Habitués _Guépard_ Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 (modifié) Moi ce que je constate c'est que mimibob en est à son premier message, et qu'il se tire en refusant de participer au débat... Il donne l'impression d'avoir inventer ce post. Il y a plein d'immigrants qui travaillent dans des entreprises québécoises donc ça contredit les faussetés de mimibob. mimibob doit bien se moquer de nous maintenant. Modifié 7 avril 2009 par _Guépard_ Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 J'ai travaillé comme preposé au entretien ménager .VOILÀÀÀÀÀÀÀÀÀ. Tu n'as pas eu peur de retrousser tes manches, d'accepter un boulot qui n'est pas dans ton domaine et sur lequel d'autres lèvent le nez, bref une jobine AUSSI ça peut faire la différence pour un employeur ! Il voit que tu es "vaillant" comme on dit ici...et ça c'est un gros atout ! Citer
Habitués kabi Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 Bonjour, Certes que c'est frustrant de se voir former par un diplôme Québécois et se trouver toujours en chômage au Québec malgré plusieurs tentatives. Cette frustration est compréhensible beaucoup plus que immigrer nécessite des tas de sacrifices, nous n'allons pas nous étaler là-dessus. Néanmoins certains points subsistent, pour expliquer les choses et proposer la meilleure solution à ce dilemme. Certains des forumistes ont soulevé le fait de se remettre en question soit-même d'autre de revoir sa façon de faire, d'autre encore ont confirmé l'existence d'une sorte de «mettre de coté» la candidature de votre mari alors que d'autres l'ont nié.Tout d'abord nous ne savons pas comment votre mari a procédé, et qu'elle a été sa façon de faire. Car à part confectionner un CV et une Lettre de motivation il y a aussi la manière de faire, comme certains l'ont soulevé. De ce fait nous ne pouvons pas juger sur LA MANIÈRE si elle est bonne ou mauvaise, car il se peut aussi qu'il a suivi méticuleusement les conseils de ses innombrables CLE et organisme d'aide en emploi. On ne le sait pas.D'autre part en plus du diplôme il y a certains ''traits'' que les employeurs cherchent dans la candidature et par conséquent aussi bon soit il le diplôme le manque de ces traits n'encourage guère l'embauche : le bilinguisme, la capacité de travailler en équipe, les degrés d'adaptation etc (Demandez à un recruteur il vous fera part de certaines découverte lors des entrevues). J'ai connu un CGA qui ne parle pas du tout du tout anglais (au fait il reste à Montréal et ne veut pas apprendre l'anglais) pourtant il sait pertinemment bien que les chances d'obtenir un travail même à Montréal nécessite au moins un peu d'anglais.J'aimerais maintenant répondre à certains propos que je trouve pertinent à discuter :tu pense pas que la crise en general y est pour quelque chose? je trouve que beaucoup de gens aime bien prendre le racisme comme explication y a til vraiment beaucoup de demande pour des chimistes?Certes qu'il ne faut tomber dans le piège de voir dans chaque refus de candidature un acte de discrimination (j'entends toujours certains immigrants s'y précipiter vite-fait), mais en même temps ne pas fermer ses yeux sur une part de la réalité relevé par des anciennes études, (Léger-Léger, commission Bouchard-Taylor, etc). Là je reprends ce que les gens indulgents de ce forum disent : Oui cela existe, c'est honteux c'est mal-saint, mais il n'est pas si cruel ni trop élevé que dans d'autres pays.J'ajouterais qu'aussi il y en a trop qui profitent du moment et prennent la crise comme LA PRINCIPALE cause.Envoyer des demandes un peu partout... Et ensuite? Il attend, comme la plupart, qu'on le rappelle? Ce n'est pas ça, chercher un emploi, juste envoyer un CV et attendre...Comme expliqué avant : on ne sait pas comment le monsieur a fait pour sa démarche.Bonjour, Nouvellement débarqués à Montréal, je n'ai pas eu à aucun moment cette impression d'être rejeté à cause de ma nationalité.C'est bien et c'est ce que nous souhaitons à tous les futurs nouveaux-arrivants dans cette belle province.Je réaffirme que l'environnement québecois est loin d'être xénophobe.Je réaffirme que certains Français, Mexicains, Romains, Marocains, Algériens, Belges, Chinois, (pas tous heureusement) affirment qu'il existe bel et bien une portion de Xénophobie. Je réaffirme encore une fois : Oui cela existe, c'est honteux c'est mal-saint, mais il n'est pas si cruel ni trop élevé que dans d'autres pays.Donc au lieu de voir juste le coté sombre du tableau, gardons ce coté « de coté » (sans en fermer l'il) mais regardant les autres parties du tableau, surtout ne pas laisser les soucis et les chimères nous dire qu'il fait nuit quand le jour est déjà levé.Le matin, lorsque le soleil se lève, tout le monde a droit a son petit rayon, et vous aussi vous y avez droit;Tout à fait, et je le confirme aussi.alors fais un essai pour voir si c'est concluant mais attend toi à faire un gros boulot de prospection et de recherches mais tu vas apprendre plein de choses sur ton milieu professionnel et tu vas rencontrer du monde.............Voilà un conseil d'or et croyez moi cela vous aidera beaucoup.Avant de conclure avec une reprise d'une des chroniques de nos chers chroniqueurs du forum, je veux mettre le point sur certains faits qui ressort souvent et que je lis régulièrement sur le forum :Un CV et une Lettre de Motivation c'est bien, mais un réseau et coté relationnel c'est encore mieux.Le racisme! Okay y en a, alors ce n'est pas la peine de l'évoquer, il faut le combattre (méthodiquement), mettre dans sa tête qu'on va le subir mais ne pas se contenter de le prendre comme raison et cause. Il y a beaucoup de belles choses à découvrir dans sa vie pour passer son temps à se lamenter à cause de ce fait. Les américains l'ont compris suffit de voir qui ont-ils voté comme président Je reprends donc une bonne partie d'une merveilleuse chronique qui dit :Quand on y pense bien, ce n'est pas tant des ressources financières ou un c.v. en béton qui feront la différence dans une expérience d'immigration. C'est soi-même, dans ses aptitudes, ses capacités et ses ressources et l'image qu'on a de soi qui constituent nos véritables atouts car ils ne s'épuiseront jamais (argent) ni ne deviendront jamais obsolètes (c.v.) si on prend le temps de les entretenir.Une étude de mesdames Vatz-Laaroussi et Rachédi a démontré l'impact positif de croire en un avenir meilleur, de pouvoir pratiquer librement sa religion ou tout simplement de refaire du sport et de la musique de la part de réfugiés installés au Québec. Le fait même que ces derniers valorisent la solidarité, la justice, l'éducation et la démocratie pour en avoir été privés - font d'eux de puissants moteurs de contribution sociale au sein d'une société occidentale un peu désabusée face à ces grands principes (Tiré de la recherche : « La résilience comme contribution sociale. Pour les jeunes et familles réfugiés », Canadian Issues/Thèmes canadiens, mars 2004).On se pose légitimement des questions en tentant de trouver des réponses logiques (cognitif), ce qui n'est pas évident car tout cela nous fait vivre de l'anxiété et une certaine inquiétude (affectif). Alors, face à cette crise, nous avons la liberté de choisir : soit se replier sur soi et laisser ainsi le danger prendre toute la place, soit exploiter sa capacité résiliente pour la surmonter et ainsi saisir l'opportunité de .... rebondir ! Rebondissez !!! Citer
Habitués fred 1 Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 Un CV et une Lettre de Motivation c'est bien, mais un réseau et coté relationnel c'est encore mieux.entièrement d'accord....le meilleur cv est ce lui que l'on ne donne pas.....lol Citer
Habitués _Guépard_ Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 Cette immigrante de l'Ukraine, Lesya Masyuk, assure qu'elle n'a jamais été discriminé au Québec et elle réussit très bien dans cette province.Anne DroletLe Soleil (Québec) Embauchée comme analyste financière par le Groupe-conseil Multi-D pour un contrat qui devait durer entre six mois et un an, Lesya Masyuk a été nommée directrice financière moins de trois mois après son arrivée au sein de l'entreprise. Une ascension fulgurante pour cette brillante Ukrainienne de 33 ans qui croit, tout simplement, que quand on veut, on peut.Ce poste, qu'elle occupe maintenant depuis un peu plus d'un an, ce sont en général des travailleurs qui ont au moins cinq ans d'expérience dans l'entreprise qui peuvent y aspirer, explique-t-elle. Elle était donc bien surprise de cette nomination. Mais bon, disons que la promotion ne tombait pas du ciel: Mme Masyuk avait abattu en trois mois le travail que l'entreprise estimait à six mois, voire un an de travail... Est-ce que vraiment je mérite ce poste? s'est demandé la jeune femme. «Moi, j'ai quand même des défauts comparé à des gens qui connaissent l'entreprise, le système canadien. En plus, je n'ai pas un français comme quelqu'un pour qui c'est sa langue de naissance», indique-t-elle. Elle craignait aussi que son ascension rapide