Invité Posté(e) 26 juin 2013 Posté(e) 26 juin 2013 Excuses ? Taken ? Thank you for your apologies. Or I accept your apologies. Please excuse my behavior. Raaaah c'est bien le français mais faut se mettre à l'anglais aussi les cocos... Sinon moi je parie 10 $ sur Kweli... Citer
Habitués Kweli Posté(e) 26 juin 2013 Habitués Posté(e) 26 juin 2013 Tu l'as pris pour de la rigolade, c'est pour ça que tu avais attaquer beaucoup plus, c'était peut-être à toi alors de faire le MP. Je ne connais pas bien encore le forum, je ne lis pas les commentaires d'attaques personnelles. Your excuses are well taken and please accept mine. Sincerely. Maintenant tu vas te fairev taper sur les doigts par la modo pour usage de l'anglais et ce ne sera pas ma faute nan Je suis contente que tout cela se règle. Maintenant qu'on y est, je t'explique mon commentaire sur PET (tu as dit que tu es là depuis 20 ans et alors, je pensais que tu comprendrais mais apparemment il faut que j'explique mieux). Pierre-Elliot Trudeau (le père de l'autre pour ceux qui ne le savent pas) rêvait d'un Canada multiculturel. Une société ayant la forme d'un panier d'huîtres, où chaque communauté est enfermé dans sa coquille sans véritable contact avec l'autre. Comme tu le sais, cette idéologie ne passe pas au Québec (ni ailleurs non plus mais c'est un autre débat). Sans faire référence à un parti en particulier, le projet de société québécois n'est pas une assiette d'huîtres, mais plutôt un plat de spaghetti: les petits "vers" (dixit mes enfants), pure laine ou immigrants, sont liés entre eux par la "sauce", composée de divers ingrédients tels que la langue, la culture, l'égalité des droits, une destinée commune, les liens avec d'autres peuples, etc. Voilà pourquoi je pense que ton idée de parti d'immigrants me semblait correspondre tout à fait au projet de PET. Perso, je ne la trouve ni bonne, ni réalisable (à moins d'avoir le dos assez large pour s'y mettre tous les natifs), mais je critique l'idée, pas la personne, en l'occurrence toi. Mais qui suis-je pour prétendre détenir la vérité avec grand V? Vous avez, les autres forumeurs aussi, le droit d'en débattre et de tailler ma propre argumentation en pièces. Citer
Habitués Dredd Posté(e) 26 juin 2013 Habitués Posté(e) 26 juin 2013 Message de la modération Merci d'être revenu au calme. En effet, en français s'il vous plait! Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 26 juin 2013 Habitués Posté(e) 26 juin 2013 (modifié) Oui, le calme est revenu. Enfin, du moins jusqu'à ce qu'ils prennent leur prochain Dredd Bull ! Modifié 26 juin 2013 par futurquébecois Addicttotravel a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Lotus01 Posté(e) 26 juin 2013 Habitués Posté(e) 26 juin 2013 Message de la modération Merci d'être revenu au calme. Mes excuses encore pour le débordement. En effet, en français s'il vous plait! Excuses encore, je ferai plus attention. Merci. Citer
Habitués Addicttotravel Posté(e) 26 juin 2013 Habitués Posté(e) 26 juin 2013 Je ne suis pas contre un parti en faveur des immigrants car il semble qu'aucun parti se penche sur les problèmes des immigrants pour qu'on puisse changer ou améliorer les conditions de ceux-ci par exemple la non reconnaissance des diplomes (meme si j'ai l'impression que c'est fait expres mais ca c'est une autre histoire) Après, je suis contre une ghettoïsation: un parti d'anciens immigrants compose uniquement d'eux na!! Pas envie d'entrer dans les extrêmes: nous VS eux. Mais l'idée n'est pas mauvaise tant qu'on ne rejette pas les "autres" et permette d'avancer tout en travaillant et dialoguant avec les locaux. Après rien e ne dit que les anciens immigrants (n'oublions pas qiue les immigrants ne peuvent pas voter) devenant Canadiens iront voter pour ce parti juste parce que c'est un parti "d'immigrant" Pourquoi vouloir créer un parti politique uniquement pour les immigrants? Ce serait la meilleure recette pour que les Québécois nous considèrent pas comme des locaux, avec les mêmes droits. Plutôt que de vouloir créer un parti spécifique, pourquoi ne pas s'impliquer dans un parti déjà existant? Tu as le droit, me semble qu'il faut être citoyen pour se présenter à des élections, par contre, tu peux quand-même très bien t'impliquer dans un parti politique sans être citoyen. C'est quand-même pas mal plus un bon moyen pour s'intégrer et faire entendre ta voix. Pis en plus ça te permettrait de te préoccuper d'autres problèmes de ton pays d'adoption que juste ceux concernant les immigrants. Amir Khadir est un bon exemple d'un immigrant impliqué dans un parti politique local. Ok Amie Khadir, mais il pourrait par exemple prendre part certaines problèmatiques qu'ont les immigrants mais non il n'en ai rien et c'est ce que je trouve dommage. Je ne dis pas qu'il doit se porter porte parole mais qu'il montre qu'il s'intéresse a "nous" mais Kweli m'a exposé la problèmatique d'un parti car chaque immigrant a profil et des pbs différents. Le faire demanderait beaucoup d'organisation pour ne pas oublier personne. Citer
Habitués Addicttotravel Posté(e) 26 juin 2013 Habitués Posté(e) 26 juin 2013 Je ne suis pas contre un parti en faveur des immigrants car il semble qu'aucun parti se penche sur les problèmes des immigrants pour qu'on puisse changer ou améliorer les conditions de ceux-ci par exemple la non reconnaissance des diplomes (meme si j'ai l'impression que c'est fait expres mais ca c'est une autre histoire) Après, je suis contre une ghettoïsation: un parti d'anciens immigrants compose uniquement d'eux na!! Pas envie d'entrer dans les extrêmes: nous VS eux. Mais l'idée n'est pas mauvaise tant qu'on ne rejette pas les "autres" et permette d'avancer tout en travaillant et dialoguant avec les locaux. Après rien e ne dit que les anciens immigrants (n'oublions pas qiue les immigrants ne peuvent pas voter) devenant Canadiens iront voter pour ce parti juste parce que c'est un parti "d'immigrant" Pourquoi vouloir créer un parti politique uniquement pour les immigrants? Ce serait la meilleure recette pour que les Québécois nous considèrent pas comme des locaux, avec les mêmes droits. Plutôt que de vouloir créer un parti spécifique, pourquoi ne pas s'impliquer dans un parti déjà existant? Tu as le droit, me semble qu'il faut être citoyen pour se présenter à des élections, par contre, tu peux quand-même très bien t'impliquer dans un parti politique sans être citoyen. C'est quand-même pas mal plus un bon moyen pour s'intégrer et faire entendre ta voix. Pis en plus ça te permettrait de te préoccuper d'autres problèmes de ton pays d'adoption que juste ceux concernant les immigrants. Amir Khadir est un bon exemple d'un immigrant impliqué dans un parti politique local. Ok Amie Khadir, mais il pourrait par exemple prendre part certaines problèmatiques qu'ont les immigrants mais non il n'en ai rien et c'est ce que je trouve dommage. Je ne dis pas qu'il doit se porter porte parole mais qu'il montre qu'il s'intéresse a "nous" mais Kweli m'a exposé la problèmatique d'un parti car chaque immigrant a profil et des pbs différents. Le faire demanderait beaucoup d'organisation pour ne pas oublier personne. Je ne suis pas contre un parti en faveur des immigrants car il semble qu'aucun parti se penche sur les problèmes des immigrants pour qu'on puisse changer ou améliorer les conditions de ceux-ci par exemple la non reconnaissance des diplomes (meme si j'ai l'impression que c'est fait expres mais ca c'est une autre histoire) Après, je suis contre une ghettoïsation: un parti d'anciens immigrants compose uniquement d'eux na!! Pas envie d'entrer dans les extrêmes: nous VS eux. Mais l'idée n'est pas mauvaise tant qu'on ne rejette pas les "autres" et permette d'avancer tout en travaillant et dialoguant avec les locaux. Après rien e ne dit que les anciens immigrants (n'oublions pas qiue les immigrants ne peuvent pas voter) devenant Canadiens iront voter pour ce parti juste parce que c'est un parti "d'immigrant" Pourquoi vouloir créer un parti politique uniquement pour les immigrants? Ce serait la meilleure recette pour que les Québécois nous considèrent pas comme des locaux, avec les mêmes droits. Plutôt que de vouloir créer un parti spécifique, pourquoi ne pas s'impliquer dans un parti déjà existant? Tu as le droit, me semble qu'il faut être citoyen pour se présenter à des élections, par contre, tu peux quand-même très bien t'impliquer dans un parti politique sans être citoyen. C'est quand-même pas mal plus un bon moyen pour s'intégrer et faire entendre ta voix. Pis en plus ça te permettrait de te préoccuper d'autres problèmes de ton pays d'adoption que juste ceux concernant les immigrants. Amir Khadir est un bon exemple d'un immigrant impliqué dans un parti politique local. Ok Amie Khadir, mais il pourrait par exemple prendre part certaines problèmatiques qu'ont les immigrants mais non il n'en ai rien et c'est ce que je trouve dommage. Je ne dis pas qu'il doit se porter porte parole mais qu'il montre qu'il s'intéresse a "nous" mais Kweli m'a exposé la problèmatique d'un parti car chaque immigrant a profil et des pbs différents. Le faire demanderait beaucoup d'organisation pour ne pas oublier personne. Citer
Habitués Lotus01 Posté(e) 26 juin 2013 Habitués Posté(e) 26 juin 2013 Tu l'as pris pour de la rigolade, c'est pour ça que tu avais attaquer beaucoup plus, c'était peut-être à toi alors de faire le MP. Je ne connais pas bien encore le forum, je ne lis pas les commentaires d'attaques personnelles. Your excuses are well taken and please accept mine. Sincerely. Maintenant tu vas te fairev taper sur les doigts par la modo pour usage de l'anglais et ce ne sera pas ma faute nan Que veux-tu, j'ai lu ''Deal", j'ai répondu du tac au tac, instinctivement. Je suis contente que tout cela se règle. Maintenant qu'on y est, je t'explique mon commentaire sur PET (tu as dit que tu es là depuis 20 ans et alors, je pensais que tu comprendrais mais apparemment il faut que j'explique mieux). Bientôt 23 ans u Qc mais je ne vois pas le rapport. Si c'est par rapport à ton texte précédent, j'ai vu rouge à la lecture de ta conclusion et ça s'est arrêté là. Pierre-Elliot Trudeau (le père de l'autre pour ceux qui ne le savent pas) rêvait d'un Canada multiculturel. Une société ayant la forme d'un panier d'huîtres, où chaque communauté est enfermé dans sa coquille sans véritable contact avec l'autre. Comme tu le sais, cette idéologie ne passe pas au Québec (ni ailleurs non plus mais c'est un autre débat). Sans faire référence à un parti en particulier, le projet de société québécois n'est pas une assiette d'huîtres, mais plutôt un plat de spaghetti: les petits "vers" (dixit mes enfants), pure laine ou immigrants, sont liés entre eux par la "sauce", composée de divers ingrédients tels que la langue, la culture, l'égalité des droits, une destinée commune, les liens avec d'autres peuples, etc. Voilà pourquoi je pense que ton idée de parti d'immigrants me semblait correspondre tout à fait au projet de PET. Je n'ai parlé ni de spaghetti ni de bouillabaisse, ni de parti d'ailleurs, j'ai dit ''BLOC" qui travaille avec les autres