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Posté(e)
il y a 49 minutes, aso a dit :

plusieurs messages de cette file m'interpellent, qu'est ce qui fait que pour vous, lorsque l'on a vécu au Québec (en étant français, belge etc ...) et que l'on revient dans son pays d'origine, on ne peut plus s'y adapter?

j'ai l'impression que chaque pays a ses avantages et inconvénients, les inconvénients du Québec sont souvent signalés ici (hiver, système de santé, nourriture pour certains ..) mais qu'est ce qui est si "pesant" en europe pour avoir une envie immédiate de repartir? 

 

 

Il s'agit tout simplement du choc culturel inversé, très bien expliqué ici http://retourenfrance.fr/fr/content/choc-culturel-inversé

 

Rentrée depuis 2 ans et bien forcée d'admettre que les premiers mois de mon retour (pourtant bien réfléchi), je me suis retrouvée dans ce schéma de choc culturel inversé. Pourtant, tout allait très bien en France (boulot, amis, climat...), mais je ne savais pas pourquoi je ne me sentais pas si bien que ça alors que je ne voulais absolument plus retourner au Québec (à cause du climat et du système de santé surtout).

 

Le plus compliqué, je suis retourné en France avec un amoureux québécois dans mes valises, qui lui à l'inverse était dans l'euphorie de son immigration en France. Pas simple mais aujourd'hui, nous sommes tous les deux très bien là où nous sommes. Nous savons aussi que dans quelques années, nous immigrerons dans un autre pays (amérique du sud) car malgré tout on n'a qu'une seule vie et plein de chose à vivre.

  • Habitués
Posté(e)

Quand on a des enfants, on pense différemment, c'est leur avenir qui nous préoccupe.

  • Habitués
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Il y a 2 heures, laulau1 a dit :

 

J'aimerai bien connaitre la réponse moi aussi. Je pense que l'immigration est une erreur. On est déraciné, on n'a plus d'appartenance, on devient différent de chaque côté.

c'est ce dont j'ai un peu peur aussi

  • Habitués
Posté(e) (modifié)
Il y a 2 heures, kuroczyd a dit :


A mon retour de 3 ans au Canada en France au milieu des années 2000, je me suis complètement senti déconnecté du pays et j ai vécu les pires années de ma vie. Un sentiment d étouffement, d agression continuelle de la part des gens, sur la route, médias. L impression de ne pas pouvoir se déconnecter de l effervescence de choses pas importantes mais qui envahissent le quotidien. Obligatoin de devoir se battre ou disputer pour tout. L insécurité omniprésente, impression de toujours devoir tour surveiller pour ne pas me le faire voler. Niveau scolaire de l école publique avec de continuelles absences de profs à gérer. Au boulot aussi ça c est très moyennement passé : immobilisme et continuelles passes de politique au lieu de faire avancer les choses. J avais l impression que les gens vivaient dans une marmite sous laquelle on monte la température, que la pression y monte mais que les gens n y voyent rien amant que ça pète.
Ce sont juste mes impressions qui n ont conduit à vouloir de changer de vie juste apres quelques mois après mon retour en France. Mais étant donné que ça été plus facile de trouver un bon boulot de nouveau au Québec au lieu de la France, je suis revenu ici.
 

merci de me donner votre avis , c'est ce que l'on entend effectivement souvent sur la France , beaucoup de pression , de stress, que les choses n'avancent pas, l'insécurité (sûrement pas partout car il y a en France des coins bien tranquilles) . Ne connaissant pas l'entreprise et le monde du travail au Québec, est ce quand même si vrai ce côté plus cool , car on dit bien qu'en amérique du nord , le monde du travail est sans pitié , tu peux être viré du jour au lendemain etc ... Mon impression : les relations entre les gens au québec sont apparemment plus apaisées (moins d’engueulades, on garde son calme , on ne veut pas de conflit ...) , cela me parait bien mais est-ce que le fait de s'énerver, de râler ne fait pas aussi avancer les choses , l'échange d'idées parfois vif n'est-il pas préférable à l'absence de débat? 

