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Posté(e)
Il y a 8 heures, gladiator a dit :

 

Merci Kamourasois, c'est un métier très en demande en effet, j’envoie des candidatures tous les jours même en régions, a date je n'ai pas eu de suites pr

 

Tu pourrais m envoyer une copie de ton CV en MP. juste pour relire et te donner mon avis.

 

J ai rencontre un immigrant qui n'arrivait pas a décrocher un emploi ici dans son domaine alors que dans son pays il cumulait plus de 10 années d expérience a des postes d'encadrements.

 

Son CV était purement de la Rigolade!!!  Ce torchon avait été fait par la conseillère du Centre d'emploi de son lieu de résidence.

 

Après ajustement (réécriture complète) il a commencé a être convoqué pour les entrevues 2 ou 3 semaines après.

 

Et même conduire une entrevue requière un apprentissage et un entraînements (comme partout d ailleurs), en terme d attitude et du story-telling.

 

La particuliarite en Amérique au Quebec c est que l'entretien c est très souvent essentiellement une discussion technique et quand le manager est satisfait le jour même il ya des chance qu'on vous rappelle le jour même.

 

Il est dans une banque de la place...du moins en espérant que la restructuration annoncée par sa banque ne le remette sur le chômage avant la fin de l'année.

 

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Posté(e)
Il y a 4 heures, gladiator a dit :

 

C'est la raison pour laquelle je refuse présentement le travail de nuit, ce n'est pas ma force

 

Mais tu ne peux pas refuser un type de quart ou un type d'horaire alors même que tu n as pas encore fait des preuves et accumuler assez d'expérience dans ton domaine pour pouvoir te vendre suivant TES conditions.

 

En immigrant tu as accepté de sortir de ta zone de confort, tu es rentrée au études en dépit de ton bagage afin de réaliser tes objectifs...a moins d avoir une restriction liée a ta sante je crois que tu pourrais accepter de faire aussi les quart de nuit afin de bonifier ton profil disons quelques années.

Posté(e)
Il y a 3 heures, Kamouraskois a dit :

 

Mais tu ne peux pas refuser un type de quart ou un type d'horaire alors même que tu n as pas encore fait des preuves et accumuler assez d'expérience dans ton domaine pour pouvoir te vendre suivant TES conditions.

 

En immigrant tu as accepté de sortir de ta zone de confort, tu es rentrée au études en dépit de ton bagage afin de réaliser tes objectifs...a moins d avoir une restriction liée a ta sante je crois que tu pourrais accepter de faire aussi les quart de nuit afin de bonifier ton profil disons quelques années.

En effet au début il faut accepter de faire le sale boulot. Derniers arrivés, dernier servis.

Posté(e)

Cher Gladiator, je ne sais pas pourquoi je suis tombé sur ton post ce soir, je cherchais une information tous autre sur google. Je suis Québécois de souche et je comprend ta déception. Je veut moi même quitter le Québec pour Vancouver ou l'Alberta pour raison personnel (et je suis nomad). Et donc pour poster je me suis inscrit ici tellement ton message ma parlé. Si tu réside dans la ville de Québec, vient donc porter ton cv d'électro-mécanicien chez Rocand au 2511 boul du parc technologique a Québec. Je suis directeur de planché et je travaille avec des tunisiens, des mexicains, des européens. On a tous des rêves, c'est pas parceque la vie nous envoi des upercuts qu'il faut abandonner. Bonne chance mon ami.  

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Posté(e)
Cher Gladiator, je ne sais pas pourquoi je suis tombé sur ton post ce soir, je cherchais une information tous autre sur google. Je suis Québécois de souche et je comprend ta déception. Je veut moi même quitter le Québec pour Vancouver ou l'Alberta pour raison personnel (et je suis nomad). Et donc pour poster je me suis inscrit ici tellement ton message ma parlé. Si tu réside dans la ville de Québec, vient donc porter ton cv d'électro-mécanicien chez Rocand au 2511 boul du parc technologique a Québec. Je suis directeur de planché et je travaille avec des tunisiens, des mexicains, des européens. On a tous des rêves, c'est pas parceque la vie nous envoi des upercuts qu'il faut abandonner. Bonne chance mon ami.  