partis pour l'intérêt des immigrants. A date, le seul politicien qui a osé et fugitivement évoqué l'injustice sociale envers les immigrants est Monsieur Feu Jack Layton à la dernière campagne électorale fédérale, il a d'ailleurs posé la question à Mr. Duceppe mais si comme si ça parlait de la lèpre, il y a eu le malaise, ils sont vite passé à la suite. J'ai fait le parallèle avec le BLOC QCOIS pour me faire comprendre (j'espérais). Un BLOC IMMIGRANTS servirait à ramener les autres partis à se pencher sur l'immigration, tout comme l'a fait Mr. Jack Layton. C'est de là l'idée. Ce Bloc amenerait le gouvernement à respecter ses engagements envers 1) les immigrants qu'il importe à la base des critèresde sélection précis (diplômes + $$) et 2) l'entente ARM et les autres qui arrivent bientôt. Les recruteurs commencent à faire campagne en France et Belgique pour vendre ''les proiduits du Québec" disent-ils. Trouvez-vous normal, qu'une fois qu'on arrive ici on découvre que notre niveau est dévalorisé, pour qu'on soit payé moins cher comme expliquaient les infirmières, ou que nos diuplômes valent rien, et qu'il faut retourner aux études et dépenser 10-15000$ pour de la formation qui mène nulle part (pendant qu'en Ontarion on fait sortir 350 pharmaciens, ici il y a juste 11 ..... Pourquoi? Pourquoi et Pourquoi? Perso, je ne la trouve ni bonne, ni réalisable (à moins d'avoir le dos assez large pour s'y mettre tous les natifs), mais je critique l'idée, pas la personne, en l'occurrence toi. Mais qui suis-je pour prétendre détenir la vérité avec grand V? Vous avez, les autres forumeurs aussi, le droit d'en débattre et de tailler ma propre argumentation en pièces. Je ne vois pourquoi on se met à dos les Qcois natifs d'ici ou pas, ou les autres partis puisqu'il y a un constat général comme le fait remarquer Mme Laurence Nadeau sur ce forum http://www.immigrer.com/actualite/5213/extraits-de-la-conference-de-laurence-nadeau-a-ecarrieres Tant mieux si ça fera bouger les choses et que les autres partis trouveront anormal qu'un immigrant doit laisser ses diplômes de côté pour vivre ici s'il y reste. De toute façon de quoi parle-t-on, même un camioneur français n'a pas trouvé de travail, il a dû retourner (entre temps il a perdu 100000$). L'employeur avait du culot de dire que ce français n'avait pas l'expérience canadienne (il ne connaissait pas la région)..., LOL! Comme on dit que les stagiaires échouent leurs stages à cause de problème de comportement et d'attitude; ça aussi c'est LOL. J'ai lu qu'ELF a effectué 1250 hrs sans aucun salaire, harcelé et navait pas reçu le permis. Est-ce norma; tout ça? Y-a-t'il un seul parti qui en parle ou s'en occupe? Pas de problème avec la divergence d'opinion, et encore une fois il ne s'agit pas d'un parti distinct, il y en a déjà assez aux frais de nos impôts (nos= contribuables). Citer
Habitués Kweli Posté(e) 26 juin 2013 Habitués Posté(e) 26 juin 2013 Non, je ne trouve pas normal la plupart des choses que tu énonces. Mais si on devait fonder un parti politique pour toutes les choses qui ne sont pas normales dans cette province, il y aurait autant de partis que de problèmes, alors ... Et non, je ne trouve pas normal qu'aucun parti politique ne s'en occupe pas vraiment, que ce soit au provincial ou au fédéral. Mais je pense aussi que les torts sont partagés: pourquoi les immigrants eux-mêmes ne s'impliquent-ils pas dans les partis déjà existants pour se faire entendre? Tu étais là en 1995, et tu sais que l'implication des immigrants a fait une différence dans le référendum. Où est passé leur implication après 1995? Citer
Habitués Addicttotravel Posté(e) 26 juin 2013 Habitués Posté(e) 26 juin 2013 Non, je ne trouve pas normal la plupart des choses que tu énonces. Mais si on devait fonder un parti politique pour toutes les choses qui ne sont pas normales dans cette province, il y aurait autant de partis que de problèmes, alors ... Et non, je ne trouve pas normal qu'aucun parti politique ne s'en occupe pas vraiment, que ce soit au provincial ou au fédéral. Mais je pense aussi que les torts sont partagés: pourquoi les immigrants eux-mêmes ne s'impliquent-ils pas dans les partis déjà existants pour se faire entendre? Tu étais là en 1995, et tu sais que l'implication des immigrants a fait une différence dans le référendum. Où est passé leur implication après 1995? je suis peut etre naive mais il y a un commencement a tout, les denoncer c'est deja un bon debut puis rencontrer les partis, parler aux deputes et si ca marche pas; Le faire soit meme. Lotus01 a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Lotus01 Posté(e) 27 juin 2013 Habitués Posté(e) 27 juin 2013 La réponse est simple, l'Internet est là (ils peuvent se renseigner) alors ils n'ont qu'à ne plus venir et travailler à construire leur pays si honnête, pourvoyeur de liberté, de Droits humains, où leur diplôme et expéreince de travail seront reconnus à leur juste valeur, ils vont économiser en n'ayant pas à payer d'équivalences etc! Ils sont intelligents et en plus ils ont l'Internet, ils sont en théorie formés et dans bien des cas à l'université alors cela ne prend pas la tête de Papineau pour faire une simple recherche! Je ne peux pas croire que la personne qui attend son acceptation pendant 2 ou 4 ans, reste chez-elle à attendre les 2 bras croisés. Je ne comprends pas cette logique : 1) Je sais que mon diplôme ne sera pas reconnu 2) Je sais que je vais devoir prendre des cours donc payer pour ces cours 3) Je sais que ma profession relève d'un Ordre donc je vais devoir respecter ses règles 4) Je sais que je n'aime pas ces Ordres 5) Je sais que mon expérience de travail ne sera pas reconnu 6) Je sais que je vais recommencer au bas de l'échelle 5) Je sais que je vais vivre dans une culture Nord Américaine 7) Je sais que je n'aime pas cette culture 8) Je sais que je vais devoir parler anglais pour trouver un travail (surtout à Montréal car il semble n'y avoir que cette ville pour la majorité des immigrants) 9) Je sais que je ne parle pas anglais donc problèmes pour me trouver un travail 10) Je sais que le téléphone, l'Internet etc. sont plus chers 11) Je sais que je n'aime pas payer plus pour ces biens et services 12) Je sais qu'il y est difficile de se faire des amis (je m'en faisais si facilement dans mon pays) 13) Je sais que c'est une culture qui semble plus individualiste 14) Je sais que je n'aime pas l'individualisme 15) Je sais que selon les dires, les immigrants sont payés moins cher 16) Je sais que les conditions de travail ne seront pas les mêmes et que je vais recommencer dans bien des cas à faire des quarts de travail, le dernier à choisir mes dates de vacances etc. 17) Je n'aime pas faire des quarts de travail, j'en ai fait assez dans mon pays quand j'ai débuté Alors pourquoi vouloir immigrer au Canada? Pourtant les dépliants, les annonces tous ont venté le Canada, je les ai crus dur comme fer et je n'ai rien vérifié! Je crois que c'est le premier commentaire à cadrer entièrement avec le thème et le texte de départ. Le futur immigrant ne fait souvent pas une analyse rationnelle de tous les paramètres en sa possession, ou plus répréhensible encore, peut-être ne fait-il même pas l'effort d'en avoir un maximum en sa possession, ce qui dénoterait d'une démarche très mal planifiée. Il ne se peut que l'échec incombe qu'au Québec, seul... Et ma démarche n'est pas de dédouaner la politique d'immigration prônée par le Québec... J'ai longtemps et à maintes reprises décrié la non-reconnaissance des diplômes, soulignant qu'elle freinait l'intégration des immigrants et qu'au final elle ne servait vraiment ni l'une , ni l'autre des parties. Cependant, Il y a des normes, des règles établies, que l'immigrant est censé connaître, avoir admis puisqu'il accepte ( malgré tout ) de venir s'installer au Québec, et qu'il est donc censé devoir respecter, sans être effarouché... Il y aura des démarches à entreprendre, des remises à niveau pour certains, des apprentissages de langues pour d'autres, etc... Il faudra donc y consacrer de l'énergie, du temps et de l'argent... Ceci fait, il faudra attaquer un marché du travail, et fort probablement se retrouver en compétition avec des Québécois, rompus aux usages locaux, probablement détenteurs d'expériences antérieures Québécoises, fortement appréciées par les employeurs, ou/et d'autres immigrants, dont certains arrivés bien avant, avec peut- être quelques atouts en plus ( cartes de compétences ou autres...). Ils auront donc une longueur d'avance, mais la situation n'est pas insurmontable. Sauf si on baisse d'emblée les bras ... Je partage cette analyse et permettez-moi d'apporter ce qui suit. L'obstacle à l'intégration c'est d'empêcher l'immigrant d'accéder à sa profession. Une fois qu'il y accède (s'il arrive), qu'il bâtisse son réseau, qu'il comprenne comment ça fonctionne, etc., il finit par obtenir l’emploi. La preuve est que nous sommes tous passés par là, et ceux qui sont restés l’ont eu. En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. - Trouvez-vous normal qu’en 2009/2010 les Lois de la CNT (Art.2 et Art.77) changent afin que les stagiaires ne soient plus être rémunérés aux stages? - Trouvez-vous normal qu'on mandate soi-disant un commissaire aux plaintes à l'office des profession et que même si cette page http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/ dit : ''Sachez que les personnes qui tentent d’obtenir un permis d’exercice auprès d’un ordre professionnel et qui sont insatisfaites de la façon dont leur demande est traitée par cet ordre ont désormais un recours gratuit et accessible." et bien le commissaire dit que les blocages aux stages ne font pas partie de son mandat, qui s'arrête à la reconnaissance. N’est-ce pas erroné? C'est pourtant F(formation) + S(stage) = Permis d'exercice. Non? - Et vous aurez compris que le gouvernement a juste utilisé la carte de l'immigrant pour justifier auprès des contribuables l'octroie des Millions donnés aux Ordres Prof., prétendant http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/: ''Pour Le Québec veut favoriser la meilleure intégration possible des professionnels compétents formés hors de son territoire. Or, certaines personnes formées hors du Québec font face à des difficultés dans leurs démarches pour faire reconnaître leurs compétences professionnelles" Il n’y a rien là. Les universités sont déficitaires (on se rappelle que le gouvernement voulait mettre la main dans la poche des étudiants) alors ces Millions, c'est juste pour que les Ordres reconnaissent les diplômes, permettre aux immigrants de s'inscrire aux universités, payer 10-15000$ de leurs poches, et ensuite, les bloquer aux stages, et le protectionnisme reste en place. S’il y a un point sur lequel les immigrants ont des droits c’est par rapport à la reconnaissance de leur diplômes à la base desquels ils ont été sélectionnés. Il y a des Lois, des droits, des recours collectifs, des syndicats et pourquoi pas un BLOC (et non un parti) qui va défendre leurs droits auprès des autres partis qui les ignorent. Autrement, continuer à blâmer le gouvernement par rapport au chômage, ce n'est pas la formule gagnante; ça ne fait que lui donner la légitimité de puiser dans la poche des contribuables faisant croire que c'est pour intéger les immigrants. S'il a la vraie volonté de les intégrer, il ne faut pas qu'il les défavorise en partant sur le marché de l'emploi. Comment voulez-vous postuler en tant qu'ingénieur, comptable, etc., si vous n'avez pas le diplôme qui va avec? Et sont dans l'esprit de toute la société que les diplômes d'immigrants valent ZERO. Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 27 juin 2013 Habitués Posté(e) 27 juin 2013 La réponse est simple, l'Internet est là (ils peuvent se renseigner) alors ils n'ont qu'à ne plus venir et travailler à construire leur pays si honnête, pourvoyeur de liberté, de Droits humains, où leur diplôme et expéreince de travail seront reconnus à leur juste valeur, ils vont économiser en n'ayant pas à payer d'équivalences etc! Ils sont intelligents et en plus ils ont l'Internet, ils sont en théorie formés et dans bien des cas à l'université alors cela ne prend pas la tête de Papineau pour faire une simple recherche! Je ne peux pas croire que la personne qui attend son acceptation pendant 2 ou 4 ans, reste chez-elle à attendre les 2 bras croisés. Je ne comprends pas cette logique : 1) Je sais que mon diplôme ne sera pas reconnu 2) Je sais que je vais devoir prendre des cours donc payer pour ces cours 3) Je sais que ma profession relève d'un Ordre donc je vais devoir respecter ses règles 4) Je sais que je n'aime pas ces Ordres 5) Je sais que mon expérience de travail ne sera pas reconnu 6) Je sais que je vais recommencer au bas de l'échelle 5) Je sais que je vais vivre dans une culture Nord Américaine 7) Je sais que je n'aime pas cette culture 8) Je sais que je vais devoir parler anglais pour trouver un travail (surtout à Montréal car il semble n'y avoir que cette ville pour la majorité des immigrants) 9) Je sais que je ne parle pas anglais donc problèmes pour me trouver un travail 10) Je sais que le téléphone, l'Internet etc. sont plus chers 11) Je sais que je n'aime pas payer plus pour ces biens et services 12) Je sais qu'il y est difficile de se faire des amis (je m'en faisais si facilement dans mon pays) 13) Je sais que c'est une culture qui semble plus individualiste 14) Je sais que je n'aime pas l'individualisme 15) Je sais que selon les dires, les immigrants sont payés moins cher 16) Je sais que les conditions de travail ne seront pas les mêmes et que je vais recommencer dans bien des cas à faire des quarts de travail, le dernier à choisir mes dates de vacances etc. 17) Je n'aime pas faire des quarts de travail, j'en ai fait assez dans mon pays quand j'ai débuté Alors pourquoi vouloir immigrer au Canada? Pourtant les dépliants, les annonces tous ont venté le Canada, je les ai crus dur comme fer et je n'ai rien vérifié! Je crois que c'est le premier commentaire à cadrer entièrement avec le thème et le texte de départ. Le futur immigrant ne fait souvent pas une analyse rationnelle de tous les paramètres en sa possession, ou plus répréhensible encore, peut-être ne fait-il même pas l'effort d'en avoir un maximum en sa possession, ce qui dénoterait d'une démarche très mal planifiée. Il ne se peut que l'échec incombe qu'au Québec, seul... Et ma démarche n'est pas de dédouaner la politique d'immigration prônée par le Québec... J'ai longtemps et à maintes reprises décrié la non-reconnaissance des diplômes, soulignant qu'elle freinait l'intégration des immigrants et qu'au final elle ne servait vraiment ni l'une , ni l'autre des parties. Cependant, Il y a des normes, des règles établies, que l'immigrant est censé connaître, avoir admis puisqu'il accepte ( malgré tout ) de venir s'installer au Québec, et qu'il est donc censé devoir respecter, sans être effarouché... Il y aura des démarches à entreprendre, des remises à niveau pour certains, des apprentissages de langues pour d'autres, etc... Il faudra donc y consacrer de l'énergie, du temps et de l'argent... Ceci fait, il faudra attaquer un marché du travail, et fort probablement se retrouver en compétition avec des Québécois, rompus aux usages locaux, probablement détenteurs d'expériences antérieures Québécoises, fortement appréciées par les employeurs, ou/et d'autres immigrants, dont certains arrivés bien avant, avec peut- être quelques atouts en plus ( cartes de compétences ou autres...). Ils auront donc une longueur d'avance, mais la situation n'est pas insurmontable. Sauf si on baisse d'emblée les bras ... Je partage cette analyse et permettez-moi d'apporter ce qui suit. L'obstacle à l'intégration c'est d'empêcher l'immigrant d'accéder à sa profession. Une fois qu'il y accède (s'il arrive), qu'il bâtisse son réseau, qu'il comprenne comment ça fonctionne, etc., il finit par obtenir l’emploi. La preuve est que nous sommes tous passés par là, et ceux qui sont restés l’ont eu. En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. - Trouvez-vous normal qu’en 2009/2010 les Lois de la CNT (Art.2 et Art.77) changent afin que les stagiaires ne soient plus être rémunérés aux stages? - Trouvez-vous normal qu'on mandate soi-disant un commissaire aux plaintes à l'office des profession et que même si cette page http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/ dit : ''Sachez que les personnes qui tentent d’obtenir un permis d’exercice auprès d’un ordre professionnel et qui sont insatisfaites de la façon dont leur demande est traitée par cet ordre ont désormais un recours gratuit et accessible." et bien le commissaire dit que les blocages aux stages ne font pas partie de son mandat, qui s'arrête à la reconnaissance. N’est-ce pas erroné? C'est pourtant F(formation) + S(stage) = Permis d'exercice. Non? - Et vous aurez compris que le gouvernement a juste utilisé la carte de l'immigrant pour justifier auprès des contribuables l'octroie des Millions donnés aux Ordres Prof., prétendant http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/: ''Pour Le Québec veut favoriser la meilleure intégration possible des professionnels compétents formés hors de son territoire. Or, certaines personnes formées hors du Québec font face à des difficultés dans leurs démarches pour faire reconnaître leurs compétences professionnelles" Il n’y a rien là. Les universités sont déficitaires (on se rappelle que le gouvernement voulait mettre la main dans la poche des étudiants) alors ces Millions, c'est juste pour que les Ordres reconnaissent les diplômes, permettre aux immigrants de s'inscrire aux universités, payer 10-15000$ de leurs poches, et ensuite, les bloquer aux stages, et le protectionnisme reste en place. S’il y a un point sur lequel les immigrants ont des droits c’est par rapport à la reconnaissance de leur diplômes à la base desquels ils ont été sélectionnés. Il y a des Lois, des droits, des recours collectifs, des syndicats et pourquoi pas un BLOC (et non un parti) qui va défendre leurs droits auprès des autres partis qui les ignorent. Autrement, continuer à blâmer le gouvernement par rapport au chômage, ce n'est pas la formule gagnante; ça ne fait que lui donner la légitimité de puiser dans la poche des contribuables faisant croire que c'est pour intéger les immigrants. S'il a la vraie volonté de les intégrer, il ne faut pas qu'il les défavorise en partant sur le marché de l'emploi. Comment voulez-vous postuler en tant qu'ingénieur, comptable, etc., si vous n'avez pas le diplôme qui va avec? Et sont dans l'esprit de toute la société que les diplômes d'immigrants valent ZERO. Je te cite : " En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. " Vision encore une fois réductrice... En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent que cela est politiquement imposé . Basta. Citer
Habitués Lotus01 Posté(e) 27 juin 2013 Habitués Posté(e) 27 juin 2013 Tu confonds parti politique et groupe de pression. Le Bloc Québécois défendait les intérêts de tous les Québécois même si tous les Québécois ne s'y reconnaissaient pas. Ce parti était ouvert à tous contrairement à celui que tu espères, fondé exclusivement sur le statut d'immigrant. Et puis, tous les immigrants ne partagent pas la même sensibilité politique selon le spectre établi (gauche-droite). Juste une précision: les immigrants ont besoin d'une entité, peu importe le statut juridique, qui les défend. Je rappelle qu'à la dernière campagne, Mr. Feu Jack Layton a interpellé justement Mr. Duceppe sur l'injustice sociale envers les minorités, mais c'est comme si c'était une question tabou, à peine les media s'ils n'ont pas coupé ce morceau là. Malgré tout, cela a attiré l'attention de pas mal d'immigrants et ceux qui l'ont entendu et pouvaient voter, ils ont voté NPD juste pour cela. Tant mieux si tout d'un coup les autres partis le saisissent et s'intéressent aux immigrants, rétablissent leurs droits, les traitent avec dignité et respect. Des partis qui admettent qu'un medecin devienne dépanneur pendant que des citoyens n'ont pas de medecin de famille, une femme accouche dans la salle et prend le bébé jusqu'à la réception, un homme qui attend des heures et succombe à sa crise cardiaque, etc., Je trouve même incroyable que ces politiciens n'ont pas honte: - ils ne sont pas sourds mais ils n'entendent pas, - ils ne sont pas aveugles mais ils ne voient, - ils sont qualifiés mais ils font les stupides, IL FAUT QUE CHANGE. Citer
Habitués Lotus01 Posté(e) 27 juin 2013 Habitués Posté(e) 27 juin 2013 La réponse est simple, l'Internet est là (ils peuvent se renseigner) alors ils n'ont qu'à ne plus venir et travailler à construire leur pays si honnête, pourvoyeur de liberté, de Droits humains, où leur diplôme et expéreince de travail seront reconnus à leur juste valeur, ils vont économiser en n'ayant pas à payer d'équivalences etc! Ils sont intelligents et en plus ils ont l'Internet, ils sont en théorie formés et dans bien des cas à l'université alors cela ne prend pas la tête de Papineau pour faire une simple recherche! Je ne peux pas croire que la personne qui attend son acceptation pendant 2 ou 4 ans, reste chez-elle à attendre les 2 bras croisés. Je ne comprends pas cette logique : 1) Je sais que mon diplôme ne sera pas reconnu 2) Je sais que je vais devoir prendre des cours donc payer pour ces cours 3) Je sais que ma profession relève d'un Ordre donc je vais devoir respecter ses règles 4) Je sais que je n'aime pas ces Ordres 5) Je sais que mon expérience de travail ne sera pas reconnu 6) Je sais que je vais recommencer au bas de l'échelle 5) Je sais que je vais vivre dans une culture Nord Américaine 7) Je sais que je n'aime pas cette culture 8) Je sais que je vais devoir parler anglais pour trouver un travail (surtout à Montréal car il semble n'y avoir que cette ville pour la majorité des immigrants) 9) Je sais que je ne parle pas anglais donc problèmes pour me trouver un travail 10) Je sais que le téléphone, l'Internet etc. sont plus chers 11) Je sais que je n'aime pas payer plus pour ces biens et services 12) Je sais qu'il y est difficile de se faire des amis (je m'en faisais si facilement dans mon pays) 13) Je