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La violence dans les écoles


Invité

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http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2010/05/12/002-ecole-violence-fae.shtml

Voici les faits...

La violence est devenue le pain quotidien dans les écoles primaires et secondaires dans "le monde civilisé", par là j'entends l'Europe, l'Amérique du Nord...

Les méthodes dites barbares jadis utilisées pour ramener les discipuli à l'ordre ont été déclassées au nom de tous les genres de droit de la personne que les adolescents ne cessent de brandir comme menace à quiconque oserait les punir.

L'inverse n'est malheureusement puni à cause de la loi de la nature qui voudrait qualifier d'immature les enfants d'un certain qui pourtant posent des actes qui à nos yeux peuvent sembler plus réfléchis qu'on ne le croit. Les spécialistes du comportement ont tot fait de remarquer que c'est la société qui en est la cause, un monde où est exaltée la violence et un monde dans lequel la recherche de la paix est taxée de lacheté.

Jusqu'où irons-nous?

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  • Habitués

Oui, au niveau Collège (à partir de la 6°) il y a de violence scolaire mais avant, au niveau primaire, je parle bien sûr de la France, les petits n'osent jamais rien devant leur prof.

Je suis choquée par cet article.

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C'est pourtant le monde entier qui dénonce une situation devenue un fléau et qui nécessite une intervention plus déterminée et plus costaude. Malheureusement les législateurs ont "les mains liées" par des conventions internationales qui protègent les enfants et leurs droits. Mais ça ne choque personne que les enseignants se sentent limités dans leur devoir parce que mis à mal par leurs propres élèves qu'ils ne peuvent contenir.

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  • Habitués

Si des petits se comportent ainsi c'est que il y a des problèmes en amont avec les parents qui doivent être violents avec ces derniers.

Les pouvoirs publics ne peuvent fermer les yeux sur cette violence émanent de très jeunes enfants.

Évidemment, ce n'est pas aux enseignants de recadrer ces enfants mais les pouvoirs publics quand il y a défection des parents.

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C'est les valeurs sociétales en général qu'il faut questionner puisque les valeurs tant chéries hier sont aujourd'hui remises en question, ainsi, tout le monde s'adapte à la nouvelle donne. N'oublions pas que les enfants sont le reflet typique de la société d'autant plus que leur age est celui d el'apprentissage et ils jugent pour correct tout ce que la société choisit de les faire voir.

Auparavent, on choisissait les scènes à présenter aux adolescents dans une projection; de nos jours, c'est l'enfant qui doit regarder et faire un choix...

Méthode active oblige....

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  • Habitués

Si des petits se comportent ainsi c'est que il y a des problèmes en amont avec les parents qui doivent être violents avec ces derniers.

Les pouvoirs publics ne peuvent fermer les yeux sur cette violence émanent de très jeunes enfants.

Évidemment, ce n'est pas aux enseignants de recadrer ces enfants mais les pouvoirs publics quand il y a défection des parents.

Dans notre commission scolaire, on a dû installer des caméras dans les autobus scolaires. Pour les parents qui refusaient de croire que leurs garnements sont violents envers les chauffeurs et les autres jeunes et refusaient de sévir. Une partie du problème vient de là.

Mais l'autre partie vient aussi des écoles qui ne font pas le nécessaire pour faire accepter la tolérance zéro.

Exemple: je reçois une lettre à la maison qui me dit que mon fils aurait joint un groupe facebook qui dénigre un prof! J'appelle l'école pour en savoir plus: de quel prof on parle, quel est le nom du groupe, etc. Je parle trois fois à une boîte vocale (personne ne me rappelle), et quand je finis par parler à des humains, je parle successivement à trois personnes qui n'ont aucune idée de quoi je parle!

Pour une école qui emploie 500 personnes pour encadrer 1800 élèves, il faut être désorganisés en maudit quand personne ne peut te dire de quoi l'école se plaint exactement. C,est là qu'on est rendus: trop de monde dans les écoles mais apparemment pas à la bonne place.

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  • Habitués

On ne peut pas figer des valeurs dans le temps, il y a évolution. Cela est nécessaire et même vitale pour le bien vivre en société.

Quand il y a des distorsions pareilles, les institutions doivent prendre en charge les déviances. Et bien sûr, je le répète ce n'est pas à l'enseignant d'éduquer l'enfant, son rôle se limite à la transmission de savoir et à la limite à celle de la valeur et de la culture de la société.

Tant que personne n'assume ses responsabilités et que l'on se renvoie la balle, les enseignants vont continuer de subir ce triste état de fait.

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  • Habitués

Si des petits se comportent ainsi c'est que il y a des problèmes en amont avec les parents qui doivent être violents avec ces derniers.

