Invité Posté(e) 6 décembre 2007 Posté(e) 6 décembre 2007 Cest quand même étrange.on part dune étude qui dit que le Québec aurait un des meilleurs système déducation au monde, à laffirmation sensationaliste que 50% des Québécois ne sauraient pas lireDe toute évidence, on évolue pas dans un monde de nuancesOui difficile de savoir ou se situe la vérité la-dedans Dans l'émission Les Francs-tireurs, les 50% de personnes concernées engloberaient certes des personnes ne sachant pas lire du tout mais également celles qui savent lire par exemple mais ne comprennent pas forcément ce qu'elles lisent ...Ce genre de chiffres (positifs comme negatifs) me parait toujours délicat a analyser... Citer
Habitués Angela Posté(e) 6 décembre 2007 Habitués Posté(e) 6 décembre 2007 C'est quand même étrange.on part d'une étude qui dit que le Québec aurait un des meilleurs système d'éducation au monde, à l'affirmation sensationaliste que 50% des Québécois ne sauraient pas lireDe toute évidence, on évolue pas dans un monde de nuancesOui difficile de savoir ou se situe la vérité la-dedans Dans l'émission Les Francs-tireurs, les 50% de personnes concernées engloberaient certes des personnes ne sachant pas lire du tout mais également celles qui savent lire par exemple mais ne comprennent pas forcément ce qu'elles lisent ...Ce genre de chiffres (positifs comme negatifs) me parait toujours délicat a analyser...L'an dernier, j'ai assisté à un congrès sur l'alphabétisation. Les chiffres du Québec se situeraient entre 30 et 40% et engloberaient aussi bien des illettrés (= qui n'a jamais appris) et des analphabètes à des degrés divers: ceux qui n'ont jamais atteint un niveau suffisant (malgré la scolarité oblgatoire jusqu'à 16 ans), ceux qui sont partis de l'école trop tôt, ceux qui avaient un niveau acceptable il y a quelques années et qui l'ont perdu faute de pratique. Et tu sais quoi? Le gouvernement conservateur a supprimé le financement de l'alphabétisation ... Citer
plekanec Posté(e) 7 décembre 2007 Posté(e) 7 décembre 2007 etant moi meme enseignant au cegep , j enseigne l electronique et l informatique , je peux vous assurer que c est les immigrants qui ont tjrs les meilleurs notes. surtout ceux qui viennent de la chine et de l afrique du nord. Citer
Habitués Equinox Posté(e) 7 décembre 2007 Habitués Posté(e) 7 décembre 2007 A Mon avis, c'est pas souvent...Mais je crois que le désir de réussite est très fort chez l'immigrant, ainsi cette seconde chance ne devant pas être gacher, les résultats sont meilleurs, ce n'est pas toujours une histoire de niveau d'étude !! Citer
Habitués Angela Posté(e) 8 décembre 2007 Habitués Posté(e) 8 décembre 2007 A Mon avis, c'est pas souvent...Mais je crois que le désir de réussite est très fort chez l'immigrant, ainsi cette seconde chance ne devant pas être gacher, les résultats sont meilleurs, ce n'est pas toujours une histoire de niveau d'étude !!Il y a aussi le facteur "sélection". Certains étudiants étrangers sont issus de systèmes scolaires élitistes. Par exemple, quand seulement 50% d'élèves peuvent aller au secondaire, ce sont évidemment ceux qui ont les meilleures notes qui obtiennent des places. Puis un certain nombre de finissants du secondaire sont choisis pour aller au postsecondaire. Les meilleurs, bien entendu. Il se peut donc que ses étudiants soient passés par tout ce filtrage-là.L'autre réalité du Tiers-Monde méconnu ici, c'est que certains pays ont adopté un système à deux vitesses: les meilleures écoles, généralement privées, aux riches. Le reste: écoles publiques, 100 élèves par classe. Ce sont ces enfants de riches qu'on voit parfois dans les écoles d'ici. Ce n'est pas tout le monde qui peut se payer les frais de scolarité imposés aux étrangers. Donc, c'est fort possible de voir des étudiants ayant un très bon niveau mais il y a des facteurs multiples qui sont derrière ce niveau. Le facteur "résilience" joue aussi, cette volonté farouche de réussir. Normal quand on ne veut pas passer par les mêmes écueils que ses parents ...Aux niveaux primaire et secondaire, les résultats de petits immigrants découlent de facteurs multiples tels que la langue, l'adaptation à un nouveau système, les TIC, le niveau économique, etc. Des études ont démontrés que les petits immigrants prennent quatre ou cinq ans pour rattraper le niveau des jeunes Québécois. Citer