sais que c'est une culture qui semble plus individualiste 14) Je sais que je n'aime pas l'individualisme 15) Je sais que selon les dires, les immigrants sont payés moins cher 16) Je sais que les conditions de travail ne seront pas les mêmes et que je vais recommencer dans bien des cas à faire des quarts de travail, le dernier à choisir mes dates de vacances etc. 17) Je n'aime pas faire des quarts de travail, j'en ai fait assez dans mon pays quand j'ai débuté Alors pourquoi vouloir immigrer au Canada? Pourtant les dépliants, les annonces tous ont venté le Canada, je les ai crus dur comme fer et je n'ai rien vérifié! Je crois que c'est le premier commentaire à cadrer entièrement avec le thème et le texte de départ. Le futur immigrant ne fait souvent pas une analyse rationnelle de tous les paramètres en sa possession, ou plus répréhensible encore, peut-être ne fait-il même pas l'effort d'en avoir un maximum en sa possession, ce qui dénoterait d'une démarche très mal planifiée. Il ne se peut que l'échec incombe qu'au Québec, seul... Et ma démarche n'est pas de dédouaner la politique d'immigration prônée par le Québec... J'ai longtemps et à maintes reprises décrié la non-reconnaissance des diplômes, soulignant qu'elle freinait l'intégration des immigrants et qu'au final elle ne servait vraiment ni l'une , ni l'autre des parties. Cependant, Il y a des normes, des règles établies, que l'immigrant est censé connaître, avoir admis puisqu'il accepte ( malgré tout ) de venir s'installer au Québec, et qu'il est donc censé devoir respecter, sans être effarouché... Il y aura des démarches à entreprendre, des remises à niveau pour certains, des apprentissages de langues pour d'autres, etc... Il faudra donc y consacrer de l'énergie, du temps et de l'argent... Ceci fait, il faudra attaquer un marché du travail, et fort probablement se retrouver en compétition avec des Québécois, rompus aux usages locaux, probablement détenteurs d'expériences antérieures Québécoises, fortement appréciées par les employeurs, ou/et d'autres immigrants, dont certains arrivés bien avant, avec peut- être quelques atouts en plus ( cartes de compétences ou autres...). Ils auront donc une longueur d'avance, mais la situation n'est pas insurmontable. Sauf si on baisse d'emblée les bras ... Je partage cette analyse et permettez-moi d'apporter ce qui suit. L'obstacle à l'intégration c'est d'empêcher l'immigrant d'accéder à sa profession. Une fois qu'il y accède (s'il arrive), qu'il bâtisse son réseau, qu'il comprenne comment ça fonctionne, etc., il finit par obtenir l’emploi. La preuve est que nous sommes tous passés par là, et ceux qui sont restés l’ont eu. En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. - Trouvez-vous normal qu’en 2009/2010 les Lois de la CNT (Art.2 et Art.77) changent afin que les stagiaires ne soient plus être rémunérés aux stages? - Trouvez-vous normal qu'on mandate soi-disant un commissaire aux plaintes à l'office des profession et que même si cette page http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/ dit : ''Sachez que les personnes qui tentent d’obtenir un permis d’exercice auprès d’un ordre professionnel et qui sont insatisfaites de la façon dont leur demande est traitée par cet ordre ont désormais un recours gratuit et accessible." et bien le commissaire dit que les blocages aux stages ne font pas partie de son mandat, qui s'arrête à la reconnaissance. N’est-ce pas erroné? C'est pourtant F(formation) + S(stage) = Permis d'exercice. Non? - Et vous aurez compris que le gouvernement a juste utilisé la carte de l'immigrant pour justifier auprès des contribuables l'octroie des Millions donnés aux Ordres Prof., prétendant http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/: ''Pour Le Québec veut favoriser la meilleure intégration possible des professionnels compétents formés hors de son territoire. Or, certaines personnes formées hors du Québec font face à des difficultés dans leurs démarches pour faire reconnaître leurs compétences professionnelles" Il n’y a rien là. Les universités sont déficitaires (on se rappelle que le gouvernement voulait mettre la main dans la poche des étudiants) alors ces Millions, c'est juste pour que les Ordres reconnaissent les diplômes, permettre aux immigrants de s'inscrire aux universités, payer 10-15000$ de leurs poches, et ensuite, les bloquer aux stages, et le protectionnisme reste en place. S’il y a un point sur lequel les immigrants ont des droits c’est par rapport à la reconnaissance de leur diplômes à la base desquels ils ont été sélectionnés. Il y a des Lois, des droits, des recours collectifs, des syndicats et pourquoi pas un BLOC (et non un parti) qui va défendre leurs droits auprès des autres partis qui les ignorent. Autrement, continuer à blâmer le gouvernement par rapport au chômage, ce n'est pas la formule gagnante; ça ne fait que lui donner la légitimité de puiser dans la poche des contribuables faisant croire que c'est pour intéger les immigrants. S'il a la vraie volonté de les intégrer, il ne faut pas qu'il les défavorise en partant sur le marché de l'emploi. Comment voulez-vous postuler en tant qu'ingénieur, comptable, etc., si vous n'avez pas le diplôme qui va avec? Et sont dans l'esprit de toute la société que les diplômes d'immigrants valent ZERO. Je te cite : " En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. " Vision encore une fois réductrice... En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent que cela est politiquement imposé . Basta. Ah Oui. S'ils le faisaient et que ça aboutisse, qu'ils finissent par une licence en poche, je veux bien, mais quand ils suivent la formation d'appoint, pour juste ajouter un certificat aux diplômes qu'ils ont déjà, alors, je m'excuse, c'est une connerie Point. Il va sans dire que mon commentaire n'est pas par rapport à ceux qui se convertissent dans une autre formation. Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 27 juin 2013 Habitués Posté(e) 27 juin 2013 (modifié) La réponse est simple, l'Internet est là (ils peuvent se renseigner) alors ils n'ont qu'à ne plus venir et travailler à construire leur pays si honnête, pourvoyeur de liberté, de Droits humains, où leur diplôme et expéreince de travail seront reconnus à leur juste valeur, ils vont économiser en n'ayant pas à payer d'équivalences etc! Ils sont intelligents et en plus ils ont l'Internet, ils sont en théorie formés et dans bien des cas à l'université alors cela ne prend pas la tête de Papineau pour faire une simple recherche! Je ne peux pas croire que la personne qui attend son acceptation pendant 2 ou 4 ans, reste chez-elle à attendre les 2 bras croisés. Je ne comprends pas cette logique : 1) Je sais que mon diplôme ne sera pas reconnu 2) Je sais que je vais devoir prendre des cours donc payer pour ces cours 3) Je sais que ma profession relève d'un Ordre donc je vais devoir respecter ses règles 4) Je sais que je n'aime pas ces Ordres 5) Je sais que mon expérience de travail ne sera pas reconnu 6) Je sais que je vais recommencer au bas de l'échelle 5) Je sais que je vais vivre dans une culture Nord Américaine 7) Je sais que je n'aime pas cette culture 8) Je sais que je vais devoir parler anglais pour trouver un travail (surtout à Montréal car il semble n'y avoir que cette ville pour la majorité des immigrants) 9) Je sais que je ne parle pas anglais donc problèmes pour me trouver un travail 10) Je sais que le téléphone, l'Internet etc. sont plus chers 11) Je sais que je n'aime pas payer plus pour ces biens et services 12) Je sais qu'il y est difficile de se faire des amis (je m'en faisais si facilement dans mon pays) 13) Je sais que c'est une culture qui semble plus individualiste 14) Je sais que je n'aime pas l'individualisme 15) Je sais que selon les dires, les immigrants sont payés moins cher 16) Je sais que les conditions de travail ne seront pas les mêmes et que je vais recommencer dans bien des cas à faire des quarts de travail, le dernier à choisir mes dates de vacances etc. 17) Je n'aime pas faire des quarts de travail, j'en ai fait assez dans mon pays quand j'ai débuté Alors pourquoi vouloir immigrer au Canada? Pourtant les dépliants, les annonces tous ont venté le Canada, je les ai crus dur comme fer et je n'ai rien vérifié! Je crois que c'est le premier commentaire à cadrer entièrement avec le thème et le texte de départ. Le futur immigrant ne fait souvent pas une analyse rationnelle de tous les paramètres en sa possession, ou plus répréhensible encore, peut-être ne fait-il même pas l'effort d'en avoir un maximum en sa possession, ce qui dénoterait d'une démarche très mal planifiée. Il ne se peut que l'échec incombe qu'au Québec, seul... Et ma démarche n'est pas de dédouaner la politique d'immigration prônée par le Québec... J'ai longtemps et à maintes reprises décrié la non-reconnaissance des diplômes, soulignant qu'elle freinait l'intégration des immigrants et qu'au final elle ne servait vraiment ni l'une , ni l'autre des parties. Cependant, Il y a des normes, des règles établies, que l'immigrant est censé connaître, avoir admis puisqu'il accepte ( malgré tout ) de venir s'installer au Québec, et qu'il est donc censé devoir respecter, sans être effarouché... Il y aura des démarches à entreprendre, des remises à niveau pour certains, des apprentissages de langues pour d'autres, etc... Il faudra donc y consacrer de l'énergie, du temps et de l'argent... Ceci fait, il faudra attaquer un marché du travail, et fort probablement se retrouver en compétition avec des Québécois, rompus aux usages locaux, probablement détenteurs d'expériences antérieures Québécoises, fortement appréciées par les employeurs, ou/et d'autres immigrants, dont certains arrivés bien avant, avec peut- être quelques atouts en plus ( cartes de compétences ou autres...). Ils auront donc une longueur d'avance, mais la situation n'est pas insurmontable. Sauf si on baisse d'emblée les bras ... Je partage cette analyse et permettez-moi d'apporter ce qui suit. L'obstacle à l'intégration c'est d'empêcher l'immigrant d'accéder à sa profession. Une fois qu'il y accède (s'il arrive), qu'il bâtisse son réseau, qu'il comprenne comment ça fonctionne, etc., il finit par obtenir l’emploi. La preuve est que nous sommes tous passés par là, et ceux qui sont restés l’ont eu. En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. - Trouvez-vous normal qu’en 2009/2010 les Lois de la CNT (Art.2 et Art.77) changent afin que les stagiaires ne soient plus être rémunérés aux stages? - Trouvez-vous normal qu'on mandate soi-disant un commissaire aux plaintes à l'office des profession et que même si cette page http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/ dit : ''Sachez que les personnes qui tentent d’obtenir un permis d’exercice auprès d’un ordre professionnel et qui sont insatisfaites de la façon dont leur demande est traitée par cet ordre ont désormais un recours gratuit et accessible." et bien le commissaire dit que les blocages aux stages ne font pas partie de son mandat, qui s'arrête à la reconnaissance. N’est-ce pas erroné? C'est pourtant