Comme quoi ça fait du bien de parler, et la thérapie porte [emoji4]. Je croise les doigts que ta déception se transforme en joie. 7 ans de galère feront certainement place au bonheur. Bonne chance.

Envoyé de mon Paris en utilisant l\\\'application mobile Immigrer.com

Posté(e)
Il y a 17 heures, TheMachinist a dit :

Cher Gladiator, je ne sais pas pourquoi je suis tombé sur ton post ce soir, je cherchais une information tous autre sur google. Je suis Québécois de souche et je comprend ta déception. Je veut moi même quitter le Québec pour Vancouver ou l'Alberta pour raison personnel (et je suis nomad). Et donc pour poster je me suis inscrit ici tellement ton message ma parlé. Si tu réside dans la ville de Québec, vient donc porter ton cv d'électro-mécanicien chez Rocand au 2511 boul du parc technologique a Québec. Je suis directeur de planché et je travaille avec des tunisiens, des mexicains, des européens. On a tous des rêves, c'est pas parceque la vie nous envoi des upercuts qu'il faut abandonner. Bonne chance mon ami.  

 

Je viens de lire ton message et je tiens a te remercier énormément pour ton message, j'habite à Repentigny mais je suis près à déménager pour le travail. Je vais te contacter en MP. Merci encore

Posté(e)
Il y a 18 heures, Ivy Bijou a dit :

En effet au début il faut accepter de faire le sale boulot. Derniers arrivés, dernier servis.

 

Je crois moi aussi à l'équité au travail, je ne lève pas le nez sur le travail de nuit mais  ma dernière expérience nocturne m'avait couté 5 jours a l’hôpital, c'est la raison pour laquelle je refuse présentement le travail de nuit. 

Posté(e)
Il y a 21 heures, Kamouraskois a dit :

 

Tu pourrais m envoyer une copie de ton CV en MP. juste pour relire et te donner mon avis.

 

J ai rencontre un immigrant qui n'arrivait pas a décrocher un emploi ici dans son domaine alors que dans son pays il cumulait plus de 10 années d expérience a des postes d'encadrements.

 

Son CV était purement de la Rigolade!!!  Ce torchon avait été fait par la conseillère du Centre d'emploi de son lieu de résidence.

 

Après ajustement (réécriture complète) il a commencé a être convoqué pour les entrevues 2 ou 3 semaines après.

 

Et même conduire une entrevue requière un apprentissage et un entraînements (comme partout d ailleurs), en terme d attitude et du story-telling.

 

La particuliarite en Amérique au Quebec c est que l'entretien c est très souvent essentiellement une discussion technique et quand le manager est satisfait le jour même il ya des chance qu'on vous rappelle le jour même.

 

Il est dans une banque de la place...du moins en espérant que la restructuration annoncée par sa banque ne le remette sur le chômage avant la fin de l'année.

 

 

Merci pour ta générosité Kamouraskois, je vais t'envoyer mon cv en MP

  • Habitués
Posté(e)
Il y a 10 heures, Hei a dit :

 

D'accord pour quelqu'un qui n'a pas de qualification mais pour un diplômé d'université ce n'est pas de job qu'il aurait dû changer mais de région dès le départ.

 

A quoi ça sert de faire des études si c'est pour se casser la santé à faire un job qu'on n'aime pas.

 

même pour un diplômé d’université il faut accepter de commencer a la base... et espérer franchir la barrière invisible de l'ascension hiérarchique.

 

  • Habitués
Posté(e)

Le facteur chance n est pas à négliger non plus. On arriver ou pas à rencontrer du monde qui nous indiquera des opportunités.

Pour ce qui est des barrières invisibles, c est souvent dû au fait que l'on se prend pour ce que l on est pas ou qu on s attribue des qualités ou des compétences qu on ne possède pas.

