Habitués Sarkos Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Les enfants de familles asiatiques qui commencent leur cours au Canada réussissent très bien, mieux en fait que les Canadiens d'origine. Mais la performance de ceux qui arrivent ici adolescents est fort différente. En fait c'est la catastrophe. Voici une étude faite en Colombie-Britannique qui montre tout l'ampleur de l'échec. On relate par exemple l,histoire d'une jeune Philippine qui étudiait à l'université à Manille et qui s'est retrouvé en 10e année. Elle a finalement abandonné pourle McDohttp://www.straight.com/nanny-program-forc...-families-apart Citer
Invité Posté(e) 2 juillet 2009 Posté(e) 2 juillet 2009 Les enfants de familles asiatiques qui commencent leur cours au Canada réussissent très bien, mieux en fait que les Canadiens d'origine. Mais la performance de ceux qui arrivent ici adolescents est fort différente. En fait c'est la catastrophe. Voici une étude faite en Colombie-Britannique qui montre tout l'ampleur de l'échec. On relate par exemple l,histoire d'une jeune Philippine qui étudiait à l'université à Manille et qui s'est retrouvé en 10e année. Elle a finalement abandonné pourle McDohttp://www.straight.com/nanny-program-forc...-families-apartOn t'écoutes Professeur , quel est on point de vue perso???? Citer
Habitués Sarkos Posté(e) 2 juillet 2009 Auteur Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Les enfants de familles asiatiques qui commencent leur cours au Canada réussissent très bien, mieux en fait que les Canadiens d'origine. Mais la performance de ceux qui arrivent ici adolescents est fort différente. En fait c'est la catastrophe. Voici une étude faite en Colombie-Britannique qui montre tout l'ampleur de l'échec. On relate par exemple l,histoire d'une jeune Philippine qui étudiait à l'université à Manille et qui s'est retrouvé en 10e année. Elle a finalement abandonné pourle McDohttp://www.straight.com/nanny-program-forc...-families-apartOn t'écoutes Professeur , quel est on point de vue perso????1) méconnaissance de l'anglais (ou du français au Québec puisque c'est pareil ici, le taux de décrochage étant très élevé dans les écoles ethniques de Montréal)2) différence considérable dans la formation de base3) choc culturel Citer
Invité Posté(e) 2 juillet 2009 Posté(e) 2 juillet 2009 Les enfants de familles asiatiques qui commencent leur cours au Canada réussissent très bien, mieux en fait que les Canadiens d'origine. Mais la performance de ceux qui arrivent ici adolescents est fort différente. En fait c'est la catastrophe. Voici une étude faite en Colombie-Britannique qui montre tout l'ampleur de l'échec. On relate par exemple l,histoire d'une jeune Philippine qui étudiait à l'université à Manille et qui s'est retrouvé en 10e année. Elle a finalement abandonné pourle McDohttp://www.straight.com/nanny-program-forc...-families-apartOn t'écoutes Professeur , quel est on point de vue perso????1) méconnaissance de l'anglais (ou du français au Québec puisque c'est pareil ici, le taux de décrochage étant très élevé dans les écoles ethniques de Montréal)2) différence considérable dans la formation de base3) choc culturelD'accord , pourquoi alors on ne met pas les moyens nécessaires pour éviter à ces jeunes de rater leurs études notamment des cours de soutien en Anglais ou Français Obligatoire dès leur arrivée sur le Térritoire Canadien , et selon moi ça devrait meme etre signé entre les parents et les autorités consulaires avant l'obtention du Visa.Parceque de toute façon , ces jeunes restent après sur le territoire donc c'est plus intelligent de les aider à reussir leurs études que de les abandonner. Citer