F(formation) + S(stage) = Permis d'exercice. Non? - Et vous aurez compris que le gouvernement a juste utilisé la carte de l'immigrant pour justifier auprès des contribuables l'octroie des Millions donnés aux Ordres Prof., prétendant http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/: ''Pour Le Québec veut favoriser la meilleure intégration possible des professionnels compétents formés hors de son territoire. Or, certaines personnes formées hors du Québec font face à des difficultés dans leurs démarches pour faire reconnaître leurs compétences professionnelles" Il n’y a rien là. Les universités sont déficitaires (on se rappelle que le gouvernement voulait mettre la main dans la poche des étudiants) alors ces Millions, c'est juste pour que les Ordres reconnaissent les diplômes, permettre aux immigrants de s'inscrire aux universités, payer 10-15000$ de leurs poches, et ensuite, les bloquer aux stages, et le protectionnisme reste en place. S’il y a un point sur lequel les immigrants ont des droits c’est par rapport à la reconnaissance de leur diplômes à la base desquels ils ont été sélectionnés. Il y a des Lois, des droits, des recours collectifs, des syndicats et pourquoi pas un BLOC (et non un parti) qui va défendre leurs droits auprès des autres partis qui les ignorent. Autrement, continuer à blâmer le gouvernement par rapport au chômage, ce n'est pas la formule gagnante; ça ne fait que lui donner la légitimité de puiser dans la poche des contribuables faisant croire que c'est pour intéger les immigrants. S'il a la vraie volonté de les intégrer, il ne faut pas qu'il les défavorise en partant sur le marché de l'emploi. Comment voulez-vous postuler en tant qu'ingénieur, comptable, etc., si vous n'avez pas le diplôme qui va avec? Et sont dans l'esprit de toute la société que les diplômes d'immigrants valent ZERO. Je te cite : " En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. " Vision encore une fois réductrice... En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent que cela est politiquement imposé . Basta. Ah Oui. S'ils le faisaient et que ça aboutisse, qu'ils finissent par une licence en poche, je veux bien, mais quand ils suivent la formation d'appoint, pour juste ajouter un certificat aux diplômes qu'ils ont déjà, alors, je m'excuse, c'est une connerie Point. Il va sans dire que mon commentaire n'est pas par rapport à ceux qui se convertissent dans une autre formation. Tu crois vraiment qu'un immigrant bardé de diplômes, a du temps à perdre a refaire un long cursus scolaire , surtout lorsqu'il est responsable d'une famille l'ayant accompagnée au Québec ? Le comble du travailleur qualifié... La priorité des priorités est d'intégrer rapidement le marché du travail, et une formation de courte durée est tout à fait recommandée, car elle constitue la clé qui fera reconnaître les compétences acquises sous d'autres cieux... De là à conclure qu'il s'agit d'une connerie, je crois plutôt que la connerie est ailleurs... IL est bien évident, au vu ton statut, que tu ne peux ( ou n'arrive ) pas ( à ) te mettre dans la peau d'un immigrant, et comprendre les raisons qui sous-tendent certains de ces choix, qui ne peuvent en ce cas qu'être ceux de la raison : un choix rationnel, celui d'une solution efficace. Point, comme tu le dis si bien... Modifié 27 juin 2013 par futurquébecois Citer
Habitués Lotus01 Posté(e) 27 juin 2013 Habitués Posté(e) 27 juin 2013 Non, je ne trouve pas normal la plupart des choses que tu énonces. Mais si on devait fonder un parti politique pour toutes les choses qui ne sont pas normales dans cette province, il y aurait autant de partis que de problèmes, alors ... IL Y A BCQ DE PROBLÈMES MAIS CEUX DES IMMIGRANTS (PRINCIPALEMENT LA RECONNAISSANCE DE LEURS COMPÉTENCES) SONT SPÉCIFIQUES. Et non, je ne trouve pas normal qu'aucun parti politique ne s'en occupe pas vraiment, que ce soit au provincial ou au fédéral. Mais je pense aussi que les torts sont partagés: pourquoi les immigrants eux-mêmes ne s'impliquent-ils pas dans les partis déjà existants pour se faire entendre? S'IMPLIQUER OUI MAIS ÇA PREND 25000$? POUR DÉPOSER UNE CANDIDATURE DE DÉPUTÉ, ET SOUVENT L'IMMIGRANT EST PARACHUTÉ DANS UNE CIRCONSCRIPTION RISQUÉE OU PERDANTE POUR LE PARTI. ET SI TOUTEFOIS, IL EST ÉLU, CE DÉPUTÉ N'AMÈNE PAS SON PROGRAMME, IL SUIT CELUI DU PARTI QUI N'A RIEN POUR LES IMMIGRANTS. CHYANGE RIEN: PARCE QUE CE N'EST PAS AU MENU DU PARTI. ÇA PREND UNE ENTITÉ AVEC UN MANDAT CLAIR, RETABLIR L'INJUSTICE FAIRE RESPECTER LES ENGAGEMENTS DU GOUVERNEMENT ENVERS LES IMMIGRANTS QUE LUI-MÊME SÉLECTIONNE. Tu étais là en 1995, et tu sais que l'implication des immigrants a fait une différence dans le référendum. Où est passé leur implication après 1995? VOTER NON NE VEUT PAS DIRE S'ÊTRE IMPLIQUÉ. je suis peut etre naive mais il y a un commencement a tout, les denoncer c'est deja un bon debut puis rencontrer les partis, parler aux deputes et si ca marche pas; Le faire soit meme. MERCI POUR CETTE OUVERTURE, ET SI ON VEUT QUE ÇA CHANGE IL FAUT AU MOINS QU'ON DISCUTE, PARTIR DE QUELQUE PART. Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 27 juin 2013 Habitués Posté(e) 27 juin 2013 La réponse est simple, l'Internet est là (ils peuvent se renseigner) alors ils n'ont qu'à ne plus venir et travailler à construire leur pays si honnête, pourvoyeur de liberté, de Droits humains, où leur diplôme et expéreince de travail seront reconnus à leur juste valeur, ils vont économiser en n'ayant pas à payer d'équivalences etc! Ils sont intelligents et en plus ils ont l'Internet, ils sont en théorie formés et dans bien des cas à l'université alors cela ne prend pas la tête de Papineau pour faire une simple recherche! Je ne peux pas croire que la personne qui attend son acceptation pendant 2 ou 4 ans, reste chez-elle à attendre les 2 bras croisés. Je ne comprends pas cette logique : 1) Je sais que mon diplôme ne sera pas reconnu 2) Je sais que je vais devoir prendre des cours donc payer pour ces cours 3) Je sais que ma profession relève d'un Ordre donc je vais devoir respecter ses règles 4) Je sais que je n'aime pas ces Ordres 5) Je sais que mon expérience de travail ne sera pas reconnu 6) Je sais que je vais recommencer au bas de l'échelle 5) Je sais que je vais vivre dans une culture Nord Américaine 7) Je sais que je n'aime pas cette culture 8) Je sais que je vais devoir parler anglais pour trouver un travail (surtout à Montréal car il semble n'y avoir que cette ville pour la majorité des immigrants) 9) Je sais que je ne parle pas anglais donc problèmes pour me trouver un travail 10) Je sais que le téléphone, l'Internet etc. sont plus chers 11) Je sais que je n'aime pas payer plus pour ces biens et services 12) Je sais qu'il y est difficile de se faire des amis (je m'en faisais si facilement dans mon pays) 13) Je sais que c'est une culture qui semble plus individualiste 14) Je sais que je n'aime pas l'individualisme 15) Je sais que selon les dires, les immigrants sont payés moins cher 16) Je sais que les conditions de travail ne seront pas les mêmes et que je vais recommencer dans bien des cas à faire des quarts de travail, le dernier à choisir mes dates de vacances etc. 17) Je n'aime pas faire des quarts de travail, j'en ai fait assez dans mon pays quand j'ai débuté Alors pourquoi vouloir immigrer au Canada? Pourtant les dépliants, les annonces tous ont venté le Canada, je les ai crus dur comme fer et je n'ai rien vérifié! Je crois que c'est le premier commentaire à cadrer entièrement avec le thème et le texte de départ. Le futur immigrant ne fait souvent pas une analyse rationnelle de tous les paramètres en sa possession, ou plus répréhensible encore, peut-être ne fait-il même pas l'effort d'en avoir un maximum en sa possession, ce qui dénoterait d'une démarche très mal planifiée. Il ne se peut que l'échec incombe qu'au Québec, seul... Et ma démarche n'est pas de dédouaner la politique d'immigration prônée par le Québec... J'ai longtemps et à maintes reprises décrié la non-reconnaissance des diplômes, soulignant qu'elle freinait l'intégration des immigrants et qu'au final elle ne servait vraiment ni l'une , ni l'autre des parties. Cependant, Il y a des normes, des règles établies, que l'immigrant est censé connaître, avoir admis puisqu'il accepte ( malgré tout ) de venir s'installer au Québec, et qu'il est donc censé devoir respecter, sans être effarouché... Il y aura des démarches à entreprendre, des remises à niveau pour certains, des apprentissages de langues pour d'autres, etc... Il faudra donc y consacrer de l'énergie, du temps et de l'argent... Ceci fait, il faudra attaquer un marché du travail, et fort probablement se retrouver en compétition avec des Québécois, rompus aux usages locaux, probablement détenteurs d'expériences antérieures Québécoises, fortement appréciées par les employeurs, ou/et d'autres immigrants, dont certains arrivés bien avant, avec peut- être quelques atouts en plus ( cartes de compétences ou autres...). Ils auront donc une longueur d'avance, mais la situation n'est pas insurmontable. Sauf si on baisse d'emblée les bras ... Je partage cette analyse et permettez-moi d'apporter ce qui suit. L'obstacle à l'intégration c'est d'empêcher l'immigrant d'accéder à sa profession. Une fois qu'il y accède (s'il arrive), qu'il bâtisse son réseau, qu'il comprenne comment ça fonctionne, etc., il finit par obtenir l’emploi. La preuve est que nous sommes tous passés par là, et ceux qui sont restés l’ont eu. En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. - Trouvez-vous normal qu’en 2009/2010 les Lois de la CNT (Art.2 et Art.77) changent afin que les stagiaires ne soient plus être rémunérés aux stages? - Trouvez-vous normal qu'on mandate soi-disant un commissaire aux plaintes à l'office des profession et que même si cette page http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/ dit : ''Sachez que les personnes qui tentent d’obtenir un permis d’exercice auprès d’un ordre professionnel et qui sont insatisfaites de la façon dont leur demande est traitée par cet ordre ont désormais un recours gratuit et accessible." et bien le commissaire dit que les blocages aux stages ne font pas partie de son mandat, qui s'arrête à la reconnaissance. N’est-ce pas erroné? C'est pourtant F(formation) + S(stage) = Permis d'exercice. Non? - Et vous aurez compris que le gouvernement a juste utilisé la carte de l'immigrant pour justifier auprès des contribuables l'octroie des Millions donnés aux Ordres Prof., prétendant http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/: ''Pour Le Québec veut favoriser la meilleure intégration possible des professionnels compétents formés hors de son territoire. Or, certaines personnes formées hors du Québec font face à des difficultés dans leurs démarches pour faire reconnaître leurs compétences professionnelles" Il n’y a rien là. Les universités sont déficitaires (on se rappelle que le gouvernement voulait mettre la main dans la poche des étudiants) alors ces Millions, c'est juste pour que les Ordres reconnaissent les diplômes, permettre aux immigrants de s'inscrire aux