit La première chose que vous faites en arrivant, c'est de mettre la merde dans le pays.» Merci de m'écrire, monsieur. Mais j'arrive d'où au juste, pouvez-vous me le dire?

«Pourquoi êtes-vous venue au Québec?» me demande encore un autre lecteur, qui ne supporte pas que je puisse être critique envers ceux qui «m'ont généreusement accueillie». Pourquoi je suis venue au Québec? Bonne question. Je peux me tromper, mais je pense que c'est parce que j'y suis née.

D'autres, moins polis, se croient autorisés, galvanisés par cette commission Bouchard-Taylor qui enlève toute inhibition, à cracher toutes les niaiseries xénophobes qui leur passent par la tête.

À tous ces gens qui se portent à la sauvegarde d'une certaine idée du «Nous», je demande parfois combien de générations sont nécessaires avant qu'on cesse d'être considéré comme un étranger dans ce pays. Je leur demande parfois ce qu'il faut faire pour faire partie du «Nous», même si, à lire leurs propos, je ne suis pas sûre de vouloir en faire partie. Parce qu'il semble que même en étant née ici, francophone et catholique, ce ne soit pas suffisant. Je n'ose pas imaginer ce que ce doit être pour les autres qui font encore plus partie du «Eux» que moi.

Que faut-il faire pour avoir une place au sein du «Nous»? L'autre soir, j'ai fait un pudding chômeur avec beaucoup de sirop d'érable; est-ce que je gagne des points «AéroNous»? Je partage ma vie avec un Gaspésien souverainiste; y a-t-il des points bonis pour ça? Combien de générations avant qu'on ait le droit de donner son opinion sans être accusé d'ingratitude? Faudrait-il que Mme Marois ajoute une disposition dans son absurde projet de loi à l'intention des enfants et des petits-enfants d'immigrés afin de restreindre aussi leur droit de s'exprimer sur la place publique? Un coup parti

Le «Nous» dont certains se réclament ces jours-ci me tue. Je le trouve lassant, maladroit, inutile. Et je ne parle pas que du «Nous» folklorique du conseiller de Hérouxville qui disait hier «Ils vont savoir qui nous sommes», en parlant d'un «Ils» aussi imaginaire que son «Nous». Ce «Nous» tient à rappeler qu'il ne tolère pas que les femmes soient lapidées et brûlées vives sur la place publique. Et les hommes brûlés vifs en privé, est-ce que c'est correct? Éclairez-moi, S.V.P., pour que je sache la conduite à adopter si l'occasion se présente.

Quand Hérouxville parle de «ce que nous sommes», il vaut sans doute mieux en rire. Mais quand c'est une politicienne chevronnée comme Pauline Marois qui veut se faire la nouvelle nounou du «Nous» inquiet, c'est plus troublant. Douze ans après le malheureux «Nous» de Parizeau, plus malheureux encore à mon sens que ses propos sur «l'argent et le vote ethnique», brandir aussi maladroitement un nouveau «Nous» démagogique qui laisse entendre que l'immigrant menace le visage français du Québec, alors qu'il n'en est rien, est pour le moins périlleux. Car en pensant créer un «Nous» nouveau, on recrée surtout un «Eux» qui, grâce à la loi 101, n'existe pourtant presque plus.

Il y a un truc que je trouvais quand même intéressant dans le projet de loi torpillé de Mme Marois. Un truc que presque personne n'a relevé qui concerne l'enseignement. Parce que ce qui menace le plus la survie de la langue française, vecteur essentiel de la culture, ce n'est pas tant l'immigration que la piètre qualité de la langue enseignée dans nos écoles. Dans certaines universités, trois étudiants sur quatre se destinant à l'enseignement ne réussissent pas un test de français pourtant assez simple. Il y a là un sérieux problème.

Afin de s'assurer que les enseignants possèdent une excellente maîtrise de la langue, le projet de loi sur l'identité de Mme Marois prévoit donc instituer un «examen national». «La réussite de cet examen sera nécessaire pour obtenir l'autorisation d'enseigner», dit-on. C'est une très bonne idée. Le hic, c'est que ça existe déjà. Le ministère de l'Éducation a annoncé ses intentions en ce sens en janvier. Une version-pilote de l'examen existe et devrait être utilisée cette année sur une base expérimentale dans les universités. Par la suite, l'épreuve sera instituée de façon définitive.