lui mette à dos certains employés. Mais heureusement, elle dit n'avoir ressenti aucune méchanceté à son encontre. Et les récents résultats financiers, qu'elle juge très positifs, sont venus confirmer qu'elle avait bien assumé ses fonctions. «C'était bon pour mon estime de moi, et c'était bien aussi pour les gens qui m'ont donné cette confiance, pour leur démontrer qu'ils ne se sont pas trompés», confie-t-elle. Corruption L'ascension de Mme Masyuk est d'autant plus remarquable que cette dernière n'a quitté l'Ukraine qu'en 2004. Détentrice d'un baccalauréat en finances et d'un doctorat en économie, elle enseignait là-bas à l'université. Les professeurs étant mal payés par l'État, la corruption avait contaminé tout le système d'éducation, raconte-t-elle. Les enseignants acceptent donc des pots-de-vin des étudiants, en échange d'une bonne note. «Je voyais tous mes amis qui faisaient ça et je ne pouvais pas. Ça n'entrait pas dans mes valeurs.» Pourtant, sans ces extras, impossible de penser à acquérir une voiture, encore moins un logement. La nourriture avalait pratiquement tout son salaire. Mais ce n'est pas la situation financière qui a guidé sa décision, note Mme Masyuk. «Je n'avais plus de défi. J'avais mon travail et je ne savais pas où je pouvais avancer encore. J'étais limitée», fait-elle valoir. Elle voulait aussi un milieu de vie plus sain pour son fils, aujourd'hui âgé de sept ans. Depuis qu'elle avait terminé ses études, elle rêvait du Canada, en voyant ses firmes d'avocat qui promettaient - pour des sommes astronomiques - d'aider les Ukrainiens à immigrer. Maintenant qu'elle est au pays, elle avance que les immigrants sont choyés. «Ici, on a tous les droits des Canadiens dès qu'on arrive, sauf le droit de vote. On est comme tout le monde ici, on n'est pas discriminés du tout.» Comme elle ne parlait pas français, Mme Masyuk a appris la langue la première année, puis a dû reprendre quelques cours avancés de comptabilité pour faire partie de l'Ordre des comptables agréés du Québec. Acharnée, elle envoyait une quinzaine de CV par jour, à toutes les entreprises des Pages Jaunes inscrites en comptabilité-finances. Après deux contrats de courte durée, elle a finalement été embauchée chez Multi-D, qui offre des services administratifs. «J'aime beaucoup le défi parce que l'entreprise est en croissance», remarque-t-elle. Aujourd'hui en couple avec un Québécois, elle baigne dans la culture québécoise. Elle tente tout de même de conserver ses traditions ukrainiennes. Mais Noël dernier, en entendant son fils Tysha chanter Petit papa Noël, elle a eu un pincement au coeur. «Je me disais que mon enfant ne chanterait jamais les mêmes chansons que moi...» Elle est heureuse de sa vie et croit fermement que le Canada lui permet d'accomplir tout ce qu'elle veut, si elle y met les efforts. Elle est impressionnée par les subventions offertes aux immigrants comme aux Canadiens, qui ouvrent les portes à une pléiade de possibilités. «Le chemin que j'ai fait ici en quatre ans, ça prouve qu'on peut réussir, si on veut. On n'a pas de barrières vraiment.»http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actual...eut-on-peut.php Citer
Habitués mayara Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 je veux juste apporter mon témoignage. mon mari est venu ici avant la résidence permanente pour reprendre les études car nous savions que nous devons passer par la. je suis venu avec un permis de travail. il est vrai que le plus dur c'est décrocher un entretien et de savoir s'imposer lors de l'entretien. mon mari a la chance d'avoir un prénom composé et de pouvoir utiliser son deuxième prénom qui n'a aucune connotation arabe. cela a beaucoup aider pour avoir du travail. il ne faut pas baisser les bras envois le maximum e CV a toutes les entreprise possible n'importe ou essai de garder espoir appelle fais des lettres de motivation montre ta bonne volonté ton envie de travailler !! laisse a coté les discours négatifs n'écoute pas les gens qui veulent t'abattre c'est rien que des gens plein d'amertumes et de méchanceté qui veulent empoisonner la vie des autres et les piétiner plus pour se sentir mieux !! dis toi que l'issue est prochaine et continue !!! Citer