universités, payer 10-15000$ de leurs poches, et ensuite, les bloquer aux stages, et le protectionnisme reste en place. S’il y a un point sur lequel les immigrants ont des droits c’est par rapport à la reconnaissance de leur diplômes à la base desquels ils ont été sélectionnés. Il y a des Lois, des droits, des recours collectifs, des syndicats et pourquoi pas un BLOC (et non un parti) qui va défendre leurs droits auprès des autres partis qui les ignorent. Autrement, continuer à blâmer le gouvernement par rapport au chômage, ce n'est pas la formule gagnante; ça ne fait que lui donner la légitimité de puiser dans la poche des contribuables faisant croire que c'est pour intéger les immigrants. S'il a la vraie volonté de les intégrer, il ne faut pas qu'il les défavorise en partant sur le marché de l'emploi. Comment voulez-vous postuler en tant qu'ingénieur, comptable, etc., si vous n'avez pas le diplôme qui va avec? Et sont dans l'esprit de toute la société que les diplômes d'immigrants valent ZERO. Je te cite : " En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. " Vision encore une fois réductrice... En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent que cela est politiquement imposé . Basta. Ah Oui. S'ils le faisaient et que ça aboutisse, qu'ils finissent par une licence en poche, je veux bien, mais quand ils suivent la formation d'appoint, pour juste ajouter un certificat aux diplômes qu'ils ont déjà, alors, je m'excuse, c'est une connerie Point. Il va sans dire que mon commentaire n'est pas par rapport à ceux qui se convertissent dans une autre formation. Tu crois vraiment qu'un immigrant bardé de diplômes, a du temps à perdre a refaire un long cursus scolaire , surtout lorsqu'il est responsable d'une famille l'ayant accompagnée au Québec ? Le comble du travailleur qualifié... La priorité des priorités est d'intégrer rapidement le marché du travail, et une formation de courte durée est tout à fait recommandée, car elle constitue la clé qui fera reconnaître les compétences acquises sous d'autres cieux... De là à conclure qu'il s'agit d'une connerie, je crois plutôt que la connerie est ailleurs... IL est bien évident, au vu ton statut, que tu ne peux ( ou n'arrive ) pas ( à ) te mettre dans la peau d'un immigrant, et comprendre les raisons qui sous-tendent certains de ces choix, qui ne peuvent en ce cas qu'être ceux de la raison : un choix rationnel, celui d'une solution efficace. Point, comme tu le dis si bien... . Citer
Habitués Lotus01 Posté(e) 27 juin 2013 Habitués Posté(e) 27 juin 2013 La réponse est simple, l'Internet est là (ils peuvent se renseigner) alors ils n'ont qu'à ne plus venir et travailler à construire leur pays si honnête, pourvoyeur de liberté, de Droits humains, où leur diplôme et expéreince de travail seront reconnus à leur juste valeur, ils vont économiser en n'ayant pas à payer d'équivalences etc! Ils sont intelligents et en plus ils ont l'Internet, ils sont en théorie formés et dans bien des cas à l'université alors cela ne prend pas la tête de Papineau pour faire une simple recherche! Je ne peux pas croire que la personne qui attend son acceptation pendant 2 ou 4 ans, reste chez-elle à attendre les 2 bras croisés. Je ne comprends pas cette logique : 1) Je sais que mon diplôme ne sera pas reconnu 2) Je sais que je vais devoir prendre des cours donc payer pour ces cours 3) Je sais que ma profession relève d'un Ordre donc je vais devoir respecter ses règles 4) Je sais que je n'aime pas ces Ordres 5) Je sais que mon expérience de travail ne sera pas reconnu 6) Je sais que je vais recommencer au bas de l'échelle 5) Je sais que je vais vivre dans une culture Nord Américaine 7) Je sais que je n'aime pas cette culture 8) Je sais que je vais devoir parler anglais pour trouver un travail (surtout à Montréal car il semble n'y avoir que cette ville pour la majorité des immigrants) 9) Je sais que je ne parle pas anglais donc problèmes pour me trouver un travail 10) Je sais que le téléphone, l'Internet etc. sont plus chers 11) Je sais que je n'aime pas payer plus pour ces biens et services 12) Je sais qu'il y est difficile de se faire des amis (je m'en faisais si facilement dans mon pays) 13) Je sais que c'est une culture qui semble plus individualiste 14) Je sais que je n'aime pas l'individualisme 15) Je sais que selon les dires, les immigrants sont payés moins cher 16) Je sais que les conditions de travail ne seront pas les mêmes et que je vais recommencer dans bien des cas à faire des quarts de travail, le dernier à choisir mes dates de vacances etc. 17) Je n'aime pas faire des quarts de travail, j'en ai fait assez dans mon pays quand j'ai débuté Alors pourquoi vouloir immigrer au Canada? Pourtant les dépliants, les annonces tous ont venté le Canada, je les ai crus dur comme fer et je n'ai rien vérifié! Je crois que c'est le premier commentaire à cadrer entièrement avec le thème et le texte de départ. Le futur immigrant ne fait souvent pas une analyse rationnelle de tous les paramètres en sa possession, ou plus répréhensible encore, peut-être ne fait-il même pas l'effort d'en avoir un maximum en sa possession, ce qui dénoterait d'une démarche très mal planifiée. Il ne se peut que l'échec incombe qu'au Québec, seul... Et ma démarche n'est pas de dédouaner la politique d'immigration prônée par le Québec... J'ai longtemps et à maintes reprises décrié la non-reconnaissance des diplômes, soulignant qu'elle freinait l'intégration des immigrants et qu'au final elle ne servait vraiment ni l'une , ni l'autre des parties. Cependant, Il y a des normes, des règles établies, que l'immigrant est censé connaître, avoir admis puisqu'il accepte ( malgré tout ) de venir s'installer au Québec, et qu'il est donc censé devoir respecter, sans être effarouché... Il y aura des démarches à entreprendre, des remises à niveau pour certains, des apprentissages de langues pour d'autres, etc... Il faudra donc y consacrer de l'énergie, du temps et de l'argent... Ceci fait, il faudra attaquer un marché du travail, et fort probablement se retrouver en compétition avec des Québécois, rompus aux usages locaux, probablement détenteurs d'expériences antérieures Québécoises, fortement appréciées par les employeurs, ou/et d'autres immigrants, dont certains arrivés bien avant, avec peut- être quelques atouts en plus ( cartes de compétences ou autres...). Ils auront donc une longueur d'avance, mais la situation n'est pas insurmontable. Sauf si on baisse d'emblée les bras ... Je partage cette analyse et permettez-moi d'apporter ce qui suit. L'obstacle à l'intégration c'est d'empêcher l'immigrant d'accéder à sa profession. Une fois qu'il y accède (s'il arrive), qu'il bâtisse son réseau, qu'il comprenne comment ça fonctionne, etc., il finit par obtenir l’emploi. La preuve est que nous sommes tous passés par là, et ceux qui sont restés l’ont eu. En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. - Trouvez-vous normal qu’en 2009/2010 les Lois de la CNT (Art.2 et Art.77) changent afin que les stagiaires ne soient plus être rémunérés aux stages? - Trouvez-vous normal qu'on mandate soi-disant un commissaire aux plaintes à l'office des profession et que même si cette page http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/ dit : ''Sachez que les personnes qui tentent d’obtenir un permis d’exercice auprès d’un ordre professionnel et qui sont insatisfaites de la façon dont leur demande est traitée par cet ordre ont désormais un recours gratuit et accessible." et bien le commissaire dit que les blocages aux stages ne font pas partie de son mandat, qui s'arrête à la reconnaissance. N’est-ce pas erroné? C'est pourtant F(formation) + S(stage) = Permis d'exercice. Non? - Et vous aurez compris que le gouvernement a juste utilisé la carte de l'immigrant pour justifier auprès des contribuables l'octroie des Millions donnés aux Ordres Prof., prétendant http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/: ''Pour Le Québec veut favoriser la meilleure intégration possible des professionnels compétents formés hors de son territoire. Or, certaines personnes formées hors du Québec font face à des difficultés dans leurs démarches pour faire reconnaître leurs compétences professionnelles" Il n’y a rien là. Les universités sont déficitaires (on se rappelle que le gouvernement voulait mettre la main dans la poche des étudiants) alors ces Millions, c'est juste pour que les Ordres reconnaissent les diplômes, permettre aux immigrants de s'inscrire aux universités, payer 10-15000$ de leurs poches, et ensuite, les bloquer aux stages, et le protectionnisme reste en place. S’il y a un point sur lequel les immigrants ont des droits c’est par rapport à la reconnaissance de leur diplômes à la base desquels ils ont été sélectionnés. Il y a des Lois, des droits, des recours collectifs, des syndicats et pourquoi pas un BLOC (et non un parti) qui va défendre leurs droits auprès des autres partis qui les ignorent. Autrement, continuer à blâmer le gouvernement par rapport au chômage, ce n'est pas la formule gagnante; ça ne fait que lui donner la légitimité de puiser dans la poche des contribuables faisant croire que c'est pour intéger les immigrants. S'il a la vraie volonté de les intégrer, il ne faut pas qu'il les défavorise en partant sur le marché de l'emploi. Comment voulez-vous postuler en tant qu'ingénieur, comptable, etc., si vous n'avez pas le diplôme qui va avec? Et sont dans l'esprit de toute la société que les diplômes d'immigrants valent ZERO. Je te cite : " En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. " Vision encore une fois réductrice... En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent que cela est politiquement imposé . Basta. Ah Oui. S'ils le faisaient et que ça aboutisse, qu'ils finissent par une licence en poche, je veux bien, mais quand ils suivent la formation d'appoint, pour juste ajouter un certificat aux diplômes qu'ils ont déjà, alors, je m'excuse, c'est une connerie Point. Il va sans dire que mon commentaire n'est pas par rapport à ceux qui se convertissent dans une autre formation. Tu crois vraiment qu'un immigrant bardé de diplômes, a du temps à perdre a refaire un long cursus scolaire , surtout lorsqu'il est responsable d'une famille l'ayant accompagnée au Québec ? Si justement c'est de ceux-là que je parle et il y en a plusieurs. Un programme de 30 places est rempli, et la liste d"attente est de 2 ans. Ensuite, ils soumettent à nouveau le dossier à l'Ordre prof. avec des frais bien sûr, pour se remettre sur la liste d'attente. Le comble du travailleur qualifié... La priorité des priorités est d'intégrer rapidement le marché du travail, et une formation de courte durée est tout à fait recommandée, car elle constitue la clé qui fera reconnaître les compétences acquises sous d'autres cieux... C'est faux si on parle de la même chose: la formation de courte durée, qu'on appelle formation d'appint, ne mène pas d'office à l'obtention de la Licence. Il y a des medecins et des pharmaciens qui ont suivi et réussi toute la formation d'appoint, ils se sont faits échoués aux stages. Moralité, ils reviennent à la case de départ avec un trou dans leur compte bancaire De là à conclure qu'il s'agit d'une connerie, je crois plutôt que la connerie est ailleurs... La connerie est de ne pas observer autour de soi avant de sauter les pieds joints, et croire à la chance ou je ne sais quoi. Il y aura tjrs certains qui arrivent, laissés passés par les Ordres Prof., l'exception confirme la règle. IL est bien évident, au vu ton statut, que tu ne peux ( ou n'arrive ) pas ( à ) te mettre dans la peau d'un immigrant, et comprendre les raisons qui sous-tendent certains de ces choix, qui ne peuvent en ce cas qu'être ceux de la raison : un choix rationnel, celui d'une solution efficace. C'est encore Faux: je suis passée par ce même chemin, il n'y avait même pas l'internet ou un forum comme celui-là pour s'informer. J'ai pris pour de l'argent comptant ce que la déléguée commerciale m'avait dit ''qu'il y avait une pénurie de pharmaciens, et que je ne devais pas avoir de difficultés....." Et bien 23 ans plus tard, la pénurie y ait encore et moi je n'ai jamais pratiqué comme pharmacienne. J'ai travaillé avec mes titres scientifiques, j'ai accomplis des projets auxquels je n'aurais même pas rêvés de l'autre côté de l'Atlantique. Point, comme tu le dis si bien... Heureuse d'avoir échangé avec vous et bonne continuation. Citer