Bref, la seule proposition intéressante de ce projet de loi sur l'identité québécoise en est une qui est déjà mise en oeuvre. Qu'une ancienne ministre de l'Éducation, qui se défend pourtant d'avoir fait un travail «bâclé», ne l'ait pas remarqué avant de déposer son projet est pour le moins étonnant.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

en tant qu'immigrant né du mauvais coté de la méditerannée on sait tout ça depuis belle lurette

attendons donc un beau rapport a 5 millions pour peut-être reconnaitre "officiellement" le malaise

et une autre commission a 100 millions de dollars qui reconnaitra peut-etre qu'il n'y a rien a faire pacequ'on ne peut pas empêcher les gens de penser ce qu'ils veulent

ah!!!! cette fameuse liberté de penser .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Comme la très bonne journaliste de la Presse Rima Elkouri (lire son excellent article sur la laïcité dernièrement :

ICI , je trouve assez agaçant le « nous » quon entend un peu partout en ce moment, que ce soit dans les commentaires de blogs des médias ou bien dans la bouche des gens qui participent au débat et à la consultation publique de la commission Bouchard-Taylor.

Personnellement, je me sens aussi québécoise quun québécois de souche même si je ne suis pas née ici (Rima Elkouri est même née ici quant à elle et on lui dit quelle fait partie des « eux »).

Je ne crois pas que les Québécois soient plus ou moins racistes que dautres mais le débat fort quil y actuellement sur limmigration parti de cette histoire montée un peu en épingle des accommodements raisonnables ne doit pas déraper selon moi vers un repli identitaire. Je nai jamais vu un endroit comme à Montréal où les différentes communautés sintègrent aussi bien et respectent les autres. Jaimerais bien faire partie comme tous les autres immigrants du « nous », les Québécois et ne pas me faire dire après 30 ou 40 ans de vie ici (« tiens, vla la française) :maxpayne:

ça va faire bientôt 11 ans que je vis ici avec mon mari. On bâtit également le Québec daujourdhui au même titre que les autres. :rolleyes:

Je trouve que cest important de le mentionner, et encore plus sur un forum dimmigrants comme immigrer.com où on se sent totalement Québécois en prenant part aux divers sujets qui touchent le Québec.

Le jeudi 25 octobre 2007

Le «Nous» me tue

Rima Elkouri

La Presse

«Vous faites partie du «Eux» et pas du «Nous» «, m'a récemment écrit un lecteur, qui déplorait mon «manque de rigueur» et ma «propagande» en faveur des gens d'origine arabe, à la suite d'un article où je dénonçais pourtant les propos haineux et les manipulations de l'imam Jaziri. De la propagande? Ah bon.

«Des Québécois ont bâti le Québec pas vous», me dit un autre. «Tous les pays arabes sont en conflit La première chose que vous faites en arrivant, c'est de mettre la merde dans le pays.» Merci de m'écrire, monsieur. Mais j'arrive d'où au juste, pouvez-vous me le dire?

«Pourquoi êtes-vous venue au Québec?» me demande encore un autre lecteur, qui ne supporte pas que je puisse être critique envers ceux qui «m'ont généreusement accueillie». Pourquoi je suis venue au Québec? Bonne question. Je peux me tromper, mais je pense que c'est parce que j'y suis née.

D'autres, moins polis, se croient autorisés, galvanisés par cette commission Bouchard-Taylor qui enlève toute inhibition, à cracher toutes les niaiseries xénophobes qui leur passent par la tête.

À tous ces gens qui se portent à la sauvegarde d'une certaine idée du «Nous», je demande parfois combien de générations sont nécessaires avant qu'on cesse d'être considéré comme un étranger dans ce pays. Je leur demande parfois ce qu'il faut faire pour faire partie du «Nous», même si, à lire leurs propos, je ne suis pas sûre de vouloir en faire partie. Parce qu'il semble que même en étant née ici, francophone et catholique, ce ne soit pas suffisant. Je n'ose pas imaginer ce que ce doit être pour les autres qui font encore plus partie du «Eux» que moi.

Que faut-il faire pour avoir une place au sein du «Nous»? L'autre soir, j'ai fait un pudding chômeur avec beaucoup de sirop d'érable; est-ce que je gagne des points «AéroNous»? Je partage ma vie avec un Gaspésien souverainiste; y a-t-il des points bonis pour ça? Combien de générations avant qu'on ait le droit de donner son opinion sans être accusé d'ingratitude? Faudrait-il que Mme Marois ajoute une disposition dans son absurde projet de loi à l'intention des enfants et des petits-enfants d'immigrés afin de restreindre aussi leur droit de s'exprimer sur la place publique? Un coup partiLe «Nous» dont certains se réclament ces jours-ci me tue. Je le trouve lassant, maladroit, inutile. Et je ne parle pas que du «Nous» folklorique du conseiller de Hérouxville qui disait hier «Ils vont savoir qui nous sommes», en parlant d'un «Ils» aussi imaginaire que son «Nous». Ce «Nous» tient à rappeler qu'il ne tolère pas que les femmes soient lapidées et brûlées vives sur la place publique. Et les hommes brûlés vifs en privé, est-ce que c'est correct? Éclairez-moi, S.V.P., pour que je sache la conduite à adopter si l'occasion se présente.