Habitués rogerlamare Posté(e) 8 décembre 2007 Habitués Posté(e) 8 décembre 2007 A Mon avis, c'est pas souvent...Mais je crois que le désir de réussite est très fort chez l'immigrant, ainsi cette seconde chance ne devant pas être gacher, les résultats sont meilleurs, ce n'est pas toujours une histoire de niveau d'étude !!tu a beau vouloir si tu sais pas tu sais pas ...........d'apres ta reflexion si ils sont mauvais normal ils ont pas les capacité pour reussirsi ils sont bon normal ils doivent se prouver des choses ??? j'espere que tu es pas psy y aurait de quoi meler tes patients .............. Citer
Habitués Angela Posté(e) 8 décembre 2007 Habitués Posté(e) 8 décembre 2007 TIC ?????Technologies de l'information et de la communication. Une bibitte développée différemment en Inde, à Hong-Kong et au Zimbabwe ... Citer
Habitués Equinox Posté(e) 8 décembre 2007 Habitués Posté(e) 8 décembre 2007 A Mon avis, c'est pas souvent...Mais je crois que le désir de réussite est très fort chez l'immigrant, ainsi cette seconde chance ne devant pas être gacher, les résultats sont meilleurs, ce n'est pas toujours une histoire de niveau d'étude !!tu a beau vouloir si tu sais pas tu sais pas ...........d'apres ta reflexion si ils sont mauvais normal ils ont pas les capacité pour reussirsi ils sont bon normal ils doivent se prouver des choses ??? j'espere que tu es pas psy y aurait de quoi meler tes patients ..............C'est vrai que le début de ma phrase est ambigüe : je voulais dire que je ne donnais pas souvent mon avis !!! désolé pour mon français approximatif :maxpayne: Citer
Habitués Equinox Posté(e) 8 décembre 2007 Habitués Posté(e) 8 décembre 2007 A la reflexion : j'aurai besoin de cours de TIC Citer
Habitués yolande2 Posté(e) 8 décembre 2007 Habitués Posté(e) 8 décembre 2007 A la reflexion : j'aurai besoin de cours de TICTout sur les tests PISA. Un p'tit bout en français (Dieu que le français recule dans le monde!)http://www.oecd.org/document/21/0,3343,en_...1_1_1_1,00.html Citer
Habitués rogerlamare Posté(e) 8 décembre 2007 Habitués Posté(e) 8 décembre 2007 A Mon avis, c'est pas souvent...Mais je crois que le désir de réussite est très fort chez l'immigrant, ainsi cette seconde chance ne devant pas être gacher, les résultats sont meilleurs, ce n'est pas toujours une histoire de niveau d'étude !!tu a beau vouloir si tu sais pas tu sais pas ...........d'apres ta reflexion si ils sont mauvais normal ils ont pas les capacité pour reussirsi ils sont bon normal ils doivent se prouver des choses ??? j'espere que tu es pas psy y aurait de quoi meler tes patients ..............C'est vrai que le début de ma phrase est ambigüe : je voulais dire que je ne donnais pas souvent mon avis !!! désolé pour mon français approximatif :maxpayne:pas grave té medecin pas linguiste Citer
Habitués yolande2 Posté(e) 9 décembre 2007 Habitués Posté(e) 9 décembre 2007 A la reflexion : j'aurai besoin de cours de TICTout sur les tests PISA. Un p'tit bout en français (Dieu que le français recule dans le monde!)http://www.oecd.org/document/21/0,3343,en_...1_1_1_1,00.htmlÉducation: le Québec, 6e au mondeAlain DubucLa PresseSi le Québec était un pays, ce serait l’un des cinq meilleurs pays du monde pour les résultats de son système d’éducation. C’est ce que nous dit une nouvelle enquête internationale menée dans 57 pays par l’Organisation de coopération et de développement économiques. Le PISA, ou Programme international pour le suivi des acquis des élèves, est un vaste projet de l’OCDE, réalisé auprès de 400 000 jeunes de 15 ans dans 57 pays. En 2006, il en était à sa troisième édition. Comme en 2003 et en 2000, le Québec et le Canada ont obtenu d’excellents scores. L’enquête, très sophistiquée, mesurait la performance des élèves en mathématiques, en lecture et, cette fois-ci, portait une attention particulière aux sciences.Cette enquête n’est pas un concours, et son intérêt réside bien moins dans le classement des pays que dans la compréhension qu’elle permet des succès et des carences des systèmes scolaires. En insistant sur son côté palmarès, je ne fais donc pas honneur à cette étude.Mais mon sursaut de chauvinisme a un but. Le fait d’insister sur les excellents succès du Québec nous amène à réfléchir à notre système d’éducation d’une autre façon. On sait à quel point nous sommes critiques : sur les connaissances des