Habitués futurquébecois Posté(e) 27 juin 2013 Habitués Posté(e) 27 juin 2013 (modifié) La réponse est simple, l'Internet est là (ils peuvent se renseigner) alors ils n'ont qu'à ne plus venir et travailler à construire leur pays si honnête, pourvoyeur de liberté, de Droits humains, où leur diplôme et expéreince de travail seront reconnus à leur juste valeur, ils vont économiser en n'ayant pas à payer d'équivalences etc! Ils sont intelligents et en plus ils ont l'Internet, ils sont en théorie formés et dans bien des cas à l'université alors cela ne prend pas la tête de Papineau pour faire une simple recherche! Je ne peux pas croire que la personne qui attend son acceptation pendant 2 ou 4 ans, reste chez-elle à attendre les 2 bras croisés. Je ne comprends pas cette logique : 1) Je sais que mon diplôme ne sera pas reconnu 2) Je sais que je vais devoir prendre des cours donc payer pour ces cours 3) Je sais que ma profession relève d'un Ordre donc je vais devoir respecter ses règles 4) Je sais que je n'aime pas ces Ordres 5) Je sais que mon expérience de travail ne sera pas reconnu 6) Je sais que je vais recommencer au bas de l'échelle 5) Je sais que je vais vivre dans une culture Nord Américaine 7) Je sais que je n'aime pas cette culture 8) Je sais que je vais devoir parler anglais pour trouver un travail (surtout à Montréal car il semble n'y avoir que cette ville pour la majorité des immigrants) 9) Je sais que je ne parle pas anglais donc problèmes pour me trouver un travail 10) Je sais que le téléphone, l'Internet etc. sont plus chers 11) Je sais que je n'aime pas payer plus pour ces biens et services 12) Je sais qu'il y est difficile de se faire des amis (je m'en faisais si facilement dans mon pays) 13) Je sais que c'est une culture qui semble plus individualiste 14) Je sais que je n'aime pas l'individualisme 15) Je sais que selon les dires, les immigrants sont payés moins cher 16) Je sais que les conditions de travail ne seront pas les mêmes et que je vais recommencer dans bien des cas à faire des quarts de travail, le dernier à choisir mes dates de vacances etc. 17) Je n'aime pas faire des quarts de travail, j'en ai fait assez dans mon pays quand j'ai débuté Alors pourquoi vouloir immigrer au Canada? Pourtant les dépliants, les annonces tous ont venté le Canada, je les ai crus dur comme fer et je n'ai rien vérifié! Je crois que c'est le premier commentaire à cadrer entièrement avec le thème et le texte de départ. Le futur immigrant ne fait souvent pas une analyse rationnelle de tous les paramètres en sa possession, ou plus répréhensible encore, peut-être ne fait-il même pas l'effort d'en avoir un maximum en sa possession, ce qui dénoterait d'une démarche très mal planifiée. Il ne se peut que l'échec incombe qu'au Québec, seul... Et ma démarche n'est pas de dédouaner la politique d'immigration prônée par le Québec... J'ai longtemps et à maintes reprises décrié la non-reconnaissance des diplômes, soulignant qu'elle freinait l'intégration des immigrants et qu'au final elle ne servait vraiment ni l'une , ni l'autre des parties. Cependant, Il y a des normes, des règles établies, que l'immigrant est censé connaître, avoir admis puisqu'il accepte ( malgré tout ) de venir s'installer au Québec, et qu'il est donc censé devoir respecter, sans être effarouché... Il y aura des démarches à entreprendre, des remises à niveau pour certains, des apprentissages de langues pour d'autres, etc... Il faudra donc y consacrer de l'énergie, du temps et de l'argent... Ceci fait, il faudra attaquer un marché du travail, et fort probablement se retrouver en compétition avec des Québécois, rompus aux usages locaux, probablement détenteurs d'expériences antérieures Québécoises, fortement appréciées par les employeurs, ou/et d'autres immigrants, dont certains arrivés bien avant, avec peut- être quelques atouts en plus ( cartes de compétences ou autres...). Ils auront donc une longueur d'avance, mais la situation n'est pas insurmontable. Sauf si on baisse d'emblée les bras ... Je partage cette analyse et permettez-moi d'apporter ce qui suit. L'obstacle à l'intégration c'est d'empêcher l'immigrant d'accéder à sa profession. Une fois qu'il y accède (s'il arrive), qu'il bâtisse son réseau, qu'il comprenne comment ça fonctionne, etc., il finit par obtenir l’emploi. La preuve est que nous sommes tous passés par là, et ceux qui sont restés l’ont eu. En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. - Trouvez-vous normal qu’en 2009/2010 les Lois de la CNT (Art.2 et Art.77) changent afin que les stagiaires ne soient plus être rémunérés aux stages? - Trouvez-vous normal qu'on mandate soi-disant un commissaire aux plaintes à l'office des profession et que même si cette page http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/ dit : ''Sachez que les personnes qui tentent d’obtenir un permis d’exercice auprès d’un ordre professionnel et qui sont insatisfaites de la façon dont leur demande est traitée par cet ordre ont désormais un recours gratuit et accessible." et bien le commissaire dit que les blocages aux stages ne font pas partie de son mandat, qui s'arrête à la reconnaissance. N’est-ce pas erroné? C'est pourtant F(formation) + S(stage) = Permis d'exercice. Non? - Et vous aurez compris que le gouvernement a juste utilisé la carte de l'immigrant pour justifier auprès des contribuables l'octroie des Millions donnés aux Ordres Prof., prétendant http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/: ''Pour Le Québec veut favoriser la meilleure intégration possible des professionnels compétents formés hors de son territoire. Or, certaines personnes formées hors du Québec font face à des difficultés dans leurs démarches pour faire reconnaître leurs compétences professionnelles" Il n’y a rien là. Les universités sont déficitaires (on se rappelle que le gouvernement voulait mettre la main dans la poche des étudiants) alors ces Millions, c'est juste pour que les Ordres reconnaissent les diplômes, permettre aux immigrants de s'inscrire aux universités, payer 10-15000$ de leurs poches, et ensuite, les bloquer aux stages, et le protectionnisme reste en place. S’il y a un point sur lequel les immigrants ont des droits c’est par rapport à la reconnaissance de leur diplômes à la base desquels ils ont été sélectionnés. Il y a des Lois, des droits, des recours collectifs, des syndicats et pourquoi pas un BLOC (et non un parti) qui va défendre leurs droits auprès des autres partis qui les ignorent. Autrement, continuer à blâmer le gouvernement par rapport au chômage, ce n'est pas la formule gagnante; ça ne fait que lui donner la légitimité de puiser dans la poche des contribuables faisant croire que c'est pour intéger les immigrants. S'il a la vraie volonté de les intégrer, il ne faut pas qu'il les défavorise en partant sur le marché de l'emploi. Comment voulez-vous postuler en tant qu'ingénieur, comptable, etc., si vous n'avez pas le diplôme qui va avec? Et sont dans l'esprit de toute la société que les diplômes d'immigrants valent ZERO. Je te cite : " En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. " Vision encore une fois réductrice... En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent que cela est politiquement imposé . Basta. Ah Oui. S'ils le faisaient et que ça aboutisse, qu'ils finissent par une licence en poche, je veux bien, mais quand ils suivent la formation d'appoint, pour juste ajouter un certificat aux diplômes qu'ils ont déjà, alors, je m'excuse, c'est une connerie Point. Il va sans dire que mon commentaire n'est pas par rapport à ceux qui se convertissent dans une autre formation. Tu crois vraiment qu'un immigrant bardé de diplômes, a du temps à perdre a refaire un long cursus scolaire , surtout lorsqu'il est responsable d'une famille l'ayant accompagnée au Québec ? Si justement c'est de ceux-là que je parle et il y en a plusieurs. Un programme de 30 places est rempli, et la liste d"attente est de 2 ans. Ensuite, ils soumettent à nouveau le dossier à l'Ordre prof. avec des frais bien sûr, pour se remettre sur la liste d'attente. Le comble du travailleur qualifié... La priorité des priorités est d'intégrer rapidement le marché du travail, et une formation de courte durée est tout à fait recommandée, car elle constitue la clé qui fera reconnaître les compétences acquises sous d'autres cieux... C'est faux si on parle de la même chose: la formation de courte durée, qu'on appelle formation d'appint, ne mène pas d'office à l'obtention de la Licence. Il y a des medecins et des pharmaciens qui ont suivi et réussi toute la formation d'appoint, ils se sont faits échoués aux stages. Moralité, ils reviennent à la case de départ avec un trou dans leur compte bancaire De là à conclure qu'il s'agit d'une connerie, je crois plutôt que la connerie est ailleurs... La connerie est de ne pas observer autour de soi avant de sauter les pieds joints, et croire à la chance ou je ne sais quoi. Il y aura tjrs certains qui arrivent, laissés passés par les Ordres Prof., l'exception confirme la règle. IL est bien évident, au vu ton statut, que tu ne peux ( ou n'arrive ) pas ( à ) te mettre dans la peau d'un immigrant, et comprendre les raisons qui sous-tendent certains de ces choix, qui ne peuvent en ce cas qu'être ceux de la raison : un choix rationnel, celui d'une solution efficace. C'est encore Faux: je suis passée par ce même chemin, il n'y avait même pas l'internet ou un forum comme celui-là pour s'informer. J'ai pris pour de l'argent comptant ce que la déléguée commerciale m'avait dit ''qu'il y avait une pénurie de pharmaciens, et que je ne devais pas avoir de difficultés....." Et bien 23 ans plus tard, la pénurie y ait encore et moi je n'ai jamais pratiqué comme pharmacienne. J'ai travaillé avec mes titres scientifiques, j'ai accomplis des projets auxquels je n'aurais même pas rêvés de l'autre côté de l'Atlantique. Point, comme tu le dis si bien... Heureuse d'avoir échangé avec vous et bonne continuation. Le point de discorde est le passage ( réducteur ) suivant : " En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Il n'y a pas d'élément de réponse convaincant dans tes précédents posts . Je ne pense d'ailleurs pas qu'il puisse y en avoir de rationnel. Bonne continuation, aussi. Modifié 27 juin 2013 par futurquébecois Citer