  • Habitués
Posté(e)
Il y a 7 heures, Ivy Bijou a dit :

Les histoires comme celles-ci se répètent ; 

 

 

c'est l'histoire de l'auteur de ce sujet :lol:

Posté(e)
il y a une heure, Automne a dit :

 

c'est l'histoire de l'auteur de ce sujet :lol:

Justement, il devrait écrire un livre et pourrait faire de l'argent avec son histoire malheureuse. Les histoires "heureuses" ne se vendent pas bien....

  • Habitués
Posté(e) (modifié)
Le 23/07/2016 at 18:37, gladiator a dit :

Je me souviendrai que mes expériences antérieures et celles acquises ici ne sont même pas considérées ni reconnues. Comme si mes 32 ans d’instructions ne valaient que dalle. Je me souviendrai de la ségrégation de l’inégalité des chances  et du profilage qui s’intensifie
Je me souviendrai que porter un nom Magrébin est synonyme de refus et de peur.  
 
Après un parcourt de combattant qui a duré 7ans de ma vie après avoir traversé tous ces méandres j’ai décidé de jeter l’éponge, je n’ai plus la force ni le gout de continuer à prouver aux employeurs et à la société que mon nom n’est pas coupable de quoi que ce soit, que je ne représente aucun danger à ma société d’accueil.  

 

:innocent:

 

Pourtant, malgré tout, il y a des Maghrébins qui réussissent au Québec...j'en connais personnellement.

 

Bref il ne faut pas généraliser. 

 

Et si toi tu ne représente pas un danger pour ta société d'accueil, d'autres de ta communauté eux représentent un danger pour leur société d'accueil et ils donnent une mauvaise image de ta communauté et c'est une des raisons qui font que certains employeurs partout en Occident sont méfiants. Bref ils généralisent comme toi tu  l'as fait précédemment... alors si tu ne veux pas que les employeurs généralisent, ne le fait pas toi-même.

 

Et compte tenu de ton attitude, ce qui t'es arrivé ne me surprend pas. Tu connais le principe du " self fulfilling prophecy " ( prophétie autoréalisatrice ) ? Je pense que c'est ce qui t'es arrivé. 

 

Dans l'immigration, il y a des immigrants qui se plantent et d'autres qui réussissent, et ce dans chacune des provinces canadiennes et dans tous les pays.

 

Modifié par resterzen
Posté(e)
Il y a 6 heures, resterzen a dit :

 

:innocent:

 

Pourtant, malgré tout, il y a des Maghrébins qui réussissent au Québec...j'en connais personnellement.

 

Bref il ne faut pas généraliser. 

 

Et si toi tu ne représente pas un danger pour ta société d'accueil, d'autres de ta communauté eux représentent un danger pour leur société d'accueil et ils donnent une mauvaise image de ta communauté et c'est une des raisons qui font que certains employeurs partout en Occident sont méfiants. Bref ils généralisent comme toi tu  l'as fait précédemment... alors si tu ne veux pas que les employeurs généralisent, ne le fait pas toi-même.

 

Et compte tenu de ton attitude, ce qui t'es arrivé ne me surprend pas. Tu connais le principe du " self fulfilling prophecy " ( prophétie autoréalisatrice ) ? Je pense que c'est ce qui t'es arrivé. 

 

Dans l'immigration, il y a des immigrants qui se plantent et d'autres qui réussissent, et ce dans chacune des provinces canadiennes et dans tous les pays.

 

 

Je n'ai pas généraliser, j'ai raconté mon expérience et mon vécu mais il faut le redire encore une fois que la bêtise est humaine et je brasse la mienne a ma façon. Restons ZEN

  • Habitués
Posté(e)
Il y a 10 heures, Ivy Bijou a dit :

Justement, il devrait écrire un livre et pourrait faire de l'argent avec son histoire malheureuse. Les histoires "heureuses" ne se vendent pas bien....

 

Les deux posts sur la même histoire ont le mérite d'etre identique. Preuve de sa bonne foi

 

Et pour lui avoir parlé au téléphone c'est un brave homme qui a juste besoin d'un coup de pouce.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)
Il y a 12 heures, Hei a dit :

 

Au bout de 7 ans je doute qu'il y ait une barrière invisible à franchir mais plus un saut d'obstacles qui ne mène nulle part.