Les pouvoirs publics ne peuvent fermer les yeux sur cette violence émanent de très jeunes enfants.

Évidemment, ce n'est pas aux enseignants de recadrer ces enfants mais les pouvoirs publics quand il y a défection des parents.

Dans notre commission scolaire, on a dû installer des caméras dans les autobus scolaires. Pour les parents qui refusaient de croire que leurs garnements sont violents envers les chauffeurs et les autres jeunes et refusaient de sévir. Une partie du problème vient de là.

Mais l'autre partie vient aussi des écoles qui ne font pas le nécessaire pour faire accepter la tolérance zéro.

Exemple: je reçois une lettre à la maison qui me dit que mon fils aurait joint un groupe facebook qui dénigre un prof! J'appelle l'école pour en savoir plus: de quel prof on parle, quel est le nom du groupe, etc. Je parle trois fois à une boîte vocale (personne ne me rappelle), et quand je finis par parler à des humains, je parle successivement à trois personnes qui n'ont aucune idée de quoi je parle!

Pour une école qui emploie 500 personnes pour encadrer 1800 élèves, il faut être désorganisés en maudit quand personne ne peut te dire de quoi l'école se plaint exactement. C,est là qu'on est rendus: trop de monde dans les écoles mais apparemment pas à la bonne place.

Quand je te lis, je me dis qu'en France on se dirige vers ce modèle mais je le répète au primaire, les enfants sont encore sensibles à la bonne entente avec leur enseignant. Les choses se gâtent dès la 6° et comme chez toi, il y a de la désorganisation au sein de l'équipe scolaire (administration + pédagogique).

Heureusement que ma matière n'est enseignée qu'à partir du lycée car je compatis sincèrement avec les profs du niveau intermédiaire.

Malgré tout, jamais je ne pourrais enseigner en France avec les différents climats d'intolérances entre les différents publics de l'école.

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Si des petits se comportent ainsi c'est que il y a des problèmes en amont avec les parents qui doivent être violents avec ces derniers.

Les pouvoirs publics ne peuvent fermer les yeux sur cette violence émanent de très jeunes enfants.

Évidemment, ce n'est pas aux enseignants de recadrer ces enfants mais les pouvoirs publics quand il y a défection des parents.

Dans notre commission scolaire, on a dû installer des caméras dans les autobus scolaires. Pour les parents qui refusaient de croire que leurs garnements sont violents envers les chauffeurs et les autres jeunes et refusaient de sévir. Une partie du problème vient de là.

Mais l'autre partie vient aussi des écoles qui ne font pas le nécessaire pour faire accepter la tolérance zéro.

Exemple: je reçois une lettre à la maison qui me dit que mon fils aurait joint un groupe facebook qui dénigre un prof! J'appelle l'école pour en savoir plus: de quel prof on parle, quel est le nom du groupe, etc. Je parle trois fois à une boîte vocale (personne ne me rappelle), et quand je finis par parler à des humains, je parle successivement à trois personnes qui n'ont aucune idée de quoi je parle!

Pour une école qui emploie 500 personnes pour encadrer 1800 élèves, il faut être désorganisés en maudit quand personne ne peut te dire de quoi l'école se plaint exactement. C,est là qu'on est rendus: trop de monde dans les écoles mais apparemment pas à la bonne place.

Quand je te lis, je me dis qu'en France on se dirige vers ce modèle mais je le répète au primaire, les enfants sont encore sensibles à la bonne entente avec leur enseignant. Les choses se gâtent dès la 6° et comme chez toi, il y a de la désorganisation au sein de l'équipe scolaire (administration + pédagogique).

Heureusement que ma matière n'est enseignée qu'à partir du lycée car je compatis sincèrement avec les profs du niveau intermédiaire.

Malgré tout, jamais je ne pourrais enseigner en France avec les différents climats d'intolérances entre les différents publics de l'école.

Les lycées ne sont pas à l'abri de ce fléau. Il existe aussi un autre type de délinquence qui touche les jeunes sortent à peine de l'adolescence. Celle-là n'est pas des moindres meme si les élèves à cet age-là peuvent répondre de leurs actes.

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  • Habitués

Si des petits se comportent ainsi c'est que il y a des problèmes en amont avec les parents qui doivent être violents avec ces derniers.

Les pouvoirs publics ne peuvent fermer les yeux sur cette violence émanent de très jeunes enfants.

Évidemment, ce n'est pas aux enseignants de recadrer ces enfants mais les pouvoirs publics quand il y a défection des parents.

Dans notre commission scolaire, on a dû installer des caméras dans les autobus scolaires. Pour les parents qui refusaient de croire que leurs garnements sont violents envers les chauffeurs et les autres jeunes et refusaient de sévir. Une partie du problème vient de là.