Habitués Lotus01 Posté(e) 27 juin 2013 Habitués Posté(e) 27 juin 2013 La réponse est simple, l'Internet est là (ils peuvent se renseigner) alors ils n'ont qu'à ne plus venir et travailler à construire leur pays si honnête, pourvoyeur de liberté, de Droits humains, où leur diplôme et expéreince de travail seront reconnus à leur juste valeur, ils vont économiser en n'ayant pas à payer d'équivalences etc! Ils sont intelligents et en plus ils ont l'Internet, ils sont en théorie formés et dans bien des cas à l'université alors cela ne prend pas la tête de Papineau pour faire une simple recherche! Je ne peux pas croire que la personne qui attend son acceptation pendant 2 ou 4 ans, reste chez-elle à attendre les 2 bras croisés. Je ne comprends pas cette logique : 1) Je sais que mon diplôme ne sera pas reconnu 2) Je sais que je vais devoir prendre des cours donc payer pour ces cours 3) Je sais que ma profession relève d'un Ordre donc je vais devoir respecter ses règles 4) Je sais que je n'aime pas ces Ordres 5) Je sais que mon expérience de travail ne sera pas reconnu 6) Je sais que je vais recommencer au bas de l'échelle 5) Je sais que je vais vivre dans une culture Nord Américaine 7) Je sais que je n'aime pas cette culture 8) Je sais que je vais devoir parler anglais pour trouver un travail (surtout à Montréal car il semble n'y avoir que cette ville pour la majorité des immigrants) 9) Je sais que je ne parle pas anglais donc problèmes pour me trouver un travail 10) Je sais que le téléphone, l'Internet etc. sont plus chers 11) Je sais que je n'aime pas payer plus pour ces biens et services 12) Je sais qu'il y est difficile de se faire des amis (je m'en faisais si facilement dans mon pays) 13) Je sais que c'est une culture qui semble plus individualiste 14) Je sais que je n'aime pas l'individualisme 15) Je sais que selon les dires, les immigrants sont payés moins cher 16) Je sais que les conditions de travail ne seront pas les mêmes et que je vais recommencer dans bien des cas à faire des quarts de travail, le dernier à choisir mes dates de vacances etc. 17) Je n'aime pas faire des quarts de travail, j'en ai fait assez dans mon pays quand j'ai débuté Alors pourquoi vouloir immigrer au Canada? Pourtant les dépliants, les annonces tous ont venté le Canada, je les ai crus dur comme fer et je n'ai rien vérifié! Je crois que c'est le premier commentaire à cadrer entièrement avec le thème et le texte de départ. Le futur immigrant ne fait souvent pas une analyse rationnelle de tous les paramètres en sa possession, ou plus répréhensible encore, peut-être ne fait-il même pas l'effort d'en avoir un maximum en sa possession, ce qui dénoterait d'une démarche très mal planifiée. Il ne se peut que l'échec incombe qu'au Québec, seul... Et ma démarche n'est pas de dédouaner la politique d'immigration prônée par le Québec... J'ai longtemps et à maintes reprises décrié la non-reconnaissance des diplômes, soulignant qu'elle freinait l'intégration des immigrants et qu'au final elle ne servait vraiment ni l'une , ni l'autre des parties. Cependant, Il y a des normes, des règles établies, que l'immigrant est censé connaître, avoir admis puisqu'il accepte ( malgré tout ) de venir s'installer au Québec, et qu'il est donc censé devoir respecter, sans être effarouché... Il y aura des démarches à entreprendre, des remises à niveau pour certains, des apprentissages de langues pour d'autres, etc... Il faudra donc y consacrer de l'énergie, du temps et de l'argent... Ceci fait, il faudra attaquer un marché du travail, et fort probablement se retrouver en compétition avec des Québécois, rompus aux usages locaux, probablement détenteurs d'expériences antérieures Québécoises, fortement appréciées par les employeurs, ou/et d'autres immigrants, dont certains arrivés bien avant, avec peut- être quelques atouts en plus ( cartes de compétences ou autres...). Ils auront donc une longueur d'avance, mais la situation n'est pas insurmontable. Sauf si on baisse d'emblée les bras ... Je partage cette analyse et permettez-moi d'apporter ce qui suit. L'obstacle à l'intégration c'est d'empêcher l'immigrant d'accéder à sa profession. Une fois qu'il y accède (s'il arrive), qu'il bâtisse son réseau, qu'il comprenne comment ça fonctionne, etc., il finit par obtenir l’emploi. La preuve est que nous sommes tous passés par là, et ceux qui sont restés l’ont eu. En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. - Trouvez-vous normal qu’en 2009/2010 les Lois de la CNT (Art.2 et Art.77) changent afin que les stagiaires ne soient plus être rémunérés aux stages? - Trouvez-vous normal qu'on mandate soi-disant un commissaire aux plaintes à l'office des profession et que même si cette page http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/ dit : ''Sachez que les personnes qui tentent d’obtenir un permis d’exercice auprès d’un ordre professionnel et qui sont insatisfaites de la façon dont leur demande est traitée par cet ordre ont désormais un recours gratuit et accessible." et bien le commissaire dit que les blocages aux stages ne font pas partie de son mandat, qui s'arrête à la reconnaissance. N’est-ce pas erroné? C'est pourtant F(formation) + S(stage) = Permis d'exercice. Non? - Et vous aurez compris que le gouvernement a juste utilisé la carte de l'immigrant pour justifier auprès des contribuables l'octroie des Millions donnés aux Ordres Prof., prétendant http://www.opq.gouv.qc.ca/commissaire/: ''Pour Le Québec veut favoriser la meilleure intégration possible des professionnels compétents formés hors de son territoire. Or, certaines personnes formées hors du Québec font face à des difficultés dans leurs démarches pour faire reconnaître leurs compétences professionnelles" Il n’y a rien là. Les universités sont déficitaires (on se rappelle que le gouvernement voulait mettre la main dans la poche des étudiants) alors ces Millions, c'est juste pour que les Ordres reconnaissent les diplômes, permettre aux immigrants de s'inscrire aux universités, payer 10-15000$ de leurs poches, et ensuite, les bloquer aux stages, et le protectionnisme reste en place. S’il y a un point sur lequel les immigrants ont des droits c’est par rapport à la reconnaissance de leur diplômes à la base desquels ils ont été sélectionnés. Il y a des Lois, des droits, des recours collectifs, des syndicats et pourquoi pas un BLOC (et non un parti) qui va défendre leurs droits auprès des autres partis qui les ignorent. Autrement, continuer à blâmer le gouvernement par rapport au chômage, ce n'est pas la formule gagnante; ça ne fait que lui donner la légitimité de puiser dans la poche des contribuables faisant croire que c'est pour intéger les immigrants. S'il a la vraie volonté de les intégrer, il ne faut pas qu'il les défavorise en partant sur le marché de l'emploi. Comment voulez-vous postuler en tant qu'ingénieur, comptable, etc., si vous n'avez pas le diplôme qui va avec? Et sont dans l'esprit de toute la société que les diplômes d'immigrants valent ZERO. Je te cite : " En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Au lieu de mettre tout sur le dos des employeurs, du racisme et tout le kit, ils doivent s’assumer, comprendre qu’ils ont des devoirs mais des droits aussi. " Vision encore une fois réductrice... En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent que cela est politiquement imposé . Basta. Ah Oui. S'ils le faisaient et que ça aboutisse, qu'ils finissent par une licence en poche, je veux bien, mais quand ils suivent la formation d'appoint, pour juste ajouter un certificat aux diplômes qu'ils ont déjà, alors, je m'excuse, c'est une connerie Point. Il va sans dire que mon commentaire n'est pas par rapport à ceux qui se convertissent dans une autre formation. Tu crois vraiment qu'un immigrant bardé de diplômes, a du temps à perdre a refaire un long cursus scolaire , surtout lorsqu'il est responsable d'une famille l'ayant accompagnée au Québec ? Si justement c'est de ceux-là que je parle et il y en a plusieurs. Un programme de 30 places est rempli, et la liste d"attente est de 2 ans. Ensuite, ils soumettent à nouveau le dossier à l'Ordre prof. avec des frais bien sûr, pour se remettre sur la liste d'attente. Le comble du travailleur qualifié... La priorité des priorités est d'intégrer rapidement le marché du travail, et une formation de courte durée est tout à fait recommandée, car elle constitue la clé qui fera reconnaître les compétences acquises sous d'autres cieux... C'est faux si on parle de la même chose: la formation de courte durée, qu'on appelle formation d'appint, ne mène pas d'office à l'obtention de la Licence. Il y a des medecins et des pharmaciens qui ont suivi et réussi toute la formation d'appoint, ils se sont faits échoués aux stages. Moralité, ils reviennent à la case de départ avec un trou dans leur compte bancaire De là à conclure qu'il s'agit d'une connerie, je crois plutôt que la connerie est ailleurs... La connerie est de ne pas observer autour de soi avant de sauter les pieds joints, et croire à la chance ou je ne sais quoi. Il y aura tjrs certains qui arrivent, laissés passés par les Ordres Prof., l'exception confirme la règle. IL est bien évident, au vu ton statut, que tu ne peux ( ou n'arrive ) pas ( à ) te mettre dans la peau d'un immigrant, et comprendre les raisons qui sous-tendent certains de ces choix, qui ne peuvent en ce cas qu'être ceux de la raison : un choix rationnel, celui d'une solution efficace. C'est encore Faux: je suis passée par ce même chemin, il n'y avait même pas l'internet ou un forum comme celui-là pour s'informer. J'ai pris pour de l'argent comptant ce que la déléguée commerciale m'avait dit ''qu'il y avait une pénurie de pharmaciens, et que je ne devais pas avoir de difficultés....." Et bien 23 ans plus tard, la pénurie y ait encore et moi je n'ai jamais pratiqué comme pharmacienne. J'ai travaillé avec mes titres scientifiques, j'ai accomplis des projets auxquels je n'aurais même pas rêvés de l'autre côté de l'Atlantique. Point, comme tu le dis si bien... Heureuse d'avoir échangé avec vous et bonne continuation. Le point de discorde est le passage ( réducteur ) suivant : " En retournant à l'université, les immigrants reconnaissent donc eux-mêmes l'infériorité de leur niveau de formation. Il n'y a pas d'élément de réponse convaincant dans tes précédents posts . Je ne pense d'ailleurs pas qu'il puisse y en avoir de rationnel. Bonne continuation, aussi. Ce qui est rationnel pour moi ça ne l'est pas pour qq 1 d'autre. A chacun ses repères. Citer
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