 

Je connais des diplômés d'université qui, après avoir suivi une formation et passé des examens, ont obtenu un poste bien rémunéré et ont une bonne place dans la hiérarchie. Pour ce faire, ils n'ont pas hésité à changer dès le début de ville et se faire aider par des organismes.

 

 

 

Tout immigrant qui a un bon profil(experience professionnel et parcours académique)..dans une profession en demande (je veux dire moins atypique, genre géologie, archéologie etc..) et une bonne stratégie de recherche d'emploi a juste besoin de checker la case de l'expérience québécoise même avec un poste d'entrée et de rapidement décrocher un "Bon Salaire" sur une période de 2 ou 3 ans maximum.

 

Moi j'ai franchi le Cap de 50 mille après 3 mois de résidence au Quebec et ça na pas arrêté d'augmenter au grès des changements d'entreprises.

 

Le problème ce n est pas tant que ca le salaire, c est la satisfaction intellectuelle dans sa job..c'est le calvaire de se faire diriger souvent par des incompétents notoires juste parce que en tant immigrant vous ne pouvez pas avoir le poste pour lequel l essentiel de votre job description y ressemble a s'y méprendre. 

 

Le problème c'est cet absence de reconnaissance. Cette Sournoise/hypocrisie criante.

 

 

Modifié par Kamouraskois
  • Habitués
Posté(e)

 

Il y a 11 heures, Kamouraskois a dit :

 

Tout immigrant qui a un bon profil(experience professionnel et parcours académique)..dans une profession en demande (je veux dire moins atypique, genre géologie, archéologie etc..) et une bonne stratégie de recherche d'emploi a juste besoin de checker la case de l'expérience québécoise même avec un poste d'entrée et de rapidement décrocher un "Bon Salaire" sur une période de 2 ou 3 ans maximum.

 

Moi j'ai franchi le Cap de 50 mille après 3 mois de résidence au Quebec et ça na pas arrêté d'augmenter au grès des changements d'entreprises.

 

Le problème ce n est pas tant que ca le salaire, c est la satisfaction intellectuelle dans sa job..c'est le calvaire de se faire diriger souvent par des incompétents notoires juste parce que en tant immigrant vous ne pouvez pas avoir le poste pour lequel l essentiel de votre job description y ressemble a s'y méprendre. 

 

Le problème c'est cet absence de reconnaissance. Cette Sournoise/hypocrisie criante.

 

 

Qui est typique des pays d’accueil.

Bien souvent, la nounou hispanique est 3 fois plus diplômée que le couple américain. Mais tout le monde s'en fiche et on fait comme si de rien n'était. 

 

Je pense que le parcours de Gladiator doit vraiment nous interpeller. C'est une situation qui n'est ni normale, ni banale. 

  • Habitués
Posté(e)
Il y a 3 heures, Hei a dit :

 

En lisant son autre post, je vois qu'il avait participé aux séances d'information. S'est-il adressé au SOIT ? Bien souvent c'est grâce à eux que les immigrants décrochent leur première experience québécoise. 

http://www.soit.quebec/

 

SOIT n'est qu'à Québec et il est à Montréal. 

Posté(e)

gladiator : je me reconnais aussi dans ton parcours pour ce qui est de la déception professionnelle, à la différence que j'ai tout de meme decroché des entrevues pour des postes intéressants sans toutefois décrocher le job. Et pourtant je me suis super entrainé et super préparé. Quand je rappelle pour demander pourquoi j'ai pas été pris c toujours la meme rangaine vous avez été bon mais ya eu un meilleur candidat...

 

Je me suis donc abaissé à faire des emplois non qualifies dans l'espoir de remonter par la suite mais ca ne marche pas et cela est usant physiquement et moralement. On a beau vouloir se montrer humble et persévérant, à un moment donné c'est assez.

 

Heureusement que ma blonde a une job et que les enfants ont les crédit d'impot. Mais moi dans le fond qu'est ce que je fous dans ce pays...

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