Quand Hérouxville parle de «ce que nous sommes», il vaut sans doute mieux en rire. Mais quand c'est une politicienne chevronnée comme Pauline Marois qui veut se faire la nouvelle nounou du «Nous» inquiet, c'est plus troublant. Douze ans après le malheureux «Nous» de Parizeau, plus malheureux encore à mon sens que ses propos sur «l'argent et le vote ethnique», brandir aussi maladroitement un nouveau «Nous» démagogique qui laisse entendre que l'immigrant menace le visage français du Québec, alors qu'il n'en est rien, est pour le moins périlleux. Car en pensant créer un «Nous» nouveau, on recrée surtout un «Eux» qui, grâce à la loi 101, n'existe pourtant presque plus.

Il y a un truc que je trouvais quand même intéressant dans le projet de loi torpillé de Mme Marois. Un truc que presque personne n'a relevé qui concerne l'enseignement. Parce que ce qui menace le plus la survie de la langue française, vecteur essentiel de la culture, ce n'est pas tant l'immigration que la piètre qualité de la langue enseignée dans nos écoles. Dans certaines universités, trois étudiants sur quatre se destinant à l'enseignement ne réussissent pas un test de français pourtant assez simple. Il y a là un sérieux problème.

Afin de s'assurer que les enseignants possèdent une excellente maîtrise de la langue, le projet de loi sur l'identité de Mme Marois prévoit donc instituer un «examen national». «La réussite de cet examen sera nécessaire pour obtenir l'autorisation d'enseigner», dit-on. C'est une très bonne idée. Le hic, c'est que ça existe déjà. Le ministère de l'Éducation a annoncé ses intentions en ce sens en janvier. Une version-pilote de l'examen existe et devrait être utilisée cette année sur une base expérimentale dans les universités. Par la suite, l'épreuve sera instituée de façon définitive.

Bref, la seule proposition intéressante de ce projet de loi sur l'identité québécoise en est une qui est déjà mise en oeuvre. Qu'une ancienne ministre de l'Éducation, qui se défend pourtant d'avoir fait un travail «bâclé», ne l'ait pas remarqué avant de déposer son projet est pour le moins étonnant.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
sujet fort intéressant poster par mardirar ici il y a maintenant 3 heures mais peu de réaction :innocent:

bon , je donne mon point de vue en gros ,

Je crois que la génération dites "Arabes" que le Québec attire depuis quelques temps , sera la génération qui va essuyer les plâtres comme on dit .

La comparaison avec le manuvre ou le travailleurs des champs durant les années 70 en France est trés similaire , hormis qu'au Québéc ce ne sont plus des ouvriers pas qualifiés , mais bel et bien des ingénieurs , des docteurs et autres surdiplômés qui vont faire les frais du choc culturel entre deux nations .

Comment vont évoluer les choses ? ben là j'ai du mal à savoir .

Un plus grand nombre de lieu de culte (mosquées) ,

une lutte contre les employeurs impitoyable contre toutes discrimination à l'embauche ,

une force politique qui les reconnaîtra plus que d'autres en laissant une place au responsabilité provinciale ,

une présence plus forte dans le système de communication( média ) et de consommation (publicité) ,

des enfants revendiquant une appartenance Québécoise

et surtout éviter une ghettoïsation des la communautés arabe fera que tout cela sera bénéfique pour les générations future , en attendant va falloir endurer une tas de préjugés ,

Je ne crois pas les québécois aussi cons que les américains avec leur patriotisme à deux balles , et les croient capables de pouvoir faire une place à chacun dans une entente intelligente .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
sujet fort intéressant poster par mardirar ici il y a maintenant 3 heures mais peu de réaction :innocent:

bon , je donne mon point de vue en gros ,

Je crois que la génération dites "Arabes" que le Québec attire depuis quelques temps , sera la génération qui va essuyer les plâtres comme on dit .

La comparaison avec le manuvre ou le travailleurs des champs durant les années 70 en France est trés similaire , hormis qu'au Québéc ce ne sont plus des ouvriers pas qualifiés , mais bel et bien des ingénieurs , des docteurs et autres surdiplômés qui vont faire les frais du choc culturel entre deux nations .

Comment vont évoluer les choses ? ben là j'ai du mal à savoir .