Habitués Tinavire Posté(e) 2 juillet 2009 Habitués Posté(e) 2 juillet 2009 Les enfants de familles asiatiques qui commencent leur cours au Canada réussissent très bien, mieux en fait que les Canadiens d'origine. Mais la performance de ceux qui arrivent ici adolescents est fort différente. En fait c'est la catastrophe. Voici une étude faite en Colombie-Britannique qui montre tout l'ampleur de l'échec. On relate par exemple l,histoire d'une jeune Philippine qui étudiait à l'université à Manille et qui s'est retrouvé en 10e année. Elle a finalement abandonné pourle McDohttp://www.straight.com/nanny-program-forc...-families-apartOn t'écoutes Professeur , quel est on point de vue perso????1) méconnaissance de l'anglais (ou du français au Québec puisque c'est pareil ici, le taux de décrochage étant très élevé dans les écoles ethniques de Montréal)2) différence considérable dans la formation de base3) choc culturelBons points (culture surtout, aux antipodes...)De toutes les communautés (de mon point de vue), et partout dans le monde, ce sont celles qui se "fondent" le plus dans la masse mais qui sont le moins "intégrées" (en général)...Ou qui pratiquent le plus le regroupement familial pour continuer de faire leurs affaires en famille. L'avantage, c'est que la cooptation fonctionne à plein régime et que la solidarité est de mise permanente.S'il y a réussite, c'est surtout pour la 2eme génération et à condition que le "jeune" en ait manifesté une grande volonté en sortant le plus possible de la sphère d'influence familiale... Citer
Habitués lilie356 Posté(e) 3 juillet 2009 Habitués Posté(e) 3 juillet 2009 Heureusement que chaque jour je vois bien des cas différents qui prouvent que d'autres choses sont possibles.... 90% de nos étudiants sont asiatiques et culminent en haut du tableau tant par leurs notes, leur participation et leur volonté de communiquer (on voit svt que c'est difficile pour eux, certes, car cela les oblige à mettre de côté certains aspects de leur culture). Travailleurs, avides d'apprendre et de connaître leurs camarades qui viennent des autres cultures. Leurs enfants parlent le français très vite et s'intègrent plus vite qu'eux, ils se font même reprendre à la maison quand ils font une faute à l'oral. Ça fait plaisir à voir et c'est motivant de travailler avec des gens qui connaissant la valeur du travail et qui malgré leur statut de notaires, avocats, cardiologues et chirurgiens, acceptent le défi et se fixent des objectifs.Un exemple d'une jeune fille ne reflète pas 100% des immigrants. Qui sait si cette jeune fille dans 5 ans ne va pas reprendre ses études et réussir à concrétiser son projet?Cela fait deux ans que je travaille avec des immigrants non francophones, dont le premier objectif est de parler français pour mener à bien leurs projets. Ils sont réalistes, desfois découragés mais ne se laissent pas abattre.Ça me donne foi en l'intégration et à la réussite chaque jour. Le sentiment de réussite c'est quand on croise un ancien étudiant qui nous dit qu'il a terminé son certificat français langue seconde, qu'il en démarre un en anglais, ou dans une autre discipline ou qu'il a trouvé du travail dans sa branche...Ces gens-là ne sont pas des cas isolés desquels on parle dans les journaux. Ce sont 40 étudiants que je vois à chaque sessions, à chaque fois différents. Ceux-là on n'en parle pas, pas assez intéressants pour se gargariser à coup de "ils ne s'intègrent pas".Bah vous savez quoi? je trouve cela dommage. Citer
From BC Posté(e) 3 juillet 2009 Posté(e) 3 juillet 2009 1) méconnaissance de l'anglais (ou du français au Québec puisque c'est pareil ici, le taux de décrochage étant très élevé dans les écoles ethniques de Montréal)Aux Philippines, l'anglais est enseigné dès la première année d'école en maternelle en parallèle avec le Tagalog. Leur système éducatif est calqué sur le système USA, dernier pays colonisateur.L'anglais est également la langue utilisée dans le monde du travail, même entre Philippins.Grande présence de l'anglais aussi dans les médias. Citer
From BC Posté(e) 3 juillet 2009 Posté(e) 3 juillet 2009 Bons points (culture surtout, aux antipodes...)Aux antipodes, tu es sûr ? Permets moi d'avoir de gros doutes. Citer
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