Habitués _Guépard_ Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 L'importance du réseautage. Réussite d'un immigrant mexicain au QuébecIntégration réussie : s'ouvrir aux autres pour réussirAnne DroletLe Soleil(Québec) À la table du restaurant mexicain Señor Sombrero en ce matin de mars, une poignée de femmes d'affaires de Beauport font connaissance devant un copieux déjeuner. On s'échange des cartes d'affaires, de futurs partenariats se dessinent. Elles travaillent toutes dans le même secteur, mais il aura fallu l'initiative de Fernando Murillo pour les réunir. Un bon exemple du caractère rassembleur et chaleureux de l'entrepreneur, notent-elles, qui n'est pas étranger au succès de son entreprise.«Ah, mon amie!», s'exclame M. Mu-rillo à chaque fois qu'une de ses collaboratrices entre dans le restaurant de l'avenue Royale. Il y a sa coiffeuse Lisa, sa massothérapeute Chantal, la propriétaire d'une épicerie fine, Martine. Diane et Mélanie prennent aussi place à table, elles qui viennent de refaire la présentation graphique de ses menus. À leurs côtés se tient Anouk. L'artiste a peint les grandes murales ornant les murs du restaurant. Un seul autre homme est présent : Hugo Rosas, le gérant et bras droit de M. Murillo. Ce dernier explique à la journaliste - un peu surprise - qu'il souhaitait que tous ces gens soient là pour l'entrevue parce que sa bonne intégration est indissociable de sa faculté à se faire des amis. Il parle à tout le monde, même quand il va à la pharmacie, illustre-t-il. «C'est très important de s'intégrer, d'avoir des amis québécois», souligne-t-il à l'intention des autres immigrants. Et il a entre autres choisi Québec pour cela : il ne voulait pas se retrouver dans un ghetto. Et il semble que sa vision des affaires bouscule - positivement - les relations entre commerçants. «Il aime ça faire du réseautage. Ce n'est pas compétitif», fait valoir Martine Duchaine, de l'épicerie fine et chocolaterie Cabosse et chicorée. On est loin du «chacun pour soi» habituel, constate-t-elle. Un exemple? Chantal Trempe, massothérapeute et esthéticienne, explique que, pour la Saint-Valentin, M. Murillo remettait des chèques-cadeaux de 10 $ pour l'entreprise de Mme Trempe, et elle faisait de même pour le restaurant. «On s'est fait des nouveaux clients! Ça nous fait connaître», remarque-t-elle. «Fernando est très chaleureux. On ne se sent pas comme des clients», mentionne sa coiffeuse. «Ce sont mes invités», précise M. Murillo. Fuir la chaleur Si bien des Québécois rêvent de pays où il fait toujours chaud, M. Murillo, lui, voulait à tout prix troquer la chaleur cuisante de sa ville natale, Morelia - où la température ne descend jamais en bas de 22-23 degrés - pour un pays nordique. Il a choisi la capitale un peu par hasard. Mais sa décision était mûrie : à 29 ans, il allait abandonner son pays, son emploi en administration et allait «changer de vie». Il voulait s'installer à long terme à Québec et ouvrir son restaurant. «Je savais que c'était pour faire ma vie ici.» Il a commencé par travailler dans un restaurant mexicain pendant un an et demi, en gardant les yeux sur son objectif. Ne parlant pas du tout français à son arrivée en 2003, sa rencontre avec Dany Duchesne lui donnera un bon coup de pouce. «Lui, c'était ma voix», résume-t-il. Des démarches comme trouver du financement ou dénicher un local auraient été impossibles sans son aide, note-t-il. «Mon rêve s'est réalisé grâce à lui», dit-il dans un très bon français. Apprendre la langue a d'ailleurs été la partie la plus ardue de son ambitieuse aventure. Il se surprend lui-même d'arriver maintenant à discuter aisément. M. Murillo a bénéficié d'une aide totale de 7000 $ du Centre local de développement, qui donne un coup de pouce aux jeunes entrepreneurs. Il aura aussi touché une bourse de 25 000 $ de la caisse populaire de Beauport puisqu'il a installé son commerce dans un secteur à revitaliser. Il a ainsi pu réaliser son rêve en 2006. Aujourd'hui, il compte parmi ses employés des Québécois, mais aussi des Mexicains qui, comme lui, aspirent à une nouvelle vie...«Ah, mon amie!», s'exclame M. Mu-rillo à chaque fois qu'une de ses collaboratrices entre dans le restaurant de l'avenue Royale. Il y a sa coiffeuse Lisa, sa massothérapeute Chantal, la propriétaire d'une épicerie fine, Martine. Diane et Mélanie prennent aussi place à table, elles qui viennent de refaire la présentation graphique de ses menus. À leurs côtés se tient Anouk. L'artiste a peint les grandes murales ornant les murs du restaurant. Un seul autre homme est présent : Hugo Rosas, le gérant et bras droit de M. Murillo. Ce dernier explique à la journaliste ? un peu surprise ? qu'il souhaitait que tous ces gens soient là pour l'entrevue parce que sa bonne intégration est indissociable de sa