Un plus grand nombre de lieu de culte (mosquées) ,

une lutte contre les employeurs impitoyable contre toutes discrimination à l'embauche ,

une force politique qui les reconnaîtra plus que d'autres en laissant une place au responsabilité provinciale ,

une présence plus forte dans le système de communication( média ) et de consommation (publicité) ,

des enfants revendiquant une appartenance Québécoise

et surtout éviter une ghettoïsation des la communautés arabe fera que tout cela sera bénéfique pour les générations future , en attendant va falloir endurer une tas de préjugés ,

Je ne crois pas les québécois aussi cons que les américains avec leur patriotisme à deux balles , et les croient capables de pouvoir faire une place à chacun dans une entente intelligente .

l'avantage qu'il y a au quebec contrairement a la france des années 70 c'est qu'ont as pas besoin changer de pays

on peut aller ailleurs au canada ou même si il ya discrimination, coté boulot c'est les compétences qui compte il se trouve que pour beaucoup d'entre nous le problème c'est la LANGUE ANGLAISE

justement un des aspect que la marois a mis en avant pour définir la citoyenneté québécoise

quand on pense qu'un jaziri maitrise relativement bien cette langue!!!

tu parle des usa quoiqu'on puisse leur reprocher la-bas on reconnait les compétence nonobstant les origine ou la religions

je ne parle pas des aéroports mais bien du marché du travail !!!

et pi faut pas oublier que le mohamed a qui on donnait l'opportunité d'immigrer en france en 1970

était sélectionné rapport a la rugosité de ses mains le mohamed qui immigre au québec est MAJORITAIREMENT choisis rapport a ses capacités intellectuelles

en france il a fallu attendre la deuxieme voir la troisieme generation pour soulever le probleme du racime ici au moins ca ce fait dés le début et c'est tant mieux..

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
sujet fort intéressant poster par mardirar ici il y a maintenant 3 heures mais peu de réaction :innocent:

bon , je donne mon point de vue en gros ,

Je crois que la génération dites "Arabes" que le Québec attire depuis quelques temps , sera la génération qui va essuyer les plâtres comme on dit .

La comparaison avec le manuvre ou le travailleurs des champs durant les années 70 en France est trés similaire , hormis qu'au Québéc ce ne sont plus des ouvriers pas qualifiés , mais bel et bien des ingénieurs , des docteurs et autres surdiplômés qui vont faire les frais du choc culturel entre deux nations .

Comment vont évoluer les choses ? ben là j'ai du mal à savoir .

Un plus grand nombre de lieu de culte (mosquées) ,

une lutte contre les employeurs impitoyable contre toutes discrimination à l'embauche ,

une force politique qui les reconnaîtra plus que d'autres en laissant une place au responsabilité provinciale ,

une présence plus forte dans le système de communication( média ) et de consommation (publicité) ,

des enfants revendiquant une appartenance Québécoise

et surtout éviter une ghettoïsation des la communautés arabe fera que tout cela sera bénéfique pour les générations future , en attendant va falloir endurer une tas de préjugés ,

Je ne crois pas les québécois aussi cons que les américains avec leur patriotisme à deux balles , et les croient capables de pouvoir faire une place à chacun dans une entente intelligente .

je te garantie que pour la majorité le probleme c'est vraiment pas un plus grand nombre de mosquée on tombe carrément dans le cliché la

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
Personnellement, je me sens aussi québécoise qu’un québécois de souche même si je ne suis pas née ici (Rima Elkouri est même née ici quant à elle et on lui dit qu’elle fait partie des « eux »).

Je ne crois pas que les Québécois soient plus ou moins racistes que d’autres mais le débat fort qu’il y actuellement sur l’immigration parti de cette histoire montée un peu en épingle des accommodements raisonnables ne doit pas déraper selon moi vers un repli identitaire. Je n’ai jamais vu un endroit comme à Montréal où les différentes communautés s’intègrent aussi bien et respectent les autres. J’aimerais bien faire partie comme tous les autres immigrants du « nous », les Québécois et ne pas me faire dire après 30 ou 40 ans de vie ici (« tiens, v’la la française) :maxpayne:

ça va faire bientôt 11 ans que je vis ici avec mon mari. On bâtit également le Québec d’aujourd’hui au même titre que les autres. :rolleyes:

Je trouve que c’est important de le mentionner, et encore plus sur un forum d’immigrants comme immigrer.com où on se sent totalement Québécois en prenant part aux divers sujets qui touchent le Québec.

C'est pas sorcier: si tu veux faire partie du nous et que tu agis en conséquence en ne te repliant pas sur ta communauté d'origine, alors tu en fais partie. Mme Elkouri a raison d'être insultée que des têtes brulées lui disent qu'elle est dans la gang du eux. Non seulement elle est née ici, mais en plus, elle participe à la société comme tout le monde, s'exprime en français, travaille, socialise, etc.