Modifié par aso
  • Habitués
Posté(e)
Il y a 1 heure, Desperate a dit :

 

Il s'agit tout simplement du choc culturel inversé, très bien expliqué ici http://retourenfrance.fr/fr/content/choc-culturel-inversé

 

Rentrée depuis 2 ans et bien forcée d'admettre que les premiers mois de mon retour (pourtant bien réfléchi), je me suis retrouvée dans ce schéma de choc culturel inversé. Pourtant, tout allait très bien en France (boulot, amis, climat...), mais je ne savais pas pourquoi je ne me sentais pas si bien que ça alors que je ne voulais absolument plus retourner au Québec (à cause du climat et du système de santé surtout).

 

Le plus compliqué, je suis retourné en France avec un amoureux québécois dans mes valises, qui lui à l'inverse était dans l'euphorie de son immigration en France. Pas simple mais aujourd'hui, nous sommes tous les deux très bien là où nous sommes. Nous savons aussi que dans quelques années, nous immigrerons dans un autre pays (amérique du sud) car malgré tout on n'a qu'une seule vie et plein de chose à vivre.

merci pour ce lien sur le choc inversé , vraiment très bien expliqué.

je comprends pour le climat (c'est pour moi presque mon seul frein à partir au Québec) mais pour le système de santé que lui reprochez vous (comme beaucoup d'autres par ailleurs) , j'ai le sentiment que les médecins du québec sont aussi compétents que les français, les frais (hors médicaments) sont pris en charge par la RAMQ , où est le problème selon vous ?

  • Habitués
Posté(e)
il y a 13 minutes, Hei a dit :

 

Les québécois n'aiment pas la confrontation et ça prend quelqu'un avec des c******* pour faire avancer les choses. ils n'aiment pas non plus les responsabilités mais ça c'est le côté nord américain, les gens se complaisent dans le no fault  et enfin le côté moi d'abord le fameux me myself and I.

vos propos confirment un peu le sentiment que j'ai quand je viens au Québec et ce que m'en disent mes filles immigrées : les québécois n'aiment pas la confrontation et semblent quand même très passifs-soumis, n'est ce pas parfois un peu pesant? 

par contre je ne comprends pas " ils n'aiment pas non plus les responsabilités mais ça c'est le côté nord américain" , vous voulez dire ils n'aiment pas prendre des responsabilités (ça me surprend) ou bien ils ne reconnaissent pas leur responsabilité en cas d'erreur ?

que voulez-vous dire par "moi d'abord" ? 

  • Habitués
Posté(e)
@aso Ce que @Hei veut dire c'est qu'ils essaient en permanence de ne jamais prendre de responsabilités pour ne pas devoir assumer de potentielles erreurs qu'ils feraient en exerçant justement ces responsabilités. Ils se cachent derrière celui du dessus ou "l'organisation" ou le groupe qui prendrait peut-être la responsabilité. Ça rend la chose très inefficace et lente. 
Ce qui est paradoxal car en même temps on te bassine sans cesse avec le discours qu'il faut être un leader ... et patati et patata.
Mais un leader sans responsabilité et qui ne prends pas de responsabilités, ça marche pas.
 
Q
  • Habitués
Posté(e)
Le 2016-09-19 at 03:23, Mistergna a dit :

Bonjour à tous,

 

il y a quelques mois, j'annonçais sur le forum notre retour en Belgique après 2 ans 1/2 magnifiques au Québec. La raison (en bref)? Ma femme avait énormément de mal à gérer la distance avec sa famille; le fait que nos enfants grandissent loin des grands-parents et surtout ma belle-famille qui gère très mal le fait que nous vivions à 6000 km....

On nous a guidés, expliqués et conseillés, mais il fallait qu'on revienne. Impossible d'être pleinement heureux au Québec avec Mme qui est triste et mal dans sa peau.

 

Nous voilà donc de retour depuis le 08 juin. Je suis parti en pause carrière, donc je reprend mon boulot dans ma boite, retrouve mes collègues, on retrouve famille et amis.

