Laurent Posté(e) 17 avril 2009 Posté(e) 17 avril 2009 CitoyennetéLes nouveaux CanadiensMise à jour le vendredi 17 avril 2009 à 14 h 13Le nombre de citoyens canadiens fait un bond, vendredi, avec l'entrée en vigueur d'un amendement à la Loi sur la citoyenneté canadienne. La loi C-37 redonne ce statut à un nombre indéterminé de personnes qui l'avaient perdu au fil des années et l'accorde à d'autres pour une première fois.Des milliers de personnes seraient concernées par ces nouvelles dispositions. Elles se répartissent dans quatre catégories, soit: * les personnes naturalisées au Canada qui ont vécu par la suite à l'étranger pendant plus de dix ans avant 1967; * les personnes nées à l'étranger d'un parent canadien avant l'entrée en vigueur de l'actuelle Loi sur la citoyenneté le 15 février 1977; * les personnes qui ont perdu leur citoyenneté entre le 1er janvier 1947 et le 14 février 1977 parce qu'elles-mêmes ou un de leurs parents ont acquis la nationalité ou la citoyenneté d'un autre pays; * les Canadiens de deuxième génération et des générations suivantes nés à l'étranger après l'entrée en vigueur de l'actuelle LSC le 15 février 1977.La loi C-37 a donc pour effet d'accorder la citoyenneté à une personne née à l'étranger de parents canadiens. Cette disposition s'applique aussi aux enfants adoptés par des Canadiens vivant à l'étranger.Cette transmission de la citoyenneté par filiation s'arrête toutefois dès la deuxième génération. Une personne née à l'étranger de parents canadiens est ainsi canadienne, mais son fils ou sa fille également nés à l'étranger ne profiteront pas du même privilège.« L'exclusion affectera seulement les enfants qui sont nés à l'étranger de parents canadiens qui sont tous deux nés à l'étranger. Je crois que c'est un nombre relativement faible de personnes », a fait valoir le ministre de l'Immigration du Canada, Jason Kenney. « Il doit y avoir des limites. [...] La citoyenneté n'est pas un droit pour tout le monde. C'est un privilège. »Les Canadiens qui ont été dépossédés de leur citoyenneté la retrouveront de façon rétroactive à la date où ils l'ont perdue. Ceux qui ne l'ont jamais eue mais qui y ont maintenant droit la récupéreront rétroactivement à leur date de naissance.La loi C-37 ne s'applique pas dans les cas où une personne a renoncé à sa citoyenneté, où la citoyenneté a été révoquée en raison de fausse déclaration, de fraude ou de dissimulation de faits importants ou essentiels.L'origine politique de la loi remonte à l'été 2006, lorsque le gouvernement a déboursé quelque 90 millions de dollars pour rapatrier 15 000 Libano-Canadiens. Plusieurs d'entre eux y sont rapidement retournés, entraînant un débat sur le recours à la citoyenneté comme filet de sécurité.http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Natio...te_canada.shtml Citer
Invité Posté(e) 18 avril 2009 Posté(e) 18 avril 2009 CitoyennetéLes nouveaux CanadiensMise à jour le vendredi 17 avril 2009 à 14 h 13Le nombre de citoyens canadiens fait un bond, vendredi, avec l'entrée en vigueur d'un amendement à la Loi sur la citoyenneté canadienne. La loi C-37 redonne ce statut à un nombre indéterminé de personnes qui l'avaient perdu au fil des années et l'accorde à d'autres pour une première fois.Des milliers de personnes seraient concernées par ces nouvelles dispositions. Elles se répartissent dans quatre catégories, soit: * les personnes naturalisées au Canada qui ont vécu par la suite à l'étranger pendant plus de dix ans avant 1967; * les personnes nées à l'étranger d'un parent canadien avant l'entrée en vigueur de l'actuelle Loi sur la citoyenneté le 15 février 1977; * les personnes qui ont perdu leur citoyenneté entre le 1er janvier 1947 et le 14 février 1977 parce qu'elles-mêmes ou un de leurs parents ont acquis la nationalité ou la citoyenneté d'un autre pays; * les Canadiens de deuxième génération et des générations suivantes nés à l'étranger après l'entrée en vigueur de l'actuelle LSC le 15 février 1977.La loi C-37 a donc pour effet d'accorder la citoyenneté à une personne née à l'étranger de parents canadiens. Cette disposition s'applique aussi aux enfants adoptés par des Canadiens vivant à l'étranger.Cette transmission de la citoyenneté par filiation s'arrête toutefois dès la deuxième génération. Une personne née à l'étranger de parents canadiens est ainsi canadienne, mais son fils ou sa fille également nés à l'étranger ne profiteront pas du même privilège.