Je sais que les termes nous et eux peuvent être rebutants. Reste qu'ils existent, et de définir un Québécois sur la seule base du lieu où la personne vit est plutôt... poche. Les juifs hassidim ont beau être là depuis longtemps et plusieurs ont beau être nés ici, ils ne se mélangent PAS aux autres et sont très repliés sur eux-mêmes; ils parlent anglais ou hébreu; ils ne travaillent pas et n'étudient pas avec nous (jamais croisé un hassidim de ma vie dans un boulot ou à l'école); ils ont leur propres heures de piscine, leurs propres écoles, leur propre commerces, leurs propres quartiers; ils ne reconnaissent pas l'égalité hommes-femmes; ils traversent souvent la rue quand ils croisent un non-juif sur le trottoir; ils ne voyagent pas et s'ils sortent de la ville, c'est encore pour se retrouver entre eux entourés d'une clôture; ils se consacrent à l'étude de la Torah; etc. Bref, ils vivent en autharcie et leur religion ultra-orthodoxe le commande. Ils n'ont même pas la télé et si tu demandais à un petit juif hassidim s'il connaissait Micheal Jackson, il te dirais qu'il ne sait pas qui c'est. Eux tu vois, ils font partie du fameux eux selon moi. Rien dans leurs agissements ne me dit qu'il y a une once de nous en eux, et même si j'avais envie d'entrer en contact avec eux, leur religion leur interdit. Vous comprenez la nuance?

Modifié par cherry
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
Personnellement, je me sens aussi québécoise quun québécois de souche même si je ne suis pas née ici (Rima Elkouri est même née ici quant à elle et on lui dit quelle fait partie des « eux »).

Je ne crois pas que les Québécois soient plus ou moins racistes que dautres mais le débat fort quil y actuellement sur limmigration parti de cette histoire montée un peu en épingle des accommodements raisonnables ne doit pas déraper selon moi vers un repli identitaire. Je nai jamais vu un endroit comme à Montréal où les différentes communautés sintègrent aussi bien et respectent les autres. Jaimerais bien faire partie comme tous les autres immigrants du « nous », les Québécois et ne pas me faire dire après 30 ou 40 ans de vie ici (« tiens, vla la française) :maxpayne:

ça va faire bientôt 11 ans que je vis ici avec mon mari. On bâtit également le Québec daujourdhui au même titre que les autres. :rolleyes:

Je trouve que cest important de le mentionner, et encore plus sur un forum dimmigrants comme immigrer.com où on se sent totalement Québécois en prenant part aux divers sujets qui touchent le Québec.

C'est pas sorcier: si tu veux faire partie du nous et que tu agis en conséquence en ne te repliant pas sur ta communauté d'origine, alors tu en fais partie. Mme Elkouri a raison d'être insultée que des têtes brulées lui disent qu'elle est dans la gang du eux. Non seulement elle est née ici, mais en plus, elle participe à la société comme tout le monde, s'exprime en français, travaille, socialise, etc.

Je sais que les termes nous et eux peuvent être rebutants. Reste qu'ils existent, et de définir un Québécois sur la seule base du lieu où la personne vit est plutôt... poche. Les juifs hassidim ont beau être là depuis longtemps et plusieurs ont beau être nés ici, ils ne se mélangent PAS aux autres et sont très repliés sur eux-mêmes; ils parlent anglais ou hébreu; ils ne travaillent pas et n'étudient pas avec nous (jamais croisé un hassidim de ma vie dans un boulot ou à l'école); ils ont leur propres heures de piscine, leurs propres écoles, leur propre commerces, leurs propres quartiers; ils ne reconnaissent pas l'égalité hommes-femmes; ils traversent souvent la rue quand ils croisent un non-juif sur le trottoir; ils ne voyagent pas et s'ils sortent de la ville, c'est encore pour se retrouver entre eux entourés d'une clôture; ils se consacrent à l'étude de la Torah; etc. Bref, ils vivent en autharcie et leur religion ultra-orthodoxe le commande. Ils n'ont même pas la télé et si tu demandais à un petit juif hassidim s'il connaissait Micheal Jackson, il te dirais qu'il ne sait pas qui c'est. Eux tu vois, ils font partie du fameux eux selon moi. Rien dans leurs agissements ne me dit qu'il y a une once de nous en eux, et même si j'avais envie d'entrer en contact avec eux, leur religion leur interdit. Vous comprenez la nuance?

tres bon exemple

il y a actuellement 7 millions de québecois toutes origines confondues

a combien estime tu ?? le pourcentage d'hassidiQUE ??

et vue leur ancienneté sur le territoire quels effet néfaste ont-ils eu sur leur environnements

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Deux éléments font ressortir les rats de fond de poubelle habituellement cachés de notre société ces temps-ci : la commission Bouchard-Taylor et lanonymat sur internet. Le premier leur donnent, croient-ils le feu vert pour exprimer leur racisme puant tout en se drapant de la cause identitaire, le deuxième leur enlève toute inhibition et leur donne la jouissance de taper sur quelques-uns tout en se donnant une certaine importance parce quils vont être lus dans les médias. (blogues ou commentaires de chroniques).