Mon épouse trouve un super boulot dans le secteur public dans le mois qui suit, on emménage dans la maison de son grand-père (là où elle a grandit) complètement rénovée et super bien située dans notre région. Et pour couronner le tout, l'ecole dans enfants se trouve au bout du jardin :-)

 

Seulement voilà, je le savais bien avant de partir que le choc serait brutal! Toutes les raisons qui ont provoquer notre départ, sont toujours là...et on empirer (sans rentrer dans le détail car tout est subjectif évidemment). je mords sur ma chique, je fais un max même si je vis comme un zombie. Aucune envie d'être là et rien ne vient combler mon manque de la vie Nord-Américaine que j'adore.

Surprise!!!! Ma femme craque. On en parle, on en pleure, on passe par tout un tas d'émotions fortes pour en conclure que aujourd'hui, notre chez nous n'est plus ici en Belgique, mais bien là-bas, sur la rive-sud de Montréal....

Elle adorait sa vie là-bas, mais elle avait quelques coups de blues. Alors qu'ici, elle ne se sent pas bien en permanence et a quelques moments de bonheur.

Les enfants sont hyper contents d'être chouchoutés par les grands-parents, oncle/tante, parrain/marriane....mais ils nous demandent régulièrement "quand est-ce qu'on rentre...." Ici, l'approche vis-à-vis des enfants est bien différentes: à la garderie du matin/soir, pas de jeux, bricolages, activités. Juste rester assis à un banc en attendant papa ou maman. Les gens sont bcp + stressés à l'école : corps enseignants, éducateurs, directrice ect.... ils crient, se fâchent et punissent à tour de bras. les enfants ne sont pas du tout habitués à cela evidemment...et on nous regarde avec des yeux ronds en nous disant que c'est normal ici.
OK! ben à Châteauguay, ça ne se passait du tout comme cela...et c'est un exemple parmi tant de choses

 

Bref, comme on pouvait l'imaginer, ça ne se passe pas bien, et on envisage un retour.

 

CSQ est en poche, nos employeurs sont prêts à nous accueillir à nouveau. Y a plus qu'à.

 

Toute cette aventure nous a changé, nous avons grandis. Je ne vois pas du tout cela comme un échec, mais au contraire, une confirmation que notre vie, désormais, c'est au Québec qu'elle va se dérouler.

 

@Mistergna dans quel coin de Belgique vivez vous? Et quels sont vos domaines professionnels? Avez vous trouvé tous les deux un bons jobs ici au Québec? Et rapidement?

Q

  • Habitués
Posté(e)
Le 2016-09-20 at 02:55, Mistergna a dit :

Si je devais résumer cela très simplement, je dirai qu'en Belgique les gens survivent là où au Québec ils vivent...

 

Comme quoi le vécu de chacun peut être très différent, et fonction des difficultés rencontrées ou pas rencontrées, car au contraire de vous certains survivent ici et vivait dans leur pays d'origine car ils avaient une bonne situation, une carrière, un travail passionnant pour les deux conjoints, certes des irritants dans la vie Belge/Française qui motivent à vouloir venir vivre ailleurs au Québec pour aller plus loin de l'avant et pour assurer leur futur mais quel choc après quelques mois de retour à la réalité et de se rendre compte d'avoir régresser à tout point de vue et à ce point ici ...

 

 

  • Habitués
Posté(e)
Le 2016-09-28 at 05:20, aso a dit :

 

j'ai l'impression que chaque pays a ses avantages et inconvénients, les inconvénients du Québec sont souvent signalés ici (hiver, système de santé, nourriture pour certains ..)