« L'exclusion affectera seulement les enfants qui sont nés à l'étranger de parents canadiens qui sont tous deux nés à l'étranger. Je crois que c'est un nombre relativement faible de personnes », a fait valoir le ministre de l'Immigration du Canada, Jason Kenney. « Il doit y avoir des limites. [...] La citoyenneté n'est pas un droit pour tout le monde. C'est un privilège. »Les Canadiens qui ont été dépossédés de leur citoyenneté la retrouveront de façon rétroactive à la date où ils l'ont perdue. Ceux qui ne l'ont jamais eue mais qui y ont maintenant droit la récupéreront rétroactivement à leur date de naissance.La loi C-37 ne s'applique pas dans les cas où une personne a renoncé à sa citoyenneté, où la citoyenneté a été révoquée en raison de fausse déclaration, de fraude ou de dissimulation de faits importants ou essentiels.L'origine politique de la loi remonte à l'été 2006, lorsque le gouvernement a déboursé quelque 90 millions de dollars pour rapatrier 15 000 Libano-Canadiens. Plusieurs d'entre eux y sont rapidement retournés, entraînant un débat sur le recours à la citoyenneté comme filet de sécurité.http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Natio...te_canada.shtmlC'est une amélioration mais ce n'est pas un gros char Citer
Nikoko Posté(e) 13 mai 2009 Posté(e) 13 mai 2009 CitoyennetéLes nouveaux CanadiensMise à jour le vendredi 17 avril 2009 à 14 h 13Le nombre de citoyens canadiens fait un bond, vendredi, avec l'entrée en vigueur d'un amendement à la Loi sur la citoyenneté canadienne. La loi C-37 redonne ce statut à un nombre indéterminé de personnes qui l'avaient perdu au fil des années et l'accorde à d'autres pour une première fois.Des milliers de personnes seraient concernées par ces nouvelles dispositions. Elles se répartissent dans quatre catégories, soit: * les personnes naturalisées au Canada qui ont vécu par la suite à l'étranger pendant plus de dix ans avant 1967; * les personnes nées à l'étranger d'un parent canadien avant l'entrée en vigueur de l'actuelle Loi sur la citoyenneté le 15 février 1977; * les personnes qui ont perdu leur citoyenneté entre le 1er janvier 1947 et le 14 février 1977 parce qu'elles-mêmes ou un de leurs parents ont acquis la nationalité ou la citoyenneté d'un autre pays; * les Canadiens de deuxième génération et des générations suivantes nés à l'étranger après l'entrée en vigueur de l'actuelle LSC le 15 février 1977.La loi C-37 a donc pour effet d'accorder la citoyenneté à une personne née à l'étranger de parents canadiens. Cette disposition s'applique aussi aux enfants adoptés par des Canadiens vivant à l'étranger.Cette transmission de la citoyenneté par filiation s'arrête toutefois dès la deuxième génération. Une personne née à l'étranger de parents canadiens est ainsi canadienne, mais son fils ou sa fille également nés à l'étranger ne profiteront pas du même privilège.« L'exclusion affectera seulement les enfants qui sont nés à l'étranger de parents canadiens qui sont tous deux nés à l'étranger. Je crois que c'est un nombre relativement faible de personnes », a fait valoir le ministre de l'Immigration du Canada, Jason Kenney. « Il doit y avoir des limites. [...] La citoyenneté n'est pas un droit pour tout le monde. C'est un privilège. »Les Canadiens qui ont été dépossédés de leur citoyenneté la retrouveront de façon rétroactive à la date où ils l'ont perdue. Ceux qui ne l'ont jamais eue mais qui y ont maintenant droit la récupéreront rétroactivement à leur date de naissance.La loi C-37 ne s'applique pas dans les cas où une personne a renoncé à sa citoyenneté, où la citoyenneté a été révoquée en raison de fausse déclaration, de fraude ou de dissimulation de faits importants ou essentiels.L'origine politique de la loi remonte à l'été 2006, lorsque le gouvernement a déboursé quelque 90 millions de dollars pour rapatrier 15 000 Libano-Canadiens. Plusieurs d'entre eux y sont rapidement retournés, entraînant un débat sur le recours à la citoyenneté comme filet de sécurité.http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Natio...te_canada.shtmlC'est une amélioration mais ce n'est pas un gros charJe suis peut être concerné mais il ne faut pas que je m'emballe !Voir: A bientôt Citer
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