Ce sont des planqués, souvent sans éducation dont le QI natteint pas la limite de vitesse sur nos routes de campagne qui se défoulent de leur petitesse parce que quelquun, quelque part a eu la brillante idée de les inviter à sexprimer... Bien sûr, il y a aussi les autres, bârdés de diplômes, mais tout aussi incompétents dans le département du jugement...

Mais quel pourcentage de la population québécoise représente-ils véritablement? 2%? 5%? 10%? Je reste convaincue quils ne représente en aucun cas la majorité, qui elle, reste ouverte, curieuse et acceuillante dans son ensemble. Oui, la tendance jack ass de droite est inquiétante et navrante à constater. Mais le sentiment premier qui envahi le québécois moyen devant tout ça, ce nest pas la fierté du « On » identitaire, Cest plutôt un fort sentiment de honte...

Et vous, immigrants de ce site, avez-vous senti une montée de racisme ou reçu des marques dhostilité, dans votre environnement immédiat? Vous êtes les mieux placés pour en parler et vos réponses donneront beaucoup plus lheure juste quune chroniqueuse, autant brillante soit-elle, mais qui sexpose en cible médiatique parfaite pour les petits frustrés de tout accabit.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Ça me fait suer des gens comme mardirar qui parte un fil, font un copier/coller et ensuite vont se cacher sans donner leur opinion... :frankenstein: Toi mardirar, quel est ton opinion sur ce fil que tu as toi-même parti ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués

Si effectivement la xénophobie existe au Québec, dans beaucoup de pays au monde c'est encore bien pire. Parler en à un membre du forum ici, chantal43, qui dénonçait ici même sur ce forum le racisme épouvantable au Maroc envers elle (une femme noire)

message de chantal43

chantal43

Groupe : Habitués

Messages : 50

Inscrit : 8-09-2007

Membre n° 64850

Origine : gabon

Résidence : maroc

Couple

Âge : 27

Profession : estheticienne

Statut : en processus d'immigration

moi j appelle cela du racisme et de l escroquerie aussi pire la mauvaise fois

moi je vis ici au maroc je suis obliger de faire toutes mes courses au super marché mais quand je vais acheter des choses a la medina les prix sont multiplié par 3 au moins en plus d essyer les ASSIA (qui veut dire negresse) les GAGABES( qui veulent dire singe) que dirai tu si tu vivais cela au quotidien quand des parents encouragent leurs enfants a te lancer des pierres et que ses derniers en rient

que dirais tu de cela et quand le chauffeur de car ne vient pas chercher ton enfant au moins 7 fois dans le meme mois

que dirait tu de cela

quand on te crache dessus ou les passants te touche les nichons et les fesses

voila le vrai raciste

pire quand les marocain vivant sur le continent africain appelle africains pour faire la difference entre eux et toi

si tu veu connaitre le vrai raciste voila un

et si les marocain ou des noirs vivant au maroc lisent ceci ils le confirmeront

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Comme la très bonne journaliste de la Presse Rima Elkouri (lire son excellent article sur la laïcité dernièrement :

ICI , je trouve assez agaçant le « nous » quon entend un peu partout en ce moment, que ce soit dans les commentaires de blogs des médias ou bien dans la bouche des gens qui participent au débat et à la consultation publique de la commission Bouchard-Taylor.

Personnellement, je me sens aussi québécoise quun québécois de souche même si je ne suis pas née ici (Rima Elkouri est même née ici quant à elle et on lui dit quelle fait partie des « eux »).

Je ne crois pas que les Québécois soient plus ou moins racistes que dautres mais le débat fort quil y actuellement sur limmigration parti de cette histoire montée un peu en épingle des accommodements raisonnables ne doit pas déraper selon moi vers un repli identitaire. Je nai jamais vu un endroit comme à Montréal où les différentes communautés sintègrent aussi bien et respectent les autres. Jaimerais bien faire partie comme tous les autres immigrants du « nous », les Québécois et ne pas me faire dire après 30 ou 40 ans de vie ici (« tiens, vla la française) :maxpayne:

ça va faire bientôt 11 ans que je vis ici avec mon mari. On bâtit également le Québec daujourdhui au même titre que les autres. :rolleyes:

Je trouve que cest important de le mentionner, et encore plus sur un forum dimmigrants comme immigrer.com où on se sent totalement Québécois en prenant part aux divers sujets qui touchent le Québec.

Le jeudi 25 octobre 2007

Le «Nous» me tue

Rima Elkouri

La Presse

«Vous faites partie du «Eux» et pas du «Nous» «, m'a récemment écrit un lecteur, qui déplorait mon «manque de rigueur» et ma «propagande» en faveur des gens d'origine arabe, à la suite d'un article où je dénonçais pourtant les propos haineux et les manipulations de l'imam Jaziri. De la propagande? Ah bon.