 

 

Quand tu lis ceci

http://plus.lapresse.ca/screens/01d59b02-2602-4208-bb9e-26ed7e38da04|9HjX_NaFD_yl.html

http://www.lapresse.ca/le-droit/chroniqueurs/patrick-duquette/201507/16/01-4885929-attendre-29-heures-a-lurgence.php

 

c'est pas encourageant pour donner l'envie de de vieillir ici ...  voir de rester :-(

  • Habitués
Posté(e)
il y a 14 minutes, qwintine a dit :

effectivement quand on lit ça, ça fait peur , mais les articles de presse ont toujours tendance à surjouer (en bien ou mal); ma fille a eu un grave accident en tant que piéton à Montréal, elle a été prise en charge rapidement, opérée dans des délais corrects et professionnellement , seul le traitement antidouleur n'a pas été vraiment à la hauteur. Pour l'indemnisation de la SAAQ (évoqué dans l'article 29 heures) tout s'est passé correctement dans un délai de qql semaines. Elle est retournée régulièrement à l'hôpital chaque fois sa prise en charge était équivalent à ce qu'elle aurait eu en France .... peut-être a t elle eu de la chance dans son malheur?

je vois que cela fait un an que vous êtes au Québec et j'ai comme l'impression que l'ambiance n'est pas au beau fixe , non ?

  • Habitués
Posté(e) (modifié)
il y a 39 minutes, aso a dit :

effectivement quand on lit ça, ça fait peur , mais les articles de presse ont toujours tendance à surjouer

 

 

Je peux juste te dire que ma fille de 3 ans a du vers Paques attendre 8 heures aux urgences de sainte justine (Ze hopital des enfants) pour un bras cassé. Par comparaison, une semaine plus tard un amis a passé 1h montre en main dans la seule clinique d'urgence pour animaux de Montréal un samedi soir pour son chat qui s'est cassé une patte.

Pour ma fille, durant ce temps d'attente durant lequel tu n'as pas intérêt à te plaindre, on n'est jamais venu la voir ni ne fusse-ce que demander si elle avait plus ou moins mal.

 

Citation

 

(en bien ou mal); ma fille a eu un grave accident en tant que piéton à Montréal, elle a été prise en charge rapidement, opérée dans des délais corrects et professionnellement , seul le traitement antidouleur n'a pas été vraiment à la hauteur. Pour l'indemnisation de la SAAQ (évoqué dans l'article 29 heures) tout s'est passé correctement dans un délai de qql semaines. Elle est retournée régulièrement à l'hôpital chaque fois sa prise en charge était équivalent à ce qu'elle aurait eu en France .... peut-être a t elle eu de la chance dans son malheur?

 

Peut-être, peut-être pas, moi je peux te dire que autour de moi tous les gens avec qui je parle ne me donnent que du négatif et c'est pas faute d'essayer de les faire accouché de quelque chose de positif.

Autre exemple, plus d'un an d'attente pour une orthroscopie du ménisque pour un collègue.

J'ai moi même été opéré pour ça il y a 8 ans en Belgique en "province", tout était bouclé (diagnostique jusque traitement) en 4 semaines. Et encore c'est à ma demande car cela pouvait être fait en 10 jours.

 

Citation

je vois que cela fait un an que vous êtes au Québec et j'ai comme l'impression que l'ambiance n'est pas au beau fixe , non ?

 

@aso La météo est belle par ici et meilleure qu'en Belgique ;-) ça aide.

Pour le reste, c'est loin d'être simple d'autant plus quand tu as lâché beaucoup dans ton pays d'origine (carrière, famille, amis, projets ...) et que le retour sur investissement ne vient pas.

 

Q

Modifié par qwintine
  • Habitués
Posté(e)
Il y a 1 heure, Hei a dit :

 

Ouaip triste exemple.

 

A Montréal, on est plus sur le qui vivve d'une éventuelle agression mais plutôt d'un effondrement de trottoir, voirie, façade ... ;-)

 

Q

  • Habitués
Posté(e) (modifié)
Il y a 3 heures, Hei a dit :

 En effet triste histoire... j'ai démonté toute la façade de béton de cet immeuble il y a 3 ans... Et crois moi que je ne regarde plus les édifices avec des parements en béton du même oeil qu'avant!

 

http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201311/21/01-4712999-hotel-marriott-rue-peel-disparition-de-la-facade-maudite.php

Modifié par juetben
  • Habitués
Posté(e)
Il y a 15 heures, qwintine a dit :

 

@aso La météo est belle par ici et meilleure qu'en Belgique ;-) ça aide.