élèves, sur la compétence des enseignants, sur nos structures, sur la réforme pédagogique. Il n’est donc pas mauvais de rappeler que le système scolaire québécois est l’un des meilleurs. Le verre n’est pas à moitié plein, mais bien aux trois quarts plein.En mathématiques, le Québec obtient les meilleurs résultats des provinces canadiennes, ce qui le classerait au cinquième rang mondial, derrière Taipei, la Finlande, Hong-Kong et la Corée.En lecture, le Québec, au sein du Canada, se retrouve derrière l’Alberta, l’Ontario et la Colombie-Britannique. Mais comme pays, il se retrouverait encore une fois au cinquième rang. Derrière la Corée, la Finlande, Hong-Kong et le Canada. En sciences, les résultats sont un peu moins satisfaisants. Au Canada, le Québec est encore au quatrième rang, derrière les trois mêmes provinces, mais au septième rang mondial, derrière la Finlande, Hong-Kong, le Canada, Taipei, l’Estonie et le Japon. Le Québec est donc en tête de peloton. En tenant compte des trois classements, il serait, en gros, sixième au monde. Des pays auxquels nous nous comparons souvent sont loin derrière, comme les États-Unis, autour du trentième rang, ou la France, autour du vingtième rang. Ces données ont d’ailleurs suscité tout en émoi en France. Et ça fait quand même un petit velours de savoir que, pour la lecture, nous sommes loin devant nos cousins d’Outre-Atlantique, qui sont au vingt-et-unième rang. Ce succès s’explique en partie par ce que le PISA mesure. Il évalue la littéracie, c’est-à-dire la capacité d’utiliser la lecture dans différents contextes, comprendre ce qu’on lit, utiliser l’information, réfléchir à partir de sources écrites, qu’elle soient des textes littéraires, des articles, ou des diagrammes. C’est donc une définition fonctionnelle, pas mal dans la logique des compétences transversales, et qui ne mesure pas seulement l’accumulation des connaissances ou la culture littéraire.Mais cette enquête nous rappelle aussi le chemin à parcourir. Tout d’abord, si le Québec fait bien, le Canada dans son ensemble réussit encore mieux : troisième en sciences, septième en maths et quatrième en lecture. Et si le Québec est sixième au monde, le même procédé classerait l’Alberta au quatrième rang, et l’Ontario au cinquième. Cela permet d’ailleurs de croire que le succès du Québec s’inscrit dans une dynamique canadienne. À l’échelle internationale, il n’est pas mauvais de noter les succès remarquables de la Finlande, un petit pays qui nous ressemble à plusieurs égards.Et ces succès ne doivent pas non plus nous faire oublier les faiblesses de nos systèmes scolaires. D’abord, le problème des inégalités, moins marqué au Canada qu’ailleurs, mais néanmoins présent. Ensuite, le fléau du décrochage, qui n’est pas mesuré par l’étude, parce qu’elle est réalisée auprès d’écoliers et que le décrochage survient d’habitude après l’âge des participants. Reste aussi la réforme, qui n’est pas testée, parce que cette cohorte n’y a pas été soumise.Mais ces résultats changent complètement la perspective. Il ne s’agit pas de sortir le système de la déchéance, mais d’améliorer un bon réseau d’éducation. Il ne s’agit pas de rescaper nos enfants, mais de les aider à aller plus loin et en plus grand nombre sur la voie du savoir.Et surtout, ces données nous disent que nous pouvons nous fixer des objectifs extrêmement ambitieux. Le Québec, par exemple, pourrait parfaitement vouloir produire le meilleur système d’éducation au monde, parce que nous savons que cela est dans le domaine du possible. Citer
Laurent Posté(e) 9 décembre 2007 Auteur Posté(e) 9 décembre 2007 Quel est le lien web de ton article ? Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 9 décembre 2007 Habitués Posté(e) 9 décembre 2007 Si je peux me permettre....La source est ici :http://www.cyberpresse.ca/article/20071209...53/CPOPINIONS05 Citer