«Des Québécois ont bâti le Québec pas vous», me dit un autre. «Tous les pays arabes sont en conflit La première chose que vous faites en arrivant, c'est de mettre la merde dans le pays.» Merci de m'écrire, monsieur. Mais j'arrive d'où au juste, pouvez-vous me le dire?

«Pourquoi êtes-vous venue au Québec?» me demande encore un autre lecteur, qui ne supporte pas que je puisse être critique envers ceux qui «m'ont généreusement accueillie». Pourquoi je suis venue au Québec? Bonne question. Je peux me tromper, mais je pense que c'est parce que j'y suis née.

D'autres, moins polis, se croient autorisés, galvanisés par cette commission Bouchard-Taylor qui enlève toute inhibition, à cracher toutes les niaiseries xénophobes qui leur passent par la tête.

À tous ces gens qui se portent à la sauvegarde d'une certaine idée du «Nous», je demande parfois combien de générations sont nécessaires avant qu'on cesse d'être considéré comme un étranger dans ce pays. Je leur demande parfois ce qu'il faut faire pour faire partie du «Nous», même si, à lire leurs propos, je ne suis pas sûre de vouloir en faire partie. Parce qu'il semble que même en étant née ici, francophone et catholique, ce ne soit pas suffisant. Je n'ose pas imaginer ce que ce doit être pour les autres qui font encore plus partie du «Eux» que moi.

Que faut-il faire pour avoir une place au sein du «Nous»? L'autre soir, j'ai fait un pudding chômeur avec beaucoup de sirop d'érable; est-ce que je gagne des points «AéroNous»? Je partage ma vie avec un Gaspésien souverainiste; y a-t-il des points bonis pour ça? Combien de générations avant qu'on ait le droit de donner son opinion sans être accusé d'ingratitude? Faudrait-il que Mme Marois ajoute une disposition dans son absurde projet de loi à l'intention des enfants et des petits-enfants d'immigrés afin de restreindre aussi leur droit de s'exprimer sur la place publique? Un coup partiLe «Nous» dont certains se réclament ces jours-ci me tue. Je le trouve lassant, maladroit, inutile. Et je ne parle pas que du «Nous» folklorique du conseiller de Hérouxville qui disait hier «Ils vont savoir qui nous sommes», en parlant d'un «Ils» aussi imaginaire que son «Nous». Ce «Nous» tient à rappeler qu'il ne tolère pas que les femmes soient lapidées et brûlées vives sur la place publique. Et les hommes brûlés vifs en privé, est-ce que c'est correct? Éclairez-moi, S.V.P., pour que je sache la conduite à adopter si l'occasion se présente.

Quand Hérouxville parle de «ce que nous sommes», il vaut sans doute mieux en rire. Mais quand c'est une politicienne chevronnée comme Pauline Marois qui veut se faire la nouvelle nounou du «Nous» inquiet, c'est plus troublant. Douze ans après le malheureux «Nous» de Parizeau, plus malheureux encore à mon sens que ses propos sur «l'argent et le vote ethnique», brandir aussi maladroitement un nouveau «Nous» démagogique qui laisse entendre que l'immigrant menace le visage français du Québec, alors qu'il n'en est rien, est pour le moins périlleux. Car en pensant créer un «Nous» nouveau, on recrée surtout un «Eux» qui, grâce à la loi 101, n'existe pourtant presque plus.

Il y a un truc que je trouvais quand même intéressant dans le projet de loi torpillé de Mme Marois. Un truc que presque personne n'a relevé qui concerne l'enseignement. Parce que ce qui menace le plus la survie de la langue française, vecteur essentiel de la culture, ce n'est pas tant l'immigration que la piètre qualité de la langue enseignée dans nos écoles. Dans certaines universités, trois étudiants sur quatre se destinant à l'enseignement ne réussissent pas un test de français pourtant assez simple. Il y a là un sérieux problème.

Afin de s'assurer que les enseignants possèdent une excellente maîtrise de la langue, le projet de loi sur l'identité de Mme Marois prévoit donc instituer un «examen national». «La réussite de cet examen sera nécessaire pour obtenir l'autorisation d'enseigner», dit-on. C'est une très bonne idée. Le hic, c'est que ça existe déjà. Le ministère de l'Éducation a annoncé ses intentions en ce sens en janvier. Une version-pilote de l'examen existe et devrait être utilisée cette année sur une base expérimentale dans les universités. Par la suite, l'épreuve sera instituée de façon définitive.

Bref, la seule proposition intéressante de ce projet de loi sur l'identité québécoise en est une qui est déjà mise en oeuvre. Qu'une ancienne ministre de l'Éducation, qui se défend pourtant d'avoir fait un travail «bâclé», ne l'ait pas remarqué avant de déposer son projet est pour le moins étonnant.

Il n'y a pas '' de Vous contre Nous'' en espace laique.Il n'y a que des ''Citoyens'' Tous égaux en droits sous le meme principe fondamental: L'egalité et la liberté d'opinion sans distinction de sexe, d'éthnie ni de religion.