faculté à se faire des amis. Il parle à tout le monde, même quand il va à la pharmacie, illustre-t-il. «C'est très important de s'intégrer, d'avoir des amis québécois», souligne-t-il à l'intention des autres immigrants. Et il a entre autres choisi Québec pour cela : il ne voulait pas se retrouver dans un ghetto. Et il semble que sa vision des affaires bouscule ? positivement ? les relations entre commerçants. «Il aime ça faire du réseautage. Ce n'est pas compétitif», fait valoir Martine Duchaine, de l'épicerie fine et chocolaterie Cabosse et chicorée. On est loin du «chacun pour soi» habituel, constate-t-elle. Un exemple? Chantal Trempe, massothérapeute et esthéticienne, explique que, pour la Saint-Valentin, M. Murillo remettait des chèques-cadeaux de 10 $ pour l'entreprise de Mme Trempe, et elle faisait de même pour le restaurant. «On s'est fait des nouveaux clients! Ça nous fait connaître», remarque-t-elle. «Fernando est très chaleureux. On ne se sent pas comme des clients», mentionne sa coiffeuse. «Ce sont mes invités», précise M. Murillo. Fuir la chaleur Si bien des Québécois rêvent de pays où il fait toujours chaud, M. Murillo, lui, voulait à tout prix troquer la chaleur cuisante de sa ville natale, Morelia ? où le thermostat ne descend jamais en bas de 22-23 degrés ? pour un pays nordique. Il a choisi la capitale un peu par hasard. Mais sa décision était mûrie : à 29 ans, il allait abandonner son pays, son emploi en administration et allait «changer de vie». Il voulait s'installer à long terme à Québec et ouvrir son restaurant. «Je savais que c'était pour faire ma vie ici.» Il a commencé par travailler dans un restaurant mexicain pendant un an et demi, en gardant les yeux sur son objectif. Ne parlant pas du tout français à son arrivée en 2003, sa rencontre avec Dany Duchesne lui donnera un bon coup de pouce. «Lui, c'était ma voix», résume-t-il. Des démarches comme trouver du financement ou dénicher un local auraient été impossibles sans son aide, note-t-il. «Mon rêve s'est réalisé grâce à lui», dit-il dans un très bon français. Apprendre la langue a d'ailleurs été la partie la plus ardue de son ambitieuse aventure. Il se surprend lui-même d'arriver maintenant à discuter aisément. M. Murillo a bénéficié d'une aide totale de 7000 $ du Centre local de développement, qui donne un coup de pouce aux jeunes entrepreneurs. Il aura aussi touché une bourse de 25 000 $ de la caisse populaire de Beauport puisqu'il a installé son commerce dans un secteur à revitaliser. Il a ainsi pu réaliser son rêve en 2006. Aujourd'hui, il compte parmi ses employés des Québécois, mais aussi des Mexicains qui, comme lui, aspirent à une nouvelle vie...http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actual...our-reussir.php gl Citer
Habitués Tinavire Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 J'invite tous les immigrants ou candidats à l'immigration d'origine Maghrébine à lire ces 44 pages sous le titre "les immigrants d'origine maghrébine rencontrent des obstacles et de la discrimination sur le marché du travail québécois" ;http://www.irpp.org/fr/index.htm...Pour en finir avec ces débats (qui disent tous la même chose au final) ou tout le monde y va de son explication ou d'encouragements (à juste raison la plupart du temps) pour rassurer ou dissuader...Et pour éviter des jugements qui ne font pas avancer la cause et sèment parfois, la zizanie.Ce document est parfaitement documenté et argumenté et devrait devenir une référence pour aider tous ces gens à bien réfléchir avant de faire le pas. Tout y est ! Pour ma part, par exemple, un élément fut décisif : ma profession n'avait pas d'ordre professionnel...C'est un peu comme une entreprise qui recrute : il y a des éléments (indispensables, déterminants ou incontournables) sur lesquels on ne peut faire l'impasse au risque de se mettre en péril...Soyons responsables de nos décisions et ne tentons pas le diable !Je pense que la vie repose sur un trépied : Famille, Amis et Travail. Qu'il en manque un à l'appel et votre assise est menacée ! Citer
Habitués moumoute25 Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 Moi j'ai juste une question : quand vous parlez que vous ne vous trouvez pas de travail au Québec, est-ce que vous voulez dire le Québec à la Montréalaise (tout ce qui touche le fleuve) ou le Québec tel qu'il est sur la carte géographique. Il y a certaines région qui sont épargnées de la crise économique. Enfin, très peu affecté je pourrais dire. Citer