Mais l'autre partie vient aussi des écoles qui ne font pas le nécessaire pour faire accepter la tolérance zéro.

Exemple: je reçois une lettre à la maison qui me dit que mon fils aurait joint un groupe facebook qui dénigre un prof! J'appelle l'école pour en savoir plus: de quel prof on parle, quel est le nom du groupe, etc. Je parle trois fois à une boîte vocale (personne ne me rappelle), et quand je finis par parler à des humains, je parle successivement à trois personnes qui n'ont aucune idée de quoi je parle!

Pour une école qui emploie 500 personnes pour encadrer 1800 élèves, il faut être désorganisés en maudit quand personne ne peut te dire de quoi l'école se plaint exactement. C,est là qu'on est rendus: trop de monde dans les écoles mais apparemment pas à la bonne place.

Quand je te lis, je me dis qu'en France on se dirige vers ce modèle mais je le répète au primaire, les enfants sont encore sensibles à la bonne entente avec leur enseignant. Les choses se gâtent dès la 6° et comme chez toi, il y a de la désorganisation au sein de l'équipe scolaire (administration + pédagogique).

Heureusement que ma matière n'est enseignée qu'à partir du lycée car je compatis sincèrement avec les profs du niveau intermédiaire.

Malgré tout, jamais je ne pourrais enseigner en France avec les différents climats d'intolérances entre les différents publics de l'école.

Les lycées ne sont pas à l'abri de ce fléau. Il existe aussi un autre type de délinquence qui touche les jeunes sortent à peine de l'adolescence. Celle-là n'est pas des moindres meme si les élèves à cet age-là peuvent répondre de leurs actes.

Mais la majorité des lycéens visent le Bac et cela refroidit bien des ardeurs aux vélléites des jeunes de tout casser.

Je parle, je parle, j'ai un ami fraîchement promu prof et cela l'a refroidit quand à son enthousiasme de rejoindre la profession. Quand je le vois, lui ou certain(es) autres dans le même cas, je me félicite d'avoir brillamment échoué 2 fois aux concours. :B)

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  • Habitués

Oui, au niveau Collège (à partir de la 6°) il y a de violence scolaire mais avant, au niveau primaire, je parle bien sûr de la France, les petits n'osent jamais rien devant leur prof.

Je suis choquée par cet article.

Notre fils ainé souffre d'un handicap, la dysphasie qui est un trouble grave de l'apprentissage de la communication orale. Résultat, à 4 ans, il ne parlait toujours pas de façon intelligible.

Lors de sa première année à l'école, il revenait régulièrement avec une joue rouge. Un jour, il revient avec le visage tuméfié et un mot de son enseignante expliquant que 5 minutes après la fin de la récréation, elle s'est apperçu qu'il manquait 4 élèves en classe (pas vite vite...). 3 enfants étaient en train de battre notre fils tranquilement dans la cours de récréation.

Cela se passait en maternelle, en france...

Bien sur, l'académie nous a assuré que nous exagérions grandement les choses et qu'il n'y avait pas de quoi en faire un plat.

Depuis 4 ans au Québec : 0 problème...

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  • Habitués

Quand je te lis, je me dis qu'en France on se dirige vers ce modèle mais je le répète au primaire, les enfants sont encore sensibles à la bonne entente avec leur enseignant. Les choses se gâtent dès la 6° et comme chez toi, il y a de la désorganisation au sein de l'équipe scolaire (administration + pédagogique).

Heureusement que ma matière n'est enseignée qu'à partir du lycée car je compatis sincèrement avec les profs du niveau intermédiaire.

Malgré tout, jamais je ne pourrais enseigner en France avec les différents climats d'intolérances entre les différents publics de l'école.

Généralisation bien excessive !

Comme indiqué dans mon message précédent et comme tu le dis, le problème n'existe pas puisque les académies refusent de les voir. Pratique et facile...

Tu me diras que mon exemple ne traite pas du primaire mais de la maternelle :innocent:

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  • Habitués

Le probleme est à deux niveaux:

- Direction des ecoles vis à la vis de la comission scolaire qui ne veut pas appeler la police de peur d'avoir mauvaise presse et de voir son nombre d'élèves baissés et par consequent risquer la fusion avec une autre entitée (planter un ciseau dans le coeur, c'est une menace de mort ou les parents sont juridiquement responsables)

- Parents qui n'elevent pas leurs enfants. les debordements peuvent toujours exister mais si le parent n'est pas la pour le recadrer, c'est trop tard.