Habitués Greyheart Posté(e) 10 décembre 2007 Habitués Posté(e) 10 décembre 2007 Bonjour,Juste une petite remarque. Avez-vous lu cet article en entier ? Je re donne le lien : Article de presseA la fin, il est écrit ceci :Les principales critiques ont été soulevées sur le sort réservé aux décrocheurs, ignorés dans cette étude. En effet, les tests PISA mesurent uniquement les performances d'élèves assis sur les bancs d'écoles, a déploré Patrick Potvin, professeur de l'UQAM. «Ils ne testent pas ceux qui n'y sont pas et qui sont les plus susceptibles de faire baisser la moyenne de performance. Imaginez le bond en avant qu'une moyenne peut faire si on retranche toutes les notes les plus basses.»Cela ne vous surprend pas que pour ce test, on retire les décrocheurs, donc les plus mauvais élèves ?Il n'est donc pas surprenant d'avoir de bons résultats si on ne présente que les meilleurs élèves. Exemple, sur 30 élèves, tu ne gardes que les 10 meilleurs. Les 20 qui ont été mis de côté pourraient faire changer la moyenne fortement non ?Tout cela pour dire que je suis dubitatif devant ce sondage.Bonne journée. Citer
Habitués yolande2 Posté(e) 10 décembre 2007 Habitués Posté(e) 10 décembre 2007 Bonjour,Juste une petite remarque. Avez-vous lu cet article en entier ? Je re donne le lien : Article de presseA la fin, il est écrit ceci :Les principales critiques ont été soulevées sur le sort réservé aux décrocheurs, ignorés dans cette étude. En effet, les tests PISA mesurent uniquement les performances d'élèves assis sur les bancs d'écoles, a déploré Patrick Potvin, professeur de l'UQAM. «Ils ne testent pas ceux qui n'y sont pas et qui sont les plus susceptibles de faire baisser la moyenne de performance. Imaginez le bond en avant qu'une moyenne peut faire si on retranche toutes les notes les plus basses.»Cela ne vous surprend pas que pour ce test, on retire les décrocheurs, donc les plus mauvais élèves ?Il n'est donc pas surprenant d'avoir de bons résultats si on ne présente que les meilleurs élèves. Exemple, sur 30 élèves, tu ne gardes que les 10 meilleurs. Les 20 qui ont été mis de côté pourraient faire changer la moyenne fortement non ?Tout cela pour dire que je suis dubitatif devant ce sondage.Bonne journée.1) Comment tu fais pour tester les décrocheurs?2) C'est pareil dans tous les pays, le décrochage étant généralisé.En fait pour que cette variable joue dans les résultats en faveur d'un pays, il faudrait montrer que le décrochage est plus élevé dans un pays que dans l'autre (ce qui est facile à prouver). Malheureusement ils ne l'ont pas fait dans l'enquête fait que l'affirmation du prof est gratuite et repose donc sur absolument rien (en fait le prof laisse entendre que si le Québec fait bien c'est parce que le décrochage est élevé ici, sauf qu'il ne le prouve pas) Citer
Habitués Angela Posté(e) 10 décembre 2007 Habitués Posté(e) 10 décembre 2007 Bonjour,Juste une petite remarque. Avez-vous lu cet article en entier ? Je re donne le lien : Article de presseA la fin, il est écrit ceci :Les principales critiques ont été soulevées sur le sort réservé aux décrocheurs, ignorés dans cette étude. En effet, les tests PISA mesurent uniquement les performances d'élèves assis sur les bancs d'écoles, a déploré Patrick Potvin, professeur de l'UQAM. «Ils ne testent pas ceux qui n'y sont pas et qui sont les plus susceptibles de faire baisser la moyenne de performance. Imaginez le bond en avant qu'une moyenne peut faire si on retranche toutes les notes les plus basses.»Cela ne vous surprend pas que pour ce test, on retire les décrocheurs, donc les plus mauvais élèves ?Il n'est donc pas surprenant d'avoir de bons résultats si on ne présente que les meilleurs élèves. Exemple, sur 30 élèves, tu ne gardes que les 10 meilleurs. Les 20 qui ont été mis de côté pourraient faire changer la moyenne fortement non ?Tout cela pour dire que je suis dubitatif devant ce sondage.Bonne journée.J'ai l'impression que tu ne comprends pas bien de quoi on parle avec le terme "décrocheur". C'est quelqu'un qui n'est plus dans le système pour la bonne raison qu'il a abandonné. Ce n'est pas un mauvais élève, c'est un ex-mauvais élève (ou pas: ce ne sont pas forcément les mauvais qui décrochent). Donc, logiquement, il ne passe pas les tests. Il ne s'agit pas d'un sondage mais d'une sorte de test international standardisé qui mesure les habiletés - et pas forcément les connaissances accumulées. Effectivement, il faut prendre de telles comparaisons avec prudence. Les programmes scolaires ne sont pas standardisés. Les manuels scolaires non plus, la formation des enseignants, ainsi que toutes les composantes de systèmes qui rendent chacun unique. Ajouter les normes sociales, les habitudes familiales les plus répandues dans un pays donné, l'avancement des technologies, les données économiques (PIB comparables ou non) etc. Sans compter ce qui n'est justement pas mesuré: les taux de décrochage. Celui du Québec approche les 30%, alors qu'il Citer