Habitués kabi Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 Un CV et une Lettre de Motivation c'est bien, mais un réseau et coté relationnel c'est encore mieux.entièrement d'accord....le meilleur cv est ce lui que l'on ne donne pas.....lolbien dit FRED Cette immigrante de l'Ukraine, Lesya Masyuk, assure qu'elle n'a jamais été discriminé au Québec et elle réussit très bien dans cette province. Eh bein si c'est pour dénicher UN cas dans une revue de presse ou dans les médias en générale en a l'embarras de choix. J'aurais aimé que chacun apporte SON histoire à lui mais si on doit chercher les histoires des autres en voici toute une armada : Bonne lecture : 1- Article tout à fait récent (27 mars 2009) Québécois d'origine maghrébine, Nacer, 50 anshttp://www.alternatives.ca/article4672.html 2- Étude fait par jobboom magazine Mohammed Aloui. Âgé de 41 ans, il est d'origine marocaine et vit au Québec depuis 4 ans. Convaincu que son nom arabe posait un problème dans le processus d'embauchehttp://carriere.jobboom.com/actualites/2008/09/22/6844951.html3- le cas le plus flagrant de ces dernières années : D'autres cas de discrimination raciale à l'embauche ont déjà été recensés. En 2003, Kamal El Batal a gagné sa cause devant les droits de la personne et a reçu 15 000 $ en dédommagement. http://lcn.canoe.ca/infos/faitsdivers/archives/2003/12/20031223-213854.htmlLa Commission des droits de la personne du Québec condamne la Coop fédérée à verser 15 000 $ à Kamal El Batal pour discrimination raciale à l'embauche.4- Même les anglophones ont subissent : Trois anglophones détenteurs d'un doctorat sur quatre quittent le Québec. Répétons-le autrement: à peine 26 % des docteurs de la communauté anglo-québécoise restent ici. Les autres vont travailler dans le reste du Canada (ROC) ou ailleurs dans le monde et ne reviendront probablement jamais.http://www.ledevoir.com/2008/03/03/178652.html « Plus de 50 000 immigrants sont acceptés par année pendant qu'environ 8000 citoyens anglophones (souvent bilingues) quittent le Québec. Entre 1996 et 2001, la province a perdu 25 000 diplômés de ce groupe, soit l'équivalent de la main-d'oeuvre professionnelle d'une ville comme Sherbrooke! » 5- no comment :OBJET: RACISME AU QUÉBEC - Vaste enquête: 59% des québécois se disent racistes http://www.prnewswire.co.uk/cgi/news/release?id=188454 Encore une fois : Oui cela existe, c'est honteux c'est mal-saint, mais il n'est pas si cruel ni trop élevé que dans d'autres pays. Moi j'ai juste une question : quand vous parlez que vous ne vous trouvez pas de travail au Québec, est-ce que vous voulez dire le Québec à la Montréalaise (tout ce qui touche le fleuve) ou le Québec tel qu'il est sur la carte géographique. Il y a certaines région qui sont épargnées de la crise économique. Enfin, très peu affecté je pourrais dire.Bonne remarque Moumoute25. D'ailleurs j'aimerais que la dame qui a posé ce poste puissent nous répondre pourquoi ne pas tenter sa chance ailleurs? Au Québec bien sure. Citer
Habitués _Guépard_ Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 J'invite tous les immigrants ou candidats à l'immigration d'origine Maghrébine à lire ces 44 pages sous le titre "les immigrants d'origine maghrébine rencontrent des obstacles et de la discrimination sur le marché du travail québécois" ;T'apprend rien à personne avec ça ! . Malgré ça, plein d'immigrants d'origine maghrébine réussisent quand même donc faut se prendre en main et foncez ! Citer
Habitués _Guépard_ Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 Kabi Vaste enquête: 59% des québécois se disent racisteslol ! Tu prends comme source un sondage falsifié ! Un article du journal Le Devoir prouvait que ce sondage a été falsifié pour des fin de sensasionalisme. C'est du n'importe quoi.Malgré le racisme chez certains, plein d'immigrants (incluant des immigrants maghrébins) réussissent au Québec donc certains qui voient du racisme partout c'est de la paranoïa et ça se soigne. gl Citer
Habitués _Guépard_ Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 _Guépard_Cette immigrante de l'Ukraine, Lesya Masyuk, assure qu'elle n'a jamais été discriminé au Québec et elle réussit très bien dans cette province. Eh bein si c'est pour dénicher UN casIl y a plein d'immigrants sont comme Lesya Masyuk qui n'ont pas subit de discrimination et qui réussisent bien au Québec mais tu en entends rarement parler dans les médias, les médias préfèrent les pleurnichards qui blament les autres pour leurs propres échecs, c'est plus vendeur. gl Citer