C'est à cette valeur universelle que nous adhérons, à celle -ci qui garantit , liberté de convictions personnelles mais n'intègre ni les défis ni les oppositions communautaristes.

Nous disons NON haut et fort à toutes ces valeurs non'' universelles'' pronées par certains pour justifier leur combat.

Malheureusement ,on assiste depuis un certain temps à un dérapage grave qui vise ni plus ni moins qu' à détourner les principes intangibles de la laicité , afin de l'instrumentaliser et de l'utilser comme moyen d'exclusion.Pourtant la laicité( deux points sur le premier i) est une idée de civisme ; la liberté d'avoir une opinion ; un moyen permettant de vivre ensemble.

Nous combattons tous ceux qui portent atteinte aux valeurs nobles de la laicité . Nous combattons tous ceux qui la détournent de sa vocation et veulent en faire un fond de commerce et un moyen détourné pour arriver à leur fin.Nous combattons tous les amis du dogmatisme, de l'exclusion , de la ségrégation, de la discrimination : des théories raciales ...L'idée que nous avons de la laicité , n'intègre pas ces idéaux.Elle les exclut.

Il faut finir avec la détérioration et utilisation abusive du principe de la Laicité.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Habitués
et pi faut pas oublier que le mohamed a qui on donnait l'opportunité d'immigrer en france en 1970

était sélectionné rapport a la rugosité de ses mains le mohamed qui immigre au québec est MAJORITAIREMENT choisis rapport a ses capacités intellectuelles

en france il a fallu attendre la deuxieme voir la troisieme generation pour soulever le probleme du racime ici au moins ca ce fait dés le début et c'est tant mieux..

Crois tu que le choc que vous subissez actuellement sera par conséquent plus court ? moi je ne le crois pas !

deux peuples se découvrent , beaucoup de gens ont une peur innée face a l'inconnu , et cette peur se transforme en rejet systématique des autres notamment des étrangers et particulièrement ceux qui sont de plus en plus différent .

Le racisme a évolué en France avec chaque génération

la première (dites ouvrières) etait taxé de nom d'oiseau , et de moqueries plus débiles qu'autre chose a l'image du fameux "Maudit Français ! " cela etait malgré tout un racisme primaire et vraiment trés peu d'animosité hors mis part les pieds noirs qui c'étaient mettre dehors il y a peu et avait logiquement un peu de rancune .

la deuxième génération

Le racisme c'est développé quand il y a eu le "rapprochement familial" , les Français furent surpris de voir femme et enfants vivant au crochet de la société qui se prenait frontalement le choc pétrolier et donc une baisse de la qualité de vie importante , et l'ignorance ou la bétise a mis sur le dos des immigrés la raison de cette perte de qualité de vie .

Les enfants aussi sont responsables de cette deuxième animosité , les premiers "Né en France " ayant eus des parents ouvriers , manoeuvres sur les chantiers et une seule personne pour faire vivre une famille de 10 cela donnait pas de débouchés extraordinaire et un avenir tout rose , donc a commencé la Délinquance à grande echelle les bandes de cités et la police débordée . Ce qui engendra une trés forte poussé de l'extrème droite et des revendications politiques clairement racistes

La troisième génération a enfin des cartes en mains , seul problème beaucoup de diplômes supèrieurs , beaucoup de gens qualifiés et compétents mais parallèlement se développe une plus grande reconnaissance de la communauté religieuse , plus de mosquées donc , des villes donc le maire est musulman et par conséquent une mise en place identitaire qui différencie encore plus les deux parties conçernés ; le nombre de jeunes ayant trouvés refuge dans la religion est sans cesse croissant , d'ou le développement communautaire toujours aussi fort .

Les Arabes du Québéc devront certainement passé par différente étape , faire preuve d'une volonté incessante d'appartenir à la société Québécoise , des responsables politiques prenant en charges les besoins de tous les Québécois , ou bien un joueur de Hockey extraordinaire , et encore un défenseur de la langue Française seront des figures de proues pour faire tomber tous les préjugés , ou simplement puisque nous sommes aussi en Amérique du nord , une réussite industrielle monumentale , un gars qui monterai une multinationale Québécoise et tirerai derrière lui beaucoup de fierté et d'admiration , bref beaucoup d'exemple et de repaire pour les gens qui ont peur .

Et puis le 24 juin faut shabiller en bleu et blanc , un drapeau sur la maison ou au fenêtres , je crois que les québécois changeront majoritaiement davis tôt ou tard .

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

  • En ligne récemment   0 membre est en ligne

    • Aucun utilisateur enregistré regarde cette page.


×
×
  • Créer...
Ouvrir un compte bancaire avant mon départ
© 2024 immigrer.com

Advertisement