Habitués Angela Posté(e) 10 décembre 2007 Habitués Posté(e) 10 décembre 2007 Bonjour,Juste une petite remarque. Avez-vous lu cet article en entier ? Je re donne le lien : Article de presseA la fin, il est écrit ceci :Les principales critiques ont été soulevées sur le sort réservé aux décrocheurs, ignorés dans cette étude. En effet, les tests PISA mesurent uniquement les performances d'élèves assis sur les bancs d'écoles, a déploré Patrick Potvin, professeur de l'UQAM. «Ils ne testent pas ceux qui n'y sont pas et qui sont les plus susceptibles de faire baisser la moyenne de performance. Imaginez le bond en avant qu'une moyenne peut faire si on retranche toutes les notes les plus basses.»Cela ne vous surprend pas que pour ce test, on retire les décrocheurs, donc les plus mauvais élèves ?Il n'est donc pas surprenant d'avoir de bons résultats si on ne présente que les meilleurs élèves. Exemple, sur 30 élèves, tu ne gardes que les 10 meilleurs. Les 20 qui ont été mis de côté pourraient faire changer la moyenne fortement non ?Tout cela pour dire que je suis dubitatif devant ce sondage.Bonne journée.J'ai l'impression que tu ne comprends pas bien de quoi on parle avec le terme "décrocheur". C'est quelqu'un qui n'est plus dans le système pour la bonne raison qu'il a abandonné. Ce n'est pas un mauvais élève, c'est un ex-mauvais élève (ou pas: ce ne sont pas forcément les mauvais qui décrochent). Donc, logiquement, il ne passe pas les tests. Il ne s'agit pas d'un sondage mais d'une sorte de test international standardisé qui mesure les habiletés et pas forcément les connaissances accumulées. Effectivement, il faut prendre de telles comparaisons avec prudence. Les programmes scolaires ne sont pas standardisés. Les manuels scolaires non plus, ainsi que la formation des enseignants, toutes ces composantes de systèmes qui rendent chacun unique. Ajouter les normes sociales, les habitudes familiales les plus répandues dans un pays donné, l'avancement des technologies, les données économiques (PIB comparables ou non) etc. Sans compter ce qui n'est justement pas mesuré: les taux de décrochage. Celui du Québec approche les 30%, alors qu'il est presque nul dans les pays scandinaves. Bref, PISA est une comparaison des habiletés et non de systèmes ... Citer
Habitués Greyheart Posté(e) 10 décembre 2007 Habitués Posté(e) 10 décembre 2007 J'ai l'impression que tu ne comprends pas bien de quoi on parle avec le terme "décrocheur". C'est quelqu'un qui n'est plus dans le système pour la bonne raison qu'il a abandonné. Ce n'est pas un mauvais élève, c'est un ex-mauvais élève (ou pas: ce ne sont pas forcément les mauvais qui décrochent). Donc, logiquement, il ne passe pas les tests. Il ne s'agit pas d'un sondage mais d'une sorte de test international standardisé qui mesure les habiletés et pas forcément les connaissances accumulées. Effectivement, il faut prendre de telles comparaisons avec prudence. Les programmes scolaires ne sont pas standardisés. Les manuels scolaires non plus, ainsi que la formation des enseignants, toutes ces composantes de systèmes qui rendent chacun unique. Ajouter les normes sociales, les habitudes familiales les plus répandues dans un pays donné, l'avancement des technologies, les données économiques (PIB comparables ou non) etc. Sans compter ce qui n'est justement pas mesuré: les taux de décrochage. Celui du Québec approche les 30%, alors qu'il est presque nul dans les pays scandinaves. Bref, PISA est une comparaison des habiletés et non de systèmes ...Merci pour ces précisions Angela. Je me suis bien mépris sur le terme de "décrocheur". Pour la suite de ton commentaire, je suis d'accord avec toi.J'ajouterai que 30% de décrochage, c'est quand même énorme. Si je ne me trompe pas, je crois que c'est en majorité des garçons.Le système d'enseignement actuel au Québec serait-il plus favorable aux filles dans sa façon d'être dispensé ?Les garçons et les filles n'ont pas la même perception du monde et des situations. Bien évidement, je généralise mais je ne pense pas être très éloigné d'une certaine réalité. Faudrait-il donc un enseignement double (un pour les filles, un pour les garçons) ?Bonne journée. Citer
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