L'ecole n'est pas lieu de non droit. Je vois des enfants avoir des comportements violents a l'ecole de mes enfants. Comme par hasard, il s'agit toujours des memes. Si un de mes enfants en était victime, l'ordre serait directeur de l'ecole et si il ne fait rien police.

C'est peut etre ecraser un moustique avec un trente tonne mais la dissuasion est une méthode éprouvée.

Modifié par Benoit6ft6
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  • Habitués

Quand je te lis, je me dis qu'en France on se dirige vers ce modèle mais je le répète au primaire, les enfants sont encore sensibles à la bonne entente avec leur enseignant. Les choses se gâtent dès la 6° et comme chez toi, il y a de la désorganisation au sein de l'équipe scolaire (administration + pédagogique).

Heureusement que ma matière n'est enseignée qu'à partir du lycée car je compatis sincèrement avec les profs du niveau intermédiaire.

Malgré tout, jamais je ne pourrais enseigner en France avec les différents climats d'intolérances entre les différents publics de l'école.

Généralisation bien excessive !

Comme indiqué dans mon message précédent et comme tu le dis, le problème n'existe pas puisque les académies refusent de les voir. Pratique et facile...

Tu me diras que mon exemple ne traite pas du primaire mais de la maternelle :innocent:

C'est vrai qu'ici la violence n'est pas banalisée. On en parle beaucoup (même que parfois on trouve ça exagéré). Quant à savoir s'ils prennent les mesures nécessaires, je ne suis pas trop sûre. La tournée de Jasmin dans les écoles pour contrer l'homophobie (un des motifs de violence) est assez significative.

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  • Habitués

Ca me fait penser à un truc: l'autre jour mon fils se plaignait qu'un enfant le chahutait et il ne voulait pas repondre de peur d'avoir une punition. et il me repond "au moins en France on avait le droit de se bagarrer" et je lui ai demandé si il trouvait ca normal ? il me repond non, que finalement c'est mieux ici.

Lan dernier, il a eu un cas comme ca, on a ecrit une lettre et ca a ete regle.

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  • Habitués

Guinness

Bouclette

Oui, au niveau Collège (à partir de la 6°) il y a de violence scolaire mais avant,

au niveau primaire, je parle bien sûr de la France, les petits n'osent jamais

rien devant leur prof. Je suis choquée par cet article.

Notre fils ainé souffre d'un handicap, la dysphasie qui est un trouble grave de l'apprentissage de la communication orale. Résultat, à 4 ans, il ne parlait toujours pas de façon intelligible.

Lors de sa première année à l'école, il revenait régulièrement avec une joue rouge.

Un jour, il revient avec le visage tuméfié et un mot de son enseignante expliquant

que 5 minutes après la fin de la récréation, elle s'est apperçu qu'il manquait 4 élèves

en classe (pas vite vite...). 3 enfants étaient en train de battre notre fils

tranquilement dans la cours de récréation. Cela se passait en maternelle, en france...

Bien sur, l'académie nous a assuré que nous exagérions grandement les choses et

qu'il n'y avait pas de quoi en faire un plat.

Depuis 4 ans au Québec : 0 problème...

Encore une fois Bouclette est complètement à coté de la plaque et

parle à travers son chapeau..:rolleyes:

Elle en fait une habitude... malheureusement !!!

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Quand je te lis, je me dis qu'en France on se dirige vers ce modèle mais je le répète au primaire, les enfants sont encore sensibles à la bonne entente avec leur enseignant. Les choses se gâtent dès la 6° et comme chez toi, il y a de la désorganisation au sein de l'équipe scolaire (administration + pédagogique).

Heureusement que ma matière n'est enseignée qu'à partir du lycée car je compatis sincèrement avec les profs du niveau intermédiaire.

Malgré tout, jamais je ne pourrais enseigner en France avec les différents climats d'intolérances entre les différents publics de l'école.

Généralisation bien excessive !

Comme indiqué dans mon message précédent et comme tu le dis, le problème n'existe pas puisque les académies refusent de les voir. Pratique et facile...

Tu me diras que mon exemple ne traite pas du primaire mais de la maternelle innocent.gif

C'est vrai qu'ici la violence n'est pas banalisée. On en parle beaucoup (même que parfois on trouve ça exagéré). Quant à savoir s'ils prennent les mesures nécessaires, je ne suis pas trop sûre. La tournée de Jasmin dans les écoles pour contrer l'homophobie (un des motifs de violence) est assez significative.

Le cas du Québec peut avoir une portée assez limitée mais je crois surtout que les écoles craignent une mauvaise publicité mais ne font rien sur le plan interne pour contenir le mal; En plus les parents devraient etre impliqués dans les décisions que les écoles prendraient , question de relayer les consignes à domicile.

Modifié par jem22
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