Habitués Tinavire Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 J'invite tous les immigrants ou candidats à l'immigration d'origine Maghrébine à lire ces 44 pages sous le titre "les immigrants d'origine maghrébine rencontrent des obstacles et de la discrimination sur le marché du travail québécois" ;T'apprend rien à personne avec ça ! . Malgré ça, plein d'immigrants d'origine maghrébine réussisent quand même donc faut se prendre en main et foncez !C'est pas ce que montrent les commentaires ici et là sur ce forum...Il y en a encore beaucoup qui sont vraiment mal documentés ! ou mal préparés sur ce à quoi s'attendre en arrivant ici !Certes, il y a des réussites. Encore faut-il s'entendre sur le terme "réussite"... ! Et puis, quand on ne lit que le titre, c'est sûr, on apprend rien ! (ça fait plaisir, non ? cet émoticone ?)Enfin ton "Foncez !"...dans le mur ? ou quelles sont tes suggestions pour faire en sorte de résoudre les "vrais" problèmes auxquels sont confrontés ces immigrants ? Citer
Habitués Silicon Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 Le sondage etait comme bien des sondages avec des questions stupides.Il aurait peut etre fallu definir ce qu'est le racisme avant de poser les questions.Sauf que comme pour bien des sondages on leur fait dire ce qu'on veut , nos politiciens aiment ça pour justifier des decisions (je ne parle pas de ce sondage la) Citer
Habitués Silicon Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 J'invite tous les immigrants ou candidats à l'immigration d'origine Maghrébine à lire ces 44 pages sous le titre "les immigrants d'origine maghrébine rencontrent des obstacles et de la discrimination sur le marché du travail québécois" ;T'apprend rien à personne avec ça ! . Malgré ça, plein d'immigrants d'origine maghrébine réussisent quand même donc faut se prendre en main et foncez !C'est pas ce que montrent les commentaires ici et là sur ce forum...Il y en a encore beaucoup qui sont vraiment mal documentés ! ou mal préparés sur ce à quoi s'attendre en arrivant ici !Certes, il y a des réussites. Encore faut-il s'entendre sur le terme "réussite"... ! Et puis, quand on ne lit que le titre, c'est sûr, on apprend rien ! (ça fait plaisir, non ? cet émoticone ?)Enfin ton "Foncez !"...dans le mur ? ou quelles sont tes suggestions pour faire en sorte de résoudre les "vrais" problèmes auxquels sont confrontés ces immigrants ?Pour commencer il faudrait voir pourquoi les companies ne les engage pas.Probablement que la plupart ont peur des demandes stupides d'accomodements raisonnables et ne veulent rien savoir de ça.Une grande méfiance envers les notes et diplomes obtenus a l'etranger ..Quand je vois ici la maitrise du français de certains soits disants diplomés je n'ose pas leur demander si ils parlent un peu anglais, leur CV ne fera pas long feu si il est écrit de la même façon, ingénieur ou avec un travail avec le moindrement de responsabilité tu vas avoir des rapports a ecrire, ce jour la tu fais quoi ?? Citer
Habitués whitewolf9433 Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 (modifié) J'ai travaillé comme preposé au entretien ménager .VOILÀÀÀÀÀÀÀÀÀ. Tu n'as pas eu peur de retrousser tes manches, d'accepter un boulot qui n'est pas dans ton domaine et sur lequel d'autres lèvent le nez, bref une jobine AUSSI ça peut faire la différence pour un employeur ! Il voit que tu es "vaillant" comme on dit ici...et ça c'est un gros atout !Juste une question Bencoudonc....c'est une régle générale que tout immigrant doit passer par des" jobines" pour faire valoir son CV...je ne suis pas contre l'idée mais est ce que le marché de travail canadien favorise ce genre d'attitude où on ne reconnait pas l'expérience déja acquise ? où c'est une reflexion canadienne qu'il faut commencer par une jobine pour grimper Modifié 7 avril 2009 par whitewolf9433 Citer