Pour le reste, c'est loin d'être simple d'autant plus quand tu as lâché beaucoup dans ton pays d'origine (carrière, famille, amis, projets ...) et que le retour sur investissement ne vient pas.

 

peut-être faut-il plus de temps pour se sentir vraiment bien, si on lâche beaucoup  c'est probablement plus dur car il faut retrouver beaucoup, chaque histoire est différente mais pourquoi laisser carrière, famille, amis, projets ... pour aller au Québec ? ça m'interpelle quand même !

  • Habitués
Posté(e)
Il y a 7 heures, aso a dit :

peut-être faut-il plus de temps pour se sentir vraiment bien, si on lâche beaucoup  c'est probablement plus dur car il faut retrouver beaucoup, chaque histoire est différente mais pourquoi laisser carrière, famille, amis, projets ... pour aller au Québec ? ça m'interpelle quand même !

 

Toujours plus loin toujours plus haut "sky is the limit", si tu veux avancer tu fois quitter ta zone de confort, tu dois prendre des risques. Cependant, il est aussi normal quant tu ne retrouves pas un peu de confort de regarder par dessus ton épaule et voir ce que tu as "laché".

Le Québec promet beaucoup quant à ce rêve mais est-ce vraiment là à l'arrivée?

L'avenir nous le dira ...

 

Q

  • Habitués
Posté(e)
Il y a 7 heures, aso a dit :

peut-être faut-il plus de temps pour se sentir vraiment bien, si on lâche beaucoup  c'est probablement plus dur car il faut retrouver beaucoup, chaque histoire est différente mais pourquoi laisser carrière, famille, amis, projets ... pour aller au Québec ? ça m'interpelle quand même !

 

Chaque individu a ses propres raisons de partir ailleurs ( et pas forcément au Québec). Les exemples ne manquent pas à la télé de gens qui ont tout quitté pour vivre dans des pays féériques, ou partir faire de l'humanitaire, ou, comme dit plus haut, pour des raisons liées à l'avenir des enfants.... 

  • Habitués
Posté(e)
L avenir des enfants ? On parle de la Belgique là, pas d'un pays en guerre [emoji4]

Évidemment qu'ils ne sont pas en danger de mort. Mais c'est mon ressenti. Maintenant, libre à toi de venir te faire ta propre idée [emoji6]

Je ne veux convaincu personne, juste relater comment nous on le ressens. Mais il est évident que tous ceux qui nous entourent et qui s'y plaise : merveilleux! Il y a partout des avantages être des inconvénients. Faut juste aller là où l'on s'y sent le mieux

Envoyé de mon SM-G930F en utilisant application mobile Immigrer.com

  • Habitués
Posté(e)
Il y a 7 heures, Stacequebec a dit :

L avenir des enfants ? On parle de la Belgique là, pas d'un pays en guerre :)

 

Je suis au Canada. En France, je n'avais strictement aucune chance de retrouver un travail comme celui que j'exerce. J'en ai pour preuve ma demi-soeur qui a 1 an de plus que moi et qui, au bout de 3 ans d'arrêt n'a toujours pas pu retrouver un travail. 

Ma fille majeure et restée en France a perdu le travail qu'elle exerçait il y a quelques années. Elle est repartie aux études et a complété un diplôme dans un secteur qui l'intéressait, en prothèse dentaire. Elle n'a trouvé aucun travail dans ce domaine. Elle a fait encore une autre formation et a obtenu un diplôme d'assistante maternelle. Elle est en recherche d'emploi actuellement. Vous ne croyez pas que c'est pas mal plus difficile qu'ici pour certains métiers?

Que faut-il répondre à nos enfants pour les motiver aux études : " Il faut étudier dans un domaine qu'on aime" ?

Même le Sénat français reconnaît que ni l'emploi, ni les diplômes universitaires ne constituent plus une protection contre l'inactivité et la pauvreté. C'est certainement valable pour d'autres pays européens. 

 

https://www.senat.fr/rap/r07-445-1/r07-445-117.html

 

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