Invité Posté(e) 7 avril 2009 Posté(e) 7 avril 2009 J'invite tous les immigrants ou candidats à l'immigration d'origine Maghrébine à lire ces 44 pages sous le titre "les immigrants d'origine maghrébine rencontrent des obstacles et de la discrimination sur le marché du travail québécois" ;Tinavire. Par curiosité intellectuelle, et face à ton insistance, j'ai épluché ce document et il est effarant. Il est "pseudo-scientifique". Au départ, j'ai été surprise par les faits pseudo-scientifiques, puis j'ai analysé:1) 22 immigrants d'origine maghrébine, dont 5 femmes seulement. Pourquoi un tel quota ? étaient-elles mariées, célibataires, mères, accompagnées ou pas d'un mari ? Comment faire une étude socio sans tenir compte de ces données de base, essentielles à la compréhension de l'intégration??? Et eux? Célibataires, mariés, demandeurs principaux de RP??? Celles qui ont été interviewées portaient-elles le voile? 2) 22 n'a jamais été un chiffre représentatif de toute une population. C'est un style pseudo-scientifique de reprendre les propos des uns et des autres (c'est le gros de la thèse), mais c'est uniquement pour soutenir des idées déjà préconçues.3) Les intervenants... Bon j'aurais pas mal à dire, mais les auteurs, c'est encore mieux. Sur 4, il y en a 2 qui sont d'origine "arabe"... Humm.... Biaisé à la base.Bref. Je résume. On ne peut tout simplement pas faire une "étude" valable en se basant sur 22 cas, sans même tenir compte de l'égalité entre les hommes et les femmes (11 hommes et 11 femmes, pourquoi pas???) et franchement, au moins une petite centaine de cas non???. C'est donc biaisé, au départ.Citer des intervenants qui sont à la "Limite" du rejet je trouve ça grave aussi. Ces personnes sont payées par l'état et représentent l'état. Les citer tenir de tels propos est aussi biaisé. Quel est le but finalement ? Critiquer l'état ? Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 (modifié) Juste une question Bencoudonc....c'est une régle générale que tout immigrant doit passer par des" jobines" pour faire valoir son CV...je ne suis pas contre l'idée mais est ce que le marché de travail canadien favorise ce genre d'attitude où on ne reconnait pas l'expérience déja acquise ? où c'est une reflexion canadienne qu'il faut commencer par une jobine pour grimper Règle générale ? Non. Il y en a aussi qui arrivent à décrocher un emploi dans leurs cordes à leur arrivée - mais ça dépend de tellement de facteurs... Par contre certainement, la jobine est préférable à une période d'inactivité dans un CV. Elle démontre à l'employeur que vous n'avez pas été au BS, que le boulot ne vous fait pas peur, que vous ne rechignerez pas sur une tâche X parce que vous estimez qu'elle n'est "pas de votre niveau". Elle montre aussi que vous avez pu vous insérer dans un environnement de travail nord-américain (qui est très différent de ce qu'on peut connaître ailleurs).Sur l'expérience acquise à l'étranger, malheureusement, un employeur va parfois se dire "qu'a beau mentir qui vient de loin". Tandis qu'une référence locale, même pour une jobine, c'est aisément vérifiable et contrôlable. Modifié 7 avril 2009 par bencoudonc Citer
Habitués Tinavire Posté(e) 7 avril 2009 Habitués Posté(e) 7 avril 2009 J'invite tous les immigrants ou candidats à l'immigration d'origine Maghrébine à lire ces 44 pages sous le titre "les immigrants d'origine maghrébine rencontrent des obstacles et de la discrimination sur le marché du travail québécois" ;T'apprend rien à personne avec ça ! . Malgré ça, plein d'immigrants d'origine maghrébine réussisent quand même donc faut se prendre en main et foncez !C'est pas ce que montrent les commentaires ici et là sur ce forum...Il y en a encore beaucoup qui sont vraiment mal documentés ! ou mal préparés sur ce à quoi s'attendre en arrivant ici !Certes, il y a des réussites. Encore faut-il s'entendre sur le terme "réussite"... ! Et puis, quand on ne lit que le titre, c'est sûr, on apprend rien ! (ça fait plaisir, non ? cet émoticone ?)Enfin ton "Foncez !"...dans le mur ? ou quelles sont tes suggestions pour faire en sorte de résoudre les "vrais" problèmes auxquels sont confrontés ces immigrants ?Pour commencer il faudrait voir pourquoi les companies ne les engage pas.Probablement que la plupart ont peur des demandes stupides d'accomodements raisonnables et ne veulent rien savoir de ça.Une grande méfiance envers les notes et diplomes obtenus a l'etranger ..Quand je vois ici la maitrise du français de certains soits disants diplomés je n'ose pas leur demander si ils parlent un peu anglais, leur CV ne fera pas long feu si il est écrit de la même façon, ingénieur ou avec un travail avec le moindrement de responsabilité tu vas avoir des rapports a ecrire, ce jour la tu fais quoi ??Merci d'apporter de l'eau à mon moulin ! C'est exactement une part de ce qu'on peut lire dans les conclusions du document en question.Et on y trouve aussi, un début de solution pour contourner ces problèmes ou du moins à inciter les employeurs potentiels à regarder cette catégorie d'immigrants, d'un oeil (ou sous un angle) différent ! Citer
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